D’ombres et de lumières E-Book

Fanny Simon

• Herausgeber: Le Lys Bleu Éditions
• Kategorie: Geisteswissenschaft
• Sprache: Französisch
• Veröffentlichungsjahr: 2024

Seitenzahl: 136

Beschreibung

Chaque ouvrage est une manifestation de l’esprit de son auteur, un véhicule énergétique qui offre la possibilité d’atteindre une forme d’harmonie en déchiffrant les symboles gravés en nous et dans notre environnement. C’est une alchimie subtile entre le corps, l’esprit et l’âme, aboutissant à la création de la plus précieuse des potions : la magie, sans artifice. Ainsi, "D’ombres et de lumières" nous invite à suivre le parcours des civilisations en explorant nos avancées et nos égarements depuis les premiers jours de l’humanité, dans le but ultime de redécouvrir nos racines et de progresser vers un monde meilleur : celui qui réside en nous.

À PROPOS DE L'AUTRICE

Fanny Simon partage une part de sa vie et de ses défis à travers ses écrits, soulevant des questions profondes sur notre monde et mettant en lumière l’impasse du dualisme depuis des siècles.

Leseprobe

Fanny Simon

D’ombres et de lumières

© Lys Bleu Éditions – Fanny Simon

ISBN : 979-10-422-3646-5

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À ma famille d’âmes bienveillantes dans l’Invisible

À mon Ange de douceur

À mes chers enfants

À vous tous

À nous

Introduction

J’aurais certes pu réaliser un seul et même livre, certains s’en poseront peut-être la question, mais les circonstances se sont présentées autrement. J’étais en effet limitée par le nombre de pages dans le premier, alors qu’étrangement une amie chère ne l’a pas été pour le même éditeur, mais il n’y a jamais de hasard, nous le comprenons un jour ou l’autre.

Tout ce que je partage ici est bien entendu intégralement en lien avec ma propre expérience et mon vécu. Cela concerne donc au fond ma propre réalité, et sera donc juste, uniquement me concernant, ayant tous une vie et une voie bien différentes et tout aussi méritant d’être partagées. Certains points pourront néanmoins se disperser telles des graines, qui pourront germer si nous faisons le choix de les planter. Il est bon de garder en tête que tout est écrit au présent, et que bien des choses peuvent donc se modifier ou évoluer.

Il y a également dans l’ouvrage précédent des erreurs de sens que je n’ai pas vues lors de la relecture. Les fautes de conjugaison m’importaient peu, mais de sens, moins, car un mot peut tout changer. Comme pour la phrase « la monnaie à donc changée de temps » où je voulais écrire « la monnaie a donc changé le temps ». Ces fautes sont survenues pour m’amener à lâcher-prise sur le besoin intérieur que nous avons de tout contrôler, car il y a aussi un sens caché lorsque ce genre de problématique survient. Nous pouvons comprendre pour la première phrase, si nous cherchons bien, qu’elle n’est pas non plus dénuée de tout sens. N’étant pas de plus à l’origine de tout le processus que régit l’Univers, les mots sont aussi des fenêtres, et nous le comprendrons plus loin.

Cela aura aussi permis au lecteur, par ce genre de « fautes » ou « d’erreurs » concernant également la formulation, de conserver son libre arbitre en faisant preuve de discernement. Et de prendre les choses avec légèreté et détachement, comme pour tous les évènements concernant notre vie entière. Quoi qu’il en soit, il y aura sûrement pour ces écrits aussi des oublis ou incomplétudes, et je devrais l’accepter également, si je ne veux pas passer toute ma vie à écrire.

Que le texte corresponde à une certaine forme construite et organisée ou à certains critères m’indiffère. L’âme n’a que faire de l’ordre et du temps, les partages ci-après seront donc écrits tels qu’ils viennent. Notre mental en sera peut-être perturbé, mais notre âme, pas le moins du monde. Elle prendra simplement les clés qu’elle a à prendre pour déverrouiller ses propres portes, si des évènements résonnent avec nos propres mémoires.

J’ai de plus toujours été habituée à recevoir diverses critiques, et l’avis du monde de l’homme ne m’importe désormais guère, sans aucune prétention. J’ai simplement choisi de servir le monde Divin, au vu en plus de la manière dont ma propre espèce m’a traitée. Même si c’était au fond ce que je devais traverser pour suivre la direction que l’Univers me faisait prendre en adéquation avec mon contrat d’âme. Les critiques potentielles de l’homme me confortent d’autant plus quant au fait d’avoir enfin la certitude de ne jamais avoir appartenu ou voulu m’associer à ce monde malade, et que j’étais depuis le début sur la bonne voie par mes ressentis, au vu des miracles qui m’ont également été donné de voir et de vivre dans ma vie. Ils feront d’ailleurs certainement l’objet d’autres livres, un jour.

Tous mes écrits sont là pour être transmis à mes enfants, tel un accompagnement que l’on exerce quotidiennement lorsque nous sommes à leurs côtés en leur partageant des choses qui nous semblent importantes, pour leur permettre de réunir un maximum de conditions favorables à leur vie, ainsi que pour le moment où ils prendront leur envol.

Ces choses sont partagées ainsi publiquement car j’ai bien plus confiance en l’algorithme de l’Univers et ses synchronicités, qu’au notaire à qui je payerai une fortune pour leur remettre des textes à mon décès, alors que la majeure partie de la vie de mes enfants sera déjà bien entamée. Je me sens en effet encore « responsable » de mes enfants, et ce jusqu’à la fin de mes jours, même si l’on m’en a privée. On devrait, certes, déjà être en premier responsable de notre propre vie, mais je serai toujours leur mère, et surtout leur maman, car ce sont deux fonctions bien distinctes. L’amour et la bienveillance passent avant le devoir imposé par une société malade. Ou bien avant les droits qu’elle semble s’être accordés à notre place, comme le fait de pouvoir enlever un enfant contre son gré, nommé pourtant « Kidnapping » sous couvert de toute « légalité ». Cela dépend pour bien sûr qui.

L’amour reste omniprésent par le lien de l’âme, même si tout semble coupé en apparence. Il est toujours possible d’œuvrer à distance, et pas un jour ne passe sans que je prenne au mieux soin de mes bébés, en étant à leurs côtés de manière consciente ou inconsciente par l’intention, et le corps éthéré durant les nuits, ou vice versa. Car nos enfants en bas âge sont plus proches de leur corps éthéré, c’est plutôt eux qui viennent nous visiter durant les nuits que le contraire. Les enfants en effet sont encore en possession de bien des capacités en rapport aux adultes, qu’il ne faut pas laisser détruire. Ils sont notre avenir ou notre merveilleux présent, tout dépend de la manière dont nous nous positionnons. Et de la manière dont nous les considérons. Ils sont, pour moi du moins, un merveilleux cadeau.

Je n’écris pas non plus pour le type de reconnaissance auquel nous pensons. J’ai déjà reconnu mon Essence par le Père. Le Père Inné. Que ce soit par ma foi, mais aussi par le « périnée », c’est-à-dire par la réparation énergétique et progressive, en lien avec le corps physique et également le chakra racine.

J’écris aussi parce que j’aime l’écrit littéraire. Je pourrais certes tout à fait écrire un roman mais je trouve qu’il est plus intéressant et passionnant de parler de la vraie magie. Celle que nous pouvons tous vraiment rencontrer et vivre au sein de notre réalité.

Et enfin, écrire est également un des moyens que j’ai choisis pour contribuer au bien commun durant ma période « sans activité », selon les critères sociétaux. Sinon, je suis en activité en œuvrant d’une autre manière par les plantes médicinales, et en lien avec la Nature. Nous sommes de toute façon tout le temps en constante activité, et également lorsque nous ne faisons « rien » ou, en étant, dans le « rien ».

Comme pour le premier livre, malgré le tarif affiché, je les propose aussi de manière gratuite. Cette forme d’échange, le don contre don, correspondant mieux aujourd’hui à mes valeurs, et aux aspirations de mon âme.

Mais, il nous faut encore composer quelque peu avec la « société », tant qu’elle n’a pas pleinement retrouvé ses vraies valeurs.

Et si la vie sur Terre n’était qu’un début ?

L’Univers. Tendre enfin vers le Un. Unis, vers, pourquoi pas, un monde meilleur. Mais le voulions-nous vraiment ? Notre In-Conscience nous avait tant fait perdre de nos origines et nous éloigner de ce que nous étions autrefois. Glorieux et resplendissants de lumière.

Nous vivons aujourd’hui dans un monde impitoyable en apparence, mais tout aussi magnifique et mystérieux lorsque l’on parvient à l’observer sous un œil nouveau et empli de magie. Il faut simplement se le permettre à soi-même, et en approcher ou en comprendre quelque peu le processus. L’Univers est en effet une belle Création complexe et bien ficelée, et chacun y est à sa place, jouant son rôle. L’ombre étant également en quelque sorte aussi au service de la Lumière.

C’est un monde qui ne nous permet cependant pas sa totale compréhension d’un premier abord, l’homme étant tel qu’il est à ce jour, c’est-à-dire pas assez performant pour tout canaliser en plus d’être régi par diverses mesures gouvernementales. Des mesures qui gouvernent donc son mental. La vérité ne pourra donc pas être écrite telle qu’elle est. À savoir, Une, Juste, et Immuable, en ce qui concerne le monde Céleste et Divin. Elle est cependant, pour le monde de l’homme, un perpétuel changement, car la vie qui l’entoure est en mouvement constant. Et nous l’oublions bien souvent, cherchant une forme d’assurance dans la stabilité préprogrammée d’un avenir pourtant bien incertain.

À nous donc de nourrir « le bon loup ». Mais si nous observons entre les lignes, comme je l’avais abordé par la subtilité de la Langue des Oiseaux dans l’ouvrage précédent, nous pouvions y voir de manière plus volatile : nourrir le bon l’où. Le bon Où. C’est à dire, le bon Monde. Car, il existe même des mondes au sein de notre monde, et même des mondes dans les mondes des mondes, et cela à l’infini. Absolument tout est vivant.

Nos pensées étant créatrices, ou plus précisément notre Esprit, nous avons donné vie ici dans nos choix, à des lieux intérieurs comme extérieurs à nous-mêmes non désirables, et aggravant ou nous détournant de notre voie. Il nous revient alors de faire preuve de discernement en choisissant bien le monde dans lequel nous voulons vivre, et de créer des Alliances de ce fait, avec les bons êtres. Nous avons choisi dans le fonctionnement sociétal ici de nourrir les ténèbres, et sceller notre avenir en continuant de perpétuer les atrocités ordonnées par l’ombre. Nous avons choisi de vivre dans la bêtise humaine en cultivant le non-sens, nous plaignant de surcroît que le Bon Dieu ne nous vienne pas en aide. Cela est pourtant normal puisque nous avons choisi de le renier en nourrissant le monde de l’homme ainsi que ces ténèbres qui sont à la tête.

Comment alors le Bon Dieu, quelles que soient nos croyances, pourrait-il en être tenu responsable ? Nous faisons chaque jour, à chaque instant présent, le choix conscient de lui tourner le dos et de nier son existence en refusant d’accepter notre caractère sacré. Même si nous allons prier quotidiennement. Nos actes quotidiens et subtils sont en désaccord, et le Tout-Puissant est loin d’être dupe, il « sait » tout et « voit » tout. Si nous pensons réellement que par une simple confession nous pouvons nous absoudre de nos péchés, alors nous nous trompons. « Tu as violé mon enfant, prie dix fois et tu seras pardonné… » cela est d’un parfait non-sens, mais nous y croyons pourtant sincèrement. Notre ignorance nous amène à remettre notre pouvoir entre les mains d’un autre, qui les a parfois bien plus sales que les nôtres. Il revient pourtant à nous et nous seuls de prendre en main notre vie, tout en faisant preuve de réflexion quant aux énergies qui en découlent. Car même si nous n’en mesurons pas les répercussions sur l’instant, elles finissent par nous revenir dessus, tel un boomerang. Dans cette vie, dans une autre, ou dans celle de notre lignée transgénérationnelle.

Violences, pillages, meurtres, viols, abus de pouvoir, alimentation déplorable, manipulations, sexe compulsif, destruction de toute la planète, argent et pouvoir… Il n’y a rien au sein de ces actes que nous fassions de manière sacrée et respectueuse du vivant. En effet, nos actes, nos pensées, ainsi que nos paroles ne sont pas bons ni justes. Elles n’ont rien en lien avec une provenance Divine. Alors puisque nous adoptons ainsi un comportement quotidien qui est en adéquation avec les plus basses fréquences, ce sont alors elles que nous nourrissons, et qui donc nous gouvernent.

Il est souvent pensé, par erreur, que pour quelques éternels beaucoup doivent mourir, mais à quoi bon vouloir être éternel sur Terre, si cela doit coûter la vie d’une seule personne ? À trop vouloir se battre pour gagner la possession unique et personnelle d’un bien extérieur à nous-mêmes, nous nous autodétruisons. Lorsque nous serons alors seuls, au sein de nos propres enfers, nous regretterons alors d’avoir souhaité l’éternité. Notre égocentrisme et la souffrance infligée à l’autre seront alors notre propre punition, et nous aurons toute l’éternité pour le méditer. La loi de cause à effet est un des principes Universels, une Loi Divine, et nul ne peut y échapper. Il serait alors temps d’arrêter de nous diviser et de nous punir les uns les autres, le bonheur étant un peu plus compliqué à trouver que par des actes dictés par de simples réponses mentales. Dieu reconnaîtra toujours les siens. Même si en même temps : « Pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » Désormais, nous savons.

Nous sommes en effet loin de détenir le recul et la sagesse nécessaires afin de prendre de la hauteur sur les faits, tout comme pour moi bien sûr aussi, et surtout lorsque les faits ne correspondent pas à nos critères mentaux personnels préétablis, ou préjugés par un immense endoctrinement collectif. Il est cependant des vérités qui ont été permises à l’homme d’approcher. Et si nous voulons sortir des rouages de notre mental, chaque élément doit faire l’objet d’une observation et non d’un jugement, car le Juge ment.

Juger est en effet la plus grande faille de l’homme. Nous en avons de plus ajouté des complications, en plaçant des hommes reconnus à ce poste, pour mener ces fonctions pourtant, purement égotiques. L’unique but étant d’exercer sur nous un fort contrôle, alors que ces gens-là ne sont pas encore même conscients de leur propre existence. Ils font simplement partie d’un processus visant à nous plomber, et ralentir notre évolution, tout comme nombreuses démarches administratives, nous faisant vivre au ralenti en rapport à d’autres formes de vies bien plus avancées. Mais, comme il n’y a pas de hasard, par ces jugements proférés à notre encontre, nous sommes amenés à reprendre notre pouvoir et récupérer notre lumière, pour faire le choix de couper définitivement avec l’ombre. Et ainsi ne plus lui accorder un quelconque pouvoir. En effet, face à la persécution acharnée et à l’abus de pouvoir d’une justice injuste, il ne reste pas d’autres alternatives que de prendre de la distance. Car nous ne sommes pas notre mental ni notre personnalité. C’est un leurre nous induisant donc en erreur. Et si nous souhaitons aller de l’avant et enfin évoluer, prendre son envol est nécessaire. Même si malheureusement, ils ont volé une partie de notre âme au passage. Une partie de notre lumière, c’est le but premier de ce genre de système, non ce qu’ils avancent comme leurre perfide.

L’autre n’est en rien responsable de nos propres schémas mentaux apparaissant sous forme de fausses croyances, désirs, émotions ou mêmes de peurs. Il n’a donc pas non plus à porter le poids de nos souffrances parce que nous ne sommes pas parvenus nous-mêmes à les nettoyer. Il serait en effet plus sage et raisonnable d’en avoir conscience et de nous en occuper, plutôt que de priver quiconque, de sa famille, de son principe de vie, sa liberté. Chacun avance en effet comme il le peut à la recherche de son propre bonheur, le Plan au fond étant bien parfait. Mais parfois malheureusement à quel prix ? Désormais nous en connaissons les répercussions et nous pouvons devenir meilleurs afin d’évoluer. Pour soi, pour l’autre, pour nous tous, car nous sommes tous interconnectés d’une manière bien subtile.