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Cécile Manya ressuscite un être illustre qui va jouer un grand rôle dans l’actualité. Grâce à ses mots, à ses émotions et à son pouvoir de Déesse, celle qui a fait savoir dès 2019 qu’elle venait juger le monde s’empare de son Sceptre de Fer, autorité suprême, pour déverser sa colère en Occident, mais surtout chez les Arabes et les musulmans qui ont contrefait l’image du Dieu qu’elle est et soumis son peuple à l’opprobre international. L’Apocalypse, jugement dernier pour ces êtres, est vérifiable dans l’actualité.
À PROPOS DE L'AUTRICE
En 2019,
Cécile Manya a fait savoir qu’elle est Dieu – Allah, Jésus, Marie, etc. – et doit juger le monde pour avoir falsifié son image au point d’instaurer le racisme et la misogynie comme règles de fonctionnement. Dans ses vingt ouvrages remarquables où elle rétablit la vérité sur elle et sur le monde,
Cécile Manya excelle dans sa perfection divine et dans la précision de ses attaques en vue du rétablissement de l’ordre et de la justice dans le monde.
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Cécile Manya
Izak Pharaon Le Sceptre de Fer
Michael Jackson
© Lys Bleu Éditions – Cécile Manya
ISBN : 979-10-422-1686-3
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Izak est beau, il me mérite. C’est un enfant puissant et déterminé. Il a 23 ans aujourd’hui, mesure 1m88 et est dans la police.
Le dancehall est de la musique qui tue. C’est une musique dangereuse.
Je chante, avec ma voix, avec des accents afros. Tout cela est fait pour le dancehall. Je dois chanter dans du dancehall.
Izak, je dois le chercher… le provoquer…
Il était comme moi : il faisait des « crises ». Moi je les faisais à Patrick.
On peut voir en concentré quand il était petit, d’après ce qu’il était, ce qu’il allait devenir.
On écoute le dancehall, AFRO FUTURE.
Johnny Clegg, Blanc qui chante l’Afro vrai.
Nous sommes en pleine science-fiction, sauf que c’est la réalité et les composantes de la réalité naturelle.
Mes enfants viennent vers moi.
Les autres vont périr.
Je suis la Grande Déesse et mes enfants viennent naturellement à moi, d’une façon ou d’une autre. Je suis la Déesse qui siège dans les cieux, et qui a son pendant sur terre : Cécile Manya.
Je dois m’occuper d’Izak et pas faire de la pub pour mes livres, c’est lui qui s’en chargera.
Mes enfants viennent vers moi, trouver le réconfort et la source de leur vie.
Je suis la Grande Déesse… Arrivée sur terre.
Il faut se focaliser sur Izak, car c’est lui qui va faire tout le travail.
Louise Lunguna renifle. Elle a quelque chose contre Izak, l’homme que j’ai créé.
Je dois le chercher… Le provoquer…
Izak Pharaon.
Busy Signal fait souvent des « Hotep ! » dans ses chansons.
Il va me mener à Izak.
Il va me violer. Je serai déjà au Ciel pour comprendre que j’ai été violée.
Les prières de mes enfants, qui disent « Jésus » et tout ça, ça arrive à moi.
Et il va me violer tous les jours.
Je serai au Ciel, sans comprendre ce qu’il m’est arrivé.
C’est juste un passage, la relation sexuelle. Après cela lorsque l’on est dans le divin, c’est le Ciel.
Izak et moi sommes déjà connectés.
Izak m’écoute comme je l’écoute.
Dans le début de mon livre LA BIBLE II, Izak me fait comprendre qu’il va m’amener au Ciel.
Mes enfants vont continuer mon œuvre après ma « mort » terrestre. Le passage. Mon immortalité n’est plus à démontrer. Je suis la version terrestre de la Grande Déesse qui siège dans les cieux.
L’Immortelle, c’est moi.
(Les chrétiens disent « l’Éternel » ce qui ne veut rien dire).
Je suis La Porte des Cieux.
Izak va m’amener à l’orgasme.
Dans mon expérience de 2015-2016, des gens communs et énormément de stars arrivent à moi en m’appelant du nom d’une Divinité connue (Jésus, Marie, Allah, Bouddha) et j’entends la sincérité de leur cœur et la nature fait arriver la prière avec l’être tout entier jusqu’à moi.
Izak a fui la réalité terrestre pour être complètement à moi. On ne pourra dire, quand il reviendra, qu’il est le petit-fils de Louise ou le fils de Patrick. Rien de tout ça ! Il sera Izak, détaché de ces deux liens qu’il abhorre.
Il aura un autre cadre de vie, un autre âge, une autre forme. Mais il sera bien le Izak, reconnaissable. Et il viendra à moi. C’est la moindre des choses.
« Ma mère » Louise ne peut pas me voler mes enfants.
Je suis ma propre mère, donc elle n’a pas de filiation avec eux. C’est pourquoi j’entends leurs prières venant du cœur, elles sont dirigées vers moi qu’ils considèrent comme une Déesse et qu’ils vénèrent.
Mes enfants me vénèrent, car je suis la matérialisation sur terre de la Grande Déesse.
« Ma mère » est satanique. C’est une chienne.
Il est impossible d’éloigner mes enfants de moi. Et Louise le réalise, et va commencer à en souffrir grandement. Elle va même souffrir du fait de les avoir, selon la « justice » suisse, « élevés ».
Izak va prendre la place de la « justice suisse » pour amorcer la vraie justice suisse. C’est-à-dire qu’il a un rôle de choix dans ce domaine. Il connaît les lois et va me faire ouvrir les yeux sur le fait que j’ai mes enfants.
Louise va regretter, avec effet rétroactif, d’avoir « élevé » mes enfants. Elle va vouloir que cela n’ait jamais eu lieu. Elle va souffrir de cela.
Je suis fière de Lillyane. Elle est forte.
Elle a des positions fermes et les assume. Elle a du caractère.
La justice va être rendue depuis la racine du problème jusqu’à aujourd’hui.
Patrick a commencé à souffrir. Lunguna Louise va être jugée dans ses motivations et ses deux fils, Alphonse et Pierre, vont partir avec elle.
Alors, Satan c’est les Blancs ou ma fausse mère ? C’est la même chose.
La fausse mère est une ennemie déguisée pour que je n’arrive pas à la conclusion du matriarcat sacré, alors que c’est au centre de mon message, de ma vie, de ma mission. Et le Blanc a fait du mal aux gens de ma couleur. Donc ce sont tous les deux des ennemis, des ennemis liés.
Mais il y a des Blancs qui m’adorent sans le savoir.
Lunguna Louise n’est ni une mère ni une Reine. Elle est du caca.
Et elle me piste partout où je suis, partout où je vais. Ses fils sont les ordures, les déchets, et elle aussi.
Elle veut me forcer à la regarder pour que je sois dégoûtée de la vie. Mais il n’y a que dans le monde astral qu’elle est laide à en mourir. Dans le monde physique, rien ne m’attaque.
Dans quelque temps je pourrai dire à mes enfants qu’ils sont des titans. Et ils vont l’expérimenter.
Je pense que Celestina l’expérimente déjà un peu.
Parfois, devant mon père, ma mère se faisait passer pour moi. Comme elle prenait ma place. Alors mon père m’aimait moi au travers de Louise Lunguna.
Encore récemment, elle se faisait passer pour moi devant les enfants, voulant prendre ma place de mère.
Mes prières portent.
La situation a évolué.
À ma décharge concernant l’avortement : je ne voulais pas revivre une fausse couche après 4 mois…
Maman Olangi raconte que l’on ne doit pas faire de rêve plaisant. C’est une malade mentale, heureusement qu’elle est morte !
Elle trouvait donc ça plus normal de faire des cauchemars ? Saleté, va.
Je fais l’amour avec Dieu.
Izak veut dire « Il a ri ». Nous rions ensemble. J’ai tellement ri qu’il m’est né un enfant. Rire dans l’amour. L’orgasme. Les sourires.
Izak rit avec moi.
27 ans. Je vois Izak en parallèle.
Une beauté exotique.
Il y a un mystère à creuser quant aux stars et les enfants que j’ai perdus.
Le rêve américain c’est ce que je vis avec Izak : il réapparaît de mes rêves.
Le rêve céleste est plus fort que le rêve américain. C’est pourquoi Izak a puni les Américains par la covid, pour bien dire que le rêve céleste c’est ça la panacée : voir un mort ressusciter et l’épouser et il se trouve que c’est votre homme idéal qui s’est transformé, etc.
Avec tout ce que cela porte comme messages et tout le déroulé du truc diffusé dans mes livres.
Il va me prendre comme une jeune fille. Ça va être bon.
« Ma mère » me traite de sale pute parce que je lui fais concurrence. C’est comme ça qu’elle me voit, comme une rivale, et pas comme sa fille. Alors elle me combat. Elle me combat grâce au ministère de Mama Olangi, mais pas pour les raisons que ce ministère invoque.
Je pense que tous les démons personnifiés cherchent un peu de puissance là-bas.
« Ma mère » avait secrètement l’ambition d’être celle que je suis.
« Ma mère » n’est pas le diable, c’est juste une mère qui est jalouse de sa fille et le cache. Le diable est une « puissance » présente au sein du ministère de Maman Olangi. Les gens viennent puiser cette puissance dans ce ministère.
Les racistes aussi viennent puiser cette puissance dans ce ministère. Et ceux qui ne s’aiment pas en tant que Noirs viennent aussi puiser cette force dans ce ministère.
C’est un ministère diabolique. C’est là qu’on adore Satan.
Ma mère sait ce qui me fait du mal, à un point très précis.
Elle sait que les ragots qu’elle a racontés sur mes filles me font du mal ainsi que le fait qu’elle amène mes enfants dans ce ministère.
Je connais « ma mère » mieux que quiconque.
Qu’est-ce que le diable ? Il n’y a pas de définition arrêtée. Le diable c’est ce qui fait le mal.
En 2015 Izak m’a révélé de façon explicite que je suis Reine de l’Humanité. Il ne voulait plus attendre. Car après avoir laissé passer 10 ans sans venir le voir au cimetière, après que j’ai fait ça, il s’est dit qu’il ne devait plus laisser perdre de temps pour me dire de façon explicite qui j’étais.
Une révélation qu’il m’avait faite était trois (ou plus de) fois le mot Maman prononcé en me regardant et se réjouissant. Il avait dans les deux ans. Ce fut un moment formidable et intense.
Il y a un rapport triangulaire, car :
Donc qui a vu le père a vu le fils et qui a vu le fils a vu la mère également.
Izak est le père de lui-même. Je suis ma propre mère.
Je suis la mère d’Izak, mais Izak est son propre père.
Donc je suis Déesse, Toute-Puissante.
Je serais tentée de réorienter les titres de mes livres vers moi, mais Izak m’a formellement guidé vers la mise en lumière de sa personne.
Toute femme devrait se donner le plaisir d’être reine pour un instant : être baisée par plusieurs hommes à la fois pour son propre plaisir à elle. Avec elle qui donne les règles et pas de fellation avec les hommes, mais uniquement ce qu’il faut pour sa chatte, uniquement le plaisir pour sa chatte.
Chaque femme mérite cela.
L’homme est à jeter, est une ordure. Il doit être au plaisir de la femme.
Elle est belle lorsqu’elle se fait baiser comme une chienne. La femme est superbe ainsi. Elle rayonne. Elle est sublimissime.
Mmmmmh, c’est beau à voir.
De toute façon l’homme ne sait pas faire grand-chose dans le sexe, il ne fait qu’aller et venir. J’aime La Femme être baisée, dit Michael Jackson en parlant de moi, prendre du plaisir, c’est les cieux.
Michael Jackson aime me voir bouger comme cela, me voir danser.
Chaud.
Chaud.
Chaud.
J’aime le corps de la femme, il est beau.
Je viens d’être baisée par mon doigt et c’est bon.
Je vais chercher Michael Jackson par la baise. Ça va l’attirer sec.
Il va adorer monter aux cieux par le truchement de ma chatte, ainsi il ne sera pas trop dépaysé sur terre.
Je l’amènerai aux cieux tous les jours. C’est promis… si cela me fait plaisir.
J’entends Michael Jackson dès que je lance le dancehall.
Nous avons dansé ensemble lui et moi.
C’est la seule chose que Michael Jackson veut : que je danse avec lui.
La main de Michael (avec le gant), c’est la main d’Izak, c’est la main qui me donne du plaisir.
Hold my hand, me dit-il.
Et c’est la main qui fait arriver ce que j’écris.
C’est la main qui me fait écrire ce qui doit arriver.
C’est la main qui me fait écrire ce qui doit arriver, par justice. Et cela arrive.
Le doigt de la justice.
Le doigt en l’air pour invoquer la puissance des cieux. C’est ce que je fais en écrivant, en dactylographiant. J’ai appris la dactylo dans l’espoir de taper les livres de mon père, c’est fait, et j’écris ce que Michael Jackson me dicte depuis la tombe.
Michael Jackson adore me voir danser.
Michael Jackson aime bien voir que je baise avec d’autres. Des compétents.