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« J’ai vu dans tes yeux mille aurores T’implorant que tu me serres encore J’ai vu dans tes yeux mille pardons Tel l’éclat du soleil à l’horizon J’ai vu dans tes yeux mille trésors Les miens te susurrant que je t’adore J’ai vu dans tes yeux mille mondes cachés Que je n’aurai jamais fini d’explorer J’ai vu dans tes yeux mille secrets Et surtout ce que tu promets. »
À PROPOS DE L'AUTEUR
Fabrice Paul dévoile dans ce premier recueil l’adoration des figures féminines qu’il a côtoyées. Cet ouvrage « new romance poétique » cherche à guérir les maux amoureux grâce aux âmes qu’il convoque. Les poèmes, soigneusement sélectionnés, veulent offrir un vif plaisir littéraire sur un sujet immortel : l’Amour.
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Seitenzahl: 43
Fabrice Paul
Ce que je sais du ciel
Tome I
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Fabrice Paul
ISBN : 979-10-422-4552-8
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Je suis Pierre Adam’s, artiste et illusionniste professionnel. Il y a 13 ans, mon chemin a croisé celui de Fabrice Paul, et immédiatement une grande amitié nous a liés.
J’ai toujours su qu’au fond du cœur de mon ami se cachait un immense talent de poète, accentué par sa sensibilité. Je l’ai encouragé jusqu’à ce qu’il édite le premier de ses recueils que vous tenez entre vos mains. Vous trouverez dans ses écrits l’exploration du thème de l’Amour et la recherche de l’Être aimé. Malgré ses doutes, le leitmotiv est : « C’est grand comment le Bonheur !? »
Je voudrais terminer cette présentation de l’ouvrage de mon ami par ces quelques mots : laissez-vous emporter par cette expérience poétique contemporaine au fil de l’Amour !
Merci, Fabrice Paul.
Saint-Priest le 16 août 2024,
La seule chose que tu dois faire c’est croire
Et tu écriras une nouvelle page de ton histoire
Tu trouveras Celle qui portera de nouveau la Vie
Pourquoi n’aurais-tu pas Cette Enfant d’un deuxième lit ?
Tu ne renonceras jamais à tes obligations de Père
Tes deux premiers héritiers perpétueront ton nom
Cette fille que tu attends sera le symbole de ce suprême Don
Qu’est l’Amour et auquel tu as droit comme tout le monde
Et qui fleurira cette terre pour en faire un nouveau monde.
À Celle qui vient
Fraîche comme la rosée du matin
À Celle qui vient, Belle Dame
À Celle qui vient, douée de mille charmes
À Celle qui vient, je crie vers Toi,
À Celle qui vient, prends-moi dans Tes bras
Sois dans mon cœur Celle qui fait de moi un Roi
Et je Te supplierai de m’emmener
Où nous pourrions rêver, enlacés
À un autre et meilleur monde
Que notre Amour féconde.
Tu es tellement belle que je ne peux m’empêcher de pleurer
Toi qui mes fautes as mille fois pardonnées
Moi qu’un seul de tes baisers as mille fois racheté
Je t’ai cherchée dans l’infini de l’espace
Je te demanderai tes mains pour que je les embrasse
Je prendrai sur moi tous les fardeaux
Que la vie t’aura mis sur le dos
Et je les transformerai en rires d’enfants
Pour les anéantir tout doucement.
J’ai vu dans tes yeux mille planètes
Il n’y a rien sur cette Terre que je regrette
Sinon que je sois éloigné de tes bras
Sinon que s’arrête mon cœur épris de toi
J’ai vu dans tes yeux mille aurores
T’implorant que tu me serres encore
J’ai vu dans tes yeux mille pardons
Tel l’éclat du soleil à l’horizon
J’ai vu dans tes yeux mille trésors
Les miens te susurrant que je t’adore
J’ai vu dans tes yeux mille mondes cachés
Que je n’aurai jamais fini d’explorer
J’ai vu dans tes yeux mille secrets
Et surtout ce que tu promets.
Y a-t-il une femme qui aurait assez souffert pour me comprendre et m’aimer ?
Y a-t-il une femme qui aurait assez pleuré pour ne pas voir comme une faiblesse que je me mette à pleurer
À pleurer si le hasard bizarre de la vie me fait Te rencontrer
À pleurer si mes plus belles prières au Ciel sont exaucées
À pleurer si nous pouvions les yeux dans les yeux nous jurer fidélité.
Regarde pousser une fleur
Quand ton cœur t’inspire la pire des terreurs
Quand ton stylo t’inspire la même rancœur
Quand tu penses que tu n’as plus droit au bonheur
Il est peut-être plus proche que tu ne crois
Peut-être est-Elle prête à te décharger de ta croix
Peut-être est-Elle prête à t’ouvrir grands ses bras
Si grands que tu ne t’en remettras pas
Peut-être un jour te guidera-t-Elle dans ses draps
Pour y faire l’amour comme si dans ce monde c’était la première fois
Pour y faire l’amour comme si cette Reine transformait en Roi le dernier des renégats
Comme si elle transformait en Or tout ce qu’elle touchait de ses doigts
Déesse à la puissance infinie
Déesse avec laquelle jamais rien ne se finit
Où il n’y a plus hier ni demain mais que des aujourd’hui
Laisse-moi vivre à tes côtés je t’en supplie !
Le stylo écrit parfois ce qu’il veut
Il blesse
Le stylo devient parfois très sérieux