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La vie sans commune mesure : Le don de soi à l’autre est synonyme d’amour ou de charité. L’Amour est la plus grande fulgurance des émotions, une utopie ou une alchimie. La Vie est l’inestimable joyau de la Providence de l’évidence et l’indicible Divinité. Aucune religion aussi forte que celle qui célèbre le Bien n’est fondamentale, car la vraie Vie Éternelle est célébrée. De cet inestimable joyau, la Providence Divine a donné naissance à l’existence : l’Amour. On aime au-delà de toute mesure par croyance, certitude et par l’accoutumé ; on le sait seulement et c’est ainsi par état de l’esprit et de l’âme.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Grâce à l’écriture,
Noemet OKo-Olingoba trouve la quiétude et la sérénité dans une vie tourmentée. Après la publication de deux recueils,
Ode à l’amour et les turpitudes de la vie…, Chants d’amour, comme j’existe pour toi, femme, il revient avec
Mes autres chants d’amour et la dulcinée.
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Seitenzahl: 50
Noemet Oko-Olingoba
Mes autres chants d’amour
et la dulcinée
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Noemet Oko-Olingoba
ISBN : 979-10-377-6832-2
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« L’Absolu est donc l’inéluctable et reste le plus insaisissable mystère pour l’incrédule, le méchant et l’impie autant pour l’odieux. Pour le croyant, c’est le dessein divin la source de la Providence et pour l’impie, ce ne serait que question de Destinée estimée et de Chance des mythes humains autant que les sacrifices horrifiants. Forge ta vie dans le Bien.
Et tu récolteras le bonheur en plus comme Le Christ.
La parole de Dieu est une richesse pour l’homme. Les vraies valeurs comme la justice, la charité et la paix sont les gains de la sagesse. Et l’homme de bien sera récompensé, peu importe son origine : grâce à ses œuvres. Que la paix soit avec tous les justes.
“La Justice est dans certains cas paradoxale, élevée dans la finesse, le discernement et le bon sens ou la raison : elle équivaut à la Sagesse. Un être considéré comme sage et pondéré, un esprit aiguisé et raisonnable. Tandis qu’en ce qui concerne le Droit et la Légalité, elle s’apparente à l’Équité et la Prudence. Donc être juste c’est être raisonnable, voire sage, et voire parfois dans d’autres domaines être considéré comme équitable et prudent.”
Au Nom du Bien et par le Père Divin béni de l’humanité comme des Cieux, du Fils béni et le Saint-Esprit. »
Oko-Olingoba Noemet-Lanzorod
À l’évocation de ta voix, dont l’INTONATION me submerge ;
Moi ce fou et ce fameux poète dénigré de faculté et agrégé à ta Voie :
Je te consacre mon œuvre ma foi et ta justice me sourit et m’émerge.
Ta beauté dont l’esprit est l’éminence est réminiscence sacrée et recréée,
Cognition et prudence éclairent l’existence sur le plus beau joyau : le savoir.
La violence a longtemps été un leurre et j’erre loin de toi ; en quête à rendre.
Et pourtant toujours près de toi, au fil du jour, longtemps, je quête tendre.
Étourdi savamment oublié, aujourd’hui, je te célèbre beauté de l’âme attend ;
Attends ton amoureux épris de folie et de sentiments assagis par ta personne…
Ta démarche m’a revigoré d’un pouvoir propre aux illustres justes : l’humilité.
Il est plus évident de renaître d’une déchéance admise et alors modifier l’erreur ;
Qu’indocilité et l’entêtement à se jeter dans la fosse aveuglement comme par folie.
Le poète Noé t’est dévoué avec la certitude que l’habitude désir tue la convoitise.
Et à la source de la bonté, je bois à la justice autant qu’à la prudence j’oscille et cille.
La viciée bêtise avait fluctué mon existence par des rencontres si très peu fortuitement.
Mais, mon univers s’effondrait à la merci de ces renégats et ingrats si gratuitement.
C’est à toi, jour à jour, nuit à nuit ; dans l’espoir te revoir ton si beau visage joyau ;
Oui, joyau de mon esprit à toi que vont mes plus sereines saines et saintes réflexions
alors, je conçus ton existence et j’ouvris les yeux comme pour philosopher en pensant ;
Que tes beaux yeux et tes cheveux bruns, noirs, bleus, verts ma dulcinée, mon assurance.
Que je suis, la présence d’esprit par leur sincérité et leur fidélité malgré prise la gravité.
Que serait la Déité sans la romance, de la mythologie : mon Athéna, ma Saba et Esther…
Elle est entrée dans ma vie un été indien sans crier gare.
Son visage émanation de beauté me submergeait, compare…
Comparée, il n’y aurait pas de photos ni de beautés aux totaux.
Elle était là, lumineuse et sculpturale, voire remarquable.
Elle avait cette beauté dont n’émanait que sa bonté, sa personnalité…
Si sa personnalité était volcanique et incendiaire qu’elle électrisait les gens…
Car, sa voix et sa tenue de tête était irréversible et irrévocable…
Elle incarnait la passion : splendide et candide or sainte et saine.
Les mots pour le dire se fluctuaient en mur de silence et taciturne et timide…
Je brillais par ces mots qui en disent plus longs du regard hagard, de moi taciturne ;
Mais, la Providence vint à mon secours et elle me sourit tout à coup ; l’évidence naissait.
Et mon CŒUR luisant et dynamique parlait ouvertement à son ÂME éprise.
Symphonie de tourtereaux, que seul produit l’AMOUR ; le plus mystérieux et le plus
Inconnu et méconnu désir.
Mon esprit aiguisé est là, épris de ta beauté dont l’éclat a tout bouleversé dans mon être.
Ton apparition m’a secoué et écroué à ta personne si belle et si douce la nuitée venue.
Je revois la hardiesse de ton être si raisonnable, qui me concerne, moi ton admirable.
Quand, je suis détourné de toi, mon rêve et songe vont à toi, toi, qui m’es tôt retournée.
Je te retrouverai toujours aussi immuable et immunisée à l’infidélité et la trahison.
Car, tien tu me veux et mienne, tu me vaux lumière de mes nuits et jour de ma Vie.
Le soleil s’est apaisé, flamboyant.
Ô, lune, intrépide, tu l’as domptée.
Lui, le lion courroucé et fortifié, toi…
Tu t’es dressée, en bataille les cheveux…
Et brune, tes yeux et ta peau comme fixés…