7,99 €
"Recueil de pensées et poèmes en images" est une exploration vibrante qui révèle les émotions les plus intenses. De l’amour enflammé aux rêves de paix, en passant par la passion du sport et les chants de la patrie, cet ouvrage sensible vous transporte au gré des thèmes les plus profonds de l’âme humaine.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Surnommé « l’écrivain » dès son plus jeune âge pour son amour des lettres,
Paul Balsumetti a exploré différentes pistes avant de se tourner vers la plume. Avec une formation en histoire navale et une carrière dans le tourisme, il trouve finalement sa voie dans l’écriture afin de partager son expérience simple de la vie.
Das E-Book können Sie in Legimi-Apps oder einer beliebigen App lesen, die das folgende Format unterstützen:
Seitenzahl: 30
Paul Balsumetti
Recueil de pensées
et poèmes en images
© Lys Bleu Éditions – Paul Balsumetti
ISBN : 979-10-422-3356-3
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
La guerre est la plus mauvaise des solutions. Son recours est, par conséquent, à envisager comme ultime, soit en toute dernière extrémité.
Il est heureux que la guerre soit si laide, sinon nous l’aimerions trop.
Général Robert Edward Lee au Général Longstreet,
juin 1863, avant la bataille de Gettysburg
(Guerre de Sécession 1861 – 1865)
Mais quelle est donc cette étrange fascination,
que tu exerces sur le genre humain,
jusqu’à en espérer presque l’animation,
alors que tous, nous savons parfois ton caractère vain,
néanmoins,
sans avoir vu ta sale gueule,
sans pour autant être veule,
que sait-on sur soi,
que saurais-je sur moi ?
La destruction est ta maîtresse loi,
et souvent tu laisses des remords vains,
pour toi l’horreur et le néant sont rois,
tu conjugues toujours les choses à l’inhumain,
néanmoins,
sans t’avoir rencontrée,
sans s’être fait exploser,
que sait-on de soi,
que saurais-je de moi ?
Pour tous ceux qui t’ont bien connue,
tu es la plus grande garce pourvue d’un vagin,
destinée à enfanter des morts, des blessés par l’enfer, pour ceux revenus,
bien peu ressortent complètement sains,
néanmoins,
sans avoir vu ta sale gueule,
sans avoir flirté avec toi la gueuse,
que sait-on sur soi,
que saurais-je sur moi ?
Certains font de toi des livres, des films, des jeux électroniques… moi-même un poème,
on peut parfois s’interroger si c’est vraiment bien,
beaucoup oubliant que véritablement, Militaires, courageusement, te font, la figure blême,
toujours pour échapper au peloton d’exécution, des tristes matins crème,
instaurée par des dirigeants ne te faisant pas eux-mêmes,
et que civils, malencontreusement, subissent ta règle d’airain,
néanmoins,
sans jamais t’avoir croisée,
sans s’être fait désintégrer,
que sait-on de soi,
que saurais-je de moi ?
Le comble de l’absurdité est
qu’au fin fond d’eux-mêmes,
dans un recoin de leurs cervelles,
les hommes ont besoin de toi, salope, ouais,
pour apprécier l’amour… la vie… la paix.
Je souhaite échapper à ce sinistre paradoxe,
toi seul, mon Dieu, peut dire si je ne me joue pas l’intox,
bien qu’encore,
ma vie m’ait inspiré cette maxime,
pour la justice entre les sexes, mais se défiant du féminisme,
Soldat, réjouis-toi de la guerre,
car si tu la perds,
la paix sera plus terrible encore.
Quel militaire n’a pas rêvé
défendre sa terre natale,
courageusement, pied à pied,
jusqu’à la victoire finale.
Quel cavalier n’a pas imaginé,
le féroce ennemi, charger sabre au clair,
et dans la mêlée, croiser le fer,
dans l’espoir d’une paix durement gagnée.
Le soldat marche au son du canon,
au bras, son indispensable fusil,
de ralliement, ses camarades poussent les cris,
le drapeau perché haut, signifiant sa mère patrie, son prime giron.
La sueur lui brûle les yeux,