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Plongeant profondément dans le labyrinthe de l'existence humaine, l'auteur des ouvrages L'uppercut de la délivrance et "Le Gardien du présent nous emporte dans un voyage au coeur de la condition humaine, là où les murmures quotidiens rencontrent les échos silencieux de l'âme. Chaque texte dévoile une facette de l'étonnante mosaïque de nos vies, oscillant entre moments de joie éblouissante et abimes de désespoir. Il ne se contente pas de gratter la surface des émotions universelles ; il les sonde profondément, dévoilant les nuances subtiles de l'amour, les profondeurs abyssales de la haine, la lourdeur paralysante de la tristesse, et le tumulte débordant du burn-out moderne. L'auteur tisse un réseau complexe de connexions humaines, nous rappelant que même dans notre isolement, nous sommes intrinsèquement liés. Ses réflexions, imprégnées d'une sensibilité raffinée et d'une prose lyrique, nous engagent dans une méditation profonde, incitant à la réflexion dans une ère dominée par le changement et l'incertitude. Chaque récit s'inspire soit de ses propres péripéties, soit de celles de personnes qui lui sont chères, peignant ainsi un tableau vivant des triomphes et des tribulations de la vie. Ce n'est pas simplement un livre à feuilleter : c'est une exploration de l'âme, un ressourcement dans un monde qui nous submerge souvent, et un point lumineux nous guidant à travers les brumes de nos propres doutes. Sa plume, agile et précise, navigue habilement à travers les pages, tissant une toile mélodieuse de mots qui résonnent longtemps après que l'on ait tourné la dernière page.
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MUSTAPHA BOUKTAB
InspIrIne
Textes inspirants et effervescents qui éveillent, réveillent et font du bien…
Mai 2023
BOOK-KITAB
Introduction
1 Éclire
2 J’avance
3 L’insouciance
4 À qui le tour
5 Blessures et injures
8 Burn-out
9 Cauchemar suicidaire
10 Cauchemar
11 Ces gens-là
12 Danse…dense
11 Décadence
12 Dé-libr-ence
13 Dicta-tire
14 Dormir c’est mourir
15 Égarés
16 Eux
17 Foulariste
18 J’aguerre pas
19 Je refuse de me taire
20 Je rêve d’un monde où
21 Je suis Turquie et je suis Syrie
22 Joyeux anniversaire mon Amour
23 La cage
24 La danse de Satan
25 La délivrance
26 La fraternité
27 La jalousie
28 La mort
29 La route
30 La trahison
31 L’absence
32 L’âme
33 L’amitié
34 L’Amour caché
35 L’Amour qui mue mais qui est
36 L’Amour
37 Le bonheur
38 Le chant du silence
39 Le cultivateur
40 Le doute
41 Le malin
42 Le mauvais oeil
43 Le monde est Fou et Flou
44 Le politicien et l’hypocrite de demain
45 Le présent
46 Le regret
47 Le sculpteur du bonheur
48 Le silence
49 Le voyage
50 Les valeurs
51 L’hâmme
52 L’hypocrite
53 Liberté
54 Lire-gnorance
55 L’obscure clarté
56 Lola
57 L’orphelin
58 Ma plume rie
59 Maintenant
60 Marionnettes
61 Marre
62 Médius
63 Merci ma fille
64 Mes origines
65 Mon compte Facebook
66 Ne me quitte pas
67 Nous sommes
68 Octobre rose
69 Où va-t-on
70 Pardonner
71 Séna & Moussafir
72 Tendres murmures du Sahara
73 Toxique
74 Un éco-logique
75 Voyageâme
76 Âme-our
77 Componction
78 Le fond
79 Égovariste
80 L’essentiel
« À force de vouloir faire accepter l'inacceptable, petit à petit, ce qui était inacceptable finit par passer inaperçu... Ce n'est pas tant le monde qui change, mais les consciences qui se trouvent captives des desseins de ceux désireux de le contrôler. »
Je suis l'auteur de deux ouvrages. Le premier, traite principalement de la santé et du bien-être, tandis que le second est un roman initiatique. Depuis ma tendre enfance, une passion dévorante pour l'écriture m'anime. Je n'ai cessé de coucher sur le papier mes pensées, sentiments et émotions, explorant une variété de sujets.
Il m'arrive régulièrement de publier certains de ces écrits sur les réseaux sociaux, cherchant à les partager avec le plus grand nombre. Mon objectif est de donner à chacun la liberté de s'y reconnaître ou de se sensibiliser sur des thèmes qui lui sont chers.
L'idée de ce recueil m'a été suggérée par une lectrice. Si l'idée ne m'avait pas immédiatement séduit, elle a néanmoins fait son chemin dans mon esprit. Constater l'impact de mes textes sur autrui m'a convaincu de les partager plus largement.
Ce recueil est conçu pour une lecture aisée. Vous pouvez le dévorer d'un seul trait ou, au contraire, le feuilleter au hasard, laissant le sort choisir pour vous. Chaque texte est imprégné d'une histoire personnelle ou inspiré par des personnes de mon entourage, qu'il soit professionnel, amical ou familial. Il y a, je l'espère, des textes pour tous les goûts, et il est naturel que certains vous parlent plus que d'autres.
Je me livre un peu à travers ces lignes. Vous pourrez en découvrir davantage en explorant mes deux premiers livres. Je vous souhaite une lecture enrichissante et vous adresse toute ma gratitude.
Il est indéniable que j’aime plus que tout lire,
Et c’est une certitude que j’aime encore plus écrire,
J’ai tout plein de pensées et de choses à dire,
Alors j’écris pour vous les faire parvenir,
La poésie est une passion que je dois entretenir,
En elle, je puise ce qu’il me faut pour me nourrir,
Je m’enivre des émotions qu’elle me fait ressentir,
Je me désaltère des vérités qu’elle me fait découvrir,
J’entends tous ses échos qui se font retentir,
Et qui dissimulent un message pour t’avertir,
L’écriture est une arme qui peut tout démolir,
La lecture est un remède qui peut tout guérir.
Hier je vivais dans l’obéissance,
Aujourd’hui je vis dans l’insouciance,
J’ai longtemps vécu en convalescence,
Laissant ma vie se fondre en effervescence,
J’ai alors frôlé la mort comme une évidence,
Puis je me suis relevé à la force de mes croyances,
À présent je vis toutes mes expériences,
Comme une belle et magnifique délivrance,
Je suis un revenant qui a purgé sa sentence,
Maintenant je vis sans limite ni providence,
Je ne suis que dans la reconnaissance,
Le temps n’a plus besoin de distance,
Car la mort n’est pas la fin de l’existence.
C’est danser sans même savoir marcher,
C’est chanter sans même savoir parler,
C’est dessiner sans même savoir écrire,
C’est découvrir sans même pouvoir partir,
C’est crier sans savoir pleurer,
C’est aimer sans même savoir détester,
C’est être effrayé sans jamais avoir peur,
C’est le bonheur sans penser au malheur,
C’est juste grandir sans savoir vieillir,
C’est toujours revenir sans jamais partir.
J’ai encore assisté à un enterrement,
J’aimerais tant que cela soit autrement,
Elle a craqué puis à mit fin à sa vie,
Elle est partie car elle avait perdu l’envie,
Elle souffrait sans pouvoir être comprise,
Puis un jour de trop, elle en a payé le prix,
Ils sont nombreux à être emprisonnés dans cet enfer,
Ils sont légion, enfermés dans cette prison de fer,
Les plus fragiles sont les plus vulnérables,
Car la société ne vit plus dans un monde honorable,
Notre époque contamine leurs esprits insolvables,
Elle les pousse vers un chemin incontournable,
Sont-ils fort de vouloir tout arrêter,
Ou alors faible de ne pas pouvoir continuer,
Quand soudain la vie te fait peur,
C’est qu’elle a été pour toi un malheur,
Et quand la mort te fait sourire,
C’est que tu veux arrêter de souffrir,
J’en ai mal de vous voir à tour de rôle partir,
J’aimerais tant vous aider à ne pas en finir,
La vie est belle, quoi que l’on puisse dire,
La mort à tort et on devrait tous la fuir,
Peut-importe le poids de tes souffrances,
Peut-importe tous ceux qui t’on fait offense,
Il faut te battre pour ta propre délivrance,
Il faut qu’en toi tu reprennes confiance,
À tous ces suicidés qui sont partis en silence,
Je veux vous témoigner que mon empathie est immense,
Et que mes prières pour vous sont intenses.
Elle va s’enfermer pour cacher ses blessures,
Elle va se maquiller pour dissimuler ses sutures,
Elle va encaisser toutes sortes d’infames tortures,
Sans jamais laisser paraitre la moindre égratignure,
Elle est malheureuse d’avoir à subir coups et injures,
A toujours recoller sa vie jonchée de fractures,
Elle est enfermée dans une prison à hauts murs,
Qu’elle ne peut franchir sans atroces écorchures,
Ses pensées et sa vie sont grises et obscures,
Ses larmes sur sa peau lui font l’effet de brûlures,
Elle souffre avec au coeur une énorme déchirure,
Elle n’arrive pas à se projeter dans un meilleur futur,
Elle se tait et accepte cette douloureuse dictature,
Imposée par son bourreau avec tant de désinvolture,
Avec le temps, elle a su se façonner une armure,
Qu’elle porte pour oublier toutes ces impostures,
Et qu’elle retire pour nettoyer toutes les salissures,
Elle vie avec la pire espèce des ingrates créatures,
Qui, ivre la frappe et la couvre de ses vomissures,
Elle est paralysée et muette face à une telle ordure,
Son cri de détresse résonne sur un faible murmure,
Protégeant ses enfants de la moindre éclaboussure,
Ces faux hommes sont de terribles souillures,
Ce sont des pourritures infectées de moisissures,
Ce sont des lâches, des raclures et de vraies enflures,
À toutes ces femmes innocentes aux âmes pures,
Je vous soutien avec mes mots et l’écriture,
À tous ces faux hommes, ces véritables crevures,
Je vous combats avec mes poings et ma littérature.
Après avoir traversé les chemins les plus sombres,
En ayant combattu le côté obscur de ton ombre,
Après t’être défendu contre des légions de démons,
Jusqu’à toucher le fond sans remplir tes poumons,
Quand la douleur te pèse le poids d’une montagne,
Et qu’elle t’écrase comme un forçat dans un bagne,
Quand le désespoir te pousse loin dans le noir,
Et qu’il t’attire au bout d’un long et lugubre couloir,
Quand tu as tout perdu même ta propre histoire,
Et que tu n’as même plus envie d’y croire,
Quand il ne te reste plus aucun repère,
Et que tout se transforme où devient amer,
Quand tu n’arrives plus à avoir de projet d’avenir,
Et que tu sens que l’on t’aspire pour t’engloutir,
Quand tu n’as plus d’appétit pour te nourrir,
Et que même vivant tu as l’impression de mourir,
Quand tu pleures car tu n’arrives même plus à sourire,
Que c’est pire de jour en jour et tu dois tout contenir,
Tu te dis qu’il serait surement plus simple d’en finir,
Qu’il serait temps de partir sans jamais revenir,
Tu dois prendre des pilules pour pouvoir dormir,
Tu dois voir un psy pour t’alléger du pire,
Tu t’amuses à faire semblant d’aller mieux,
En essayant de te réconforter avec Dieu,
Tous les jours tu frôles la limite de faire un coma,
En dissimulant et en déguisant ton trauma,
Tu sais ! Pour en avoir déjà fait l’expérience,
Je vais te mettre dans la confidence,
Il faut souvent aller jusqu’au bout du pire,
Afin de trouver le commencement du meilleur,
Tu devras d’abord apprendre à t’affranchir,
Car toi seul peut être l’unique libérateur.
(Clin d’oeil à mon ami AK)
J’ai rempli mes poumons d’un air pur,
Pour plonger dans cette eau au reflet impur,
J’y ai nagé jusqu’à des tréfonds très obscurs,
En cherchant à fuir de lâches impostures,
Tellement d’années rongées par la torture,
Voguant sans cesse à l’infini à vive allure,
Essayant de semer le chagrin si cruel et si dur,
Ralenti par le poids de souffrances qui perdurent,
Fatigué par le désespoir et tant de désinvolture,
J’ai lâché prise et j’ai abandonné mon armure,
J’ai baissé les bras et j’ai contracté des blessures,
Alors, s’est éloigné l’espoir pour que le malheur me capture,
Arrivé au fond, j’ai croisé des êtres de mauvais augure,
Enivré par l’écho maléfique de leurs murmures,
Je voulais mettre fin à leurs voix qui susurrent,
Qu’il fallait abandonner et mettre fin à mon aventure,
Que pour moi, il n’y aurait plus jamais d’ouverture,
Je me suis alors réveillé trempé de sueur sous la couverture,
Je me suis éveillé, me voyant en une magnifique créature,
Loin de ce cauchemar responsable de toutes ses fractures,
Il faut enfin se libérer de cette mauvaise littérature,
Et se rapprocher d’une meilleure vie future,
Terminé la souffrance, les brulures et les courbatures,
Aujourd’hui soit juste heureux je t’en conjure.
J’ai fait un cauchemar qui ne m’a laissé de glace,
J’avais beau courir, je ne faisais que du surplace,
J’avais beau hurler et crier mais je restais muet,
J’étais paralysé, coincé, tremblant et je suais,
Tout s’assombrissait en moi et autour de moi,
J’étais terrifié et je sombrais dans le désarroi,
J’étais privé d’oxygène, d’espace et de liberté,
J’étais malade et la santé m’avait déserté,
J’étais aspiré par un tumulte de murmures,
Comme un désordre bruyant chargé de tortures,
J’étais attiré par une masse trouble et opulente,
Qui m’oppressait, m’étouffait d’une odeur pestilente,
Je me battais en me dissuadant que rien n’était réel,