Chants d’amour, comme j’existe pour toi, femme - Noemet Oko-Olingoba - E-Book

Chants d’amour, comme j’existe pour toi, femme E-Book

Noemet Oko-Olingoba

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Beschreibung

« La vie est si merveilleuse : La Vie est Belle sans doute imprévisible, cependant, la Providence… La Providence, cette pendule divine savamment orchestrée, existe. Nous assurons aussi bien provende, que fortune ou infortune, but… Si but ultime, des humains, mais la Vie est aussi une quête de soi, de l’autre aussi : en quête de bonheur. Mais, cette incommensurable Destinée en est la dispensatrice, car… Oui, car Providence et Destinée émanent de Dieu. »


À PROPOS DE L'AUTEUR


Noemet OKo-Olingoba trouve grâce à l’écriture la quiétude et la sérénité dans une vie tourmentée. Après la publication d’un premier recueil intitulé Ode à l’amour et les turpitudes de la vie… il propose Chants d’amour, comme j’existe pour toi, femme.

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Noemet Oko-Olingoba

Chants d’amour,

comme j’existe pour toi,

femme

L’encre bouleversant une âme dévouée et vouée à l’euphorie

Recueil

© Lys Bleu Éditions – Noemet Oko-Olingoba

ISBN : 979-10-377-5181-2

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Être ou ne pas être, telle est la question.

William Shakespeare, Hamlet III : 1

Tolle, lege.

Prends, lis.

Saint Paul, Romains 23 : 3

Je pense donc, je suis.

René Descartes

La vie est si merveilleuse

La Vie est Belle sans doute imprévisible, cependant, la Providence…

La Providence, cette pendule divine savamment orchestrée, existe.

Nous assurons aussi bien provende, que fortune ou infortune, but…

Si but ultime, des humains, mais la Vie est aussi une quête de soi,

de l’autre aussi : en quête de bonheur.

Mais, cette incommensurable Destinée en ait la dispensatrice, car…

Oui, car Providence et Destinée émanent de Dieu.

Terre

Mère-Nature

Pour tes yeux de velours et de soie, je t’exprime ici la passion.

Cette scission de nos êtres meurtris par nos cœurs à l’inéluctabilité

Si, oui si l’évocation à nos sanguinolentes et foudroyantes peaux,

Nos enveloppes déchirées et pourtant saisies, si revigorées par l’émoi.

Qu’en est-il de nous, de nos âmes sensibles dont toi et moi sommes cibles,

Si perceptible, et transis épris, mais victimes, ne ment pas, sentiments…

Sentir les effluves de ta délicate personne, dont je suis le vorace maître ;

Est l’œuvre d’une expérience de novice, de l’amour, ce trouble indéfectible.

Si insaisissable et inaltérable, si intemporelle Déesse-mère, Mère-Nature,

Je te dédie ce poème, cette ode à ma reconnaissance de ton implication et de ton impact à ce cycle sempiternel et indubitablement éternel :

La vie, perpétuel mouvement indomptable et si docile à l’éternité.

Éternité, cet incommensurable et mythe mystique dont le Dieu nourrit

L’univers.

La rosée est là partout, comme toi, femmes accomplies, êtres de prédilection

Âmes dans le regard exaltation de mansuétude est l’œuvre d’une porteuse de Vie.

Comme si je t’aime pour te le redire, que l’amour est La savante et inamovible :

Objet de ma tendresse et gardienne de la matrice universelle : la Terre Mère-Nature.

Quand la vie te sourit, réponds-lui !

La vie est une denrée rare, voire précieuse. Elle t’étreint du revers.

Car, elle est une merveille, l’œuvre paradoxale et en symbole du bien.

Un don puissant de l’omniprésence et l’omnipotence pour son univers...

Comme pour l’histoire, Dieu existe en deçà, au-deçà aussi bien qu’au-delà ou par delà le bien et mal

Dans tous il est l’inéluctable tout en travers et à travers.

La Vie est une merveille, l’œuvre du Dieu Vivant, dont elle a fait sien.

T’es si belle à longueur de siècles et de millénaires, ma douce et séduisante.

Ta douceur est sans équivoque est digne de la race de valeureux primates

aussi bien que de mammifère, qui ont façonné les cultures par l’inéluctabilité

D’une magistrale toile du maître du temps et de l’histoire, dont la créativité ;

Aussi immense que prodigieuse se déploie à son service tout en symbiose,

Ne reniant ni son essence pour les vicissitudes et les aléas de leur existence

Par une société dont aujourd’hui le déclin d’une existence plein de remous

Et de tourments dans un océan de plénitude jadis pacifique dans l’osmose.

Sidérée par tant de mépris, de violence et radicalisation, je n’obtempère ni.

Face à la dérive, la désolation immonde de certains pans sociaux, je renie.

J’aime la Vie jusqu’à la vivre avec optimisme, sans équivoque quoique.

Si, l’existence t’émeut, prends-la comme guide elle est autant fortunée,

Qu’elle est si merveilleuse pleins de déconvenues et aussi de convenues…

Mais, elle est anachronique et impétueuse à souhait aussi bien que trépidante.

Au creux de l’existence, on est chamboulé et non déboussolé, jamais isolé.

Car. elle vaut, si bien la peine d’être vécue, alors ici-bas savoure et parcoure…

Chant poétique,

comme j’existe pour toi, femme

Au lever du soleil,

Mon cœur épris d’amour est de nouveau avide de te redécouvrir enfin.

Hier au coucher au coucher, je redessinais ton corps en traçant des figures invisibles

Avec le bonheur de voir te fleurir comme un arbre sans fin.

Car, tu portes le fruit de nos ébats comme un arbre donne naissance de nouveau sa semence.

Oublions nos débats perpétuels et songeant à la douce symphonie, qui

Commence.

Ma colombe, n’est-il pas vrai que seul l’amoureux connaît la valeur de l’être

Aimé tant la laideur de la vie que dans la beauté : la vie est belle et par antagonisme

Elle est laide aussi parfois.

Refrain