Danses de l’esprit - Nadiya Guichard - E-Book

Danses de l’esprit E-Book

Nadiya Guichard

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Beschreibung

"Danses de l’esprit – Poèmes et haïkus évocateurs" vous entraîne dans un voyage poétique où émotions et nature s’entrelacent en un ballet d’espoir et de réflexion. Chaque vers explore l’âme humaine, célèbre la beauté du monde et trouve la lumière dans l’obscurité. Les mots dansent avec grâce, capturant l’essence de la vie, de l’amour et de l’espoir, offrant une perspective renouvelée sur notre environnement. Des moments de paix sous les étoiles citadines aux tourments du quotidien, chaque poème résonne d’une sincérité émouvante et profonde.

À PROPOS DE L'AUTRICE

Nadiya Guichard, infatigable exploratrice des mots, puise son inspiration et son réconfort dans la lecture. Son recueil, "Danses de l’esprit – Poèmes et haïkus évocateurs", incarne sa passion pour la poésie et offre aux lecteurs un espace pour découvrir et apprécier la beauté des mots.

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Nadiya Guichard

Danses de l’esprit

Poèmes et haïkus évocateurs

© Lys Bleu Éditions – Nadiya Guichard

ISBN : 979-10-422-3916-9

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

À Saphira et Amaury,

mes étoiles bien-aimées,

je vous dédie ces vers, doux trésors chéris,

chaque mot murmure l'amour d'un cœur enflammé,

pour vous, mes enfants, ma vie, mes plus grands amis

Amour d’une valse brisée

Chère Léopoldine,

Dans l’éther de nos émotions,

un triste écho résonne,

Le doux souvenir de nos moments,

maintenant fréquemment m’abandonne.

Tu as tracé des lignes d’amour,

puis effacé sans égard,

Ton regard, jadis tendre,

désormais laisse un goût amer.

Dans la danse des sentiments,

tu m’as fait trébucher,

Un pas de côté,

et notre valse s’est mise à chanceler.

Les promesses éparpillées comme des pétales au vent,

Et nos rêves d’amour se sont dissous dans le néant.

Ta présence, une mélodie douce à mes oreilles,

Aujourd’hui résonne comme des notes en deuil.

Les étreintes d’hier, empreintes de chaleur,

Se sont évanouies, laissant place à la froide douleur.

Les saisons changent, mais la peine persiste,

Les souvenirs d’une étreinte que je ne pourrais plus revivre.

Chère Léopoldine, notre histoire en pointillés,

Reste un poème inachevé, une page à jamais tournée.

Amour en refrain

Dans l’air sucré de cupidité, la Saint-Valentin s’avance,

Des cours qui battent au rythme de la romance.

Mais derrière les roses et les mots en cadence,

Se cachent parfois des jeux d’amour en équivalence.

Les célibataires dansent au bal de l’ironie,

Au milieu des couples, une ombre d’harmonie

La pression des roses rouges, la fébrilité,

La Saint-Valentin, parfois, c’est une comédie.

Des « Je t’aime » en série, comme des refrains usés,

Des sentiments embrouillés, des cœurs délaissés.

Mais dans ce tourbillon de passion orchestré,

Certains trouvent l’amour, d’autres à s’apprécier.

Que la Saint-Valentin soit plus qu’une vitrine.

Où l’amour véritable dépasse la routine.

Au-delà des cadeaux, des gestes encline,

Que chaque jour soit une fête, une douce routine.

Bilal le cyclone poétique

Dans les mers lointaines, Bilal s’éveille,

Un cyclone puissant, une force sans pareille.

Tourbillon déchaîné, danse céleste en spirale,

Il étreint les vents, déferle et dévale.

Sa voix rugissante, un chant océanique,

Frémit dans l’air, d’une force titanesque.

Les vagues s’inclinent à sa majesté,

Bilal, le cyclone, symphonie en liberté.

Nuances de bleu, de vert et d’argent,

Ses yeux tourbillonnent, magnifiquement.

Il dessine des poèmes dans le ciel tourmenté,

L’âme du cyclone, en poésie sculptée.

Dans son sillage, la nature s’incline,

Les arbres dansent, la mer se dessine.

Bilal, tempête en majesté éphémère,

Porte en son cœur une énergie sincère

Tel un poète céleste, il réécrit le firmament,

Chantant l’éloge de la Terre, éternellement.

Bilal le cyclone, une œuvre d’art éphémère,

Dans la danse des éléments, laisse une trace légère.

Chants oubliés de la mer

Sur le rivage d’azur, où le ciel effleure,

Les vagues tissent des contes, douce lueur.

L’océan chuchote des légendes en secret,

Des histoires oubliées, par le temps muet.

Au gré des marées, danse un récit ancien,

Des mystères enchevêtrés dans le sable fin.

Les vagues, poètes des mers infinies,

de rêves, gardiennes de vies.

Les échos des sirènes flottent dans l’air,

Légendes éthérées, par-delà la mer.

Les coquillages murmurent en doux éclats,

Des secrets perdus dans le flux des ébats.

Les voiles des navires dessinent des horizons,

Naviguant vers des mondes, vers d’autres saisons.

Sous le regard des étoiles, l’océan s’étend,

Un poème infini, que le temps suspend.

Et lorsque le crépuscule étreint l’horizon.

Les vagues s’unissent en une douce oraison.

L’océan, gardien des légendes évanouies.

Égrène les souvenirs, éternelle mélodie.

Oubliés de la mer

Sur le rivage d’azur, où le ciel effleure

Les vagues tissent des contes, douce lueur

L’océan chuchote des légendes en secret,

Des histoires oubliées, par le temps muet.

Au gré des marées, danse un récit ancien,

Des mystères enchevêtrés dans le sable fin.

Les vagues, poètes des mers infinies,

de rêves, gardiennes de vies.

Les échos des sirènes flottent dans l’air,

Légendes éthérées, par-delà la mer.

Les coquillages murmurent en doux éclats,

Des secrets perdus dans le flux des ébats.

Les voiles des navires dessinent des horizons,

Navigant vers des mondes, vers d’autres saisons.

Sous le regard des étoiles, l’océan s’étend,

Un poème infini, que le temps suspend.

Et lorsque le crépuscule étreint l’horizon.

Les vagues s’unissent en une douce oraison.

L’océan, gardien des légendes évanouies.

Égrène les souvenirs, éternelle mélodie

. Sur le rivage d’azur, où le ciel effleure,

Les vagues tissent des contes, douce lueur.

L’océan chuchote des légendes en secret,

Des histoires oubliées, par le temps muet.

Et lorsque le crépuscule étreint l’horizon.

Les vagues s’unissent en une douce oraison.

L’océan, gardien des légendes évanouies.

Égrène les souvenirs, éternelle mélodie.

Chère bougie parfumée

Sous la lueur de la bougie,

douce et rosée,

Ton parfum embaume l’air,

une odeur sacrée.

Mon cœur, en notes suaves, résonne en émoi,

Une mélodie d’amour,

dans ce cocon de joie.

Les flammes dansent,

contant notre histoire,

Chaque éclat révèle un rêve,

une victoire.

Sur mon nez, se pose la magie de ta présence,

Un doux baiser d’arômes,

une tendre révérence.

La bougie, complice de nos

instants d’éternité,

Éclaire nos émotions,

dans sa danse délicate.

Elle scintille, témoin de notre passion ardente,

Guidant nos sentiments, comme une étoile brillante.

Ton parfum, subtil et enivrant,

S’infiltre dans l’air, doux enchantement.

Il caresse ma peau, café au lait,

veloutée,

Une symphonie olfactive,

éternel ballet.

Ainsi, dans ce tableau de flammes et d’odeurs,

Se tisse un poème, éternel, plein de ferveurs.

La bougie, le témoin,

la complice de nos vœux,

Éclaire notre amour, dans un écrin lumineux.

Chère rose rouge

Sous le ciel étoilé d’une nuit paisible,

La rose rouge s’épanouit, invisible,

Son éclat secret, un trésor caché,

Au jardin des rêves, son charme est révélé.

Elle berce la lune dans son doux sommeil,

Sous le doux clair-obscur, son parfum s’éveille

Un murmure silencieux dans la brise légère,

La rose rouge danse, fière et sincère.

Ses pétales velours, écarlates et tendres,

Sont le symbole d’un amour qui n’ose se rendre,

Dans le silence de la nuit, elle raconte des histoires,

De passions cachées, de doux espoirs.

Les étoiles scintillent dans son doux reflet,

Comme des joyaux célestes, un secret parfait,

Et dans l’ombre paisible de ce jardin enchanté

La rose rouge continue à nous enchanter.

Elle éclaire nos rêves, douce et éternelle,

Un trésor précieux, une étoile rebelle,

Dans le jardin des âmes, elle trouve sa place,

La rose rouge, gardienne de notre espace.

Que son parfum persiste dans nos mémoires,

Comme une symphonie d’amour, sans histoires,

Sous le ciel étoilé, elle demeure, précieuse,

La rose rouge, en nous, toujours silencieuse.

Cœur tourmenté

Sous le dôme azuré, je deviens voyageur du temps,

Ma bicyclette, complice d’un éternel enchantement.

Les heures s’étirent, les saisons défilent en douceur,

Et je me perds, captif de cette magique lueur.

Les rayons d’or effleurent la peine du jour

Les échos du vent murmurent des détours

Cherchant dans le silence, une étreinte chaleureuse.

L’âme s’égare, dans cette quête précieuse.

Soleil couchant, mélodie du crépuscule,

Cœur persistant, danse avec l’ombre qui recule.

Dans la nuit étoilée, un espoir renaissant,

Le poème de l’âme, éternellement naissant.

Couleurs de l’unité

Sous le ciel étoilé, la ville s’épanouit,

Un kaléidoscope vibrant, où chaque teinte sourit.

Mais dans l’ombre, le racisme, un poison silencieux.

Sème la discorde, brise l’harmonie précieuse.

Dans le creuset des différences, forgeons l’alliance,

Clatons les chaînes, rompons la défiance.

La peau n’est qu’une toile, l’âme la véritable lumière,