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Mète était électrisé par son regain de vie, il avait survécu à la mort grâce à la passion et la patience de sa femme. Mais il apparaît que le propre d’une vie à deux est l’amour. Leur vie de couple et la lumière de la vie politique divergeaient et leurs enfants étaient si jeunes. Il se mit à l’œuvre pour entreprendre son programme dont l’implémentation n’était pas aisée. Joindre les gestes à la parole était le but des grands hommes… Face à une opportunité devenue un labeur et malgré une opposition tonitruante et vindicative, notre héros redécouvrira la face cachée du pouvoir et sa route, sa beauté, ainsi que son côté obscur.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Noemet Oko-Olingoba trouve, grâce à l’écriture, la quiétude et la sérénité dans une vie tourmentée. Après la publication de deux recueils de poèmes et d’un roman, il nous propose
La vertu émanant d’elle tel un miroir, son deuxième roman.
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Noemet Oko-Olingoba
La vertu émanant d’elle
tel un miroir
Roman
© Lys Bleu Éditions – Noemet Oko-Olingoba
ISBN : 979-10-377-8817-7
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
À ces femmes inaltérables et inaliénables qui ont incommensurablement juché et jonché ma vie.
La Providence est l’évidence même, la vérité des vérités ;
elle est immuable, car concrète et absolue.
Et tout à coup, il suffit d’une étincelle, d’un coup de foudre,
d’un soleil radieux, du beau temps après une pluie, la neige à Noël, de l’arc-en-ciel après une pluie ou du Zénith où luit le soleil…
pour que la magie opère et que l’humanité se perpétue.
Les personnages du livre
Jacques Mète : notre héros dont la vie trépidante et riche mène à l’ascension sur les marches et au sommet du Pouvoir. Ayant l’Afrique comme origine et la France comme celle de nativité, il recrée son parcours en se forgeant une mentalité et avec une volonté prodigieuse et une poigne de fer pour parvenir à une réussite à toute épreuve. Elle, sa compagne, est douce, aimante et son ombre et sa sombre lumière et conseillère. Jacques Mète et Albert Dufond sont guidés par un esprit visionnaire et aiguisé avec finesse et ruse, ils défendent leur plan et projet avec méthode et discipline qu’ils suscitent l’admiration de leurs pairs et de leurs citoyens.
Elle : la compagne fidèle et avisée, amoureuse de son homme, ils ont bravé vents et tempêtes et leur amour les hisse au sommet. Elle, l’autre personnage central ou principal de ce roman, qui lui donne l’inspiration et la force de leur romance. Il en sort plus vivant et avec une détermination à toute épreuve. Ce deuxième roman est une célébration de la sublime présence délicatement et fortement discrète : la compagne de toutes les heures, de tous les combats et l’amour d’une vie et d’une motivation inébranlable et inaltérable pour le héros.
Albert Dufond : l’initiateur et le prédécesseur de notre jeune Président de la République.
Deux hommes de la trempe et trompe d’élite ou corps d’élite assumé. Lui est le mentor de son successeur Jacques Mète et le père de Robert. On le surnomme tout gentiment Mète père, car il a façonné son poulain avec une rare et précieuse dextérité. Ce qui fascine au plus facile haut point. Il l’aime autant que son fils aîné et tous les trois partagent le même engouement pour la politique.
Robert Dufond : fils du précédent Président et directeur de cabinet du Président Mète. L’homme de l’ombre et l’autre clé de l’ascension de Mète.
Passages-fleuves les plus saillants
L’éducation est une manne cachée pour les violents et les insensés voués à son interdit et perceptible aux saints et Sages, car la douceur du vent plie les arbres et les rompt par la souplesse et la violence des voitures les plus robustes s’y abîment, c’est la force suprême, la douceur et la flexibilité de sa puissance, son pouvoir ; l’amour et ses vertus imperméables à tous supplices temporels et ainsi sempiternels. Le vindicatif se doit de savoir « qu’un (Dieu) pour tous : tous pour un (Dieu) » or aussi équivalent à l’expression biblique « si Dieu est pour, qui sera contre nous ».
Alors s’aimer n’implique pas que la charité, mais la tendresse aussi pour sa compagne. Pas que la tendresse, mais l’amour pour ses congénères et semblables. Pas que l’amour du prochain, mais aussi de sa patrie, sa famille, de l’étranger, collègues et de ses amis… Aimer, adorer et prier à un prix la vie éternelle aux dépens de la luxure et des autres péchés capitaux.
L’amour est le plus grand supplice inexorablement que la patience, embellissement de l’être et de l’esprit, voire de l’âme et du corps. Nous avons toutes les valeurs défendues par la perfection et pourquoi s’opposer à la volonté divine où le rêve ne s’étiole et l’amour se peaufine.
Une étoile ne s’éteint jamais, car elle brille le jour sous l’ombrage du soleil et la nuit avec la lune ; ainsi ton passage dans ma vie m’a obnubilé au point de vue qu’elle repose sur toi Elle, mon Trésor et mon Joyau.
Ma vision de l’amour et de la vie comme « La Plus Belle Histoire » :
Aimer c’est se passionner et rallumer la flamme ;
Malgré les horreurs subies, se tenir la main et avancer ;
Apprendre à pardonner et repasser les instants magiques et fugaces ;
On se remémore les beaux moments : ils sont immortels…
Subtiles et féroces comme la force de l’amour, son inspiré.
Car lorsqu’on aime on adoucit les coups évincés par des tapes amicales et non de la violence, car en amour on avance ensemble, sereins et avisés par la meilleure collaboration vitale : la passion règne.
L’amour est beau, car la haine est proscrite et le feu incandescent est une passion dont la tendresse brise toutes formes de violence ou de haine et par la fidélité et l’écoute et le conseil. La beauté de la vie est Belle Histoire celle où la douceur panse les névralgies d’antan et précédentes par la Constitution du Corps, de l’Esprit et de l’âme. Car lorsqu’on aime on adoucit les coups évincés par des tapes amicales et la violence, car en amour on avance ensemble, sereins et avisés par la meilleure collaboration vitale : la passion règne.
« Tu es l’ombre et la sombre de mes nuitées, le Soleil et la Lumière de mes journées. La marque ou l’empreinte indélébile de mon existence, mon amour et la vie est si merveilleuse et plus attrayante comme et avec toi.
La beauté émane en soi-même de sa personnalité, qui en fait une identité même vocale et la candeur s’en exalte et se peaufine et imprègne la vie et ses péripéties autant que son apothéose.
La vie est vraiment riche, parce que quand on n’a rien avec soi, il reste l’espoir ; quand on a tout et qu’on ne manque de rien, il reste l’humilité : quand on est solitaire, il reste l’amour à trouver et il reste l’amour aussi ; quand on est bon, il reste la charité aussi : donc la vie est tellement belle et si prodigieuse, des fois avec la fièvre et on espère et avoir la foi pour guérir et comme lorsqu’on trébuche trouver un appui croire qu’on ne peut pas tomber et avoir de la lucidité pour trouver une barrière, un mur ou une bouée de sauvetage en mer… pour ne pas s’affaler au sol ou se laisser emporter ou se noyer en se cramponnant à l’existence avec l’aide de la Providence…
À tes côtés, la vie est si mystérieuse et prépondérante à cette euphorie utile, subtile et non jamais inutile et ni futile. Les turpitudes, les maux sont des affres épisodiques autant que la mortalité ; et le miracle la vie est le plus précieux ou l’inestimable joyau de la Création du Concepteur. »
Avant-propos
Elle, incarnation de la femme vertueuse, est une Divine Création par Dieu-Providence et ses œuvres voire préceptes, imprégnée est un Corps féminin et tête pensante digne d’éloges et de personnalité et dont émane l’inspiration de notre héros imperturbable et inamovible amoureux de son être l’Esprit épris se peaufine de son enamourée comme Elle, exemple de la femme éprise. Il est évident qu’à un homme de principes, une femme de valeurs. La vie politique est plus conforme à sa réussite en vie privée pour le politicien ou tous les grands de ce monde. L’heure attendue advint avant la fin des vacances hivernales : aimer c’est quand avec la passion l’amorce prend naissance. L’amour d’une vie et prend fin avec celui de l’autre ainsi chaque histoire d’amour est unique comme chaque être. La vie est si rose qu’on la croit verte et croquante, mais elle est un mystère comme un fruit savoureux et délicieux dont on ignore le secret et l’origine gustative. Le miracle de la vie est un mystère profond et incommensurablement établi à l’inverse de la mort et l’absence d’amour et de charité en fait un cauchemar. On peut vivre solitaire, mais sans charité et un cœur tendre pour apaiser l’amertume, le mauvais noyé dans les péchés capitaux succombe en manque, perd le salut. Car. Les gens qui font et exercent le mal sont candidats à l’abîme de perdition. À tes côtés, la vie est si mystérieuse et prépondérante à cette euphorie utile, subtile et non jamais inutile et ni futile. Qu’est-ce donc la littérature ? Pour moi, l’écriture ou la littérature est la première, voire la toute première des vertus. Car avec la lecture, elle est l’accès au monde de l’emploi, faut savoir écrire ; à l’univers informatique, il faut savoir lire et écrire… L’écriture est le summum de notre société. C’est-à-dire que si vous n’aimez pas lire ou écrire vous aurez des problèmes. Car avec l’écriture, on a une autre manière de repenser et penser le monde. Parce qu’avec, on peut séduire, déduire et reconduire ou éconduire et conduire or même s’épanouir. Il y a des choses qu’on peut découvrir, une autre vision de pensée et de s’identifier… Parlons-en du scepticisme ou de cette fallacieuse hypothèse de toutes les absurdités, qu’elle soit erronée ou d’une incrédulité : elle brise les tabous et conduit à la maladive jalousie. Un couple inlassablement et incessamment voire inexorablement séduit se doit être, la partenaire doit être un Trésor chéri et obnubilé par l’autre partie de soi, on se doit d’être ; car le rêve est beau et l’amour sublime la vie. Aimer c’est cette révolution pluridisciplinaire et ce choc climatique qui a mué et rendu l’emprise de l’Esprit et l’Âme sœur au niveau de pièce d’anthologie qu’aucun musée ne peut malgré toutes ses richesses évincer, car l’élue est une pièce précieuse digne d’une prodigieuse Existence. L’évidence est Providence Avatar et Aléas sont les voies, prospérité et réussite dans la vie du sage et bon ; sa ligne est tracée et sa lignée bénie, mais l’échec et le Mal sont les chemins du bête ou fou. L’erreur peut être humaine, mais non constance. Le bonheur ou l’euphorie est euphémisme des saints, les autres ne sont que dopés par des artifices et les péchés capitaux. Croire et croître en Dieu, c’est être altruiste, bon, humaniste, généreux et ancré dans la sainteté. Les saints dont David et autres Abraham ont eu accès à la Seconde chance incommensurablement et impressionnante grâce divine de la Providence ou Dieu de Gloire. L’absence d’amour tue comme le mal-être en amour, la force et sa singularité est cet instant précis et précieux où la vie éternelle fait basculer cette œuvre de volontés à peine rencontrées et mûres, voire muées par la foudre en un couple de centenaires. L’amour donne à la vie son tonus, sa base et son adoration autant de Vertu que la préciosité même de celle-ci par la perfection.
Deux êtres épris dans le tourment de la passion dévorante savamment et obnubilée par lui, Elle et amoureusement attaché ou possédé par Elle, lui. La fièvre est considérée comme une température dont l’intensité projette le monde et les plus fervents des enamourés dans un océan d’euphorie et où la névralgie essentielle est l’expression de cette intensité. On célèbre l’être aimée, tant sa présence que son absence voire aussi sa venue et son retour que son départ. On est attaché à son souffle et l’on respire et souffle avec Elle comme aux battements de son cœur sûr et avec fortitude et Force en lui offrant l’âme et l’esprit liés à ces mots si inexorable et obnubilés par eux : je t’aime. La vie est un gain ou le plus beau Don du Divin à la création et la mort elle est une turpitude perte, un subterfuge du malin Diable. Une vie trépidante et inaltérable diffère en prestige et en prodige. Car, on vit pour tout et on en meurt parfois pour rien. Mais l’âme et la passion, voire le corps et l’esprit sont les seuls remparts à ce cataclysme ; quoi de plus beau qu’un cœur joyeux et sa foi ou qu’un corps pure pour donner la vie au plus beau des univers.
La beauté de la vie tient du rêve de l’idéal comme de la passion où l’amour nous noie dans un océan d’euphorie et le plus beau des désirs, le vouloir ou la volonté si absolue nous mène à cet hyménée ou la folie s’allie à la raison et nous rallie par des « oui, je le veux ». Car on se doit d’être aimé et d’aimer dès ce « Oui », un mot anodin et le plus puissant des engagements. Car le rêve est si splendide et on est candide devant toute cette merveilleuse volonté dont l’engouement amène l’engagement.