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L'art de gagner de l'argent ou la sagesse intemporelle pour la richesse et le succès.
L'art de gagner de l'argent" de P.T. Barnum est un classique intemporel qui dévoile les secrets de la construction de la richesse, de la création d'opportunités et de l'exploitation du pouvoir de l'esprit d'entreprise. Ce classique intemporel dévoile les secrets de la construction de la richesse, de la création d'opportunités et de l'exploitation de la puissance de l'esprit d'entreprise.
Dans ce guide pratique et perspicace, Barnum, homme de spectacle renommé et maître des affaires, partage sa sagesse inestimable, fruit de l'expérience de toute une vie. Avec un mélange d'esprit, de charme et d'observations astucieuses, il dévoile les principes et les stratégies qui ont propulsé d'innombrables personnes vers la prospérité financière.
"L'art de gagner de l'argent" n'est pas seulement un manuel pour gagner de l'argent ; c'est une approche holistique de la vie et de la poursuite du succès. Barnum souligne l'importance de cultiver un état d'esprit positif, d'adopter une éthique de travail implacable et de tirer parti des opportunités qui se présentent dans le cadre de ses activités professionnelles et personnelles.
Au travers d'anecdotes captivantes et d'histoires racontables, Barnum illustre le pouvoir de la créativité, de l'innovation et de la prise de risque calculée. Il souligne l'importance de l'intégrité, de la persévérance et de la capacité à s'adapter à des circonstances changeantes, brossant un tableau vivant du paysage entrepreneurial de son époque.
Plus qu'un simple guide de la réussite financière, "The Art of Money Getting" inculque des valeurs et des principes fondamentaux qui vont au-delà de la recherche de la richesse. Barnum souligne l'importance de rendre à la société, d'entretenir des relations et de trouver de la joie dans le voyage, rappelant aux lecteurs que le véritable épanouissement provient d'une vie bien équilibrée.
Avec son style engageant et persuasif, Barnum capte l'imagination des lecteurs, les incitant à voir grand, à rêver avec audace et à prendre des mesures concrètes pour atteindre leurs objectifs. Sa philosophie transcende le temps et trouve un écho chez les lecteurs de tous horizons, les encourageant à libérer leur potentiel et à embrasser les possibilités infinies que la vie a à offrir.
Que vous soyez un entrepreneur en herbe, un professionnel chevronné ou une personne à la recherche de conseils en matière de finances personnelles et de création de richesse, "L'art de gagner de l'argent" est un compagnon intemporel qui vous permettra de libérer votre potentiel financier et d'ouvrir la voie à un succès durable.
Découvrez le pouvoir de transformation de la pensée entrepreneuriale, de la prise de décision stratégique et de l'art de saisir les opportunités. Laissez P.T. Barnum vous guider dans un voyage captivant vers la liberté financière, l'épanouissement personnel et l'art de maîtriser le jeu de l'obtention d'argent.
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L’ART D’OBTENIR DE L’ARGENT
OU
LES RÈGLES D'OR
POUR GAGNER DE L'ARGENT
Par P.T Barnum
Copyright© 2021 by Publishing President™
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TABLE DES MATIÈRES
Règle n° 1 : Ne vous méprenez pas sur votre vocation
Règle n° 2 Choisir le bon emplacement
Règle n° 3 : Éviter la dette
Règle n° 4 : Persévère
Règle n° 5 : Quoi que tu fasses fais le de toutes tes forces
Règle n° 6 : Utiliser les meilleurs outils
Règle n° 7 : Ne vous mettez pas au-dessus de vos affaires
Règle n° 8 : Apprendre quelque chose d'utile
Règle n° 9 : Laissez l'espoir prédominer, mais ne soyez pas trop visionnaire
Règle n° 10 : Ne dispersez pas vos pouvoirs
Règle n° 11 : Être systématique
Règle n° 12 : Lire les journaux
Règle n° 13 : Méfiez-vous des opérations extérieures
Règle n°14 : N'endossez pas sans garantie
Règle n° 15 : Faire de la publicité pour votre entreprise
Règle n° 16 :"Ne lisez pas l'autre côté"
Règle n° 17 : Être poli et aimable avec vos clients
Règle n° 18 : Être charitable
Règle n° 19 : Ne pas faire de blablas
Règle n° 20 : Préservez votre intégrité
BIBLIOGRAPHIE
Aux États-Unis, où nous avons plus de terres que d'habitants, il n'est pas du tout difficile pour les personnes en bonne santé de gagner de l'argent. Dans ce domaine relativement nouveau, il y a tant de voies du succès ouvertes, tant de vocations qui ne sont pas encombrées, que toute personne des deux sexes qui est prête, du moins pour le moment, à s'engager dans n'importe quelle occupation respectable qui s'offre à elle, peut trouver un emploi lucratif.
Ceux qui désirent vraiment atteindre l'indépendance n'ont qu'à y penser et à adopter les moyens appropriés, comme ils le font pour tout autre objet qu'ils veulent accomplir, et la chose est facile à faire. Mais aussi simple que soit de gagner de l'argent, je ne doute pas que beaucoup de mes auditeurs conviendront qu'il est la chose la plus difficile au monde de le conserver. Le chemin de la richesse est, comme le dit si bien le Dr Franklin, "aussi clair que le chemin du moulin". Elle consiste simplement à dépenser moins que ce que nous gagnons ; cela semble être un problème très simple. M. Micawber, l'une des joyeuses créations du génial Dickens, met l'affaire en lumière lorsqu'il dit qu'avoir un revenu annuel de vingt livres par an et dépenser vingt livres et six pence, c'est être le plus malheureux des hommes, alors qu'avoir un revenu de vingt livres seulement et ne dépenser que dix-neuf livres et six pence, c'est être le plus heureux des mortels. Beaucoup de mes lecteurs diront peut-être : "Nous comprenons cela : c'est de l'économie, et nous savons que l'économie est une richesse ; nous savons que nous ne pouvons pas manger notre gâteau et le garder aussi". Pourtant, je me permets de dire qu’on compte sûrement plus d’échecs qui découlent sur ce point que sur n'importe quel autre. Le fait est que beaucoup de gens pensent comprendre l'économie alors qu'ils ne la comprennent pas vraiment.
La véritable économie est mal appréhendée, et les gens traversent la vie sans bien comprendre ce qu'est ce principe. L'un d'entre eux dit : "J'ai un revenu de tant, et voici mon voisin qui a le même ; pourtant, chaque année, il prend de l'avance et moi je n'en ai pas ; pourquoi ? Je sais tout de l'économie." Il croit le savoir, mais il ne le sait pas. Il y a des hommes qui pensent que l'économie consiste à économiser les parures de fromage et les fins de chandelles, à retrancher deux pence à la facture de la blanchisseuse et à faire toutes sortes de petites choses méchantes et sales. L'économie n'est pas la mesquinerie. Le malheur est aussi que cette classe de personnes laisse leur économie s'appliquer dans une seule direction. Ils s'imaginent qu'ils sont si merveilleusement économes en économisant un demi-penny là où ils devraient dépenser deux pence, qu'ils pensent qu'ils peuvent se permettre de gaspiller dans d'autres directions. Il y a quelques années, avant qu'on ne découvre ou qu'on ne pense à l'huile de kérosène, on pouvait s'arrêter pour la nuit chez presque n'importe quel fermier dans les régions agricoles et avoir un très bon souper, mais après le souper, on pouvait essayer de lire dans le salon, et c'était impossible avec la lumière inefficace d'une bougie. L'hôtesse, voyant son dilemme, lui dirait : "Il est assez difficile de lire ici le soir ; le proverbe dit qu'il faut avoir un navire en mer pour pouvoir brûler deux bougies à la fois ; nous n'avons jamais de bougie supplémentaire, sauf dans les grandes occasions." Ces occasions supplémentaires se produisent, peut-être, deux fois par an. De cette façon, la bonne femme économise cinq, six ou dix dollars pendant cette période, mais les informations qu'elle peut tirer de cette lumière supplémentaire sont, bien sûr, bien supérieures à une tonne de bougies.
Mais les ennuis ne s'arrêtent pas là. Estimant qu'elle est si économe en bonbons de suif, elle pense qu'elle peut se permettre d'aller fréquemment au village et de dépenser vingt ou trente dollars pour des rubans et des peluches, dont beaucoup ne sont pas nécessaires. Cette fausse connotation se retrouve fréquemment chez les hommes d'affaires, et dans ces cas-là, elle s'étend souvent au papier à lettres. On trouve de bons hommes d'affaires qui conservent toutes les vieilles enveloppes et tous les bouts de papier, et qui ne déchireraient pour rien au monde une nouvelle feuille de papier, s'ils pouvaient l'éviter. C'est très bien ; ils peuvent ainsi économiser cinq ou dix dollars par an, mais étant si économes (uniquement en papier à lettres), ils pensent pouvoir se permettre de perdre du temps, d'organiser des fêtes coûteuses et de conduire leurs voitures. C'est une illustration de l'adage du Dr Franklin "économiser au robinet et gaspiller au trou de bonde", "un sou pour un sou, une livre pour rien". Punch, en parlant de cette classe de gens qui n'ont qu'une seule idée, dit qu'ils sont comme l'homme qui a acheté un hareng à un penny pour le dîner de sa famille et qui a ensuite loué un carrosse et quatre personnes pour le ramener à la maison. Je n'ai jamais vu un homme réussir en pratiquant ce genre d'économie.