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Poussé par une séparation inattendue, un homme commence à écrire sur ses futures rencontres tout en conservant sa passion pour son ex-femme. Malgré son désir de vivre pleinement et d’aimer sans condition, il ressent une amertume persistante. Son parcours explore le dilemme entre l'affection et la tentation de vendre son âme au diable pour des gains matériels. Pourra-t-il privilégier l’amour véritable ?
À PROPOS DE L'AUTEUR
Fervent passionné de poésie, le parcours de
Chris Ward reflète une quête inlassable aussi bien de vérité que d’inspiration. Son engagement pour la tolérance, l’amour universel et les valeurs de liberté et d’indépendance transparaît dans ses écrits, constituant un vibrant appel à l’authenticité et à la compréhension mutuelle.
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Seitenzahl: 158
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Chris Ward
Il est dévastateur pour moi
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Chris Ward
ISBN : 979-10-422-2444-8
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Préface
C’est en 2005 que l’histoire a commencé
Le départ imprévu, d’un homme amoureux
Du domicile, poussé par sa femme désolée
De ne pas régulariser le couple a priori heureux
Par lassitude de la vie, il se met à écrire
Sur ses futures conquêtes et imaginables
Mais son cœur rempli d’amour ne peut vivre
Avec la possibilité de vendre son âme au diable
Mais avant il va essayer de la vivre pleinement
Tout en gardant au fond de lui une amertume
Et en ne privilégiant que l’amour au présent
Il pourra conjuguer « je t’aime » sans une tune
Il a suffi d’une première édition d’un livre
Le deuxième tome était déjà bien terminé
Dans la continuité du premier, pour bien le lire
Il faut prendre en compte l’inspiration de la vérité
Qui se dévoile au grand jour d’où la conspiration
Du mauvais sort qui poursuit notre auteur
Pour le conjurer, il fait face à toutes situations
Il rassemble ses forces pour trouver le bonheur
Dans la joie, dans l’amour et dans la tolérance
De toutes les races humaines, toutes les religions
Ce qui est compatible avec liberté et indépendance
Et que vivent l’amitié et l’amour sans révolution
C’est ma dernière chanson
Que je chante pour toi
Je n’ai que cette raison
Pour que tu partes sans moi
Ne m’attends pas ce soir
Je vais rentrer seul chez moi
Je t’aime et je te dis bonsoir
Car je me coucherai sans toi
Tu ne m’apprends rien sur ma vie
Que je laisse au passé et je garde
Le présent, je sais que tu es ravie
Je sombre dans l’ennui et tu me regardes
Brûler dans l’ardeur des flammes
Qu’une vierge ne peut assouvir
Dans le corps d’une femme
Qui s’emploie dans l’avenir
À rassembler ses forces
Pour ne pas succomber à mes avances
Elle sort de ses gonds et ça se corse
Mais elle se retient avec prudence
Tu as la soixantaine, les yeux marron
Agent d’entretien de profession
Tu voudrais trouver un compagnon
Qui aime les voyages à l’occasion
Je ne te connais pas encore
Tu as trois grands enfants
Et des petits enfants qui t’adorent
Et tu veux profiter maintenant
De la vie et rompre la solitude
Je suis le complice de ta route
Qui nous mènera comme d’habitude
Sur le chemin qui nous déroute
Dans la marche et la promenade
Que nous puissions aller au restaurant
Non ! ce n’est pas une façade
De moi, car je serai très conciliant
J’aime aussi, comme toi, jardinier
Nous verrons où cela nous mènera
Sans la solitude que l’on aura piétinée
À deux, l’avenir nous réconfortera
Tes cheveux acajou font
Ressortir tes yeux marron
Avec ton regard, je fonds
Comme des petits macarons
Tu sais que je suis très gourmand
C’est pour ça que j’aime bien cuisiner
J’aimerais bien ouvrir un restaurant
Car je sais faire aussi le pâtissier
Tu as comme moi des goûts simplistes
Qui parviendrons à nous unir
Dans l’amour !... Ne sois pas triste
Je serai cette épaule pour te soutenir
Pour les voyages, il n’y a pas de problème
En juillet 2003, j’ai acheté une caravane
Je l’ai repeinte en blanc et jaune crème
On ne pourra pas aller dans la savane
Avant, il faut la passer aux mines
Pour pouvoir circuler librement
En voyageant, on s’achemine
Dans une vie sentimentalement
Quand je prends ma douche
Je ne fais que penser à toi
Je sens ta main qui me touche
Et mon corps devient ta proie
Je me laisse aller dans cet étrange
Subconscient, qui libère ma joie
Derrière ce grand rideau à franges
À carreaux imprimés et tissés de soie
De ma bouche sort un grognement
Obscène, pendant que le vapeur sortait
J’entendis un grand gémissement
Dans l’âme des pensées que je recevais
Les ténèbres de l’ennui me parlaient
De ma grande et impassible solitude
Dans la tanière qui obscurcissait
La lumière de mon inconsciente habitude
Le loup solitaire que je suis devenu
Attends la pleine lune pour sortir
Et dans la nuit sombre, jette son dévolu
Sur une future victime qui va l’assouvir
Quand je te vois dans mes rêves
Je sais que tu n’es que virtuelle
Mais tes apparitions brèves
Me rendent la vie plus belle
Dans la virtualité de tes gestes
Tout mon corps et mes sens frissonnent
Non ! Ne t’en va pas, reste !...
Je n’entends pas les voix qui résonnent
Ne laisse pas ma virilité inféconde
Et ma tristesse se dévoiler
Elle perd d’intensité à chaque seconde
Viens près de moi l’apaiser
Ce que je recherche, tu peux me l’apporter
Rejoins-moi dans la réalité
Nous passerons la nuit sans nous égarer
Tout en chantant ton thème préféré
Regarde-moi, sombre reflet de mes rêves
Je ne supporte plus la solitude
Laisse-moi un court moment de trêve
Et me réveiller comme d’habitude
De mes nuits, tu es le soleil
Ta chevelure longue et brune
Ton grand sourire vermeil
Et tes yeux couleur de prune
Me rappelle que c’est encore
Un rêve qui n’aboutit pas
Et apparaissant, que j’ignore
En venant se jeter dans mes bras
Je ne cherche pas à m’évader
Je suis bien endormi dans mon lit
Je fais une moisson de baisers
Que la nuit et ta grâce ont fleuri
Je ne veux plus me réveiller
Car tes jolies jambes élancées
Me donnent envie de me surpasser
Avec ta nuisette courte et évasée
Ta poitrine opulente enfouie
Sous cette nuisette transparente
Dans ce rêve où je m’épanouis
Fais ressortir tes rondeurs apparentes
Je ne suis qu’un malheureux poète
Qui ne cherche pas la célébrité
Je ne suis qu’un homme honnête
Qui veux vivre dans la légalité
Cette envie d’écrire, je l’ai reçue en don
Ainsi que la peinture que je pratique
De temps en temps comme la chanson
Que ce doux présage est tragique
Et ce cœur qui sommeille en moi
Se réveille brisé par l’amour
Et sans crainte, il se donne à toi
Comme un esclave pour toujours
Ma mémoire est intacte pour l’avenir
Elle semble se satisfaire de mon âme
Et mon corps se lâche pour s’endormir
Pendant que mon cœur s’enflamme
A ce désir charnel que reflète
Mon esprit, mon cœur amoureux
Ne résiste pas à cet amour qui se répète
Pour me rendre tous les jours heureux
Refrain
Zou ! zou ! zou ! Zoubida
J’ai flashé sur toi
Zou ! zou ! zou ! Zoubida
Quand tu es près de moi
Mon cœur bat pas à pas
Quand tu es là, je n’ai plus de voix
J’espère que tu ne m’en veux pas
Refrain
De te dire ces doux mots-là
Je ne peux pas me retenir
Mon cœur explose de joie
Quand je te vois revenir
Refrain
Tout près de moi, je t’aime !
Mon amour inaccessible
J’ai beaucoup de peine
Quand tu souris, c’est impossible
Refrain
Je ne peux plus supporter
Cet enchaînement de fausses joies
Qui peut me ramener
À la réalité quelquefois
Refrain
Il est dix-neuf heures trente
Je t’attends depuis un moment
Je suis garé en descente
J’espère que tu seras là dans un instant
J’avais oublié que les femmes
Se faisaient attendre, pour être désirées
Et mettre le feu à la flamme
Qui dort dans un corps épuisé
Je ne savais pas que c’était dur
D’attendre à un rendez-vous d’amitié
Que la patience est un cœur pur
Plein d’amour et plus, si affinité
Tu es arrivée avec 25 min de retard
Au bar-restaurant de la place
Tu n’as pas faim et tu fumes un pétard
Je bois un café et tu manges une glace
Pourquoi ? Tu es bien curieux !
On se connaît pas encore
Et déjà, tu parais furieux
Quand tu me ramènes aux aurores
Tailleur élégant, chaussures à talon haut
J’imaginais bien ainsi la propriétaire de l’hôtel
Son visage maquillé n’avait pas de défauts
Ses yeux verts ont une couleur pastel
J’étais assis dans le hall sur un fauteuil
Elle s’est dirigée vers moi en me souriant
De son air supérieur, elle me fit un clin d’œil
Viennent de rentrer des étrangers bruyants
Excuse-moi ! me dit-elle, le travail m’appelle
Attends-moi ! je reviens dans un instant
Une musique d’ambiance arrive de la tonnelle
Un brouhaha monte du bar maintenant
Du dancing s’élève une voix qui hausse le ton
Un énergumène sort, bousculé par les videurs
Elle revient me voir, Angéla, c’est son prénom
Elle me suggère, « nous rentrons mon cœur »
Dans un élan de bonheur, elle me prit le bras
Et nous partons en voiture avec chauffeur
Nous arrivons enfin à l’appartement du bas
Elle se déshabilla, oh ! oh ! oh ! mon cœur
Tu as relevé toutes mes coordonnées
Et tu as pris tous les renseignements
J’ai cinquante-huit ans et toutes mes idées
Dans ma tête, fusionnent à l’instant
Mais, c’est en pleine campagne
Au bout de l’allée, que s’arrête ma pensée
C’est chez toi, ma belle compagne
À la fois, douce, jolie et écervelée
Que je reprends mes esprits et mon souffle
Mais c’est autour de la table
Qu’elle va me faire une grande bouffe
Et me raconter une belle fable
Il était une fois dans une grande ferme
Où vivait une dame d’un certain âge
Au teint du visage mat et terne
Qu’on aime toujours et davantage
Mais sa réaction ne se fait pas attendre
Rouge de colère, sa main me montrant
La direction de la porte et sans prendre
De précaution me dit : Fous le camp !
Je sonne chez la voisine d’en face
Elle me reçoit avec gentillesse et humilité
Je ne laisserais pas ma place
À personne, car elle se sent en sécurité
J’ai le privilège de rentrer chez elle
Pendant que ses parents ne sont pas là
Elle s’assoit près de moi, la pucelle !
Et se jette sur moi et me dit tout bas
Il y a longtemps que j’ai envie de toi
Je n’ai jamais eu le temps et l’occasion
D’être seule avec toi, pardonne-moi !
Cet instant d’insouciance et d’évasion
Tu sais, tu n’as que seize ans
Tu es très belle et très jolie
Je te pardonne cet instant d’égarement
Reste loin de moi, et je resterai poli
Je pourrais être ton père
Je suis fou d’amour pour toi
Ils sont bientôt là, ton père et ta mère
Je t’aime, et à ce soir chez toi
De loin, elle m’envoie un baiser
En soufflant dans sa main
Elle est folle, je n’ose pas la regarder
Laisse-toi aller, c’est le destin
Me dit-elle sur le parchemin
Que le facteur vient de me livrer
En lisant ce petit mot en vain
Devant sa fenêtre, je ne fais que passer
Je ne dois pas me laisser attendrir
Par l’indécence de sa jeunesse
Qui m’oblige à me retenir et m’abstenir
Dans le parc où elle promène sa tristesse
Quand je la vois, je change de trottoir
Pour ne pas subir son sarcasme
Et la haine qu’elle éprouve ce soir
Parce qu’elle n’a pas assouvi son fantasme
Je préfère rester seul chez moi, sans la voir
Pour ne pas lui laisser le soin de m’humilier
Elle m’en veut, mais dans son désespoir
Je pense qu’elle peut prier et me remercier
Son appartement sentait le café noir
Et la cigarette, je n’ai pas osé lui dire
Que j’avais pour nous deux un espoir
Que je ne pouvais pas prédire
Tant elle était si belle à mes yeux
Rien auparavant ne me laissait entrevoir
Que j’étais, en sa présence, si heureux
D’être auprès d’elle, chez elle ce soir
Inconsciemment, j’appréciais ce moment
Qui me procure beaucoup de joie
Et son infatigable manège indécent
De ses mains, sa poitrine et ses doigts
Me rassure sur la possible soirée
Que nous allons passer ensemble
Mon amour s’envolera dans la fumée
Qui m’envahit et tout mon être en tremble
Ses massages répétés et soigneux
De ses doigts souples, à ma surprise
Ont dévoilé ses seins somptueux
Et ont jeté à terre sa nuisette grise
Me voilà prisonnier dans l’engrenage
De ses longues jambes accroupies sur moi
Et s’empale d’un geste furtif et sauvage
Sur ma virilité me laissant sans voix
C’était un instant trop court et magique
Elle m’a suppliée avec son air triomphant
De recommencer cette scène tragique
Qui m’a rendu plus riche et plus puissant
Ce n’était plus de l’amour, mais de la rage
Qu’elle laisse sortir de son corps crapuleux
Il faut donc que tourne une grande page
De ce roman et de ce film peu scrupuleux
J’avais oublié les principaux acteurs
Qui n’étaient autre que moi et ma future
Dans l’action, j’ai perdu mon honneur
Qui m’a été enlevé dans la luxure
La prochaine fois, je me rappellerai
Quand je serai invité par une femme
Dans son appartement, je repenserai
À tout ce qu’elle a fait subir à mon âme
Qu’elle est belle ma voisine
Elle porte un pantalon de flanelle
Un pull vert et travaille à l’usine
À l’usine on ne voyait qu’elle
Aujourd’hui, elle a mis un pull-over
Parce qu’il fait très froid cette nuit
On entend plus cancaner les colverts
Le lever du jour apparaît sans bruit
Le soleil est rouge à l’horizon
Il commence à chauffer mon nez
Un homme urine sur le gazon
Et je mets du citron dans mon thé
De ma fenêtre je vois le marché
Où tous les gens s’affairent pour s’installer
Ma voisine sort, je me suis dépêché
D’aller à sa rencontre pour discuter
Elle doit se douter combien je l’aime
Certainement elle attend que j’ose
Pour ma déclaration, je m’entraîne
Devant ma glace avec une rose
C’est dans cette journée froide et glacée
Que je dois faire ma déclaration
Aujourd’hui, je me suis déplacé
En ville pour faire mes commissions
Je vais lui acheter un bouquet de roses
Pour lui offrir avec un poème
Cela lui plaira malgré son air morose
Et mon envie de vivre en bohème
Ce soir, je lui prouverai tout mon amour
Quand j’irai la voir dans son appartement
Mais son indifférence de tous les jours
Me pousse à changer mon comportement
Je dilapiderai toute mon espérance
Pour lui dévoiler tout mon amour
Je n’espère pas toute sa reconnaissance
Mais un peu plus d’amour tous les jours
C’est dans mon plus grand désarroi
Que sa réaction a été très vive
Elle m’a laissé complètement froid
À toutes ses attaques sensitives
Oh ! mon Dieu ! Voici ma prière !
C’est la prière de tous les humains
Celle où l’on ne revient pas en arrière
Où l’on va de l’avant, c’est certain
Donne-moi, la force de continuer
De vivre dans un monde incertain
Que tu as oublié et laissé tomber
Je m’agenouille et je tends les mains
Oh ! à toi, mon Dieu, oh ! à toi seigneur
Mes mains implorent ta clémence
Envers ceux qui font mal au cœur
Je bois cet élixir de jouvence
Pour me rendre plus fort aujourd’hui
Un élixir qui a été baptisé à Lourdes
Et atténuera la douleur indéfinie
De ma souffrance corporelle qui sourde
À mes prières et mes méditations
Je t’en prie, oh ! Dieu tout puissant,
donne-moi la force de vaincre l’obsession
Que je ressens, je serai très conciliant
Sans toi, sans ton amour éternel
Je ne pourrai pas apporter ta parole,
A tous les fidèles, un amour fraternel
Malgré tous les millions d’années folles
Que tu vis, tu ne peux arrêter ces tueries
Que dévoile ton peuple archaïque
Qui revient à l’âge de pierre et péri
Entre les mains des bourreaux antiques
Si tu ne fais pas découvrir à ces humains
Qu’ils devraient vivre en paix raciale
Tu ne pourras plus arrêter sur les chemins
La haine, que veulent tes fidèles, radicale
Oh ! mon Dieu, toi qui es aux cieux
Donne-moi le pouvoir d’arrêter
Cette déchéance d’un peuple très pieux
Qui se repentira et viendra demander
Ton pardon, oh ! Dieu, qui est un rêve
Un rêve inaccessible et imaginable
Que tous les peuples fassent une trêve
Pour revenir unis autour de la table
Je fais des recherches généalogiques
Qui me donnent beaucoup de travail
Je n’agis pas toujours dans la logique
C’est très amusant même en éventail
Hier, j’ai rencontré une personne
On a sympathisé, il se trouve qu’elle porte
Mon nom, on s’est échangé le téléphone
C’est comme cela que je me comporte
J’amène avec moi, gentillesse et bonté
Tout le monde s’approche sans hésiter
Les avocats et les huissiers m’ont aimé
Mais je préfère de loin les enterrer
Dans ma solitude, je me surprends à rêver
Qu’un jour, je rencontrerai une âme sœur
Qui me soutiendra et que je vais aimer
Ensemble nous vivrons un grand bonheur
C’est dans cette souffrance que je vis,
Que j’ai beaucoup d’amour à partager
La femme qui restera près de moi à vie
Dans la joie et le bonheur me fera voyager
Il pleut aujourd’hui sur la ville
Le temps est mauvais et nuageux
J’habite dans une grande coquille
La maison des gens heureux
Les gens ont sorti leurs voitures
Le brouillard s’est dissipé
Le soleil brille au-dessus des toitures
Et les gens sont très pressés
Je suis là, sous mon parapluie
Je t’attends au coin de la rue
Viens vite, je t’en supplie
Oh ! ma belle inconnue
Surtout, Virginie ne m’oublie pas
Je pense à toi tous les jours
J’entends déjà fredonner ta voix
Je t’aimerai toujours
Reviens-moi, ma chérie
Je n’ai que toi au monde
Tu es le soleil de mes nuits
Et le centre de la ronde
Vous qui aimez votre femme
Qui ne savez pas comment faire
Pour lui déclarer votre flamme
Venez me voir, il ne faut pas vous taire
Je propose d’écrire à votre place
Un message sous forme de poésie
Vous pourriez l’écrire sur la glace
Du lavabo ou sur un vase fleuri
Vous le présentez à la fin du repas