Il est dévastateur pour moi - Chris Ward - E-Book

Il est dévastateur pour moi E-Book

Chris Ward

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Beschreibung

Poussé par une séparation inattendue, un homme commence à écrire sur ses futures rencontres tout en conservant sa passion pour son ex-femme. Malgré son désir de vivre pleinement et d’aimer sans condition, il ressent une amertume persistante. Son parcours explore le dilemme entre l'affection et la tentation de vendre son âme au diable pour des gains matériels. Pourra-t-il privilégier l’amour véritable ?

À PROPOS DE L'AUTEUR

Fervent passionné de poésie, le parcours de Chris Ward reflète une quête inlassable aussi bien de vérité que d’inspiration. Son engagement pour la tolérance, l’amour universel et les valeurs de liberté et d’indépendance transparaît dans ses écrits, constituant un vibrant appel à l’authenticité et à la compréhension mutuelle.

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Chris Ward

Il est dévastateur pour moi

Recueil

© Lys Bleu Éditions – Chris Ward

ISBN : 979-10-422-2444-8

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Préface

C’est en 2005 que l’histoire a commencé

Le départ imprévu, d’un homme amoureux

Du domicile, poussé par sa femme désolée

De ne pas régulariser le couple a priori heureux

Par lassitude de la vie, il se met à écrire

Sur ses futures conquêtes et imaginables

Mais son cœur rempli d’amour ne peut vivre

Avec la possibilité de vendre son âme au diable

Mais avant il va essayer de la vivre pleinement

Tout en gardant au fond de lui une amertume

Et en ne privilégiant que l’amour au présent

Il pourra conjuguer « je t’aime » sans une tune

Présentation générale

Il a suffi d’une première édition d’un livre

Le deuxième tome était déjà bien terminé

Dans la continuité du premier, pour bien le lire

Il faut prendre en compte l’inspiration de la vérité

Qui se dévoile au grand jour d’où la conspiration

Du mauvais sort qui poursuit notre auteur

Pour le conjurer, il fait face à toutes situations

Il rassemble ses forces pour trouver le bonheur

Dans la joie, dans l’amour et dans la tolérance

De toutes les races humaines, toutes les religions

Ce qui est compatible avec liberté et indépendance

Et que vivent l’amitié et l’amour sans révolution

Ma dernière chanson

C’est ma dernière chanson

Que je chante pour toi

Je n’ai que cette raison

Pour que tu partes sans moi

Ne m’attends pas ce soir

Je vais rentrer seul chez moi

Je t’aime et je te dis bonsoir

Car je me coucherai sans toi

Tu ne m’apprends rien sur ma vie

Que je laisse au passé et je garde

Le présent, je sais que tu es ravie

Je sombre dans l’ennui et tu me regardes

Brûler dans l’ardeur des flammes

Qu’une vierge ne peut assouvir

Dans le corps d’une femme

Qui s’emploie dans l’avenir

À rassembler ses forces

Pour ne pas succomber à mes avances

Elle sort de ses gonds et ça se corse

Mais elle se retient avec prudence

Le réconfort

Tu as la soixantaine, les yeux marron

Agent d’entretien de profession

Tu voudrais trouver un compagnon

Qui aime les voyages à l’occasion

Je ne te connais pas encore

Tu as trois grands enfants

Et des petits enfants qui t’adorent

Et tu veux profiter maintenant

De la vie et rompre la solitude

Je suis le complice de ta route

Qui nous mènera comme d’habitude

Sur le chemin qui nous déroute

Dans la marche et la promenade

Que nous puissions aller au restaurant

Non ! ce n’est pas une façade

De moi, car je serai très conciliant

J’aime aussi, comme toi, jardinier

Nous verrons où cela nous mènera

Sans la solitude que l’on aura piétinée

À deux, l’avenir nous réconfortera

Le réconfort 2

Tes cheveux acajou font

Ressortir tes yeux marron

Avec ton regard, je fonds

Comme des petits macarons

Tu sais que je suis très gourmand

C’est pour ça que j’aime bien cuisiner

J’aimerais bien ouvrir un restaurant

Car je sais faire aussi le pâtissier

Tu as comme moi des goûts simplistes

Qui parviendrons à nous unir

Dans l’amour !... Ne sois pas triste

Je serai cette épaule pour te soutenir

Pour les voyages, il n’y a pas de problème

En juillet 2003, j’ai acheté une caravane

Je l’ai repeinte en blanc et jaune crème

On ne pourra pas aller dans la savane

Avant, il faut la passer aux mines

Pour pouvoir circuler librement

En voyageant, on s’achemine

Dans une vie sentimentalement

Le loup solitaire

Quand je prends ma douche

Je ne fais que penser à toi

Je sens ta main qui me touche

Et mon corps devient ta proie

Je me laisse aller dans cet étrange

Subconscient, qui libère ma joie

Derrière ce grand rideau à franges

À carreaux imprimés et tissés de soie

De ma bouche sort un grognement

Obscène, pendant que le vapeur sortait

J’entendis un grand gémissement

Dans l’âme des pensées que je recevais

Les ténèbres de l’ennui me parlaient

De ma grande et impassible solitude

Dans la tanière qui obscurcissait

La lumière de mon inconsciente habitude

Le loup solitaire que je suis devenu

Attends la pleine lune pour sortir

Et dans la nuit sombre, jette son dévolu

Sur une future victime qui va l’assouvir

Une apparition virtuelle

Quand je te vois dans mes rêves

Je sais que tu n’es que virtuelle

Mais tes apparitions brèves

Me rendent la vie plus belle

Dans la virtualité de tes gestes

Tout mon corps et mes sens frissonnent

Non ! Ne t’en va pas, reste !...

Je n’entends pas les voix qui résonnent

Ne laisse pas ma virilité inféconde

Et ma tristesse se dévoiler

Elle perd d’intensité à chaque seconde

Viens près de moi l’apaiser

Ce que je recherche, tu peux me l’apporter

Rejoins-moi dans la réalité

Nous passerons la nuit sans nous égarer

Tout en chantant ton thème préféré

Regarde-moi, sombre reflet de mes rêves

Je ne supporte plus la solitude

Laisse-moi un court moment de trêve

Et me réveiller comme d’habitude

Mes rêves

De mes nuits, tu es le soleil

Ta chevelure longue et brune

Ton grand sourire vermeil

Et tes yeux couleur de prune

Me rappelle que c’est encore

Un rêve qui n’aboutit pas

Et apparaissant, que j’ignore

En venant se jeter dans mes bras

Je ne cherche pas à m’évader

Je suis bien endormi dans mon lit

Je fais une moisson de baisers

Que la nuit et ta grâce ont fleuri

Je ne veux plus me réveiller

Car tes jolies jambes élancées

Me donnent envie de me surpasser

Avec ta nuisette courte et évasée

Ta poitrine opulente enfouie

Sous cette nuisette transparente

Dans ce rêve où je m’épanouis

Fais ressortir tes rondeurs apparentes

Le poète malheureux

Je ne suis qu’un malheureux poète

Qui ne cherche pas la célébrité

Je ne suis qu’un homme honnête

Qui veux vivre dans la légalité

Cette envie d’écrire, je l’ai reçue en don

Ainsi que la peinture que je pratique

De temps en temps comme la chanson

Que ce doux présage est tragique

Et ce cœur qui sommeille en moi

Se réveille brisé par l’amour

Et sans crainte, il se donne à toi

Comme un esclave pour toujours

Ma mémoire est intacte pour l’avenir

Elle semble se satisfaire de mon âme

Et mon corps se lâche pour s’endormir

Pendant que mon cœur s’enflamme

A ce désir charnel que reflète

Mon esprit, mon cœur amoureux

Ne résiste pas à cet amour qui se répète

Pour me rendre tous les jours heureux

La Zoubida mania

Refrain

Zou ! zou ! zou ! Zoubida

J’ai flashé sur toi

Zou ! zou ! zou ! Zoubida

Quand tu es près de moi

Mon cœur bat pas à pas

Quand tu es là, je n’ai plus de voix

J’espère que tu ne m’en veux pas

Refrain

De te dire ces doux mots-là

Je ne peux pas me retenir

Mon cœur explose de joie

Quand je te vois revenir

Refrain

Tout près de moi, je t’aime !

Mon amour inaccessible

J’ai beaucoup de peine

Quand tu souris, c’est impossible

Refrain

Je ne peux plus supporter

Cet enchaînement de fausses joies

Qui peut me ramener

À la réalité quelquefois

Refrain

Le rendez-vous

Il est dix-neuf heures trente

Je t’attends depuis un moment

Je suis garé en descente

J’espère que tu seras là dans un instant

J’avais oublié que les femmes

Se faisaient attendre, pour être désirées

Et mettre le feu à la flamme

Qui dort dans un corps épuisé

Je ne savais pas que c’était dur

D’attendre à un rendez-vous d’amitié

Que la patience est un cœur pur

Plein d’amour et plus, si affinité

Tu es arrivée avec 25 min de retard

Au bar-restaurant de la place

Tu n’as pas faim et tu fumes un pétard

Je bois un café et tu manges une glace

Pourquoi ? Tu es bien curieux !

On se connaît pas encore

Et déjà, tu parais furieux

Quand tu me ramènes aux aurores

La propriétaire

Tailleur élégant, chaussures à talon haut

J’imaginais bien ainsi la propriétaire de l’hôtel

Son visage maquillé n’avait pas de défauts

Ses yeux verts ont une couleur pastel

J’étais assis dans le hall sur un fauteuil

Elle s’est dirigée vers moi en me souriant

De son air supérieur, elle me fit un clin d’œil

Viennent de rentrer des étrangers bruyants

Excuse-moi ! me dit-elle, le travail m’appelle

Attends-moi ! je reviens dans un instant

Une musique d’ambiance arrive de la tonnelle

Un brouhaha monte du bar maintenant

Du dancing s’élève une voix qui hausse le ton

Un énergumène sort, bousculé par les videurs

Elle revient me voir, Angéla, c’est son prénom

Elle me suggère, « nous rentrons mon cœur »

Dans un élan de bonheur, elle me prit le bras

Et nous partons en voiture avec chauffeur

Nous arrivons enfin à l’appartement du bas

Elle se déshabilla, oh ! oh ! oh ! mon cœur

Fous le camp

Tu as relevé toutes mes coordonnées

Et tu as pris tous les renseignements

J’ai cinquante-huit ans et toutes mes idées

Dans ma tête, fusionnent à l’instant

Mais, c’est en pleine campagne

Au bout de l’allée, que s’arrête ma pensée

C’est chez toi, ma belle compagne

À la fois, douce, jolie et écervelée

Que je reprends mes esprits et mon souffle

Mais c’est autour de la table

Qu’elle va me faire une grande bouffe

Et me raconter une belle fable

Il était une fois dans une grande ferme

Où vivait une dame d’un certain âge

Au teint du visage mat et terne

Qu’on aime toujours et davantage

Mais sa réaction ne se fait pas attendre

Rouge de colère, sa main me montrant

La direction de la porte et sans prendre

De précaution me dit : Fous le camp !

L’espoir

Je sonne chez la voisine d’en face

Elle me reçoit avec gentillesse et humilité

Je ne laisserais pas ma place

À personne, car elle se sent en sécurité

J’ai le privilège de rentrer chez elle

Pendant que ses parents ne sont pas là

Elle s’assoit près de moi, la pucelle !

Et se jette sur moi et me dit tout bas

Il y a longtemps que j’ai envie de toi

Je n’ai jamais eu le temps et l’occasion

D’être seule avec toi, pardonne-moi !

Cet instant d’insouciance et d’évasion

Tu sais, tu n’as que seize ans

Tu es très belle et très jolie

Je te pardonne cet instant d’égarement

Reste loin de moi, et je resterai poli

Je pourrais être ton père

Je suis fou d’amour pour toi

Ils sont bientôt là, ton père et ta mère

Je t’aime, et à ce soir chez toi

Le désespoir

De loin, elle m’envoie un baiser

En soufflant dans sa main

Elle est folle, je n’ose pas la regarder

Laisse-toi aller, c’est le destin

Me dit-elle sur le parchemin

Que le facteur vient de me livrer

En lisant ce petit mot en vain

Devant sa fenêtre, je ne fais que passer

Je ne dois pas me laisser attendrir

Par l’indécence de sa jeunesse

Qui m’oblige à me retenir et m’abstenir

Dans le parc où elle promène sa tristesse

Quand je la vois, je change de trottoir

Pour ne pas subir son sarcasme

Et la haine qu’elle éprouve ce soir

Parce qu’elle n’a pas assouvi son fantasme

Je préfère rester seul chez moi, sans la voir

Pour ne pas lui laisser le soin de m’humilier

Elle m’en veut, mais dans son désespoir

Je pense qu’elle peut prier et me remercier

Son appartement

Son appartement sentait le café noir

Et la cigarette, je n’ai pas osé lui dire

Que j’avais pour nous deux un espoir

Que je ne pouvais pas prédire

Tant elle était si belle à mes yeux

Rien auparavant ne me laissait entrevoir

Que j’étais, en sa présence, si heureux

D’être auprès d’elle, chez elle ce soir

Inconsciemment, j’appréciais ce moment

Qui me procure beaucoup de joie

Et son infatigable manège indécent

De ses mains, sa poitrine et ses doigts

Me rassure sur la possible soirée

Que nous allons passer ensemble

Mon amour s’envolera dans la fumée

Qui m’envahit et tout mon être en tremble

Ses massages répétés et soigneux

De ses doigts souples, à ma surprise

Ont dévoilé ses seins somptueux

Et ont jeté à terre sa nuisette grise

Le prisonnier

Me voilà prisonnier dans l’engrenage

De ses longues jambes accroupies sur moi

Et s’empale d’un geste furtif et sauvage

Sur ma virilité me laissant sans voix

C’était un instant trop court et magique

Elle m’a suppliée avec son air triomphant

De recommencer cette scène tragique

Qui m’a rendu plus riche et plus puissant

Ce n’était plus de l’amour, mais de la rage

Qu’elle laisse sortir de son corps crapuleux

Il faut donc que tourne une grande page

De ce roman et de ce film peu scrupuleux

J’avais oublié les principaux acteurs

Qui n’étaient autre que moi et ma future

Dans l’action, j’ai perdu mon honneur

Qui m’a été enlevé dans la luxure

La prochaine fois, je me rappellerai

Quand je serai invité par une femme

Dans son appartement, je repenserai

À tout ce qu’elle a fait subir à mon âme

Ma voisine 1

Qu’elle est belle ma voisine

Elle porte un pantalon de flanelle

Un pull vert et travaille à l’usine

À l’usine on ne voyait qu’elle

Aujourd’hui, elle a mis un pull-over

Parce qu’il fait très froid cette nuit

On entend plus cancaner les colverts

Le lever du jour apparaît sans bruit

Le soleil est rouge à l’horizon

Il commence à chauffer mon nez

Un homme urine sur le gazon

Et je mets du citron dans mon thé

De ma fenêtre je vois le marché

Où tous les gens s’affairent pour s’installer

Ma voisine sort, je me suis dépêché

D’aller à sa rencontre pour discuter

Elle doit se douter combien je l’aime

Certainement elle attend que j’ose

Pour ma déclaration, je m’entraîne

Devant ma glace avec une rose

Ma voisine 2

C’est dans cette journée froide et glacée

Que je dois faire ma déclaration

Aujourd’hui, je me suis déplacé

En ville pour faire mes commissions

Je vais lui acheter un bouquet de roses

Pour lui offrir avec un poème

Cela lui plaira malgré son air morose

Et mon envie de vivre en bohème

Ce soir, je lui prouverai tout mon amour

Quand j’irai la voir dans son appartement

Mais son indifférence de tous les jours

Me pousse à changer mon comportement

Je dilapiderai toute mon espérance

Pour lui dévoiler tout mon amour

Je n’espère pas toute sa reconnaissance

Mais un peu plus d’amour tous les jours

C’est dans mon plus grand désarroi

Que sa réaction a été très vive

Elle m’a laissé complètement froid

À toutes ses attaques sensitives

La prière du matin 1

Oh ! mon Dieu ! Voici ma prière !

C’est la prière de tous les humains

Celle où l’on ne revient pas en arrière

Où l’on va de l’avant, c’est certain

Donne-moi, la force de continuer

De vivre dans un monde incertain

Que tu as oublié et laissé tomber

Je m’agenouille et je tends les mains

Oh ! à toi, mon Dieu, oh ! à toi seigneur

Mes mains implorent ta clémence

Envers ceux qui font mal au cœur

Je bois cet élixir de jouvence

Pour me rendre plus fort aujourd’hui

Un élixir qui a été baptisé à Lourdes

Et atténuera la douleur indéfinie

De ma souffrance corporelle qui sourde

À mes prières et mes méditations

Je t’en prie, oh ! Dieu tout puissant,

donne-moi la force de vaincre l’obsession

Que je ressens, je serai très conciliant

La prière du matin 2

Sans toi, sans ton amour éternel

Je ne pourrai pas apporter ta parole,

A tous les fidèles, un amour fraternel

Malgré tous les millions d’années folles

Que tu vis, tu ne peux arrêter ces tueries

Que dévoile ton peuple archaïque

Qui revient à l’âge de pierre et péri

Entre les mains des bourreaux antiques

Si tu ne fais pas découvrir à ces humains

Qu’ils devraient vivre en paix raciale

Tu ne pourras plus arrêter sur les chemins

La haine, que veulent tes fidèles, radicale

Oh ! mon Dieu, toi qui es aux cieux

Donne-moi le pouvoir d’arrêter

Cette déchéance d’un peuple très pieux

Qui se repentira et viendra demander

Ton pardon, oh ! Dieu, qui est un rêve

Un rêve inaccessible et imaginable

Que tous les peuples fassent une trêve

Pour revenir unis autour de la table

Une âme sœur

Je fais des recherches généalogiques

Qui me donnent beaucoup de travail

Je n’agis pas toujours dans la logique

C’est très amusant même en éventail

Hier, j’ai rencontré une personne

On a sympathisé, il se trouve qu’elle porte

Mon nom, on s’est échangé le téléphone

C’est comme cela que je me comporte

J’amène avec moi, gentillesse et bonté

Tout le monde s’approche sans hésiter

Les avocats et les huissiers m’ont aimé

Mais je préfère de loin les enterrer

Dans ma solitude, je me surprends à rêver

Qu’un jour, je rencontrerai une âme sœur

Qui me soutiendra et que je vais aimer

Ensemble nous vivrons un grand bonheur

C’est dans cette souffrance que je vis,

Que j’ai beaucoup d’amour à partager

La femme qui restera près de moi à vie

Dans la joie et le bonheur me fera voyager

Ma star préférée

Il pleut aujourd’hui sur la ville

Le temps est mauvais et nuageux

J’habite dans une grande coquille

La maison des gens heureux

Les gens ont sorti leurs voitures

Le brouillard s’est dissipé

Le soleil brille au-dessus des toitures

Et les gens sont très pressés

Je suis là, sous mon parapluie

Je t’attends au coin de la rue

Viens vite, je t’en supplie

Oh ! ma belle inconnue

Surtout, Virginie ne m’oublie pas

Je pense à toi tous les jours

J’entends déjà fredonner ta voix

Je t’aimerai toujours

Reviens-moi, ma chérie

Je n’ai que toi au monde

Tu es le soleil de mes nuits

Et le centre de la ronde

Le message poétique

Vous qui aimez votre femme

Qui ne savez pas comment faire

Pour lui déclarer votre flamme

Venez me voir, il ne faut pas vous taire

Je propose d’écrire à votre place

Un message sous forme de poésie

Vous pourriez l’écrire sur la glace

Du lavabo ou sur un vase fleuri

Vous le présentez à la fin du repas