De l’ivresse de l’amour au désespoir d’aimer - Charlie Slaun - E-Book

De l’ivresse de l’amour au désespoir d’aimer E-Book

Charlie Slaun

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Beschreibung

L’amour dans toute sa fougue et dans toute sa beauté, mais aussi dans ses tourments et ses promesses d’éternité. De la passion intense et enivrante quand le cœur s’enflamme à la peine immense et le manque qui consume l’âme ; autant d’espoir et d’incertitudes réunis dans le simple fait d’aimer, autant d’espoir et d’incertitudes réunis dans chaque ligne de ce recueil.




À PROPOS DE L'AUTRICE

« Le monde a besoin d’amour et de poésie ». Écrivaine depuis des années, c’est à partir de cette pensée que Charlie Slaun a décidé de partager ses lettres avec les autres ; convaincue que ses mots peuvent apporter une part de rêve et d’émotion à ceux qui les lisent.

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Charlie Slaun

De l’ivresse de l’amour

au désespoir d’aimer

Recueil

© Lys Bleu Éditions – Charlie Slaun

ISBN : 979-10-422-3002-9

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Un amour éphémère et éternel

J’ai vu la lumière déchirer le ciel, j’ai vu briller la lune et le soleil, mais je n’avais jamais rien vu de plus beau que son sourire à elle. Je restais interdit devant sa beauté, mais pas insensible au désir qu’elle m’inspirait, je la dévorais du regard chaque fois que je le pouvais et sans même le vouloir me condamnais peu à peu par la passion qui me consumait.

Si l’amour est éternel alors j’en suis son serviteur le plus fidèle, mais j’ai failli à l’amour, car j’ai totalement succombé à ses charmes et à sa beauté et je me suis brûlé les ailes.

Je ne pense qu’à elle, elle est tellement belle, elle m’attire, je suis sous l’emprise de son sourire.

Si elle savait comme je l’aimais, si elle savait à quel point, mais elle n’en saura jamais rien.

Le simple fait de l’aimer est sans espoir, car je sais que je ne pourrais jamais la revoir, je l’ai connue assez longtemps pour l’aimer, suffisamment pour ne pas l’oublier.

Elle est aussi belle que le jour qui se lève, elle a laissé à mon cœur la passion et son nom à jamais sur mes lèvres, mon amour pour elle est plus grand que le ciel même si maintenant je ne la vois plus que dans mes rêves. Sa beauté m’a touché en plein cœur comme son sourire a ravi à mon âme,

je l’aime avec tant d’ardeur que par un seul baiser je m’enflamme, aujourd’hui elle est partie, emportant une part de mon âme avec elle, elle me manque tellement alors si je pouvais même un instant oublier que je l’aime, peut-être ma peine disparaîtrait-elle.

L’âme tourmentée et le cœur brisé, je désespérais qu’un jour elle puisse m’aimer, alors je fus consumé par cet amour et ce désir dont je brûlais et qui, réprimé de tout mon être, pourtant m’enivrait.

Elle avait le charme et la beauté et je savais rien qu’en la regardant qu’elle allait terriblement me manquer. Mon cœur chavire pour son sourire, pour sa beauté je l’ai aimé, elle est partie, elle m’a laissé et depuis il m’est impossible de l’oublier.

Alors que je m’abandonne un instant, ivre de toutes mes peines, dansant sous les étoiles vagabondes m’écriant que je l’aime seul face à la nuit profonde, rien, nul bruit ne fait écho à mon désespoir, personne ne répond à cet appel lancer vers le ciel si tard le soir.

Ainsi soit-elle que je l’aime, d’un amour éphémère et éternel, elle était si belle que la dernière de mes larmes sera pour elle.

Mon amour suprême

Elle était tout ce que j’aime, c’était mon amour suprême.

Je ne pouvais détacher mon regard d’elle, elle était si belle, elle m’est apparue comme un ange tomber du ciel, d’une telle beauté qu’elle semblait irréelle.

Je cherchais son regard comme la lumière dans la nuit noire et quand je le croisai enfin, j’étais comme transporté au loin, je pouvais voir dans ses yeux l’infime espoir subliminal d’un amoureux et tout me semblait alors idéal et merveilleux.

Elle était d’une telle beauté que je passai mon temps à l’admirer, je voulais rester là à la regarder, perdu dans mes pensées, comme plonger dans un songe qui se prolonge, qui s’éternise à volonté.

J’ai tant désiré l’embrasser, ses lèvres semblaient parfaites pour y déposer un baiser, mais je dois bien l’avouer, cet idéal n’existe que dans mes pensées, comme un rêve inachevé, jamais réalisé.

Je n’ai jamais osé lui dire qu’elle m’éprouvait tant au désir, si seulement je lui avais avoué qu’elle me plaisait avant que de la voir partir. Quand je suis près d’elle, un court instant je goûte au bonheur, et m’émerveille, mais quand elle est loin de moi tout devient fade et sans saveur comme un été trop froid. C’est toujours à elle que je pense, elle est dans toutes mes pensées, son sourire était celui d’un ange, elle en avait la beauté. Son absence me brise le cœur, elle me manque à chaque seconde de chaque heure. Sans elle, je ne suis plus, sans elle je suis perdu, sans elle ma vie n’est que néant, elle me manque tant. Ma peine inonde le ciel, je suis si seul ici sans elle, je n’ai plus goût à rien, mes larmes ne servent qu’à noyer mon chagrin. Si tous les mots d’amour que j’ai pu lui écrire pouvaient faire écho et un jour lui parvenir alors peut-être dans un sursaut pourrait-elle me revenir.

J’ai le spleen depuis qu’elle n’est plus là, je n’étreins plus que le vide et le froid.

Je n’oublierai pas le jour où je l’ai rencontré et je me souviendrai à jamais de sa beauté, à nos souvenirs oubliés pour toujours, au rendez-vous manqué de notre amour.

Elle et moi comme une évidence et même si elle ne le sait pas, je l’aime en silence.

Je l’imagine parfois dans un songe éternel, si elle veut de moi, je suis à elle.

Elle m’a laissé sans l’espoir de la revoir un jour et pourtant je crois que je l’aimerais toujours.

Je suis comme perdu dans l’inconnu, car j’ai le sentiment que je ne la reverrai plus, j’aurais tant aimé la revoir une dernière fois et graver sa beauté dans ma mémoire pour que je ne l’oublie pas.

Elle était si belle, mon amour lui appartient pour toujours, je n’ai aimé qu’elle.

Elle était tellement belle que malgré le temps qui est passé, je me souviens toujours de sa beauté, je l’ai tant aimé que jamais je ne l’oublierais. Elle me plaisait pour sa beauté, depuis le premier jour je l’ai aimé, elle sera toujours dans mes pensées, je ne l’ai jamais oubliée.

J’aurais voulu lui dire que je l’aimais et que même après je l’aimerais, car seul n’est éternel que l’amour suprême.

Rêver d’un baiser

Si je devais définir le rêve, je dirais qu’il commence par l’intensité d’un regard et qu’il se termine à tes lèvres. Avant que le jour ne se lève et avant que la nuit ne s’achève, attarde-toi sur mes lèvres le temps d’un baiser et tu seras pour toujours dans mes rêves et dans mes pensées.

Si je le pouvais, oh si je le pouvais, me perdre dans ton regard à jamais alors je passerai mon temps à t’aimer et il n’y a que de toi dont je rêverais.

Je me brûle les lèvres à la seule idée de t’embrasser, je pense à toi jour et nuit et me consume par le rêve tellement j’en meurs d’envie. Si dans ton regard je me perds, c’est que devant ta beauté je me désespère et ton regard me perdra si tu ne m’embrasses pas, car je succombe à l’envie et ne rêve que de toi, le désir me défit et tes lèvres sont un véritable supplice auquel je ne résiste pas.