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Lorsque Virginie reçoit les anciens potes d’école de son mari pour un weekend à la campagne, elle est loin de se douter que ce weekend va changer sa vie. Alors qu’il se fait tard et que son mari et ses amis font un marathon série, celle-ci en a marre et préfère monter se coucher…
et penser au beau Yvan, le pote marin de son époux, un loup de mer sexy, avec sa barbe grisonnante, ses muscles saillants, et ses tatouages…
Une bonne partie des hommes se sont endormis devant la télé, pendant ce temps Virginie se masturbe en pensant à Yvan…
Ce dernier se réveille, et décide de monter se coucher à son tour, mais lorsqu’il entend des petits bruits qui émanent de la chambre de Virginie, il pousse la porte et découvre la belle totalement nue en pleine action… elle se recouvre sans rien dire…
à la fois honteuse et excitée, celui-ci s’approche à petit pas vers elle… elle ne réagit pas...elle sait que c’est mal… mais elle ne veux pas qu’il s’arrête !
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Coquine Retrouvaille
Roman Erotique
Pauline Costa
Le chef Sanchez appela ses équipes. « Le gang des braqueurs de banque a récidivé. Il nous faut une équipe sur le coup, on doit les coincer avant qu’ils ne recommencent. La dernière cible connue est une banque dont les coffres des particuliers ont été ouverts : il ne reste presque plus rien de ce qu’avaient entreposé les clients privés de la banque.
Il s’agit de la banque sur la treizième, du coté de Pacific Palissade, celle qui bien évidemment accueille tous les beaux quartiers de Los Angeles.
Bijoux, toiles, objets d’art et de collection… Tout s’est volatilisé, tout à disparu. ». Il laissa tomber un dossier sur son bureau, faisant se soulever les quelques feuilles qui s’y trouvaient. « Amy, Josh, j‘espère que vous avez bien dormi parce que vous partez en planque pour les prochaines quarante-huit heures ! »
*
Amy s’équipa, passa des vêtements plus confortables, légers et souples, afin de pouvoir tenir deux jours avec son coéquipier, beau jeune homme quoiqu’un peu trop confiant.
« Eh, Amy, qu’est-ce que tu dis de deux jours enfermée dans une voiture à mes côtés ?
Tu te rends un peu compte de la chance que tu as ? Tu vas m’avoir pour toi toute seule ! » s’esclaffa l’intéressé aux torse large et au regard brillant.
« Génial … », pensa Amy, bien consciente que Josh présentait les atouts physiques auxquels n’importe quelle femme ne pouvaient résister. D’ailleurs, presque aucune ne lui résistait bien longtemps. Il était bien bâti, robuste et rieur. Il usait de ses charmes pour faire succomber le sexe opposé.
Seulement, Amy n’éprouvait même pas le besoin de feindre de lui résister : il ne l’intéressait que très peu. Il se savait beau, presque imbattable, et cela ne lui donnait guère de crédit aux yeux d’Amy.
Elle se savait désirée, même si ses longs cheveux bruns étaient enroulés au-dessus de sa tête en un sévère chignon alors qu’elle était en service. Ses pommettes hautes, ses lèvres sensuelles et ses grands yeux noirs complétaient un visage fin et bien agencé. Ses formes généreuses se laissaient deviner à chacun de ses mouvements sous son uniforme sombre. Voilà ce qui devait obstiner Josh.
Et beaucoup d’autres membres du service. L’année passée, le chef d’une brigade voisine lui avait couru après pendant des mois, lui déposait des fleurs à son bureau et lui envoyait des messages obstinés.
Amy avait toujours beaucoup plu, et les hommes se battaient pour ses charmes, pour une seconde d’attention. Elle n’avait cure de tout ça, lassée de plaire à beaucoup, peut-être à trop. Le regard de la jeune recrue du FBI traversa la pièce pour se poser sur Josh, torse-nu dans le vestiaire, en train de bomber le torse. Il lui décocha un clin d’œil. Barbant.
Une fois fin prêts, les deux agents prirent place dans une voiture discrète et prirent la route de la planque du gang, donnée un peu plus tôt par le chef Sanchez. Ils rejoignirent le quartier de Las Felidas. Si le quartier était connu pour avoir été le théâtre de règlements de compte entre gangs par le passé, il était aujourd’hui plutôt désert.
D’anciennes usines aujourd’hui désaffectées se succédaient sans fin, comme des bateaux échoués sur des rives peu avenantes. Josh gara la voiture à l’ombre de quelques pins, à l’abri des regards de la route et des quelques bâtiments voisins en désuétude. Ils avaient une vue imprenable sur ce qui avait dû être une usine par le passé.
*
Depuis l’autre côté de la rue, ils observaient les allées et venues d’hommes plutôt pressés, qui s’affairaient dans le hangar désaffecté. Tous grands ou trapus, les épaules solides et les traits crispés, ils s’affairaient. Amy ne savait pas s’ils étaient inquiets ou concentrés, mais leurs visages fermés n’auguraient rien de bon dans l’absolu. Ils avaient tous la gueule cassée, et à leurs ceintures, une arme de poing. Des balafrés, des brutes, des hommes de main, des mercenaires.
« Ils sont quatre, dit Josh, en revanche, ce sont des hommes de main. Ils semblent répondre à des ordres qui viennent de l’intérieur du hangar. Ils ont l’air nerveux. »
En effet, les trois hommes tournoyaient, regardaient derrière leurs épaules et courbaient l’échine. Soudain, un quatrième homme apparu dans l’ombre. Il se tenait sans l’encadrure de la porte rouillée du hangar.
Amy ne distinguait pas son visage, mais il était d’une stature hors norme, un géant taillé dans le marbre. Ses muscles saillants habitaient sa chemise ouverte sur un T-shirt blanc.
Ses puissants avant-bras veineux laissaient apparaitre des tatouages, dont les motifs attiraient l’œil d’Amy, perturbée par l’arrivée de ce colosse. Elle n’y voyait au loin que des tâches noires, et elle s’imaginait jusqu’où ces marques pouvaient l’emmener.
Elle s’imagina un torse et des épaules tout aussi galbés et puissants, qui n’auraient que peu de peine à la soulever. Un cou épais venait à compléter la silhouette offerte par les quelques rayons de soleil. Amy ne put s’empêcher de remarquer que de nouvelles tâches noires courraient hors de son T-shirt.
Elle s’imaginait alors le parcours de ces lignes entrelacées, de sa hanche, en passant sur son ventre sec et fort pour arriver sur une poitrine dure et dessinée. Les folles lignes rejoindraient alors ses clavicules, en enserrant le cou, pour enfin finir leur chemin, comme offertes à l’indiscrétion d’Amy, à l’orée de son T-shirt.