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La poésie est une chanson dont les paroles renversantes et bouleversantes vous assaillent et vous transportent. Alors que le vent vous maintient immobiles, vous ressentez de l'euphorie. Et là... vous vous évadez et vous envolez, laissant ce sentiment vous guider et vous emporter : c'est l'Amour.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Noemet OKo-Olingoba trouve, grâce à l’écriture, la quiétude et la sérénité dans une vie tourmentée. Après la publication de deux recueils intitulés
Ode à l’amour et les turpitudes de la vie…
Chants d’amour, comme j’existe pour toi, femme, il propose La plus belle histoire.
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Seitenzahl: 104
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Noemet Oko-Olingoba
La plus belle histoire
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Noemet Oko-Olingoba
ISBN : 979-10-377-7582-5
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Elle est le fer de lance de l’histoire, avec faire tancer les civilisations dans l’Éternité.
En rappelant aux civilisations et aux tergiversations que le monde est une estimation, relire.
La pluie torrentielle et le beau temps imprègnent le Monde de sa force inouïe : l’inspiration.
L’aspiration est cette vocation qui fait de nous un élève ou un étudiant bravant de ténèbres.
La nuitée étoilée se contentant d’apprendre dans le crépuscule à l’aurore sans se lasser, Tenace.
La famille est effrayée par sa rigueur et sa Fortitude, mais lui par la négritude, les
Lumières, la philosophie, l’économie politique, la religion, la littérature…
Dans la finesse de la Providence Divine et la névralgie de la volonté, pour accéder au Rêve.
On est lettré et pénétré par une vision d’un Monde authentique et non synthétique, grâce.
Et surgit soudain cette douce France et ses beautés renversantes et bouleversantes.
Elle mue la Vie et la névralgie essentielle à la misère s’envole et cède la place au plus inamovible et inaltérable et inaliénable Amour.
Enamouré de cinéma, de littérature, de peinture et sculpture, bref d’art… il vit à l’orée.
Harcelé la nuit, le lion tient bon, malgré la force ou la férocité adverse, celui-ci, lassé par la Victime de jadis, est le chasseur lion à la poursuite de sa proie à l’orée du jour. Un animal sauvage tenu en laisse est synonyme ou équivaut à une épée tendue à la gorge.
Une personne douce comme un agneau ne peut froisser une herbe, car elle est comme le souffle du Dieu, et même le vent ne le peut… Et pourtant, le feuillage tombe au souffle du vent et l’herbe, elle tient bon…
Noemet Oko-Olingoba
Le Poète est un Rêveuret indubitablement romantique est son œuvre qu’il peigne l’Amour ou la Haine, le Bonheur ou le Malheur, la joie ou la tristesse, la Vie ou la Mort, la Laideur et la Beauté… Elle nous impose ses fadeurs, des saveurs, ses goûts, ses senteurs et ses frôlements… légers et pourtant imprégnant nos êtres enamourés et amoureux l’un de l’autre ? Nous sommes épris de soi-même et l’autre aussi considéré comme soi est comme la chair de sa chair. Même si l’adversité est périlleuse, les nuitées sombres ressurgissent dans nos Vies avec le Spectre de l’être aimée et tant désirée.
L’œuvre d’une passion de vivre et revivre scellée par un hyménée celle de qui nous. Renée.
La beauté de la Vie tient de la plus belle Voix avec elle ; on arpente aveugler à l’écoute de la voie décrite par une personne honnête et pas bête au point d’être sardonique et ironique. Imprégner de cette intonation, on chemine ce sentier inconnu que seules emprunte l’obscurité et la nuitée venue, confiant et assuré comme aux premiers regards et jour : s’amourachant et s’entichant.
La Patience est la Clé principale et inexorable des vivants : car en Amour elle panse les blessures ou fêlures par la tendresse. Mais aussi présente au travail ; Elle conçoit la compétence ou la précision et dans la Vie courante, elle permet de surmonter toutes les péripéties.
Mes condoléances les plus sincères et les plus affligées à toute la famille qu’il repose en paix et que la terre lui soit légère et que son souvenir impérissable soit gravé dans les mémoires. Disparition incommensurable et névralgie d’une si grande lancination sans précédent et la turpitude mort où le trépas vient encore de frapper. Sois fort mon cher frère et ami, le trépas surgit et ravage, mais les réminiscences sont très indélébiles et inaltérables ou inaliénables. Une étoile naît, croît et brille sempiternellement voire éternellement ; dans un but précis, celui d’édifier les hommes à leur Créateur fut conçu :
La religion.
Mes condoléances les plus sincères et les plus affligées à toute la famille qu’il repose en paix et que la terre lui soit légère et que son souvenir impérissable soit gravé dans les mémoires. Disparition incommensurable et névralgie d’une si grande lancination sans précédent et la turpitude mort où le trépas vient encore de frapper. Sois fort mon cher frère et ami, le trépas surgit et ravage, mais les réminiscences sont très indélébiles et inaltérables et aussi inaliénables.
Les Morts ne meurent jamais, car ils vont imprégner nos mémoires de ces tréfonds de Nostalgie qu’ils laissent derrière eux et avec la Mélancolie de nos cœurs vibrant de Vie.
La Nostalgie est l’âme dans l’attente de la Divine Providence, la Mélancolie, son subtil Sillage Ancré dans les réminiscences liées à ce tantinet Méchant et son opprobre, mais
L’Amour est indicible, inaltérable, voire inaliénable.
La beauté intérieure ou spirituelle est celle des âmes humbles ainsi l’humilité est l’incarnation des personnes en pureté ou pleines de bonté.
Les torrents de coups sont pleins de déconvenues et aussi de convenues, celles de nos êtres frêles et non cognitifs enclins à la peur.
C’est parcourir ces corpus infantiles par des fouets au tuyau d’arrosage rigide, sans le moindre secours
Pour atténuer cette torture, ce tortionnaire parent ou monstres.
Pour les plus anodines bêtises et n’eût été la traîtrise.
Aurai-je l’Air polisson, mais poli son fils, oui ton fils, je l’ai toujours en tant qu’héritier légitime et aîné des fils donc si la manière manquait de pincettes, cela était dû à mon jeune âge et mon cœur et esprit volcanique, tumultueux et impétueux : n’était-ce pas ainsi que m’appelais-tu, père ?
La cicatrice, que je porte près de mon œil gauche et due à ta violence irraisonnée, était le cri de révolte.
Surtout je n’omets pas cette torture par un tortionnaire complice commandité par mon père et géniteur dans les geôles d’un commissariat et cette domestication pour des clopinettes sous le toit paternel.
Vois-tu cher père, le Monde est moins cruel que ma famille et pourtant j’avance sur ce chemin que je me suis tracé dans ma chambre dans le giron et grâce à Toi père coriace
Et acariâtre ?
La raison de toute façon et évidence était la chute du mythe chronologique du patriarcat
Donc de ta chute du piédestal et de mon estime.
Mais, malgré vos brimades et blâmes, je vous dois cette éducation notamment pleine de remous et de paradoxes, mais que j’ai amorcée dans la bibliothèque familiale : la tienne.
Après, le père Noël et ses fêtes au festin d’anthologie ou ses cadeaux providentiels, ce fut l’alcool à profusion à l’adolescence naissant offerte par les parents.
Fugue de nuit des kilomètres durant la fortitude comme besace vers une Mère, dont la méchanceté et la Violence n’ont d’égales que celles de son époux tortionnaire.
La vie est ainsi faite, non je ne crois pas n’est-ce pas là ma famille, qui est ainsi faite une famille dénuée d’état d’âme et d’esprit ?
Je tiens à te dédier ce poème de ton vivant pour que tu saches, père.
La vie est belle comme le passage et l’inertie, dont nous sujet de dressage.
Brassage de mon immaculée beauté, dont la présence émane des lustres.
Semence de Dieux Marins où instruments des Célestes descendus dans son abîme.
Beauté d’Atlantes jadis, muée en femme du monde et en vénération Vivante à Toi.
Si de toi, dont la sublime réapparition hantée de mes nuits fait de moi ta proie Vorace.
Coriace, je braverai ta carapace de séduction incarnée et te ramènerai dans mon Antre.
Inaltérable et indéniable, silhouette dont la caresse imprègne le Monde de ses relents si.
La guise dont tu me fourvoies la Vie est aussi douce et exquise perspective : ta douce
Personne.
La hantise dont ma pensée est semée de ton être raisonnable et pondéré au sourire.
Marins,
Radieuse et volcanique, tu redonnes joie et bois-moi comme ta potion et ta Mer ;
Ton Océan de solitude et de Clarté traverse cette baie dont n’émane de nous que l’Amour, dont une orchestrée symphonique et apaisante cacophonie marine.
Les vagues se hissent et nos corps impétueux, dans l’attente de leurs chutes se hissent
Apprivoiser.
Sans oublier de ressasser nos réminiscences, de prélasser devant la baie Marine, peu lassés.
Les retrouvailles sont éloquentes autant que les épousailles où l’on célèbre avec victuailles, nos ribambelles d’invités et de proches.
Les immenses eaux sont tumultueuses et impétuosité voire impétuosité est leur mutisme.
Comme une candeur timide et tonitruante voix la plus belle et sublime au-delà du temps, de l’espace et de l’air :
Celle du Père Céleste est imprégnée et plus digne que celles de toutes Divinités : la Voix par excellence que nul ne voit et le guide de la Voie Éternelle.
Paradons-nous épris l’un de l’autre follement amoureux de son amoureuse, je me dédie
À la prunelle de mes nuits et le rêve de mes jours.
Ton passage dans ma Vie a tout chamboulé et déboulée comme tu sais si bien faire.
Ta présence me ramène à ce mur de solitude et à raison d’habitude est muraille dure.
Ce dur à cuire dont tu as attendri les rebords adoucis par ta voix mélodieuse et sérieuse.
Ta névralgie essentielle à la Vie Éternelle soucieuse ou délicieuse et affectueuse en pensée.
Cette pensée m’a meurtri comme ta potion et saveur imprimer en Toi, dulcinée, aimée.
T’aimer est sensationnel comme ce supplice est si loin comme ta Névralgie après apaisée.
Apaisée, cet Amour subit la Mort que Dieu a balayée du revers et moi, anxieuse empathie.
Tes douleurs sont mes Névralgies et leurs supplices des poisons de désolation, isolé, o amie.
Tu es cette amitié incommensurable et indicible avec laquelle se relever inexorablement.
Avec Toi, la Vie paraît aujourd’hui plus belle que la turpitude Mort soit ma lumière.
Ma fée, tous les matins et soirs perdent leur senteur et saveur car elles s’impriment à toi.
Le long du Monde, je te retrouve ma Terre d’élection, dévoués et vouée nous sommes épris l’un de la poésie de l’autre et buvons ces mots doux que peignent nos lèvres.
Élément des lustres de mon être fait écho à ta personne si accomplie, nous allons bien si.
La sincérité de notre éblouissante émotion est la même rengaine et chose : Passion Oui.
Oui, même la moyenne est maladie n’arrive pas à l’impulsion de la beauté émotionnelle.
Émotion honnie des uns malencontreusement et bien heureusement reçue par le nous, si.
La Vie est IRRÉVERSIBLE et si BELLE comme Toi, beauté Divine éprise et sujette à la Passion, Providence…
Je traverse un cheminement vers vous objet de ma passion éblouissante émotion est la nôtre.
La Vie est Belle comme Toi beauté Divine éprise de ce visage dont l’anonymat est humble.
Ma voie littéraire réapparition élogieuse dont vous trouverez la peinture de ma Muse.
Incommensurable et indicible avec les autres chants d’amour, mon aspiration est poésie.
Votre poésie teintée de névralgie essentielle à la Passion de Dieu Providence est accaparée ;
Par sa miséricorde à elle ma Muse inexorable éprise à toutes les péripéties et époques.
Chants d’amour de mon être est l’objet de mon être épris et brûler d’Amour pour vous.
Amour quand tu veux de nous deux amis et aimée passionnément tu es l’ombre de mon être.
Beauté et sans dotée ton être éprise, j’ai la pierre juste mon être luisant tel un diamant offert à ta Suave personne.
Les unes sont de fruits à laquelle d’autres femmes donnent jours et leur enseignent la Vie présente comme à venir.
Et il y est des Dieux qui nous lient à l’autre, mais le nôtre est passionné et émoi nimbé
De ta voix.