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J'ai baise ma copine, sa mère et ses sœurs. Tome 2
Histoires Érotiques Tabou pour Adultes
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
J'ai baisé ma copine, sa mère et ses sœurs
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Avant de partir...
© 2024, Eva Rossi
Tous droits réservés.
Auteur : Rossi, Eva
Contact : [email protected]
Printing and Distribution: tredition GmbH Heinz-Beusen-Stieg 5 22926 Ahrensburg
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Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!
Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir.
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Ma stratégie a été définie. Je l'ai mis en pratique. Je me suis assuré de baiser Esperanza chaque fois que je lui rendais visite dans son appartement. Bien sûr, avoir Majo dans la pièce d'à côté ou ailleurs dans la maison, mais elle pouvait entendre ce que nous faisions.
Le temps a passé et est arrivé ce beau moment où nous avons tous gratté nos œufs. Semaine de Pâques. Comme je ne suis pas croyante, je le prends comme un moment de dispersion, de repos et de baise si possible. Et à cette occasion, ce serait possible. Esperanza m'invitait à faire une promenade avec toute sa famille pendant cette semaine et je n'avais bien sûr pas l'intention de refuser cette invitation.
Karla a loué un appartement dans l'une des principales villes de la plage, l'une de ces stations balnéaires d'été. Esperanza et moi étions les dernières à arriver à cause du travail. Lorsque nous sommes arrivés, nous avons été choqués de voir à quel point l'appartement qu'ils avaient loué était petit. De toute évidence, les parents de Majo devaient se sentir à l'aise; ils ont donc eu une chambre pour eux seuls. Karla et Laura partageraient une chambre avec leurs partenaires respectifs. De même, Esperanza et moi serions dans la même pièce que Majo et Javier.
Si Esperanza était habituellement une fille excitée, se retrouver dans ce genre de promenade augmenterait cet état. Mais devoir partager une chambre avec sa sœur mettait Esperanza mal à l'aise. La présence de Majo l'a empêchée de baiser. Pour moi, cependant, cela semblait être l'occasion parfaite, mais si Esperanza ne voulait pas, je ne pouvais pas la forcer. Mais je pourrais l'induire; un peu de liqueur pour faire d'Esperanza une femme sans aucune pudeur.
L'après-midi de notre arrivée, j'ai invité Esperanza à déjeuner. Puis nous avons fait une longue promenade le long de la plage. Nous avons parlé de nous, de la façon dont nous étions heureux l'un avec l'autre. Nous avons marché jusqu'à ce qu'il fasse nuit; nous avons acheté une bouteille de rhum et nous nous sommes assis au bord de la mer pour la boire. Esperanza n'aimait pas beaucoup le rhum, mais profitant du fait que nous étions en vacances, elle l'a bu sans problème. C'était un moment merveilleux à partager en tant que couple.
Nous sommes retournés à l'appartement aux premières heures du matin, un peu affectés par l'alcool; en fait, nous avons eu du mal à entrer dans le lit superposé (lit superposé, cabine). Nous nous sommes serrées l'une contre l'autre, à moitié nues, en essayant de dormir à cause des étourdissements. Nous sommes allés nous coucher avec des vêtements légers car la chaleur était infernale. J'ai adoré dormir dans les bras d'Esperanza; sa peau était si douce que la serrer dans mes bras ou sentir mon chemin dans ses jambes était un plaisir indescriptible.
Mais ce soir-là, je ne pouvais pas me contenter de cela. Esperanza était couchée sur son demi-côté, je la serrais dans mes bras par derrière. Je lui ai souhaité une bonne nuit et l'ai embrassée derrière l'oreille. J'ai refait la même chose quelques secondes plus tard. Esperanza, dans son sommeil, m'a répondu, je le savais, mais j'ai fait semblant d'être sourde et j'ai refait la même chose. Puis je l'ai simplement embrassée et j'ai doucement mordu son lobe d'oreille.
Tu es affectueux, hein? - dit Esperanza d'une voix endormie.
Comment puis-je ne pas être affectueux...? Tu es l'amour de ma vie.
J'ai continué à embrasser Esperanza, derrière son oreille et le long de son cou. Esperanza était toujours allongée, recevant mon affection, mais n'y répondant pas. Je l'ai embrassée et lui ai répété à quel point je l'aimais, très doucement. J'ai continué pendant un moment, jusqu'à ce que je sois complètement en érection. Sans la toucher, juste l'embrasser et la sentir apaisée par mon affection. Elle a remarqué mon excitation et je lui ai proposé. Mais elle était toujours un peu gênée de partager une chambre avec sa sœur. Elle a insisté pour le laisser pour le lendemain dans un endroit plus discret. Mais j'ai continué à l'embrasser, en gardant mon corps près du sien et en ne renonçant pas à mon intention. Je lui ai dit que je la gâterais pendant un moment et qu'elle devrait y réfléchir.
J'ai continué à l'embrasser; j'ai décidé de ne pas utiliser mes mains jusqu'à ce que ce soit absolument nécessaire. Un long baiser humide sur sa nuque, quelques baisers brefs sur le haut de son dos, quelques léchages fugaces sur son oreille; et mon corps toujours à côté du sien. J'ai continué à embrasser ses épaules et je pouvais déjà sentir qu'elle se réchauffait. Elle a commencé à se frotter contre mon corps, tournant légèrement la tête, rapprochant son visage du mien, mais sans que nos bouches puissent se rejoindre.
J'ai commencé à caresser doucement ses bras, en l'embrassant intensément dans le cou. À ce moment-là, Esperanza m'a demandé de déplacer mon pénis vers ses fesses, en continuant vers son dos; mais pas de la pénétrer, "Avec Majo ici, c'est vraiment impossible pour moi", a-t-elle dit avec un visage légèrement rougi. J'ai enlevé mon caleçon et placé mon pénis sur son dos. Je l'ai fait glisser lentement tout en caressant sa taille et son abdomen. Elle m'a attrapé par derrière, attirant mon corps dans le sien alors que j'augmentais lentement le rythme de ma queue sur elle. J'ai fermé ma bouche sur son lobe, m'accrochant à elle; une morsure ferme, mais sans la blesser. Je lui ai assuré que nous continuerions de la même manière, sans pénétration. "Sors-le", dit-elle en commençant à bouger son cul.
Cela faisait environ cinq minutes que j'avais commencé à faire glisser mon pénis sur elle; je commençais déjà à libérer une légère éjaculation; elle dégoulinait lentement sur le dos et les fesses d'Esperanza. Cela a rendu le glissement plus naturel. Alors que j'embrassais son cou, elle a attrapé ma tête et a incliné la sienne en arrière. Je ne pouvais plus résister. Je lui ai dit de me laisser le mettre, juste un peu. Elle a accepté, "mais seulement pour un petit moment". J'ai pris ma queue dans ma main et l'ai guidée dans la chatte d'Esperanza. Elle était très mouillée.
Dès que j'ai introduit mon pénis, elle a haleté et s'est retenue. Elle a porté sa main à sa bouche alors que je déplaçais l'extrémité de mon pénis dans sa bouche. J'ai serré ses hanches fermement et j'ai fait glisser ma queue de plus en plus profondément. Esperanza oubliait parfois sa sœur, tournant son torse pour que nous puissions nous embrasser; et à ce moment-là de la nuit, nous faisions un bruit assez considérable. J'ai enlevé son soutien-gorge et j'ai attrapé ses seins fermement. Dès que j'ai serré ces magnifiques seins, mes mouvements ont augmenté en force et en vitesse. Nos corps se sont heurtés dans un rythme régulier. Nous sommes restés comme ça pendant environ dix minutes. Elle m'a demandé d'arrêter, m'a fait m'allonger face au plafond et m'a ensuite montée. Esperanza était tellement excitée qu'à partir du moment où elle m'a montée, c'est pratiquement elle qui a bougé. Elle secouait sauvagement son corps sur moi, comme si elle avait une crise. Elle a fait une forte secousse lorsque j'ai serré ses seins. Elle a oublié toutes ses contraintes et a gémi librement; plus que gémir, elle a haleté. Mais elle l'a fait sans réfléchir.
Parfois, je devais regarder de côté, pour voir si Majo ou son petit ami avaient remarqué ce que nous faisions. Mais il faisait sombre, c'était presque impossible de le remarquer. Esperanza a laissé tomber son torse sur le mien, a mis ses deux mains de chaque côté de ma tête; tantôt elle a attrapé mes cheveux, tantôt elle a enfoncé ses ongles en moi. Elle a rapidement fait claquer son corps contre le mien. J'ai attrapé ses fesses avec force, je voulais mettre un doigt dans son cul, mais elle a repoussé ma main. J'ai commencé à l'embrasser et cela a été le déclencheur pour mettre fin à ce moment agréable. Elle a remarqué que j'avais terminé, m'a embrassé et a laissé échapper un rire agréable; elle a fait une pause pour me rappeler qu'elle m'aimait.
Nous étions épuisés. Nous avons continué à nous embrasser pendant un moment, à nous câliner, jusqu'à ce que le sommeil nous envahisse.
Le lendemain, nous nous sommes réveillés très tôt, avons pris une douche ensemble et avons eu notre première tâche de la journée. Nous nous sommes assis pour prendre le petit-déjeuner et nous étions très détendus; nos visages montraient de la détente et de la joie. Nous avons discuté pendant un long moment avec toute la famille. Ce matin-là, Majo et son petit ami ont annoncé à la famille qu'ils avaient l'intention de se marier. J'ai été choquée par la nouvelle. J'étais sur le point de la perdre pour toujours.
Majo avait prévu de se marier dans cette ville, alors ce matin-là, elle allait avec Karla, Esperanza et sa mère voir un endroit parfait pour l'événement. Javier, Mariano et moi sommes allés au supermarché pour acheter des choses dont nous avions besoin dans l'appartement, pendant que Laura et son mari étaient à la piscine avec leur petite fille.
Comme je trouvais le plan absolument ennuyeux, j'ai feint un grave mal de ventre et me suis endormie.
J'ai entendu des cris et des pleurs. Ma sieste a été interrompue par ce scandale. Je me suis levée pour voir ce qui se passait, quand j'ai quitté la pièce, j'ai vu Laura de dos; elle pleurait en se disputant avec son mari. Elle n'avait pas remarqué ma présence, elle regardait dans l'autre sens, du côté du couloir qui menait au salon de l'immeuble. Ce fut une confrontation féroce; ni elle ni son mari n'ont ménagé leurs efforts pour s'attaquer mutuellement avec des mots grossiers et calomnieux. Laura pleurait de façon inconsolable. Je me suis approché d'elle et sans qu'elle s'en rende compte, j'ai posé mes mains sur ses hanches. J'ai commencé à les faire glisser vers le bas, les faisant lentement monter et descendre le long de ses jambes. Elle a sursauté, mais dès qu'elle a tourné la tête pour voir ce qui se passait, je lui ai fait signe de se taire en mettant mon index sur ses lèvres.
Je pensais qu'il n'y avait personne, que nous étions seuls", a-t-il chuchoté.
Ils m'ont réveillé en criant," ai-je répondu sur le même ton.
Je ne veux plus de problèmes avec mon mari, laisse-moi tranquille.
Il ne te respecte pas. Je ne supporte pas qu'il te traite de pute ou de salope alors que tu es une femme spectaculaire; belle et délicate.
Va-t-en, s'il te plaît, va-t-en.
Mais je n'ai pas pensé à partir, et je n'ai pas non plus pensé à ne pas la caresser. Elle se disputait encore avec son mari qui, depuis le salon, ne pouvait pas voir ce qui se passait dans le couloir. Mes mains sont montées et descendues le long de ses jambes et sans demander la permission, j'ai commencé à frotter son cul. Elle essayait de me repousser d'une main, me repoussant un peu, mais son mouvement n'était pas assez fort pour que son intention de me repousser soit claire. J'ai caressé l'intérieur de ses cuisses et j'ai commencé à frotter lentement son vagin, par-dessus sa culotte.
Il s'amusait. En fait, à un moment donné, elle a commencé à guider mes mouvements. Pendant que son mari l'insultait, elle s'est retournée et a commencé à manger ma bouche. Nous nous embrassions passionnément, en serrant nos corps sauvagement. Nous avons commencé à marcher vers sa chambre alors que nos lèvres étaient toujours collées l'une à l'autre. Elle a fermé la porte avec raideur, comme si elle voulait que son petit ami croie qu'elle s'était enfermée dans la chambre par colère.
Dans la chambre se trouvait sa fille, une petite fille de trois ans qui, heureusement pour nous, dormait.
Elle s'est jetée sur le lit et m'a invité à gâter sa chatte. Elle voulait quelques baisers à cet endroit car son mari refusait de les lui donner et j'étais évidemment prêt à le faire. Alors que je léchais et embrassais sa chatte provocante, elle a attrapé mes cheveux et poussé mon visage dans son entrejambe; elle m'a dit que son mari était un râleur frigide qui ne remplissait pas ses devoirs de mari et, quand il le faisait, il les remplissait mal.
La fellation a été courte car nous savions que nous devions nous dépêcher, nous prenions un gros risque en le faisant là. Mais comme nous avions déjà commencé, nous ne pouvions pas rester dans le feu de l'action. J'ai proposé que nous nous retrouvions sur la plage dans dix minutes. Je suis sorti par une fenêtre de l'appartement pendant qu'elle sortait par la porte, sans donner aucune explication à son mari.
Il m'a fallu un peu plus de temps que prévu pour arriver à notre point de rencontre, mais quand je suis enfin arrivé, je l'ai vue se tenir là. Je l'ai attrapée par la taille et lui ai suggéré de nager vers la mer car il y avait beaucoup de monde sur la plage. Nous avons nagé et lorsque nous pouvions à peine voir les gens, lorsque nous avons vu des petits points, nous nous sommes arrêtés. Elle a commencé à me dire qu'elle était dans une mauvaise passe avec son mari, voire avec sa vie.
En plus de la mauvaise communication et du manque de sexe, elle m'a dit qu'ils avaient une hypothèque et qu'aucun des deux n'avait de travail. J'ai caressé ses cheveux en essayant de la réconforter. J'ai essuyé ses larmes et lui ai dit que j'avais une proposition pour résoudre ses problèmes. "Deviens mon esclave sexuel une fois par mois et je paierai ton hypothèque mensuelle". Elle me fixait, ne croyant pas ses oreilles, ne sachant pas quoi faire. Il a fini par accepter, mais seulement jusqu'à ce qu'il trouve un emploi; quand il l'aura fait, notre accord sera mort.
J'ai commencé à l'embrasser sans aucun scrupule. J'ai remonté le haut de son bikini, exposant ses seins. Une fois de plus, je pouvais les voir et les sentir, ils étaient merveilleux. D'une main, je les ai attrapés tandis que de l'autre, je caressais son vagin par-dessus son haut de bikini. Elle a tenu mon cul fermement pendant que nous nous embrassions. Je la voulais tellement que je n'ai pas tardé à tirer son bikini sur le côté et à la pénétrer. Dès le début, je l'ai baisée intensément; elle gémissait sans retenue, nous étions si loin de la plage qu'il serait difficile pour eux de nous entendre. Bien que notre excitation soit élevée, il était difficile pour nous de baiser et de flotter en même temps. Parfois, nous avons coulé, mais nous n'avons jamais cessé de bouger. À un moment, j'ai retiré mon pénis d'elle et lui ai demandé de se retourner. J'ai pris mon pénis dans ma main et je l'ai guidé, cette fois dans son cul. Elle a serré ses joues de cul ensemble, fermant la petite entrée.
Qu'est-ce que tu fais? Pas de cette façon," dit-il en luttant pour rester à flot.
Rappelle-toi de notre accord, ou tu veux finir dans la rue, putain?
Elle a accepté, mais m'a demandé d'y aller très lentement et doucement car elle n'avait jamais été baisée dans le cul auparavant. J'ai commencé à insérer mon pénis un peu à la fois, en lui demandant toujours si elle était à l'aise ou si elle ressentait une douleur. Elle m'a guidé, me disant quand arrêter quand elle sentait que je lui faisais mal. Cependant, mon excitation augmentait et mes mouvements devenaient donc de plus en plus brusques. Elle a émis des cris perçants, entrecoupés de mots brisés me demandant d'arrêter. Mais j'étais aveuglé, flou, je ne pouvais pas m'arrêter de la baiser. Malheureusement, je n'ai pas pu la baiser dans le cul très longtemps, car j'étais tellement excité que j'ai fini par jouir plus tôt que prévu.
Elle a remis son bikini et nous avons nagé jusqu'au rivage. Je lui ai dit que ce n'était pas pratique d'arriver ensemble à l'appartement; par conséquent, elle irait seule et j'arriverais plus tard.