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Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez? Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre? Continuez à lire! Avec ce livre vous aurez l'occasion d'avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu! Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir. Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie. Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire. Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions. Pas de censure, 100 pour 100 de plaisir. Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir. À votre orgasme!
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Mes deux Epoux
Histoires Érotiques Tabou pour Adultes
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
AMOUREUX DES PANTALONS DE FEMMES
LA COUVERTURE
MES DEUX ÉPOUX
APRÈS-MIDIS RÉCRÉATIFS
CHAPITRE 1
CHAPITRE 2
CHAPITRE 3
CHAPITRE 4
CHAPITRE 5
Avant de partir...
© 2024, Eva Rossi
Tous droits réservés.
Auteur : Rossi, Eva
Contact : [email protected]
Printing and Distribution: tredition GmbH Heinz-Beusen-Stieg 5 22926 Ahrensburg
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Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!
Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir.
Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.
Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.
Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions.
Pas de censure, 100% plaisir.
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
À 18 ans, j'étais fascinée par les fesses des femmes, moi qui venais de devenir une femme. J'ai pris du retard par rapport à mes amis pour ce qui est de m'arranger. Je suis donc devenue une vraie femme à 18 ans. Je ne rêvais que d'une chose, toucher, caresser les fesses d'une belle femme. Je n'ai pas besoin de frotter longtemps mon bouton pour partir quand je m'imagine embrasser une belle fesse, ou admirer les beaux culs des mannequins dans les magazines. Comme j'aimerais que ma bouche s'enfonce dans un arrière-train, mais tout cela n'était qu'un fantasme jusqu'à ce que Karine rentre pour les quelques jours de vacances. Nous avons échangé quelques touches, le soir dans notre lit, ce qui a duré une partie de la nuit, nous laissant les yeux sombres le lendemain matin, mais c'était les vacances heureusement. Karine est ma cousine, bien qu'elle ait six mois de moins que moi, physiquement plus mature, mais je pense que je suis beaucoup plus sauvage qu'elle. Nous n'avions pas beaucoup d'occasions de nous voir, séparés par six cents kilomètres. Nous avons donc planifié de merveilleuses grandes vacances.
Tout a commencé lorsque je l'ai embrassée dans un coin, elle ne s'est pas comportée comme une sainte, au contraire. Et le soir, nous sommes allés plus loin... Bien plus encore... Je l'ai déshabillée complètement et elle m'a laissé faire. Puis j'ai embrassé ses oreilles et j'ai chuchoté:
- J'ai entendu dire que c'était bien mieux entre femmes.
Elle n'a pas répondu et a ouvert sa bouche à moi. Nos langues s'étaient déjà caressées la première fois, et maintenant elle s'est donnée encore plus et s'est abandonnée sur le lit et pendant que nos organes linguaux se titillaient frénétiquement, j'avais déjà mes doigts sur sa chatte et aussi à l'intérieur. Puis c'était mon tour de me déshabiller et nous nous sommes embrassés nus dans les draps. C'était si bon... Nous nous sommes frottées l'une contre l'autre, nous caressant tour à tour et elle a aussi embrassé mes seins en premier, puis j'ai senti sa langue sur mes orteils. Je lui ai dit:
- Suce-moi... ça fait du bien...!
Nous avons roulé l'un sur l'autre plusieurs fois, ventre contre ventre, en nous caressant cette fois les fesses. Je les serrais très fort, rien que la sensation me rendait très excitée.
Tard dans la nuit, nous nous sommes caressés, cherchant un orgasme sur nos boutons qui est venu lentement mais était bien meilleur que lorsque je l'ai fait. Puis, fatigués, nous nous sommes endormis. Puis quand Karin s'est levée, je la tenais dans mes bras. C'était la première fois que je voyais ses fesses d'aussi près. Je lui ai dit:
- Oh, comme j'ai envie d'embrasser ton corps.
Elle s'est retournée et a dit:
- Il est tard. Nous devons nous lever car nous risquons de nous inquiéter.
Mais j'ai eu le temps de voir une étrange lueur dans ses yeux. Elle pensait probablement que je parlais de sa chatte, alors que je parlais plutôt de son cul, mais ça n'avait pas d'importance. Je pouvais dire que ça ne la dérangerait pas.
Comme nous devions partir le lendemain, nous avions la nuit pour nous, alors nous n'avons pas attendu le soir. Ma mère étant absente pour quelques heures, je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de courir avec Karine jusqu'aux toilettes alors que nous aurions tout aussi bien pu aller dans ma chambre ou même ailleurs car nous aurions inévitablement entendu la voiture revenir. La salle de bain était plus excitante. Elle s'est assise sur les toilettes, je me suis agenouillé devant elle, j'ai baissé sa culotte pendant qu'elle me caressait les cheveux. Même si je pensais le contraire, je me suis dit que je devais d'abord lécher sa chatte. Ce que j'ai fait immédiatement, en insérant mes doigts dans le creux de ses fesses. Karin n'a pas été insensible à mon toucher et je pense qu'elle est venue. Après un moment, je l'ai regardée et j'ai porté mes doigts à ses narines. Je lui ai dit:
- Quelle bonne odeur a ton derrière.
Elle m'a regardé bizarrement, pensant probablement que j'étais un peu fou, a rangé sa salle de bain et nous sommes partis. Je n'étais pas très satisfait et je me suis à nouveau approché d'elle alors qu'elle était assise sur le canapé. De là, nous pouvions tout voir sans être vus. Nous avons pu voir le portail s'ouvrir et la voiture entrer dans la cour. J'ai fait asseoir ma cousine et j'ai pris ses lèvres. Elle ne s'est pas débattue, mais j'ai senti qu'elle n'était pas très joyeuse. Cependant, elle a cédé à mes caresses et à ma bouche sur son cou et sa gorge. Mais j'ai compris ce qui la retenait. En fait, elle avait une peur bleue de ma mère. Ce qui l'a amenée à me dire timidement...
- Ne gâchons pas nos vacances, attendons ce soir ma belle, je ne suis pas aussi calme qu'à la maison.
En fait, cette nuit-là, j'ai fait ce que je voulais et elle m'a laissé faire. Nous nous sommes fait jouir manuellement par devant, tous les deux nus. Plus tard, elle a compris mes attentes et j'ai pu déchiffrer qu'elle n'était pas aussi inexpérimentée qu'elle le semblait. Elle s'est rendue en se retournant, je regardais les deux cartes qui m'attiraient. Je me suis installé entre ses cuisses. J'ai inhalé son doux parfum intime. J'ai commencé à caresser ses lèvres juteuses avec deux doigts, les ouvrant doucement comme le pistil d'une fleur.
La chair était aussi humide que jamais. Son bassin s'est balancé sous ma douce caresse. J'ai commencé à faire courir ma langue sur sa chair liquéfiée. J'ai bu sa liqueur sucrée. En la doigtant, j'ai remarqué que mon doigt pénétrait plus facilement que dans ma petite grotte, j'ai sucé ses lèvres. La tête enfouie dans l'oreiller, aucun son ne sortait de sa bouche, à part les gémissements de son plaisir. Elle a soulevé ses fesses pour me donner plus d'aisance. Je pouvais enfin sucer son clito et utiliser tout mon art pour l'amener à l'orgasme. J'ai atteint mon but et la belle fille a crié de bonheur en m'enduisant de sa liqueur intime.
Je l'ai senti très chaud et il est entré progressivement dans la fente de ses fesses. Savourant la sensation, je me suis rapproché et c'est d'abord mon nez qui l'a touchée. Sous un tel toucher, Karin s'est laissée aller, elle a ronronné de plaisir. Enfin, ma langue a exploré la rosette, que j'ai forcée. J'étais folle de joie et de désir et j'ai commencé à gémir à mon tour.
Puis, par petites touches, j'ai sucé, en me faisant plaisir, je serais restée là pendant des heures, la tête enfouie dans cet endroit. Ma cousine s'est amusée à bouger ses fesses plus haut. Lorsque je me suis finalement allongé à côté d'elle, elle a chuchoté à mon oreille:
- C'est bien ce que tu as fait pour moi.... Je ne pourrais pas te rendre la pareille.
- Cela n'a pas d'importance. J'aime tellement ça et si tu me le faisais, ça ne me donnerait pas autant de joie.
- Mais tu n'es pas venue?
- Oh, oui, je l'ai fait... Je me suis caressé en même temps, je n'ai jamais ressenti autant de plaisir.
- Sale fille!
- Qu'est-ce que ça peut te faire si tu aimes ça?
- Oui, j'aime beaucoup.
- Ensuite, je te le ferai pour toutes les fêtes.
- Tu plaisantes.
- Non! Je suis fou de ton cul. J'ai envie de le faire depuis si longtemps!
- Pour me lécher le cul?
- Oui! Lèche l'intérieur de ton cul, j'ai juste mis mes doigts sur mon bouton et j'ai continué tout seul.
- Tu es toujours sale.
- Ce sera comme ça pour toutes nos vacances, si ça ne te dérange pas!
- Oui, Sophie, et ma mère est beaucoup plus sexy que la tienne.
- Je sais que ta mère est mille fois plus gentille que la mienne, mais c'est sa sœur. Ma mère n'a pas très envie que j'y aille. Elle dit aussi que ta mère aime les femmes, penses-tu que c'est vrai?
- Non seulement je le crois, mais j'en suis sûr. Et c'est pourquoi, même si elle nous prend en flagrant délit, elle ne nous en tiendra pas rigueur....... Mais tu vas avoir une surprise.
***
Alors ces vacances chez ma cousine seraient pour moi ce que je n'ai jamais osé imaginer ou espérer.
Cette merveilleuse tante Françoise, trente-huit ans, deux ans de plus que ma mère, a un air de famille évident, mais on peut voir sur son visage une prunelle très nette qui n'existe pas chez ma mère. Ma tante m'embrasse tendrement à la gare où elle est venue me chercher avec Karin. Sur le chemin du domaine, ma cousine et moi restons enlacées, sa mère ne semble pas s'en soucier. Elle a dû nous voir dans le rétroviseur. Ma petite amie me chuchote:
- Maman nous laissera faire ce que nous voulons, elle me fait entièrement confiance.
Il faut dire que ma tante vit dans une très grande et jolie maison dans la banlieue de Montpellier. Elle est divorcée et mon ex-oncle lui a laissé la maison. Elle vit très confortablement. Le premier soir, je m'amuse beaucoup avec Karine, qui s'abandonne nue à toutes mes caresses...
- Tu crois que ta mère s'imagine pour nous? Je lui ai demandé.
- Peut-être, mais quelle importance cela a-t-il?
- J'aimerais te demander...
- Oui?
- J'ai remarqué qu'il y a une relation très spéciale entre vous deux, as-tu fait quelque chose avec elle?