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Devant une société insensée et destructrice,
Franck Barraud pousse un cri puissant mêlant espoir et désarroi. Il exhorte avec émotion à une prise de conscience écologique et à un retour aux valeurs humaines fondamentales. L’auteur dépeint avec une lucidité saisissante la détérioration de notre planète, tout en mettant en lumière des solutions accessibles. Cet ouvrage éveille en nous un sentiment d’urgence et d’expectation, nous rappelant que le changement est à notre portée si nous refusons de rester passifs.
À PROPOS DE L'AUTEUR
En homme engagé,
Franck Barraud aspire à un monde plus juste et épanouissant, ce qu’il communique dans ses écrits consacrés à la réflexion sur les conditions sociales, la franchise, l’amour et la solidarité. Sa devise, inspirée de Napoléon, résume son éthos : quand on veut, on peut. Et quand on peut, on doit !
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Seitenzahl: 191
Franck Barraud
Cri d’un enfant de la Terre
Passer de la chair à canon
à la chair à billet
Essai
© Lys Bleu Éditions – Franck Barraud
ISBN : 979-10-422-3058-6
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Définition de la dictature
Concentration de tous les pouvoirs entre les mains d’un individu, d’une assemblée, d’un parti, d’une classe.1
Définition de totalitarisme
Système politique dans lequel l’État, au nom d’une idéologie, exerce une mainmise sur la totalité des activités individuelles.2
Pas besoin de grandes intelligences pour comprendre que la période que l’on vit aujourd’hui n’a plus aucun avenir. Le moral des Français reste un indice fiable. Or, toutes les statistiques montrent que la population française a un moral qui reste très bas. Un quotidien très connu parle même de « tempête » sur le moral des Français.
En même temps, lorsque l’on vit une période comme celle-là, il est compliqué de ne pas se poser ces questions :
Pourquoi suis-je sur terre ?
Pourquoi ce système ne me permet pas de m’épanouir comme je veux ?
Que pourrais-je faire pour améliorer mes conditions de vie ?
Pourquoi l’argent est-il le centre de toutes les préoccupations, au lieu de la santé et de l’humain ?
Pourquoi dois-je travailler et gagner une misère pour survivre ?
Pourquoi suis-je condamné à rester dans mon domaine ? Pourquoi ne puis-je pas évoluer ?
Ces questions, la majorité des gens se les pose. Mais de nos jours, rares sont les personnes qui prennent le temps de réfléchir à leur condition, leur satisfaction ou pas. Ils n’ont plus le temps de passer un peu de temps à la méditation personnelle du fait de l’ambiance stressante que nous vivons au quotidien.
Et pourtant, je me suis posé et je me pose encore beaucoup de questions auxquelles je n’ai pas de réponse. J’ai beaucoup médité sur tous les sujets. À certaines de ces questions, j’y ai apporté mes propres réponses et solutions (comme vous le verrez plus tard dans ces pages). Mais je ne prétends pas apporter le miracle. Je n’écris pas ce livre pour cela. Ce premier livre, qui est le prologue d’une série de livres plus détaillés, ne fait qu’effleurer les drames de notre société actuelle. Il y a tellement de choses à dire que j’ai décidé d’en faire une série. Dans ce premier jet, je parle de tous les sujets au sens général. Mais les prochains livres détailleront chaque secteur de notre vie dont parle ce livre.
Ici, je vais vous donner la raison de mon mal-être dans ces pages qui, pour moi, résonnent comme un cri qui ne vient pas du cœur, mais de mes tripes, du plus profond de mon âme. Je me révolte contre ce système et ma thérapie est de les coucher sur papier.
Certains, pour exorciser leur colère, ont trouvé des solutions différentes de la mienne. Pour ma part, j’ai décidé de m’épancher dans ce livre me servant d’exutoire, de soupape de sécurité, de défoulement, tel un sac de frappe qu’un boxeur cogne de toutes ses forces, afin de calmer cette révolte, cette colère qui gronde en moi.
En nous tous, car la colère monte de manière alarmante.
Mais en même temps, j’essaie d’apporter des solutions viables et pérennes pour nous redonner l’espoir que rien n’est perdu et que l’on peut rebondir du côté de la lumière.
Pour être tout à fait honnête, mon cœur saigne. J’ai honte d’être Français et j’ai un sentiment de révolte qui ne cesse de monter en moi ! Une forme de rage qui grandit à chaque injustice que je vois autour de moi. Et, au fil des élections, cette honte et cette colère montent en moi, car rien ne change.
Ces sentiments, beaucoup les montrent, mais ils ne sont pas écoutés. Les défilés de colère, la violence civile et la désobéissance civique, l’égoïsme et autres manifestations de haine (on en rediscutera plus tard dans ce livre) sont autant de conséquences de ces colères qui n’en finissent plus de monter parmi la population et qui se termineront inexorablement par une catastrophe indigne et mortelle. Si l’on ne trouve pas rapidement de vraies solutions à ces maux, de notre humanité, générés par des êtres volontairement ignorants, narcissiques et égoïstes.
Et j’oserais dire que l’on ne voit que ce que l’on veut bien nous montrer, la partie invisible étant encore plus odieuse et plus terrible. Cette partie-là, même les grands de ce monde en sont honteux et je ne veux pas la voir, de peur de perdre définitivement espoir en mon humanité.
Je vais vous expliquer pourquoi ce monde ne me plaît pas et pourquoi je souhaiterais vivre d’une autre manière et dans un autre système (même si, je dois l’avouer, certains côtés me plaisent). Je vais vous expliquer pourquoi je pousse ce cri de révolte ; développer, dans les détails, la solution afin d’exprimer ma colère et ma déception profonde.
Je ne prétends pas apporter la solution à tous les problèmes sociétaux, moraux et mentaux de ce monde, mais je pense être prêt à mettre ma pierre à l’édifice dans la construction d’un nouveau modèle qui alliera l’argent, l’humain et la nature. Mais je pense que mon intelligence reflète la moyenne des Français et je me mets à la place de tous ces gens résignés que le désespoir accable en silence et qui veulent, malgré tout, sortir de ce bourbier dans lequel ces dirigeants nous ont volontairement mis. Alors, oui, j’en vois certains se faire des gorges chaudes de mes écrits, les traitant de tous les noms (comme c’est dorénavant la mode), me traitant de naïf, d’utopiste, d’humaniste (eh oui, ce mot est devenu péjoratif), de populiste (celui-là aussi) ou les critiquant, parce que maintenant, l’habitude, c’est de dénigrer plutôt que de débattre, de juger plutôt que d’échanger, de se moquer plutôt que d’acquiescer, d’accuser plutôt que d’admettre.
Certains voudront me cataloguer dans tel ou tel parti, me sectariser, m’uniformiser. Il se peut même qu’une cabale soit orchestrée contre moi, comme c’est souvent le cas lorsque l’on essaie de faire découvrir la vérité.
Parce que telle est l’habitude de cette société infâme : mettre les gens dans des tiroirs et les classer pour juger s’ils sont crédibles ou pas. Une fois classés et catégorisés, on ne revient plus dessus, comme une feuille de papier qui est déjà écrite, que l’on sort du tiroir et que l’on relit uniquement dans un domaine précis. Une fois que l’utilité de cette feuille est périmée, on la jette à la poubelle.
Un humain, ce n’est pas cela. Il peut certes se tromper, mais il peut aussi avoir de bonnes réflexions et des initiatives utiles et rafraîchissantes dans tous les domaines de sa vie. Un humain n’est pas utile que dans un seul domaine.
À ces personnes dont la vie est consacrée à ce système moribond, je réponds qu’une utopie n’est crue que par une seule personne. Mais la réalité se fait jour lorsque cette même « utopie » est crue par un groupe de personnes !
La perspective qu’une utopie devienne réalité entre alors dans le domaine du possible. C’est à ce moment précis que l’intelligence se réveille, que les moqueries cessent, que la foule afflue et que les bonnes volontés se libèrent. C’est à ce moment que les initiatives pleuvent. C’est alors que tout devient possible et que l’espoir renaît. Et une fois lancée, il est très difficile de l’arrêter. Et c’est ce que j’espère : que ce livre réveille des consciences endormies, qu’elles sortent de leur coma artificiel et qu’elles se mettent à produire des actions qui détruiront ces volontés malsaines pour l’humanité pour revenir à une société humaine, honnête, droite et juste… Mon rêve, c’est d’être le début de cet élan.
Mais peu importe les critiques destructrices et modernes. Je les entends, je les écoute, mais je n’y prête guère attention. Je n’oublie pas qu’un débat ne se conclut jamais sur une victoire, mais par un consensus, une empathie, une progression mutuelle, une marche en avant. Je ne me justifierai pas, je n’en ai ni l’envie, ni le temps, ni le besoin. Je cherche un débat constructif, qui sert à l’établissement de bases solides et à un échange de courant de pensées sensées et raisonnables qui mènerait à un compromis libre et constructif. Pour la survie de notre humanité.
Mieux encore, pour une humanité heureuse !
Ce ne sera qu’à cette seule condition que je me pencherai sur d’autres idées et poserai la question sur leur fiabilité ou pas, à titre personnel. Nous parlons de progressions intellectuelles collectives de part et d’autre et non de savoir qui est le meilleur. Où les ego s’effacent devant la maturité et l’équilibre. Car, de bonnes idées, il y en a des tonnes. Des initiatives, il en existe comme les grains de sable sur le bord de la mer. Néanmoins, elles sont toutes anéanties par l’ego, le désir d’être supérieur à l’autre, d’avoir eu l’idée avant l’autre, voire l’avidité et le pouvoir. C’est cet état d’esprit-là qui nuit à la collectivité et au désir de réparer et de (re)construire.
Il s’agit, pour moi, d’un sujet vital, car il s’agit bien de parler de notre avenir, de celui de nos enfants, et d’y trouver des solutions, sans quoi nous perdrons notre planète et nous serons les responsables de notre propre extinction. La terre est notre maison, la détruire signifie notre propre destruction.
La transmission d’un modèle social sain et pérenne n’est-elle pas le but de l’humanité ? N’est-ce pas cela, l’objectif ultime ? D’aller toujours vers le haut, vers la perfection ?
Parce que je vois bien que je fais partie d’un plan mondial qui n’enrichira (au sens vil du terme) qu’un pourcentage infime de la population où, il faut le dire, un être humain lambda se retrouve impuissant à contrer l’inhumanité, à dire non. Parce qu’une grosse partie de ce système ne me plaît pas. Je veux agir pour balayer tout cela afin que le monde entier bénéficie des retombées positives et non pas à une minorité de personnes puissantes et influentes. Je ne suis pas là pour montrer du doigt telle ou telle personne. Je ne suis pas là pour les juger et juger leurs actions. Peut-être aurais-je été dans la même situation qu’eux, que j’aurais agi de la même manière !
En revanche, j’ai le droit et le devoir de dire non à tout ce qui est négatif à notre société.
C’est cette impuissance qui me pousse à écrire ma vision du bonheur. Car ces forces-là sont puissantes, terribles, féroces, démoniaques et déterminées à respecter leur plan, peu importe le coût humain. Peu importe les larmes et le sang.
Pour eux, seuls comptent l’argent et le pouvoir.
Mais si, par bonheur, ce livre nous apporte ne serait-ce qu’une seule solution à cette humanité désespérée et désespérante, alors, j’en serais fier.
Je ne suis pas un écrivain de métier (même si c’est mon rêve). Dans ce livre, je parle au commun des mortels (dans lequel je me retrouve bien volontiers) et j’utiliserais ce même langage pour me faire comprendre.
Toute vie dirigée vers l’argent est une mort. La renaissance est dans le désintéressement.
Albert Camus
Si je devais qualifier la société dans laquelle nous survivons en un seul mot, ce serait l’extrémisme. C’est le seul mot qui me vient à l’esprit à l’heure où j’écris ces pages. Du reste, les extrêmes des partis politiques sont largement majoritaires dans notre pays et plus généralement remportent des victoires dans d’autres « démocraties ». C’est un argument de plus qui appuie ce raisonnement. Les élections en juin prochain nous le démontrent de manière flagrante.
Une société où l’on vit bien est une société raisonnable, transparente et tolérante, qui respecte son prochain, faisant preuve d’empathie et de bienveillance, agissant pour le bien de l’humanité entière. C’est une société qui écoute sa population pour que cette politique nous mène vers le haut, et non vers le bas, comme c’est le cas actuellement. Peu importe comment on l’appelle. Ce n’est pas important. Ce qui est important, c’est que ce système ait à cœur de respecter le peuple et de vouloir son bien pour son présent et son futur.
Cet équilibre est essentiel pour qu’un système soit viable et enviable. Une société où la culture, la progression personnelle et intellectuelle, l’instruction et l’éducation servent à séréniser un système et à le pérenniser. Dans une société basée sur l’humanité, le temps de travail est plaisant, valorisant et le loisir est enrichissant, la communication est saine et sincère, et l’entraide n’est pas motivée par un profit publicitaire. Bref, un temps de vie appréciable et apprécié. Dans une société saine, toutes ces qualités ne sont pas des défauts.
Mais que vivons-nous aujourd’hui ?
Nous vivons dans un système où les riches sont toujours plus riches et les pauvres toujours plus pauvres. La classe moyenne qui représentait une classe aisée, représentative de la population en générale et de la santé d’un pays, finit par en souffrir et rejoint la classe des pauvres, des esclaves et des indigents.
Le gaspillage est devenu monnaie courante. On consomme à outrance, oubliant que notre planète est en sursis, on recule l’échéance en pensant que ça se passera bien. Mais faire l’autruche ne résoudra pas les problèmes. Ils vous reviendront en pleine face et il sera trop tard pour les gérer. Et à ce moment-là, on jouera les hypocrites en faisant son mea-culpa et en disant : « Si j’avais su ! »
Selon delegfrance.org, en 2019, on aurait jeté 913 millions de tonnes de nourriture dans le monde, soit 17 % de la nourriture totale disponible. Non pas parce qu’elle était immangeable, mais seulement, parce qu’une organisation a décidé d’imposer une date sur ces produits encore consommables. La loi, c’est la loi !
913 millions de tonnes de nourriture qui aurait pu être distribuée aux plus pauvres.
Mais non, on les jette.
Une véritable honte. Pire, on interdit de les redistribuer ! On les détériore volontairement pour éviter d’en faire profiter les personnes les plus défavorisées. Dans ma région, on met les poubelles en cage pour éviter que les plus pauvres viennent se servir. Voilà où nous mène l’avidité, l’appât du gain.
En France, c’est 10 millions de tonnes, soit 16 milliards d’euros.
137 kg de nourriture par personne et par an.
Pour vous donner un ordre d’idée, un Français consomme 85 kilos de viande par an, à l’heure où j’écris ces lignes.
Les chiffres sont tellement absurdes que notre cerveau n’arrive même pas à discerner la valeur et l’importance de tout ceci. C’est indéchiffrable. C’est trop pour nos humbles cerveaux.
Cela veut dire que si on conservait cette nourriture pour la faire consommer ou si on avait une économie équilibrée de cette nourriture, on pourrait nourrir tous les pauvres de France, voire du monde entier.
Aujourd’hui, lorsque je fais mes courses au supermarché, je vois des gens se servir de viandes pour animaux. Non pas pour leur chien ou leur chat. Non, tout simplement parce qu’ils savent que cette viande est encore bonne, qu’elle n’a pas la bonne « couleur » et surtout qu’ils n’ont pas les moyens d’acheter plus cher.
Gaspillage et pauvreté. Une société d’extrême.
C’est tellement triste, tellement pathétique. Et on ne parle que de nourriture. On ne parle pas des appareils électroménagers, des vêtements, des bouteilles (on va revenir aux consignes) qui finissent en mer de plastique dans les océans, etc. Ce même plastique que l’on retrouve dans nos propres corps.
Ces déchets finissent en partie enfouis en terre, ajoutant à la longue liste des déchets enterrés, comme les produits radioactifs et autres joyeusetés de ce genre.
Mais non, les associations comme les restos du cœur sont en faillite, on produit de plus en plus, on construit de plus en plus, et on jette de plus en plus à tel point que la planète n’arrive plus à renouveler son stock de ressources à l’année pour que l’humanité vive. En 2022, c’était à partir du 28 juillet que les ressources terriennes étaient taries et que nous vivions « à crédit ». Jusqu’à quand cela pourra-t-il durer ?
Dans un système où la consommation serait dans l’intérêt de la population, ses règles ne devraient être guidées que par des principes de durabilité, d’équité et de responsabilité sociale. Voici quelques éléments clés que l’on pourrait envisager :
Durabilité
Les choix de consommation devraient être durables sur le plan environnemental. Cela impliquerait la promotion de produits et de pratiques respectueux de l’environnement, la réduction du gaspillage, et la préférence pour des sources d’énergie renouvelables. Oublier l’obsolescence programmée !
Équité
La consommation devrait être répartie de manière équitable, réduisant les inégalités économiques. Cela pourrait signifier des politiques de tarification équitables, la garantie de salaires justes tout au long de la chaîne de production, et l’accès équitable aux biens et services essentiels.
Responsabilité sociale
Les entreprises devraient être responsables socialement et respecter les droits de l’homme. Les consommateurs pourraient privilégier des entreprises éthiques, qui respectent les normes du travail et contribuent positivement aux communautés dans lesquelles elles opèrent. On oublie les étiquettes avec des logos bio flashy qui ne veulent plus rien dire. Abolies les formules de ventes commerciales trompeuses avec des prix dérisoires, mais qui, pour finir, en ajoutant les « options », finissent par un prix exorbitant ! Finie la tromperie.
Transparence
Les informations sur les produits, leur provenance et leur impact environnemental et social devraient être clairement disponibles pour les consommateurs, afin qu’ils puissent faire des choix éclairés. Cette transparence devrait être honnête et sans artifice.
Éducation à la consommation
Une société juste devrait encourager une éducation à la consommation responsable, afin que les individus comprennent les implications de leurs choix de consommation et puissent faire des choix éclairés. En somme, on ne consomme que ce dont on a besoin.
Innovation durable
Encourager l’innovation dans les modes de production et de consommation pour réduire l’empreinte écologique tout en répondant aux besoins fondamentaux de la population. Nous en avons les moyens technologiques.
Réduction de la surconsommation
Encourager des modes de consommation basés sur les besoins réels plutôt que sur le consumérisme excessif. Cela pourrait inclure des incitations à la durabilité, des politiques de recyclage, et une sensibilisation accrue sur l’impact de la surconsommation.
Encore une fois, ces quelques points ne sont pas exhaustifs, mais ils offrent une base pour envisager une approche plus éthique et durable de la consommation dans une société qui se voudrait humaine et juste.
Depuis quelques années, nous vivons des périodes de crise très rapprochées les unes des autres : la crise des « subprimes », la volonté de détruire les dictatures même si, finalement, la solution est bien pire que le mal, le Covid (dont on connaît la gestion erratique des gouvernements), la guerre en Ukraine et l’inflation qui s’en est suivie (qui aurait pensé que l’Ukraine aurait fait monter les prix de TOUTES les matières premières de 20 % à 30 % ?). Et quand on repense au Covid, bien des choses curieuses se sont produites, bien des dits et des non-dits se sont entrecroisés et bien des choses ont été passées sous silence. Quand on repense à l’inflation, bien des choses nous paraissent anormales avec le recul…
Quelle sera la prochaine crise ? Quelles autres peurs seront utilisées pour garder la population sous une emprise malsaine ? Quelles seront les prochaines cibles ?
Des foules qui meurent de noyades (immigrés), de faim (pays pauvres), de maladies qui seraient facilement guéries si on donnait le moyen à nos scientifiques et autres catastrophes naturelles liées aux activités humaines. Des guerres qui sont déclarées pour le bénéfice de multinationales (pétrole, uranium) qui n’apportent aucune solution, et qui mettent les pays victimes dans un état pire qu’avant la guerre, des gens sont dénigrés, détruits et isolés du monde communicant parce qu’ils ont osé montrer du doigt le mal qui ronge notre société. On bombarde des peuples entiers au nom de la vengeance.
Mais le plus ignoble dans tout cela, c’est qu’on ne parle pas des morts, des orphelins, des handicapés et des pauvres, de la nature meurtrie par toutes ces bombes… Non, on parle d’argent, de puissance, de pouvoir ! Pire, on est allié de ces pays-là et on les défend !
Tout ceci est inadmissible ! Tout ceci doit s’arrêter !
Et on voit des gouvernants, l’air faussement contrit, avec la larme à l’œil, faire des discours ou se mettre à une table de discussion pour finalement, s’apercevoir que tout cela n’est que du vent. Une hypocrisie dégoûtante et répugnante, empreinte d’arrogance et de cynisme. On y voit de grandes réunions de chefs d’État dans d’immenses salles, s’applaudirent eux-mêmes, avec des larmes charlatans, parce qu’ils ont réussi à s’entendre sur une baisse du taux de CO² de 0,5 %, alors qu’il en faudrait 10 fois plus, et cela, sans obligation de résultat ! Et lorsque, par miracle, la solidarité se met en place, c’est parce qu’un intérêt personnel sous-jacent se présente à elle.
Au lieu d’un système financier qui travaillerait pour l’humain, nous assistons à un esclavage moderne où le capitalisme enchaîne les gens dans des crédits à court, moyen ou long terme, des addictions confortables et malsaines, des « obligations » de consommations inutiles qui mènent à des frustrations intenses et profondes. Telles sont les contradictions de la société : « on » sait que ça nous fait mal, mais comme « on » aime, « on » continue avec fatalité sans se soucier des conséquences. Des habitudes « cocaïnes » et suicidaires qui détruisent notre société à petit feu.
On en est à acheter des bouteilles d’eau de source au prix fort, alors que ces mêmes eaux sont traitées pour être potables !
One paie plus un abonnement pour éviter la publicité, on paie un supplément dans notre abonnement pour ne pas avoir de publicités !
Jusqu’où irons-nous dans le ridicule ? Quand taperons-nous du poing sur la table pour dire : « NON » ?
Bref, pour être très clair, avant l’argent était au service de l’humain. Maintenant, l’humain est esclave de l’argent. Je me pose encore la question de savoir quand avons-nous inversé la tendance…
Et ces puissants qui utilisent ce levier pour s’enrichir à outrance. Cela mène à un peuple lobotomisé, acceptant l’inimaginable, dénué de la moindre émotion et d’empathie, drogué à l’excès, sans réaction, comme des pantins désarticulés.
De la chair à billet.
La responsabilité des puissants est là, présente à tous les étages, omnipotente et omniprésente. Le sang ruisselle sur leurs mains.