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Que ce soit pour évoquer l'amour, la guerre, la barbarie, le lâcher-prise, l'ego, la peur, l'enfant intérieur ou même l'amour de soi, tout est exprimé en vers dans le but de mieux se comprendre. Ainsi, cet ouvrage nous convie à entonner ou réciter des vers qui nous aideront à évoluer.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Florence de Neuville simplifie et rend accessible tout ce qu’elle a pu lire, étudier et expérimenter dans le domaine du développement personnel, offrant ainsi des outils pour favoriser une croissance harmonieuse et une meilleure compréhension du monde.
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Seitenzahl: 58
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Florence de Neuville
En vers et contre tout
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Florence de Neuville
ISBN : 979-10-422-2958-0
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
En vers ou en prose
Je n’arrive pas à mettre sur pause
Envers et contre tout
Je ne pense qu’à vous.
Ne t’arrête pas, vas-y fonce
T’es le plus grand, le plus fort
Ne ralentis pas, cherche les réponses
Toujours plus loin, encore et encore
Ne doute pas, il faut y croire
Tes peurs sont tes barrières
Elles te font faire marche arrière
Et anéantissent tes chances, tes espoirs
Elle me répétait cela sans arrêt
Et moi, je ne savais plus quoi faire
Pour qu’elle arrête, pour la faire taire
Pour lui dire que j’en avais assez
Continue, ne t’arrête surtout pas
Regarde tout le talent que tu as
Cette place, si tu veux tu l’auras
Pour cela il faut que tu y croies
Regarde un peu autour de toi
Des gens comme toi, il n’y en a pas
Et puis moi je serai toujours là
Enfin, si tu veux bien de moi
Elle me répétait cela sans arrêt
Et moi, je ne savais plus quoi faire
Pour qu’elle arrête, pour la faire taire
Pour lui dire que j’en avais assez
Ne te retourne pas sur ton passé
N’anticipe pas trop sur ton avenir
Vis dans l’instant présent, c’est la seule vérité
Tu verras, tu arrêteras de gémir
Regarde droit devant toi
Marche toujours tout droit
Ne t’arrête pas et tu verras
Le succès un jour tu l’auras
Elle me répétait cela sans arrêt
Et moi, je ne savais plus quoi faire
Pour qu’elle arrête, pour la faire taire
Pour lui dire que j’en avais assez
De cette petite voix dans ma tête
Qui criait à tue-tête
Jusqu’au jour où j’ai compris
Que cette petite voix
Qui m’a tout appris
En fait, c’était Moi.
Même si tu ne m’aimais plus
Même si je ne te plaisais plus
Garde-moi une place dans ton cœur
Laisse-moi rester comme ta petite sœur
Je me ferai si petite que même
Le ciel ne me verra pas
Je me ferai si discrète que même
L’univers ne m’entendra pas
Même si tu voulais lutter
Ne pas tomber, ne pas t’égarer
Même si tu décidais de tout oublier
Laisse-toi au moins le choix d’aimer
Mais surtout, ne te mens pas, ça n’sert à rien
Regarde en toi et sois sincère
Car avec un cœur aussi grand que le tien
Il y aurait tant de bonheur à faire
Et surtout, écoute en toi cette petite voix
Qui te guide, t’aime et te conseille
Qui t’aide toujours à faire le bon choix
Car elle est là, te connaît et veille
Même si tu ne sais plus où tu en es
Que tu t’es égaré, que tu t’es perdu
Même si tu veux tout laisser tomber
Tout abandonner, t’avouer vaincu
Laisse-moi rester tout près de toi
Te rassurer, te consoler
Te cajoler, veiller sur toi
Garde-moi au moins ton amitié
Même si tu ne voulais plus de moi
Laisse-moi au moins croire
Que tu m’as aimée, que j’ai compté
Au moins quelques minutes d’éternité
Mais surtout, ne te mens pas, ça n’sert à rien
Regarde en toi et sois sincère
Car avec un cœur aussi grand que le tien
Il y aurait tant de bonheur à faire
Et surtout, écoute en toi cette petite voix
Qui te guide, t’aime et te conseille
Qui t’aide toujours à faire le bon choix
Car elle est là, te connaît et veille.
On dit qu’c’est le hasard qui m’a amenée
Un soir d’été jusque vers toi
Où j’ai pu te voir, te rencontrer
Moi je sais que le hasard n’existe pas
On raconte qu’c’est le hasard si mon regard
Pour la première fois s’est posé sur toi
Si tu m’as plu dès ce soir-là
Moi je sais que le hasard n’existe pas
Alors s’il n’y a pas de hasard
Il ne faut jamais cesser de croire
Et si tu regardes bien sur ton chemin
Tu trouveras partout les signes du destin
On dit qu’on s’est parlé par hasard
Que normalement on n’aurait pas dû s’voir
Que tu n’aurais pas dû être là
Le soir où je suis allée là-bas
On raconte que j’n’aurais jamais dû
Qu’t’étais pas libre, que t’étais pris
Que normalement tu n’aurais jamais pu
Mais ce n’était pas prévu, pas permis
Alors je vous le dis, il n’y en a pas
Des hasards, des t’es sûr ? Des tu crois ?
Et que si tu regardes bien
Il y a plein de signes sur ton chemin
Moi, je te dis qu’il faut y croire
À ton chemin, à ton destin
Quoi que tu fasses, tu y reviens
Alors elle est où cette part
De hasard, de tu crois ?
De regards, de tu vois ?
Ta vie c’est toi qui te la crées
Au gré de tous tes bons vouloirs
Avec l’aide de ces synchronicités
Qu’on peut aussi appeler hasard.
Ils l’ont fait, ils ont tiré
Sur l’ordre d’un homme, un seul
Ils ont envoyé un linceul
Sur un pays tout entier
Ils n’ont même pas hésité
N’ont même pas eu de regret
Envers et contre tous, ils l’ont fait
Leur bombe ils l’ont larguée
De quel droit engagent-ils un pays
Pour le monde en font un ennemi
Mais enfin de quel droit
Tirent-ils sur Mururoa ?
Ont-ils seulement conscience
Des multitudes de conséquences
Que leur geste irréfléchi
Va avoir là-bas et ici ?
Comment un homme peut-il
Comment un homme fait-il
Au nom de quelles valeurs
Agit-il ainsi sans cœur ?
C’est la mort qui est partie là-bas
Depuis qu’ils ont tiré sur Mururoa
Qui sont-ils pour décider ainsi
Du droit de mort, du droit de vie ?
De quel droit engagent-ils la France
À engendrer ainsi la souffrance
Mais enfin de quel droit
Tirent-ils sur Mururoa ?
Certains ont subi Hiroshima
D’autres ont enduré Mururoa
Et s’ils viennent chez toi
Est-ce que tu auras le choix ?
Si tu regardais quelqu’un dans les yeux
Et que tu y voyais le reflet de ton âme
N’en serais-tu pas merveilleusement heureux
Crois-tu que tu pourrais garder ton calme ?