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Ce voyage très intime dans les univers d’une déesse vous amènera à comprendre bien des choses sur la source de la divinité : l’Afrique et ses êtres originels, immortels et puissamment connectés au miracle qu’est la vie. Cécile Manya est cette Déesse qui vous emmène dans son existence, sa pensée et ses pouvoirs innés.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Cécile Manya s’est spécialisée dans le Divin, les voies du bonheur et de l’épanouissement total. Dans ses six ouvrages, elle se livre et donne des pistes de réflexion sur des sujets importants ainsi que des révélations essentielles.
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Cécile Manya
Mes combats de déesse
© Lys Bleu Éditions – Cécile Manya
ISBN : 979-10-377-2972-9
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Pas avant 24 ans, juillet 2019.
Le journal de Dieu, décembre 2019.
La Vierge Marie des stars, octobre 2020.
LA BIBLE II : Jésus n’existe pas et « Dieu » est une Déesse, juin 2020.
Jésus est une femme Noire, septembre 2020.
Je ne suis pas ce que tu dis, décembre 2020.
J’ai l’impression qu’il y a un Dieu là-haut qui me regarde et agit pour moi avec bienveillance. Et je me rends compte que ce Dieu a mon visage.
Quel beau mystère ! Quelle grande perfection ! Je remercie cette divinité si bonne à mon égard, et m’étonne d’avoir rayonné si haut.
Qui peut me donner l’explication ? Moi, très certainement.
Et je suis sûrement la seule à pouvoir raconter mon histoire. Je commence à être persuadée que je suis les tenants et les aboutissants de ma vie.
Mais cela ne me donne pas plus d’explication…
Serais-je donc la divinité de ma vie ? Sans méthode Coué ? Sans conditionnement mental ?
Qui en a décidé ainsi ? Qui l’a fait ainsi ?
La réponse est : cette Divinité qui porte mon nom.
Je me suis vue naître.
J’étais là, dans la pièce, en hauteur, et je me regardais, lorsque je suis arrivée dans ce monde.
Et, à l’adolescence, j’ai souvent ressenti très fortement que j’avais plus de 3000 ans.
La vie m’en dira plus. Mais cette Déesse, je la vénère et je l’adore.
Je n’ai rien demandé. Je n’ai rien inventé. Cette réalité est là et elle m’accompagne.
L’éducation chrétienne que j’ai reçue a tué mon être, a sauvagement renié et insulté cette Déesse bienfaisante qui pourtant était l’étoile qui me guidait et me protégeait depuis ma naissance. En entrant dans la foi chrétienne, j’ai tout perdu. Cette foi faite de bric et de broc n’est pas compatible avec la vie car elle est trop artificielle, trop fausse…
Mon père croyait en moi. Mais le Dieu de ma mère, qui est le Dieu artificiel des chrétiens, était la Mort incarnée pour mon être.
La vie et la mort ne pouvaient pas cohabiter. Donc mon père et ma mère se sont séparés.
Depuis que ma mère est seule aux commandes, je suis déboussolée et finis par la fuir.
Puis mon père décède, loin, très loin. Sur les conseils de ma mère, je n’avais pas répondu à ses derniers appels et avait même changé de numéro de téléphone pour qu’il ne puisse plus m’atteindre. Quelle erreur hautement regrettable !
Depuis le début, j’aurais dû comprendre que ma mère était dans l’erreur et mon père dans la vérité. Car mon père croyait en moi.
Et j’ai reçu le nom de sa mère. C’est tout un symbole. Je suis la mère de mon père, en quelques sortes.
Je crois qu’il m’a donné le nom d’une Déesse, et cette Déesse a mon visage.
Lorsque mon père était présent, je réussissais tout ce que je faisais. J’étais une artiste précoce, je débordais de créativité. À l’âge de 8 ans, j’avais déjà fait plein de choses dans ce sens. Je cachais ces choses à mon père, car il voulait que je me concentre sur l’école. Il le voulait tellement pour moi !
Mes cinq enfants ont aussi ce sang de Déesse. Mais, élevés par une grand-mère chrétienne intégriste et deux oncles nuls, dont un agressif, ils sont eux aussi étouffés dans leur divinité.
J’ai toujours senti que je protégeais mes enfants à distance quand j’étais bien. C’est aussi l’un des signes de ma Divinité.
Donc, pour changer les choses, je dois aller bien et continuer à enquêter, dans l’harmonie avec moi-même, sur les tenants et les aboutissants de cette Divinité qui est mon identité.
Je dois réparer les dégâts causés par ma foi chrétienne du passé. Et je suis la seule à pouvoir le faire.
Dois-je prier cette Divinité ? Elle s’appelle Stella.
Depuis que je suis petite, j’ai toujours su que j’avais une bonne étoile qui me protégeait et empêchait le pire de m’arriver.
Quand mon père est parti, ce fut comme une mort pour moi.
Cela fait beaucoup de données à traiter…
Mais, Stella, quand mon père est parti, où étais-tu ?
J’ai donné à ma fille le nom « étoile » en italien, en référence à ma bonne étoile.
Ma fille Stella protège sa grand-mère.
Avant, elle était une gentille petite fille très sage qui aimait sa maman et travaillait bien à l’école. Maintenant, elle protège sa grand-mère…
Peu importe. Ma Divinité me dit qu’elle, qui est moi en hauteur, est bel et bien là et me suis. Elle est ravie que je l’aie percée à jour. Elle est ma Divinité à moi. Ma protectrice sur cette terre. C’est son rôle et sa mission.
La Doctoresse se demande comment je fais pour ne pas me sentir seule.
C’est simple : je ne suis PAS seule. Je ne suis JAMAIS seule. J’ai la compagnie la plus agréable et la plus adaptée à moi-même.
Le christianisme donne de l’effroi, fait peur. Il nourrit le cœur de toutes sortes de choses mauvaises pour la santé (les sentiments de culpabilité, la peur, l’hypocrisie, l’irrationalité). Le christianisme est quelque chose de trafiqué, d’irréel. C’est criminel d’instiller cela dans le cœur d’un enfant. L’enfant naît parfait et le chrétien l’accule avec toutes sortes de théories plus sombres les unes que les autres, demandant à l’enfant de se repentir pour ce qu’il est. C’est diabolique, ignoble.
J’ai dû me reconstruire après les quinze années que j’ai passées auprès de ma mère pour être avec mes enfants.
Je suis en pleine reconstruction de moi-même, et j’ai trouvé la voie.
La voie ce n’est ni une autre croyance ni le fait de m’attacher à quelqu’un. La voie c’est ouvrir les yeux sur la Divinité qui était là à ma naissance et qui… peu importe.
Je suis Cécile Manya sur terre et la Divinité de ma vie a mon visage. Je ne peux pas y échapper. Je ne veux plus la quitter. Je suis d’une beauté Grande et Éternelle.
Oui, Éternelle je suis.
Je porte un habit bleu et gris, un habit de reine, épais, qui me couvre bien. Je me regarde avec bienveillance sans m’intimider. Je suis ma mère.
Je suis ma mère et mon enfant.
Voilà ce qu’il se passe.
Dans tous mes textes, je parlais d’elle, de cette Mama.
Je dois dire ce que je veux à ma Maman.
Elle est la seule divinité qui existe. J’ai cherché Jésus, l’ai appelé Jésus et j’ai fini par trouver son vrai visage. On l’appelle Jésus. Plusieurs noms différents lui sont attribués pour l’invoquer. Mais elle est ma Maman.
Cette mère, quel que soit le nom par lequel on l’appelle, c’est bien elle que l’on invoque, que les gens invoquent.
Ma Mama c’est Cécile.
Il y a une Déesse chez moi.
Les métis ont le monde entre leurs mains.
La seule personne que je dois représenter, c’est moi.
Les chœurs, c’est ce qu’il y a de plus beau.
La musique me fait avancer…
Mes ressources me disaient, au travers de mes images : « Le Dieu que l’on essaie de te faire avaler est faux. Tu es la seule à avoir tout droit sur ta vie, à la comprendre. Tu es le seul maître que tu dois suivre. »
J’ai toujours eu de grandes ressources, et mon père croyait en moi… Je dois réussir, afin que cela soit un clin d’œil à mon père dans le ciel.
Il y a de la magie dans l’air. Il y a plus que mes ressources…
Dans 23 ans, j’aurai mes enfants. Louise n’est pas éternelle.
Je sors peu à peu de mes illusions…
J’ai été choquée hier en voyant mon fils Marko être offusqué à l’idée de passer deux heures avec moi. Mais dans quel monde est-ce que je vis ? À quels enfants est-ce que j’ai donné naissance ?
J’ai donné naissance à des perfections et elles sont devenues… des démons. Mes enfants sont si imprégnés de leur grand-mère qu’ils deviennent un danger pour moi et mon équilibre. Il faut que je les abandonne à présent. Je dois penser à moi avant de penser à eux. Car eux ont choisi leur grand-mère, pas moi. Ils m’ont éliminé de leur priorité. Ils ont méprisé mon cœur et mon statut. Ils m’insultent plus que la justice.
Mes enfants sont des vauriens en ce moment. Et ils ne se rattraperont pas tant que la grand-mère sera dans les parages. Je ne veux plus penser à eux. Je me fiche complètement de leur sort.
La vie, c’est aussi cela : dépasser les apparences et les conventions pour aller à l’essentiel, suivre la vérité, désirer plus que tout exister et s’affirmer.
Mes enfants sont mes ennemis. Ils sont les êtres qui ont le plus de puissance pour me faire du mal et œuvrent actuellement dans cette direction. Je dois me défendre et les attaquer s’il le faut. Dans tous les cas, je ne me laisserai pas faire. Je préserverai mes intérêts avant tout. Eux, ils ne sont plus rien pour moi.
Je vais remplacer mes enfants par des followers et des lecteurs.
Qui aurait pu s’imaginer que les êtres pour lesquels j’ai sacrifié la moitié de ma vie deviennent aujourd’hui mes ennemis ? Les êtres pour lesquels j’ai supporté la plus grande souffrance, la négation de moi-même, se retournent aujourd’hui contre moi ?
Mon ennemie, ce n’est pas L. L. Mes ennemis, ce sont mes propres enfants. Ils prient contre moi, œuvrent contre moi, me soumettent à des pressions psychologiques, m’insultent avec leurs attitudes, me renient en tant que mère.
Ils ne me considèrent pas comme leur mère, et ça, c’est très violent.
Je dois en faire un livre.
Je ne suis pas en colère. Juste lucide.
Depuis que je suis moi, ils ne m’acceptent plus. Ils voudraient que je sois soumise, que je m’humilie devant mon bourreau, que je leur simplifie la vie en me reniant.
Et je ne peux pas faire cela. Je ne pourrai donc jamais faire plaisir à mes enfants, car, plus encore que leur grand-mère, ce qu’ils souhaitent c’est littéralement ma mort.
La meilleure défense c’est l’attaque.
Enfants, vous m’avez mal jugée. Je ne vous laisserai pas me détruire.
Je dois rattraper ma vie depuis 1997. J’étais bien sans compagnon, sans mère et sans enfants, avec juste un grand ami. Je dois revenir à cela. C’était ça la vraie liberté. J’ai donc 23 ans de ma vie à rattraper. À partir de l’année prochaine, je vais tout gagner.
Il faut que je cherche à placer mes enfants dans un foyer et surtout éviter de faire quoi que ce soit pour les accueillir chez moi car ils seraient capables de me tuer de leurs propres mains. Ils sont dangereux. Ils veulent ma mort. Mes enfants veulent ma mort. Je dois les placer dans un foyer et ne pas demander à les accueillir. Jamais. Je ne vais pas les supplier d’accepter de loger chez moi, quelle infamie ! Ce serait en plus prendre des risques pour ma personne vu l’état d’esprit dans lequel ils sont. Il faut d’abord qu’ils soient sevrés du venin que mon bourreau leur a injecté pour me haïr. Je n’accueillerai jamais mes enfants chez moi. Jamais. Il faut qu’ils restent dans un foyer. Ils sont indignes de moi. Je ne veux plus les aimer. C’est fini. Notre histoire est terminée.
Mes enfants sont nés en Suisse. Mon Marko est né en France. Je ne veux pas pour eux qu’ils régressent dans des concepts de vie de village africain. C’est de cette façon que leur grand-mère les fait vivre. Je veux que mes enfants profitent des avancées et de la lumière occidentale, car ils sont occidentaux.
Je rage à l’idée que Pierre, mon frère, leur remplit la tête avec des idées comme celle-ci : « Vous êtes africains avant tout, vous n’êtes pas européens », etc. Ce Pierre qui n’est pas capable de se trouver un studio où vivre, il veut jouer au père de mes enfants en limitant ce statut au bourrage de crâne intempestif. Je le déteste. Pierre n’a rien à dire à mes enfants, absolument rien. Qu’il s’assume avant de jouer les grands maîtres ! Je ne veux pas de sa présence près des miens. Il ne sait pas ce que signifie gérer un budget, porter des enfants, avoir un compagnon. Il ne sait rien. Je le hais ce Pierre, ignare et pourtant prétentieux, si proche de mes enfants… Et Alphonse, c’est pire. Je pourrais le tuer de mes propres mains. Il a levé maintes et maintes fois la main sur mes enfants. Je pourrais le tuer.
Je veux que mes enfants soient élevés à l’occidentale, avec ma touche d’amour débordant, MAIS, pour le reste, à l’occidentale.