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Exploration d’une intersubjectivité poétique, ce recueil stimule une pensée et une créativité novatrice. Il imagine une communauté orphique futuriste où les consciences individuelles se connectent par des interactions avant-gardistes. Les rencontres, régulées par un concept de proversion aléatoire, lient la palingénésie anthropologique à l’atemporalité. Civis 4372 devient ainsi une planète où artistes, divinités gréco-romaines et muses se réunissent après la mort biologique.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jo Aitnanu est poète, licencié en ethnologie et docteur en philosophie esthétique. Il se considère comme un poète futurologique atemporel sensualiste mettant en avant le sensitif ainsi que la sensorialité du mouvement fluxus et happening en art, l’art de vivre en artiste.
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Jo Aitnanu
Les poétiques futurologiques eudémonistes
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Jo Aitnanu
ISBN : 979-10-422-4319-7
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
À ma t’ite mère
et à tous ceux qui prônent
le « Métissage anthropologique Futur »…
Et une pensée profonde pour Jean-Luc, mon oncle…
IN ÆTERNUM FUTURUM
« AD REI PERPETUAM REI MEMORIAM – IN NATURALIBUS1… »
Chacun d’entre nous a son Idée de la Mort et chacun d’entre nous a son Idée de la Vie dans le Futur après la Mort.
Jo Aitnanu
Le 2/IV/2018 à 3 h 2, La Maladrerie.
Et puis, le 01/X/22 à 2 h 37, à Châteaudun.
Transe de « Ratio 4372 »
Ici même, cela concerne l’anthropologie futuriste des sens et de la philosophie poétique2…
Il s’agit – ici même, – de la « transmigration des âmes… » à travers un Futur simple, alors même que nous vivons au présent, le présent est déjà le futur : cela indique avec évidence une manifestation vitaliste à ⌠onction futurologique (⌠f). C’est-à-dire que nous sommes déjà – à présent – dans le présent du Futur et ce Futur c’est la présence même de notre Carpe diem du présent de l’instant qui s’écoule comme une longue rivière à la couleur diaphane… Ainsi, il s’agit de Civis et nous sommes en l’an 4372… Les Communautés dans cette nouvelle Contrée futuriste sont pour beaucoup d’entre elles métissées de toutes les souches anthropologiques génétiques, biologiques et physiques (la cognation), sociales et culturelles, symboliques, cognitives surtout. De fait, nous sommes encore sur Terre… mais c’est une Terre qui est parallèle et qui se situe axialement dans un autre territoire galactique : il en est d’un Limbe inconnu relatif à la position d’une nouvelle Planète… Il s’agit de Celled’Après-La-Mort… C’est la Volition de l’âme narkê… éthérée, mais aussi atomiste comme l’enseigna l’intemporel poète-philosophe Lucrèce… Ce Nouveau Pays aux multiples Océans et géographies physiques différentes, mélange aussi bien le métal blanc, doré, qu’argenté… mais aussi gris métallisé et solarisé… d’avec les natures écologiques (nativismus)… Tout se passe au sein d’un cursus spatio-temporel – atemporel… – palingénésique3 : redonnant vie aux anciennes mythologies comparées et ethnologiques… Donnant « Vie » aussi à la « sémantique quantique » du vitalisme (Niezsche, Bergson…), et – donnant vie – encore et à jamais aux cultes des ancêtres animistes… et surtout au langage du Grec et du latin… Nous sommes en quelque sorte plongés dans l’actualité du futur formel et quelquefois informel tellement qu’il existe sur Civis « 4372 » de l’Hermétisme, de l’ésotérisme antique et futuriste… du Constructivisme architectural, et de l’éclectisme philosophique et anthropologique… Ainsi, plongeons-nous avec stupeur dans cette Nouvelle Civilisation éthique de la « Paix et de l’Amour » où ne règnent plus les guerres diverses… et les pollutions… : – nous sommes lavés de tous ces ravages écologiques actuellement en Notre Futur Présent! Car ce qui faisait défaut dans notre vie antérieure fut la bêtise humaine et son nihilisme mettant de côté l’âme de la sensualité (anima sensualis) qui est futuriste et libre de tout sens… quant à elle, l’anima sensualis est grandement Libertaire et Libertine…
Titre élaboré le 23/II/2010… entre 00 h 59… et… vers les environs de… 02 h 00… à La Maladrerie…
Cœurs nouveaux ! Qui se rassemblent en longue durée
Des temps immémoriaux, et de l’atemporel
Mouvement constructiviste4 en la délimitéeFusion de l’âme et du corps de l’intemporel…
De l’intemporel Univers où l’on naquit,
En interaction avec le sensible sens ;
Car, ce qui importe sur Civis… est la vie
Toute particulière de l’ultime essence,
De la nature et de l’Être avec une seule Union,
Holiste5 qu’est l’ontologique Assemblée unique6 !
C’est pour Nous ! Enfants de la Contrée7, la réunion
Systématique et donc, anthropologique,
De la beauté intime et sensitivement8
Approchée, louée, par nos sens, empiriquement…
Alors, Eudénis et Ionis font une danse…
Se mêleront par-delà la spatialité
D’Anarkhia9les regards tendres, doux silence…
Au sommet bleu10 éthéré de l’éternité.
Qui prend comme visage aimé, la substance
Première en tout élément11 de cette Contrée
Nouvellement accueillante en votre Transe
Ethnologique et vitaliste en la durée,
D’un instant précis, doré, et éblouissant,
De la lumière en solaris si précieuse,
Pour vos regards unis maquillés simplement,
Dans la natura évidemment heureuse,
Et surtout là, où règne la sensualité
D’un geste hiératique en votre légèreté…
Se justifie l’âme en interaction belle
Avec le métal blanc et aussi argenté,
Pour s’être aérée en une mirifique aile
Du désir amoureux et tellement avoué…
Car, l’ancien dieu Éros est là, manifestant
Encor’ ses incroyables passions animées,
De l’Anima et l’Animus nés12, se livrant
Ainsi, à ce Culte des amours passionnées…
Culte de l’amour de l’ancienne Aphrodite,
Qu’elle soit en personne Uranie… – Vulgaris,
Mais l’ensemble crée avec Éros l’Élite :
— Ce qui permet la stimulation des iris,
Qui d’emblée forme l’animula vagula,
Blandula13 de l’existence de l’anima
L’âme féminine sensuellement Dorique,
Que fait naître cette naissance ethnologique,
Dans un mouvement éthique qui se perpétue
Inlassablement ad patres14 en vie continue…
Sous la voûte céleste d’Anarkhia, ventent
Des diamants multicolores multiethniques ;
Et certains d’entre eux sont des saphirs qui sentent
Étrangement les sangs versés des techniques
Sacrificielles exercées sur les « … Terriens… »
Qu’ils exécutèrent pour la Déesse Astarté !
En fonction des choix de vie, chacun, aériens…
Toi, Humanité ! que de sang ancien versé !
La déesse Astarté et l’entité Teknè
Ne tourmentent guère davantage les « … Futurs… »
Que nous sommes… car, « ici », ne règnent que paix
Et amour ; malgré les animismes tant purs
Que possible aussi ; Astarté, – la Gouvernante,
Et Teknè l’artiste sont : – sagesse immanente !
Ô Toi ! que d’indolence tu me procures
Dans tes bras fins où je m’absente doucement ;
Et où, Toi ! la déesse Nuit des Aventures
Qui câline nos cœurs embrasés chaudement,
Nous souffle à Nous l’Union qui ne fait qu’un seul Don !
Qu’Aphrodite peut bien à son tour nous donner
Raison d’exister en l’amour de notre union,
Et remplir nos sens à la vie en oublier…
Tout en parcourant de mes doigts fins ces beaux seins…
Alors… succombons aux Charmes que déesse Nuit
Nous lègue à jamais puisés aux creux de tes reins…
La magique faculté qui est un bon fruit,
Et d’où sortirent les germes de la tendresse :
— Par le fils d’Hypnos, ô songeons à l’allégresse !
Sur du Mozart ! Concerto pour piano No 23 – Adagio…
Autant que possible… le temps s’écoule en année,
Et surtout, n’oublions jamais notre Futur…
Qui est, tant, la transmigration de l’âme… née…
Dans un cycle de vie ethnique autrement pur19.
Aussi, dansant – effarouchée, – dans la fontaine
Qui est en marbre où la merveilleuse Naïade
S’esclaffe de jouvence en un bain, par centaine
Millilitres usités col canto20, Haïade,
Profite quant à elle… Carpe Diem21… du présent
Qui devient un véritable libertinage :
— Dans la fontaine, il y a des couples copulant !
« Ad usum22 ! » c’est ainsi la nouveauté d’un âge
De cristal qui emmène Haïade dans l’astrale
Faculté de percevoir l’Ãlias23ancestral…
Et Horace a dit : Exegi Monumentum25…
Mais n’oublions pas que le poète Horace
dit aussi : Epicuri de grege porcum…
Le voluptueux Horace n’eut de menace,
Lorsqu’il se fit appeler ainsi sans crainte
Dans une Épître à Tibulle afin d’enchérir
Ironiquement sur le langage enceinte
De son Éthique, des « sévères », d’accomplir,
Des stoïciens, son affirmation légale !
Que pour se soulever au-dessus des brutes !
« Bénévolement » – en toute vie égale
À soi-même et devant les désinvoltures,
Qui furent polémiquement éclatantes ! –
Et si terriblement, « éloquentes », – brillantes !
Que la grâce soit avec Toi ! Ô Thésée !
Ô vainqueur du Minotaure anthropophage :
Les travaux seront tels qu’Hercule, fils d’Égée…
Ariane – fille de Minos – se fera sage…
Lorsqu’Ariane a fait guider ses pas… par le fil
Dans ce labyrinthe de Crète si sinueux…
Enfin… de tuer ce Minotaure tant viril !
Après un combat acharné, vil ! et vicieux !
Mais à présent sur Civis… tu te relèves !
En raison verticale tu n’as plus à souffrir !
Condamner à rester assis27et à périr
Aux enfers de Pluton, de revivre tu rêves !
Ici-même, mais… – pitié ! n’oublie ta princesse28 !
Car elle est présente ici !douée de tendresse…
Au sein de couloirs labyrinthiques,
Ariane et Thésée se cherchent mutuellement…
Soudain, au beau milieu d’un Forum antique,
Ils crurent s’entr’apercevoir heureusement…
Effectivement, dans la foule ils se revoient !
Et d’amour l’un pour l’autre ancré… se retrouvent…
sur Civis… Puis, s’embrassent en toute hâte et joie,
Car, tel un papyrus l’amour-passion s’ouvre,
Comme des pages perdues – déchirées ! – au vent fin,
Qui réunit désormais les deux amoureux,
Avec l’unique alliance osmotique enfin… !
Ces rites mythologiques sont savoureux !
À voir tendrement, sensuellement, leur Amour
Se réembarquant à Vie ! – … pour ce Nouveau Jour…
Sur du Mozart ! Concerto pour piano No 23 – Adagio…
À la vue métissée29, ô la voix céleste30 !
Qui nous enivre vers un autre rivage,
Vers lequel la façade dorée31, rivée à l’Est32,
En suspension spatiale qu’est ce paysage !
Nous emmène à pressentir une aération
Qui nous procure à jamais la protectrice
Ailée musique et « solaris », la volition !
Qui prédomine en notre âme créatrice
Le désir esthétique et sensuel, cet espoir
du « vouloir-vivre33 » en harmonie notre santé,
De la jeunesse et libre en tout unique « devoir » ;
Car le « devoir éthique » – l’amabilité… –
Régit notre métissage ethnologique,
Dans ce système de croyance KФsmique34…
… Sur un chant céleste et éternel … du compositeur Fauré – Pavane op. 50 – Andante Molto Moderato…
Ainsi donc, en notre Futur Temps du Présent,
Croît la singularité des – sens – vitales ;
En toute circonstance à la vie autrement
Tant dans l’écologique que dans le métal…
Le Futur Temps du Présent c’est notre Avenir !
Nous ! Hommes de la transmigration des âmes
Et des échanges de dons, créons un devenir
Orgasmique… ! Et dont, un devenir-femme ;
Car, Nous, concitoyons des vies organiques35
Libertaires, libertines orgasmiques
Et ethnologiques, nous créons un des dons
Les plus « solaris » : – la Joie par la Liberté
D’aimer autrui dans les mouvements l’or des Ions…
– Olivia et Adïaïs croient en Astarté36…
Vénus ! Qui naquit de l’écume de la mer…
Et de l’onde bleue ton Ḝntité sorttoujours,
Et tu rinces encor’ ta chevelure, mère
De la Beauté étrange et… tu parcours
Nue parmi les vaguelettes : – Vesper37 ! Nova38…
Tu fus et tu fis, toi ! l’étoile du berger
Dans une lointaine époque archivée au-delà
De l’atmosphère dont la terre fut bercée…
Tu fus la seconde des planètes rouges
Et orangées qui gravitèrent – là… – si loin
Autour de l’Ãstre héliocentrique,39tu bouges…
Tu vins après Mercure40 et avec un grand soin,
Avant la Terre41… mais ce Temps est révolu…
À jamais… Vénus callipyge42 réapparue…
Ô Toi ! Tanaïs, ton nom « renouveau du “Don” »,
Est à présent parmi nous, et tu délaissas
L’ancienne sémantique pour qui se répond
De l’Ḝntité qui vit dans le futur déjà…
Et Toi ! Polymnie, muse de la poésie
lyrique, tu te représentes ainsi souvent
Dans une attitude de méditation de la vie
Existante avec l’astral ce vent chaud doucement…
À Vous deux, l’on voue un culte bien métissé
Tellement que vous vous ressemblez d’alliance
En une anthropologie de la parenté,
Et, que, vous semblez pareille à la faïence
Précieuse et si tellement si délicate,
Que vous formez à toutes deux ce silicate…
Reviens parmi nous le dieu égyptien Horus,
En représentant un épervier vorace ;
Un Homme à tête d’épervier selon les us
Et coutumes, mais sans apparente menace…
Car, il est temps pour lui de devenir doux, bon,
Et ne plus faire peur comme auparavant Ancien ;
Dieu anthropomorphe où se mêlent avec le son
Électroacoustique et acousmaticien44,
Sa chair, ses muscles, et sa force vitale
Dans cet environnement écologique,
Qui statufie le marbre et le chromé métal
Avec une somptueuse élégance ethnique :
— Faculté solaire et solaris qui construit
Un nouveau Constructivisme45 qui se bâtit !
Quand viendront les jours prochains de notre Présent
La sensualité aiguisera-ci ces sens,
En pleines volutes enflammées aux saisissants
Royaumes volumineux sentant bon l’encens
À travers les corridors de la volupté…
Où règne encoreet pour toujours la tendresse
Des mœurs libérales en grande volonté
Subitement acquise et remplie de liesse,
Au sein même de la nature anciennement
Humaine et de vins s’abreuver en quantité !
Qu’encore qu’il nous faille introduire posément
Le luxe à la luxure si bien ô épanchés ! …
Vers une actualité des philosophies de vie :
— Atemporelle est ta manière’ de voir… inouïe !!
… Ad vitam aeternam… ô savant poète48 !
Car, tu crées la magnificence aiguë, verte,
Et puis en ta forme écrite tu souhaites
Donc parvenir au besoin créatif, certes !
De fait, la création t’appartient humblement,
Et tu ne cherches point la vertu, mais l’honneur
De faire durer tes pensées éminemment
Mouvementées, et tant clairsemées de ferveur !
Donc, adonne-toi mon Frère ! À désirer
Sans cesse ces odes-ci tellement parfaites
Au sommet de la gloire49 ainsi rédigée !
Et surtout prends garde aux paroles défaites
Par le temps qui les font s’envoler à jamais !
Garde en toi tes écrits immémoriaux parfaits !
Ô Vénus Callipyge… tes belles formes
Inspirent le poète en d’Inquisitrices
Rhétoriques : – parodies auprès d’un orme
De cristallines brillantes, tant créatrices,
Si et tellement si très éblouissantes,
Que le poète est en perpétuel mouvement
De transhumance en situations désirantes,
Et en contexte animé si bel lentement
Si belle ô Vénus ! Aux magnifiques fesses,
Si et tellement tant adorées par l’Amour
Sensualiste que tu génères aux liesses
Haletantes de tes tresses croulantes, pour,
En descendant jusqu’aux creux de tes reins… tes seins,
Agrémenter ta beauté « solaris »aux soins51…
Ce que nous comprenons par morphogenèse
Sur Civis… est l’Ontologique de la Vie
Futuriste et Présente de la Genèse ;
Dans l’Ensemble des processus de la chimie
Et des facteurs physiques… ethnologiques…
De sorte que, les interactions vitales
Selon les analogies morphologiques
Construisent les formes nouvelles natales
Sur Civis en une métempsycose transmuée – ;
Un corps entièrement différent par nature,
Rentre en un autrecorps où l’âme s’est transmutée ;
Mais aussi, transmuable et formant la structure
De tous tissus ! Puis, des organes cellulaires
Avec l’Ensemble spatial noir et séculaire…
… Sur du Beethoven, Sonate, Clair de lune, No 14 – … Adagio Sostenuto…
Ô t’en souviens-tu de ces souvenirs futurs ?
Comme si ce fut hier à présent dans le temps,
Comme si les sens furent qu’une brûlure
Sur ton sein qui parachève l’auparavant
Présence simple et là… d’une nostalgie inconnue…
En tant que cause et circonstance allégées… là…
Ensemble nous passâmes un moment connu
Et ensemble à l’unisson criâmes– Ah !
Et telles… ! nos promenades idylliques…
À travers ces ondes callirrhoés si douces
Et tellement silencieuses… symboliques…
Et aussi, au travers des sylves de mousses
Vertes, solaris, ultra-violettes, roses… –
Nue, d’un portrait sépia ses sensibles poses ?
Sur du Beethoven, Sonate, Clair de lune No 14 – … Adagio Sostenuto…
Tes traits visagés si signés par l’opale
L’opaline ovoïde pierre en l’espace
Qui te donne la vue d’un visage ovale
En l’espace si blanc de métal et de glace…
D’un aspect figurant sa jeunesse aimée
Par tant et tant d’amants qu’un seul tu choisiras,
Et l’Amour au Futur te rendra éthérée
Tellement éternellement tu l’aimeras…
Et ainsi de suite… l’année s’écoulerait
Comme un fleuve longuement bleu ciel, – …
Vos deux corps en l’Espace s’uniront à jamais… – …
En l’Espace blanc métal vos baisers de miel
Chromés par vos flegmes fiévreux et vos ébats :
L’Amour au Futur de glace vous enlacera…
La Grande Aînée de la grâce voluptueuse56
Sur Civis « 4372 »…
Articule son épaule doucereuse
Au sein du Forum doré au niveau 12…
Son épaule doucereuse est celle de gauche
Et articule à la fois celle de droite,
Et dans ses gestes et mouvements n’est gauche
Car son corps est musclé et tatoué et moite…
Et successivement déambule légère