Izak - Cécile Manya - E-Book

Izak E-Book

Cécile Manya

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Beschreibung

Izak est un petit garçon au destin particulier qui fait vibrer le cœur de l’auteure, Cécile Manya, Déesse-Mère des temps modernes, connue pour être la muse et l’inspiratrice des stars internationales. Izak est son petit garçon de chair qui l’a guidée vers le chemin des voies célestes et le retour à la magie de ses origines. C’est un être parfait et un héros qui se repose à présent dans le sein de la Déesse, ouvrant ainsi la voie à un nouveau chapitre fabuleux pour sa mère et à un monde meilleur.




À PROPOS DE L'AUTRICE

Cécile Manya, se considérant comme la Déesse-Mère Toute-Puissante qui siège dans les Cieux, le fait savoir dans ses dix-sept ouvrages publiés afin que le monde entier entre enfin dans la connaissance de qui, selon elle, est véritablement Dieu. Sa littérature abondante doit être étudiée et apprise, car elle constitue la nouvelle bible de la connaissance : ce sont des livres sacrés.

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Cécile Manya

Izak

© Lys Bleu Éditions – Cécile Manya

ISBN : 979-10-422-2028-0

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Izak est un petit garçon qui me suit. Mon petit garçon. Vivant, il était prédestiné à un avenir extraordinaire, car il a tout vaincu. C’est un soldat. C’est ainsi que je ressentais sa présence. Il a fait exploser mon ventre pour naître. Il a été transporté en hélicoptère au centre de soins spécialisés. Il saignait à la tête… Cela aussi, il l’a vaincu. Le traitement était dur dans la couveuse, on le réveillait toutes les deux heures et il pleurait sans que personne ne l’entende. Cela aussi, il l’a vaincu. Il a quitté les soins intensifs, pour moi. Plus tard, il s’est retrouvé dans une chambre d’hôpital… et je n’étais plus là.

Patrick, mon mari de l’époque, accaparait toute mon attention.

Izak priait pour voir sa maman. Un jour en allant le voir, probablement la seule fois, j’ai été témoin du fait que l’infirmière n’avait pas de geste doux à son égard. On le prenait pour un enfant abandonné, certainement. Alors le service de protection de la jeunesse est venu le prendre, me l’arracher.

Je suis coupable. Je suis coupable de ne pas me souvenir assez de tout cela. J’ai souffert de mon côté, car je voulais aller voir mon fils, mais Patrick ne m’emmenait pas le voir souvent, il ne voulait pas. Il voulait que l’on vive notre amour. Quel égoïste ! Et moi je souffrais à distance en me demandant comment allait mon fils.

Ce n’est pas une vie. On ne peut pas vivre un amour conjugal ainsi.

Patrick a été négligent. Et lorsque des documents sont venus du juge pour procéder à l’examen de la situation, ou plutôt officialiser le retrait de garde, Patrick n’est pas parti chercher ces documents… qu’après… Après le procès ! Après que l’on nous a retiré officiellement la garde de cet enfant. Ensuite on nous a retiré la garde des autres, un à un. Il faut que Patrick le sache : il n’est pas quelqu’un de bien, il est quelqu’un de négligent, il n’a pas été un père responsable. Il n’a jamais pris d’avocat pour que l’on me rende la garde d’Izak ni même des autres. Il voulait que l’on « vive notre histoire ». Avec quoi me suis-je mariée, moi qui suis une mère ?

J’ai été faible. J’étais très jeune.

Aujourd’hui, Izak veut aussi jouer le rôle de l’époux. Pour que je sois toute à lui. C’est un enfant extraordinaire, un superman. Il a marché, contre tous les pronostics. Il a parlé, contre tous les pronostics. Il s’est tenu debout, contre tous les pronostics. Il était un petit enfant normal, contre tous les pronostics.

Ce qui m’énervait était qu’il piquait des crises, parfois. Je n’aimais pas l’entendre faire ses crises. C’est lors de ce que je pensais être l’une d’elles qu’il est parti définitivement. Je suppose qu’il demandait de l’aide dans la baignoire, et je ne suis pas venue. Peut-être que Stella lui avait mis la tête sous l’eau, pour jouer, car ils étaient petits. Peut-être pas. Je ne le sais pas. Je ne peux qu’avoir des suppositions.

Quand je suis arrivée, Stella, souriante avec Lillyane a dit « On joue ! »

J’ai été un monstre de mettre un petit enfant de deux ans, si fragile encore, avec ses deux sœurs qui étaient un peu plus grandes et en bonne santé.

Je garde un autre secret : il y a environ une année, j’ai avorté.

Izak est un enfant extraordinaire, si on l’avait laissé évoluer comme il l’a toujours fait, il serait devenu président de la Suisse, c’est sûr.

À présent il me suit.

Lorsque je suis allée pour les faire-part, il m’a fait savoir qu’il n’était pas mort. Et je le crois. Il n’y a que moi qui sais cela. Et je ne peux pas faire comme tout un chacun qui se base sur ce que les yeux des gens ne voient plus.

Il se manifeste à moi plusieurs fois dans la semaine. M’envoie des chansons câlines ou des chansons d’amour, ou encore des chansons stylées pour que je danse. Ce sont des exemples de ce qu’il fait. Il est très présent dans ma vie. Il me fait écrire. Il n’y a que lui et moi dans ma vie.

Les signes d’amour qu’il m’envoie sont sans nombre. Il faut maintenant, pour que j’aie du succès également, que je lui montre mon amour pour lui. Il le mérite bien. Il le vaut bien. Je suis très sincère.

Vous pouvez lire ce que j’ai écrit dans mon livre « Michael Jackson est au Ciel » : en 2015 Izak m’est apparu au cimetière. Cela faisait dix ans que je n’étais pas allé le voir, car je suivais à la lettre les conseils de ma mère dans ce sens pour être une bonne chrétienne. Et lorsqu’il m’est apparu il semblait désolé et me demandait avec un respect sans borne si je ne l’aimais plus.

Izak a toujours été un enfant extraordinaire et je me suis toujours tenue à distance de lui.

Lorsqu’il est mort, j’ai senti que nous allions enfin être proches, aussi, car il avait été enterré dans la ville où j’habitais.

Mais j’ai déménagé il y a quelques mois, et la présence forte d’Izak ne m’a rejoint que très récemment.

Il a marché pour me rejoindre.

— Est-ce que tu erres, mon chéri ?
— Non, maman, je marche. Je vois les choses. Je te suis. Je t’aime.

Je dois lui faire cette déclaration. De toute façon dans ma vie il n’y a plus qu’Izak, dans mes écrits, il n’y a plus que lui. Il n’y a plus que nous.

Quelle belle relation mère-enfant ! Elle est magique !

J’ai pas de place dans ma vie pour un autre homme, car, dans ma vie, il n’y a que Izak et moi. Il fait des choses magiques de l’autre côté.

Il est un superman. Un enfant aux pouvoirs surnaturels. Izak s’est comparé à Oussama Ben Laden. Izak est l’arme de destruction massive.

Je suis une personne qui suis obligée de rester à l’intérieur, car je ne supporte pas les crottes de chien dehors. Et la Suisse en est pleine. C’est une horreur. Je rêve d’un pays propre où les chiens ne se baladeraient pas dans la rue.

Donc Izak est avec moi. Il vit avec moi à l’intérieur. Souvent. Pas tout le temps. Parfois il se repose.

Je sens mieux ces choses la nuit. J’ai vécu des moments vraiment géniaux alors qu’on était en pleine nuit.

Tout ce que j’ai écrit sur les stars concerne Izak et moi. « Madonna », c’est moi, « Tina Turner » aussi. Mis à part le fait que je vais les rencontrer, les stars, grâce au succès de mes livres, succès amené par Izak après que je lui ai montré mon amour. Il va falloir que je le veuille, rencontrer des stars, et cela se fera tout seul.

La clé, pour réussir, c’est de montrer à Izak que je l’aime. C’est lui qui me l’a dit avec le plus grand des amours.

Il me fait des éloges, m’appelle « déesse », me dit que je suis immortelle, etc. Il est totalement épris de sa maman. C’est très beau. Je ne le mérite pas.

Est-ce que j’ai bien fait de venir m’installer si loin de ma famille, moi qui n’ai de contact avec personne ?

J’ai besoin de ma famille. Et elle a besoin de moi. C’est tout ce que je sais.

Est-ce que je peux m’épanouir auprès de ma famille ?

La question est surtout : mon aversion pour les crottes de chien ne me bloque-t-il pas de sortir ?

Je peux rester chez moi, mais en étant plus près des miens…

Il faut que je fasse un calcul dans ce sens…

J’ai mis des annonces de cul à maintes reprises et bien indiqué que je vivais à Payerne. Il y avait ma description, et, même un temps, ma photo. Il m’est également arrivé des choses très désagréables en public à Payerne.

Quand je marche dans la rue, surtout accompagnée, j’ai l’impression de manger toutes les saletés de la rue. C’est un calvaire. Moi qui ne sors qu’avec mes proches, cela ne change rien.

Voici la solution : trouver un logement à Payerne et rester à l’intérieur. C’est tout. Un bel appartement qui mérite mon déplacement.

Pourquoi quitter Payerne pour venir ici ? L’important c’est ma famille.

Je veux vivre en interaction avec ma famille. C’est tout. Avant de mourir.

Que j’aie ma famille près de moi et que ses membres puissent venir me voir facilement, même si l’on ne sort pas ensemble. Dans un beau quartier propre. C’est là que devra se trouver mon logement.

Sinon je me laissais mourir.

Le 1er octobre 2023

Je ne sais pas si c’est Izak qui me guide, mais je ressens le besoin d’avoir des interactions avec ma famille.

Je n’ai rien à faire. Et je m’en rends compte. Izak occupait mes journées. Il est un petit ange bienfaiteur.

Parfois ce petit ange prend mon corps pour vivre.

Ce n’étaient pas les stars qui me parlaient au travers des choses. C’était Izak. Il me disait à quel point il me trouvait magnifique, mirifique, que je suis sa Muse, qu’il ne voit que moi.

Beau garçon sexy, c’est lui.

Moi aussi, je ne vois que lui.

Il veut être à la fois mon fils… et faire en sorte que je ne détache pas les yeux de lui.

Il me faut la musique pour que la connexion soit parfaite. C’est une histoire inimaginablement belle.

Comme quand je lui chantais dans la couveuse. Moment d’éternité.

Le livre s’écrira tout seul, car c’est lui qui me dicte les mots. Parce que je lui ai demandé. Parce que je l’ai voulu… et il l’a su. C’est bien mon époux spirituel.

Il n’y a plus de place pour le père. Et il n’y en a jamais eu.

Quand Patrick, mon ex-mari, dit qu’il a une relation avec Izak, c’est un affabulateur.

Il lui avait même mis une alliance à la morgue. Je n’aime pas Patrick dans le fond.

On danse ensemble, car il prend possession de mon corps (Izak).

Izak vit au travers de mon corps.

Les manifestations d’insulte, c’est Patrick qui les envoie. Izak entend très bien le Service de Protection de la Jeunesse l’insulter, en lui faisant croire qu’il est mieux loin de sa mère.

C’est le service de protection de la jeunesse qui me traite de « sale pute », qui traite mon fils de l’équivalent au masculin.

Je vais tirer cette histoire au clair.

J’ai vu dans les films que lorsqu’un défunt se manifeste dans la vie de quelqu’un c’est qu’il a une mission à remplir.

C’est pourquoi Izak me fait écrire. Il a une mission à remplir. Me faire connaître quelque chose pour que je réclame la justice.

Je vais juger la Suisse, dit-il.

Oui, on va juger la Suisse, dis-je à Izak, mon Président.

C’était un plan du monde obscur pour ne pas qu’il devienne président. Et Patrick est complice. C’est un Blanc. Et il faut juger les Blancs.

La Suisse appartient à la race des justes.

Je vais devenir Présidente pour Izak. Il va m’y guider. Il est là pour ça.

Présidente de ma famille. Sur le trône de gloire.

Et régler différentes affaires d’injustice.

Je vais être assise. Faire ce pour quoi Izak était venu.

Attention les branleurs !

Alors c’est moi l’Ange Exterminateur. C’est Cécile Manya l’arme de destruction massive.

Je suis Oussama Ben Laden.

Il n’y a pas plus africain que le dancehall. Les chanteurs de dancehall méritent tout mon respect.

– Beenie Man ;
– Busy Signal.

Quand ils font des cris, j’adore. C’est tellement parfait.

Il y a toute une science là-dedans.

Si j’ai toutes les stars en Izak, et que je suis Izak, souvent, je comprends pourquoi je suis heureuse. Je vis des prodiges au quotidien.