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Avec une approche ludique et décontractée, ce dictionnaire ne prétend nullement offrir des réponses toutes faites à des questions existentielles. Au contraire, il se contente de partager des anecdotes, des observations, des citations et des comportements glanés au fil des expériences variées de l’auteur et de certaines références notables. Son but est simple : stimuler la curiosité, encourager la réflexion et éveiller quelques prises de conscience chez le lecteur.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Conseiller scientifique, professeur associé de recherche et consultant international en management,
Pierre de Vincla dévoile les secrets de ces domaines fascinants à travers une série d’ouvrages captivants.
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Pierre de Vincla
Dictionnaire de pensées
Pérégrinations métaphysiques
d’un sale mec
Essai
© Lys Bleu Éditions – Pierre de Vincla
ISBN : 979-10-422-3656-4
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
CPV – ARTIGRAPHIC
Dictionnaire de pensées – Pérégrinations métaphysiques d’un Sale Mec
Un sale mec : Un individu, aux racines pas véritablement définies, sensible, romantique, réactif, en proie à un doute Nietzschéen permanent, bien mieux que certains, mais parfois pire que d’autres.
Je dédie cet ouvrage à tous ceux qui me sont proches :
À Marie-Madeleine ;
À Damien et Lucie ;
À Elisa et P.A ;
À Nathalie et Vincent ;
À Annie et Michel ;
À Yannick et à son clan.
Je dédie, plus particulièrement, ce livre à Elisa et Damien, mes petits-enfants, pour leur signifier, peut-être,
que les questions demeurent fondamentalement
plus importantes que les réponses qui restent toujours inexorablement fausses, plus particulièrement
si nous nous plaçons d’un point de vue épistémologique.
Écrire sur des sujets aussi divers, revient à prendre un risque certain, mais, par contre, cela en autorise, bien plus facilement, l’indispensable transgression.
D’un point de vue téléologique, ce modeste ouvrage n’a aucune prétention, sauf à faire quelques « clins d’œil », parfois anecdotiques, parfois réflexifs, à déguster sans aucune préséance, en fonction de l’état d’âme du moment.
Construit à partir de réflexions personnelles, d’assertions, d’échanges avec ceux que j’aime, voire de citations, glanées çà et là, formalisées toujours différemment, au fil de l’expérience de l’auteur, mais aussi enrichie par quelques références notables, cet ouvrage ne cherche, en fait, qu’à poser un certain nombre de constats et à susciter quelques questionnements chez le lecteur.
Nous nous excusons, bien sincèrement, auprès de ceux qui, de près ou de loin, auraient contribué, parfois à leur corps défendant, à faciliter la formulation de certains extraits.
DE L’ABONDANCE : L’abondance n’est qu’une perversion de la société de consommation… Le strict nécessaire devrait, par nature, nous être suffisant.
DU POUVOIR : « Abus » : Un terme généralement synonyme de « pouvoir ».
D’UNE RÉSISTANCE A L’ABSENCE : Le véritable amour résiste à l’absence.
DU TORT DES ABSENTS : Dans la relation amoureuse, comme dans la vie en général, les absents ont toujours tort.
D’UNE NOTION D’ABSOLU : La seule assertion qui peut être absolue : « c’est que rien n’est absolu. »
DE L’ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE : Dans l’accompagnement personnalisé, nous constatons, très souvent, une dynamique relationnelle totalement paradoxale que nous pouvons traduire de la manière suivante : « Tu dois absolument réussir parce que j’ai échoué, mais cette réussite me renverra implacablement, à un moment ou à un autre, à mon propre échec, et nous ne pourrons nous quitter que de manière douloureuse. »
DE L’ACCOMPAGNEMENT DE L’AUTRE ET DES AUTRES : Vouloir, à tout prix, accompagner « l’autre et les autres » peut parfois signifier l’expression d’un refus inconscient d’accompagnement de soi.
DE L’ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE ET DE LA PERFORMANCE : Dans les démarches « psychologiques » d’accompagnement personnalisé, le niveau de performance d’un « accompagné » représente, toujours et uniquement, un bénéfice secondaire, plus ou moins obligé, mais jamais un objectif.
DE L’ACHAT COMME PREUVE FALLACIEUSE D’EXISTENCE : Dans notre société de surconsommation s’impose l’obsédante nécessité d’acheter pour exister. « J’achète, donc je suis ! » Mais il nous faut bien convenir que ce qui s’achète ne vaut, en réalité, pas grand-chose, car l’essentiel, par nature, ne s’achète pas.
DE L’ACTION ET DE L’INTENTION : Il convient toujours de se questionner sur l’intention, et cela, quelle que soit « la nature de l’action ».
DE L’ACTION ET DE SON BUT : Lors du déroulement d’une action, n’oublions jamais de nous recentrer sur le but initial, labile par nature.
DES MARQUEURS DE NOS ACTIONS : Ce sont, avant tout, nos actions qui définissent ce que nous sommes.
DE L’ACTION COMME DÉMARCHE COGNITIVE : La plus vaine des attitudes consiste à ne rien tenter ! Car il n’existe pas d’échec dans l’action : soit nous progressons dans notre apprentissage des « choses », soit nous réussissons.
DE L’ACTION ET DU RÊVE : L’action reste déterminante pour nous permettre d’inscrire nos rêves dans la réalité.
DES ACTIONS ET DE L’INTENTION : Méfions-nous ! Certaines bonnes actions apparentes cachent parfois de très mauvaises intentions.
DES ACTES DE LA RELATION AMOUREUSE : Seuls les actes demeurent indispensables pour construire, puis pour entretenir une relation véritable amoureuse.
DE L’ACTION ET DES CRITIQUES : L’action engendre toujours des critiques ! Critiques vis-à-vis desquelles il convient d’avoir la plus grande circonspection.
DE NOS PLUS BELLES ACTIONS : Les plus belles actions restent généralement celles dont, par pudeur, nous parlons le moins.
DU PROCESSUS D’ADAPTATION : Pour améliorer notre capacité adaptative, il serait peut-être temps de cesser de faire, obsessionnellement, toujours la même chose pour enfin faire autrement.
DES ADULTES ET DES ENFANTS : Les adultes dépensent beaucoup d’énergie pour tuer leur bien le plus précieux… L’enfant qui sommeille en eux.
DE LA DIFFICULTÉ D’ÊTRE ADULTE : Les adultes ne sont, en fait, que des enfants qui ont tenté désespérément de grandir.
DE L’ADULTÈRE COMME MARQUEUR : L’adultère s’érige inexorablement en un marqueur cruel, impitoyable, et triste, de la faillite d’un amour.
DE L’AFFIRMATION DE SOI : « Je », un vocable qu’utilisent généralement les personnes responsables qui assument leurs assertions.
DE L’AGE ET DU LARGE : Il nous faut, en temps voulu, savoir prendre le large pour ne pas prendre de l’âge !
DE L’AGE : L’âge, demeure, avant tout, l’expression inéluctable du temps qui passe, et il possède, hélas, comme caractéristique implacable, de n’attendre personne.
DE L’AGE COMME TEMPS RELATIF : Prenons bien garde, car, dans l’existence, il est toujours bien plus tard que nous l’imaginons, même dans nos scénarii les plus optimistes.
DE L’ALCOOLISME :Et si nous cessions enfin, cette curieuse habitude, très française, qui nous porte à chercher compulsivement, mais vainement, à tout rendre lisse, à tout déculpabiliser, à tout déresponsabiliser !
Certes, l’alcoolisme reste une maladie, mais avant d’être une pathologie où les addictions physiologiques et psychiques jouent un rôle prépondérant, cela demeure un choix, voire parfois une certaine facilité, voir souvent un évitement, de l’ordre d’une régression au stade oral, plus ou moins archaïque, selon les romans familiaux en question.
DE L’ALCOOL ET DES RELATIONS HUMAINES ET SOCIALES : L’alcool possède cet indéniable avantage qu’il rend très souvent, à partir d’une dose respectable d’ingestion, l’autre et les autres particulièrement dignes d’intérêt, malgré leur médiocrité avérée.
DE L’ALCOOL ET DE LA CULPABILITÉ : L’alcoolisme, « confortablement » installé, reste l’un des antidotes les plus performants de la culpabilité :
Parce qu’il érode toute culpabilité quant à l’objet désigné consciemment ou inconsciemment… Mais aussi, parce qu’il annihile, à travers son mécanisme implacable d’addiction, la culpabilité du rapport à l’alcool.
DE LA MANIÈRE D’ALLER : Il nous faut souvent choisir entre « Aller vite » et « aller loin », car les deux sont rarement compatibles.
DES MODES D’ALIÉNATION : Les différentes modes d’aliénation nous offrent comme bénéfice secondaire celui de nous rassurer.
INCONTOURNABLE ALTERNATIVE : Dans la « Jungle de la dynamique relationnelle », nous sommes souvent contraints de choisir entre « avoir la paix » et « exprimer le fond de notre pensée ».
D’UNE CERTAINE ALTERNATIVE : Nous sommes parfois confrontés à l’alternative suivante : « ne pas changer d’avis » ou « changer de vie ».
DE L’INDÉFECTIBLE AMITIÉ : Seuls les véritables amis se trouvent en capacité de comprendre ce que nous ne disons pas.
DES AMIS ET DE NOTRE PERSONNALITÉ : Vous voulez, sans aucune concession, savoir, qui vous êtes ? Regardez attentivement le cercle de vos amis !
DE L’AMITIÉ : Un véritable ami ? C’est une personne qui se rapproche de vous dès que vous avez besoin d’elle.
DE L’AMITIÉ : Soyons réalistes ! Une amitié qui, aujourd’hui, n’est plus une amitié, n’a jamais été une véritable amitié… Ce n’était qu’une relation toxique dans laquelle vous étiez instrumentalisés.
DE L’AMITIÉ ET DU DÉSERT DE LA VIE : Un ami ! Celui qui partage votre désert et qui vous conduit jusqu’à l’oasis la plus proche.
DE LA NATURE DE L’AMITIÉ : La véritable amitié représente le somptueux mélange de la lucidité et de l’aveuglement.
DES ÉPREUVES ET DE L’AMITIÉ : La véritable amitié ne se décrète pas, car elle se donne à voir quotidiennement dans les épreuves de la vie.
DE L’AMITIÉ ET DE L’ADVERSITÉ : L’adversité : Un marqueur avéré qui nous permet de reconnaître nos véritables amis.
DE L’AMITIÉ : L’amitié ! Une paradoxale parenthèse, fabuleuse et extraordinaire, qui ne possède aucune limite dans le temps.
DE LA COMPRÉHENSION DE L’AMOUR : L’amour nous semble difficilement compréhensible… Autant l’inscrire dans une démarche onirique inaccessible, par nature.
DE L’AMOUR COMME RENCONTRE : L’amour ! L’amour représente d’abord une rencontre, puis une indéfectible volonté partagée.
DE LA FIN D’UN AMOUR : En amour, la fin ne traduit que très rarement ce que présageait l’idylle du début.
DE L’AMOUR ET DE L’INCERTITUDE : L’amour se nourrit plus particulièrement d’incertitude et de doute qui lui permettent ainsi d’exister, puis de durer.
DE LA QUESTION DE L’AMOUR : Une manière efficace de savoir si nous sommes véritablement amoureux : C’est de se trouver en incapacité de savoir pourquoi !
DE L’AMOUR COMME VOYAGE : L’amour, comme voyage, représente un voyage initiatique vers l’essentiel.
AIMER ! :C’est accepter et se réjouir de la tendre perspective de vivre ensemble.
DU REGARD DE L’AUTRE : Aimer, c’est aussi pouvoir regarder son image sublimée dans le regard de l’autre.
DE LA DISTANCE : Lorsque nous aimons, il est possible de se perdre de vue sans se quitter des yeux.
DE L’AMOUR ET DE L’ÉTERNITÉ : L’amour représente un instant d’éternité, et il lui est donc impossible de s’épanouir dans la durée.
DE L’AMOUR AVEUGLE : Contrairement aux idées reçues, l’amour n’est pas aveugle… Il devient simplement victime d’un éblouissement, d’un enchantement, voire d’une fascination.
DES DIFFICULTÉS DE L’AMOUR : Un amour malheureux aujourd’hui ne remet jamais en cause ni notre capacité d’aimer, ni l’amour en général.
DE LA LECTURE DE L’AMOUR : L’amour s’écrit avec notre cœur en dialoguant avec notre âme.
DE L’AMOUR ET DU BONHEUR DE L’AUTRE : L’amour évolue en un « État » définitivement merveilleux lorsque seul le bonheur de l’autre nous devient essentiel.
DU CONSTAT DE LA RELATION AMOUREUSE : L’amour ne peut que se vivre pleinement pour pouvoir, ensuite, le constater.
D’UNE CERTAINE RECHERCHE DE L’AMOUR : Il reste inutile de vouloir courir absolument après l’amour, puisque, de toutes les façons, c’est lui qui nous rattrape.
DE L’AMOUR COMME ÉTAT DE GRÂCE : L’amour représente un état de grâce particulier durant lequel notre bonheur dépend totalement du bonheur de l’être aimé.
DES ÂMES ET DU CORPS : L’amour s’érige en somme harmonieuse de l’émotion de deux âmes et de la merveilleuse symbiose de deux corps.
DE L’AMOUR COMME DÉRAISON : L’amour peut tout simplement se résumer en une sorte de « déraison » à l’état pur.
L’AMOUR COMME ÉTAT PARTICULIER : L’amour reste un état particulier indescriptible, pour l’excellente raison qu’il ne ressemble à rien d’autre qu’à lui-même.
DU VOCABULAIRE DE L’AMOUR : L’amour intense rend irrémédiablement désuet le vocabulaire censé l’exprimer. (Confère la notion de castration symbolique.)
L’AMOUR COMME FRAGILITÉ : L’amour ! Cette ultime fragilité capable de se donner à voir et de représenter, en fait, notre seule véritable force.
DE L’AMOUR QUI CONVIENT : Lorsque nous aimons, il n’est pas important d’avoir les mots qui conviennent, mais il demeure impératif d’avoir surtout l’amour qui convient.
DE L’ACQUIS : Il faut toujours aimer pour le meilleur, aussi, hélas, parfois pour le pire, mais jamais pour l’acquis.
DU PARADOXE DE L’AMOUR : Le paradoxe de l’amour nous autorise à aimer l’autre, mais aussi à prendre éventuellement le risque de le perdre.
DE NOTRE RAPPORT A L’AMOUR : Ne soyons pas dupes ! Nous ne faisons pas l’amour, c’est l’amour qui nous fait.
DE LA DILATATION DU TEMPS : L’amour ne suspend que très rarement le temps, mais il le dilate fabuleusement.
DES MINUTES EN FRAGMENTS D’ÉTERNITÉ : La force d’un amour ne peut se mesurer qu’à l’aune de l’insoutenable absence de l’être aimé, transformant ainsi les minutes en fragments d’éternité.
CONSTRUCTION D’UNE HISTOIRE ET DU CHAMP DES SOUVENIRS : Ce que les amants donnent à l’amour ne saurait être perdu… Car ces instants construisent leur histoire et structurent le champ de leurs souvenirs.
DE L’ÉVIDENCE DE L’IMPOSSIBLE : L’amour entre deux êtres devient d’autant plus évident qu’il nous semblait, de prime abord, impossible.
DE L’AMOUR à PRENDRE OU à LAISSER : L’amour authentique que nous offre l’autre se donne à prendre ou à laisser, mais il ne peut, en aucun cas, être à prendre et à laisser.
DE L’ÉMERGENCE DU DÉSIR : La quête amoureuse revient très souvent à faire émerger le désir chez l’autre, puis à tenter, plus ou moins désespérément, de le combler.
DE L’AMOUR QU’IL FERA DEMAIN : Comme pour les prévisions météorologiques, il faut toujours profiter de l’amour dans l’instant qu’il nous donne, car nous ne savons jamais l’amour qu’il fera demain.
DE LA NÉCESSITÉ DE FAIRE AIMER L’AMOUR : Seule la personne que nous aimons possède la capacité de nous faire aimer l’amour.
D’UNE CLE ET DE PORTES PARFOIS INATTENDUES : L’amour représente une merveilleuse clé qui ouvre souvent, hélas, sur la porte des désillusions.
DE L’AMOUR ET DE L’IMPOSSIBLE : Le véritable amour se reconnaît facilement, car il nous autorise parfois à tutoyer l’impossible.
D’UNE CERTAINE RAISON D’AIMER : Sans aucune contestation possible, l’amour reste la seule véritable raison avérée d’aimer.
D’UNE CROYANCE INCONDITIONNELLE : Pour aimer : il est nécessaire de croire aveuglément en la personne que nous aimons.
DE L’AMOUR ET DE L’ÉROTISME : L’érotisme reste très différent de l’amour, car dans sa recherche d’un esthétisme absolu de la relation amoureuse, il en tue l’indispensable spontanéité.
DU PLAISIR DE L’AUTRE : L’amour absolu repose, avant tout, sur l’immense bonheur que nous donne le plaisir de l’autre.
DE L’AMOUR ET DE LA COMPREHESION : Aimer : c’est comprendre, avant tout autre chose.
DE L’AMOUR, DU BONHEUR ET DU MALHEUR : L’amour ne représente, par nature, que la somme du merveilleux bonheur de sa présence et du profond malheur qui accompagne son absence.
DE L’AMOUR FOU : Face à la déraison du temps qui passe, il ne faut jamais choisir entre la folie et l’amour… Il convient de prendre, sans aucune hésitation, l’option de l’amour fou.
DE L’AMOUR COMME CONSTAT : L’amour ne peut être expliqué, aussi nous est-il simplement donné à vivre, le plus pleinement possible.
DU SYNDROME DE LA CARPE : C’est comme le syndrome de la carpe… Sans la carpe, l’homme ne pourrait savoir qu’il ne possède pas de nageoire… Et, sans l’absence de l’être aimé, l’homme ne pourrait identifier ce qu’est l’amour.
DE L’AMOUR AU DÉSIR : L’amour représente toujours la clé de la passion et la passion demeure, de manière avérée, la porte du désir.
D’UNE INEXORABLE PRISE DE RISQUE : Aimer totalement, éperdument, follement, représente incontestablement la plus merveilleuse prise de risque que nous puissions prendre dans notre vie.
DU RISQUE DE LA PERTE DE L’AMOUR : S’autoriser à aimer revient, en fait, à accepter le risque, hélas, souvent inéluctable, de perdre cet amour.
DE LA CULTURE DE LA DÉRAISON : Nous parlons, à juste titre, « d’amour fou » parce que les fous et les amoureux appartiennent au même genre humain : celui de la culture de la déraison.
LA RELATION AMOUREUSE ET DU TEMPS : La relation amoureuse ne s’use jamais, mais à la condition expresse de l’entretenir chaque jour, résolument, obstinément, inlassablement, précautionneusement…
DE LA PRÉSÉANCE DANS LA RELATION AMOUREUSE : Avant l’amour, si cela nous semble possible, il convient de respecter la préséance suivante : il faut écouter l’autre, puis l’entendre, et enfin réfléchir sur la manière de mieux l’aimer.
DE L’EXPRESSION DE L’AMOUR : Le grand amour ne se dit pas, car confronté à sa « propre castration symbolique », il reste impossible à exprimer.
DE L’INSOLUBLE PARADOXE : Nous sommes contraints, dans la relation amoureuse, de toujours aimer trop, sinon cela signifierait que nous n’aimons pas assez.
D’UN CERTAIN ÂGE DE L’AMOUR : Être amoureux suppose d’avoir dix-huit ans ensemble, au même instant, et cela quel que soit notre âge véritable.
DE LA REDÉCOUVERTE DE L’AUTRE : L’amour représente la capacité de redécouvrir l’autre, chaque jour, avec émerveillement.
DES BLESSURES DE L’AMOUR : Un amour blessé reste toujours une des situations les plus dangereuses dans la relation amoureuse.
DE L’AMOUR ET DU VIDE DU PASSÉ : Seul l’amour se trouve en mesure de combler les blessures et les vides du passé, de deux êtres maintenant indéfectiblement réunis.
DE L’IMPERFECTION DE LA RELATION AMOUREUSE : L’amour nous condamne inexorablement à toujours n’aimer qu’imparfaitement.
L’AMOUR COMME SUBLIMATION : L’amour se sublime totalement dans la rencontre avec la nudité de l’être aimé.
DE LA RÉPONSE À UNE QUESTION RÉCURRENTE : Vous voulez savoir qui vous aime ? Posez-vous donc la question de savoir : « Qui a peur de vous perdre ? »
COMPORTEMENT DE CEUX QUI NOUS AIMENT : Ceux qui nous aiment véritablement ne nous demandent jamais de nous justifier… ils sont simplement toujours là !
DE LA DÉCOUVERTE DE L’AUTRE : Aimer : c’est partir à la découverte de l’autre sans savoir vraiment qui nous sommes.
DE L’AUTHENTICITÉ : L’amour ne peut jamais être parfait, mais il se doit d’être authentique.
LE GRAND AMOUR ! C’est aussi une personne que vous aimez, qui a peur de vous perdre et qui fait son possible pour vous garder.
DE L’AMOUR ET DU CHOIX : Nous n’avons aucun choix ! Il faut aimer sans compter, car l’amour ne se mesure pas.
DE L’AMOUR ET DU RÊVE : Aimer : c’est aussi vouloir rêver ensemble.
DE L’AMOUR ET DE L’ABSENCE : L’amour se constate lorsque la personne que nous aimons se trouve toujours avec nous, malgré son absence, et cela, quel que soit l’endroit où nous allons.
DE L’AMOUR ET DE LA PASSION :Ne nous méprenons surtout pas ! La passion ne saurait être confondue avec l’amour.
En effet, jamais inclusive, mais inexorablement et définitivement exclusive comme toutes les déraisons, la passion, toujours de l’ordre d’une étrange projection « spéculaire », porte généralement malheur et, de par son totalitarisme, elle ne possède rien en commun avec le bonheur.
DE L’AMOUR COMME SOUVENIR : Le souvenir d’un véritable amour laisse peu de place à d’autres relations affectives qui pourraient éventuellement venir.
DE L’AMOUR COMME RENCONTRE : Aimer ! C’est aller à la rencontre de la personne qui vous accompagnera dans la vie.
DE L’AMOUR ET DE L’ATTENTE : Le véritable amour : Ne plus rien avoir à espérer etattendre quand même.
L’AMOUR COMME MÉTAPHORE : Et si l’amour n’était qu’une métaphore ou un fantasme ?
D’UN CURIEUX MARQUEUR DE L’AMOUR : « Agir contre son intérêt »… Un des premiers marqueurs d’une relation amoureuse.
DE L’AMOUR ET DE LA FINITUDE : La seule erreur en amour… C’est d’oublier qu’il finira inéluctablement un jour.
DE LA DIFFICULTÉ A S’AIMER : Un des apprentissages les plus complexes pour se réaliser pleinement ! « Apprendre à s’aimer ! »
DE LA MANIÈRE D’AIMER : C’est rarement l’amour qui compte… carc’est la manière dont nous aimons qui est essentielle.
D’UNE AUTRE DIMENSION DE L’AMOUR : Être amoureux ! C’est aussi être victime de son imagination.
L’AMOUR POUR RÊVER À DEUX : L’amour reste manifestement une des rares possibilités qui nous est donnée de rêver à deux.
DE LA CROYANCE DANS L’AUTRE : L’amour en passe obligatoirement par la croyance indéfectible en l’être aimé.
DU RAPPORT AU TEMPS : L’amour nous protège de tout, sauf du temps qui passe inexorablement.
DE L’AMOUR ET DU BONHEUR : « J’aime donc je suis » me semble peut-être plus approprié que « je pense donc je suis ». Et si, en plus, je suis aimé, cela s’appelle le bonheur.
DE L’AMOUR ET DU SOUVENIR : La valeur d’un moment extraordinaire d’amour deviendra ensuite la valeur d’un fabuleux souvenir.
D’UNE PARTIE DE SOI-MÊME : Aimer ! C’est donner une partie de soi-même qu’il ne saurait, quoi qu’il arrive, être question de récupérer.
DU PLUS COURT CHEMIN : L’amour reste définitivement le plus court chemin d’un cœur à un autre.
DE L’AMOUR ET DU DÉSIR : Aimer nereprésente souvent que l’expression maladroite du simple désir d’être aimé.
DE L’AMOUR COMME ÉVIDENCE : L’amour demeure une évidence qu’il ne saurait donc question de définir.
DE L’AMOUR FOU : N’oublions pas d’être fous, car l’amour demeure la plus merveilleuse déraison.
DE LA RARETÉ DE L’AMOUR : L’amour reste d’une rareté absolue… Essayons de ne pas le gaspiller.
DE L’ÉTÉ EN HIVER : L’amour ! Le seul sentiment en mesure de bousculer le calendrier pour mettre l’été au cœur de l’hiver.
DU COMBAT POUR L’AMOUR : Il ne faut pas hésiter à se battre pour un amour, mais il ne faut jamais oublier que l’amour ne se mendie pas.
DE L’HISTOIRE D’UN AMOUR : J’aime les histoires d’amour, mais, de toutes les façons, je préfère encore la mienne.
DE L’AMOUR ET DE L’INFINI : L’amour reste une des seules portes ouvertes sur l’infini.
DE LA RELATION AMOUREUSE :Dans la relation amoureuse, connaître l’autre, consiste, en fait, à savoir exclusivement ses manques.
Et, savoir précisément ses manques revient inévitablement à anticiper ses désirs, au risque impitoyable et inéluctable d’y perdre les siens.
L’AMOUR COMME LUMIÈRE : L’amour : Une lumière qui éclaire la vie.
LA DÉMESURE DE L’AMOUR : L’amour ne peut exister que dans la démesure.
DE L’HARMONIE DES DIFFÉRENCES : L’amour : C’est le résultat de deux vécus différents capables de combiner harmonieusement leurs différences.
LE PARTICULARISME DE L’AMOUR : Lorsque nous disons « je t’aime »… Nous devrions dire « je t’aime telle que tu es ».
L’AMOUR ET LE TEMPS QUI PASSE : L’amour ne dure qu’à la condition d’être la somme de multiples preuves d’amour.
DE L’AMOUR COMME ITINÉRAIRE :L’amour, comme étrange itinéraire, nous entraîne, sans cesse, de fabuleuses « Cohérences affectives » en d’impossibles « Co-errances amoureuses ».
Ces « Co-errances amoureuses » où, insolites instants, nous ne nous trouvons plus vraiment ensemble, mais plutôt à côté l’un de l’autre
DU SAVOIR AIMER : Le plus dur n’est pas d’aimer ! C’est de savoir aimer.
DU VISAGE DE L’AMOUR : L’amour possède toujours le visage de celle que nous aimons.
L’AMOUR COMME VOYAGE : L’amour ! Merveilleux voyage initiatique dont il représente aussi l’unique destination.
L’AMOUR COMME VIBRATION : L’amour représente la seule véritable vibration de l’âme.
L’AMOUR COMME LIAISON PRIVILÉGIÉE : Tout bien considéré, l’amour représente avant tout une fabuleuse liaison privilégiée entre deux cœurs.
DE L’AMOUR ET DES SILENCES : L’amour se retrouve aussi dans la tendresse des silences partagés.
DE LA DURÉE DE L’AMOUR : L’histoire d’un amour ne connaît pas de fin, car, un amour absolu n’a pas de fin… sauf si cela n’était pas véritablement un grand amour.
L’AMOUR COMME RAISON : Aimer déraisonnablement reste la seule raison valable de vivre.
DE L’AMOUR ET DU DÉSIR : L’amour possède, pour particularité, d’avoir une histoire, donc des racines, alors que le désir, tant qu’il reste inassouvi, se positionne, selon les cas, de l’ordre du rêve, de l’imaginaire ou du fantasme.
DU DÉBUT ET DE LA FIN : Dans toute relation amoureuse, quelle qu’en soit l’intensité, le début laisse rarement présager la fin.
DE L’AMOUR COMME ÉTAT PROVISOIRE : L’amour : État, parfois très provisoire, dans lequel notre bonheur dépend totalement du bonheur de l’être aimé.
DE L’AMOUR ET DE LA JALOUSIE : L’amour n’a aucunement besoin de la jalousie pour exister, car il se trouve bien au-delà de cette pathologie de la possession.
DES MESSAGES DE L’AMOUR : Les messages d’amour ne peuvent, en aucun cas, être ridicules, mais ceux qui ne les écrivent pas le sont toujours.
DE L’ÉTAT DE L’AMOUR : L’amour reste un « État merveilleux » où seul le bonheur de l’autre devient essentiel.
DE L’AMOUR ÉTERNEL : L’amour, donné un jour, ne peut l’être que pour toujours.
DE L’AMOUR ET DE LA RÉALITÉ : Lorsque nous vivons un grand amour, la réalité quotidienne n’a plus véritablement sa place.
DES VOCABULAIRES DE L’AMOUR : Le grand amour possède cette particularité de rendre irrémédiablement obsolètes les vocabulaires censés en rendre compte.
L’AMOUR COMME LIVRE A ÉCRIRE : Une relation amoureuse devient très rapidement un livre à écrire dont nous ne souhaitons jamais envisager la fin.
DU SYNDROME DE LA PERTE : Un grand amour ne génère qu’une seule crainte… l’insoutenable crainte de le perdre.
DE L’INQUIÉTUDE AMOUREUSE : L’amour repose sur l’incessante inquiétude éprouvée pour celle que nous aimons.
DE L’AMOUR ET L’IMPOSSIBLE : Seul l’amour nous autorise, voire nous convie, à flirter avec l’impossible.
DE L’AMOUR, DU RÊVE ET DE LA RÉALITÉ : Seulle grand amour possède le pouvoir, quasi magique, de fusionner le rêve et la réalité.
DE L’AMOUR COMME ENVOL : L’amour nous donne des ailes qui autorisent l’envol… Mais le problème reste parfois l’atterrissage.
DES RAISONS DE L’AMOUR : Nous ne savons jamais pourquoi nous aimons, et c’est même à cela que nous reconnaissons l’amour absolu.
DE LA « VERTICALISATION » DE L’AMOUR ET DU PRÉSENT :Pour trouver une totale plénitude dans la relation amoureuse, il convient tout simplement de se situer dans une logique de « Verticalisation du présent ».
Car, nous le savons bien, le passé et le futur restent obstinément horizontaux et véhiculent, de ce fait, un sens dont nous ne pouvons faire l’économie maisqui perturbe notablement la relation.
Par exemple :
Je voudrais vivre avec toi pour ne plus être seul :
Passé horizontal.
Je voudrais vivre avec toi parce que je t’aime :
Présent vertical.
Je voudrais vivre avec toi, car j’aimerai fonder une famille et avoir des enfants :
Futur horizontal.
DE L’AMOUR ET DE LA PROJECTION : L’amour reste une singulière relation à quatre, puisque je n’aime chez l’autre que l’image de la « Femme », construite à partir de ma propre histoire, projetée sur elle, et réciproquement.
Se pose, inéluctablement, avec l’usure du temps, le problème de la réactualisation de ces images projectives en question qui en passe généralement par quelques deuils douloureux à faire.
DE L’AMOUR ET DE LA TENDRESSE :Dans la vie amoureuse, la tendresse représente, en fait, la somme de l’amour thésaurisé multipliée par le temps qui passe.
DE L’AMOUR ET DES AMIS :Cela reste véritablement une curieuse coutume de vouloir absolument prendre l’énorme risque de présenter la femme que nous aimons à tous nos amis, surtout s’ils en ont déjà une.
RECONNAÎTRE L’AMOUR :L’amour se reconnaît par ce que nous sommes lorsque nous sommes avec lui.
DE L’AMOUR ET DE L’ABSENCE : Le véritable amour résiste à l’absence.
DE L’AMOUR ET DU SOLEIL : Aimer ! C’est avoir un soleil en viager.
L’AMOUR COMME RENCONTRE : L’amour ! Une simple rencontre fortuite qui devient ensuite une extraordinaire histoire entre deux êtres que rien ne prédisposait à se trouver.
L’AMOUR COMME VOCABLE : L’amour ! Un mot qui ne peut prendre véritablement son sens que lorsqu’une personne vous aime.
DE L’AMOUR ET DE LA DISTANCE : L’amour possède cette particularité de donner une véritable distance aux choses de la vie.
DE LA DISTANCE DE L’AMOUR : L’amour représente une extraordinaire connexion de deux cœurs et de deux corps que même la distance ne peut séparer.
L’AMOUR COMME VUE DE L’ESPRIT : L’amour ! Merveilleuse vue de l’esprit qui cherche ensuite, plus ou moins désespérément, à prendre corps.
L’AMOUR COMME PARTAGE : L’amour ! Une somme de partages fabuleux de toute l’histoire de deux vies, maintenant réunies.
L’AMOUR COMME FUSION : L’amour nous permet de nous fondre l’un dans l’autre, tout en restant deux.
DE L’AMOUR ET DE SOI : Aimer ! C’est avant tout refuser définitivement d’exister pour soi.
DE L’AMOUR ET DE LA LIBERTÉ : L’amour ne peut réellement s’épanouir que dans la totale liberté de l’un et de l’autre lors de la relation amoureuse.
DE L’AMOUR FOU COMME VIOLENCE SENTIMENTALE : L’amour fou : Un étrange mélange de douceur, de tendresse, mais aussi de violence sentimentale contenue.
DE L’AMOUR COMME EXCEPTION : Il nous faut avoir aimé souvent pour savoir que nous n’aimons véritablement qu’une seule fois.
DE LA DESTINATION DE L’AMOUR : Seull’amour nous permet de larguer les amarres et de prendre le large pour une destination qui reste à découvrir.
DES LIMITES DE L’AMOUR : L’amour, déraisonnable par nature, ne possède que les limites que lui assignent les amants.
DE L’AMOUR ET DE L’INQUIÉTUDE : Un grand amour naissant s’accompagne toujours d’une folle inquiétude pour celle que nous aimons.
DE L’INCERTITUDE DU LENDEMAIN : Aimer représente aussi, l’apprentissage de la terrible incertitude du lendemain.
DE L’OUBLI D’UN AMOUR ABSOLU : Il nous faut parfois une vie entière pour réussir à oublier un seul instant d’un amour absolu.
L’AMOUR ET LA DÉCOUVERTE DE SOI : Seul l’amour nous autorise à nous découvrir totalement à travers l’amour de l’autre.
L’AMOUR, LA VIE ET LA MORT : Lorsque nous aimons démesurément, il peut nous sembler parfois plus facile de mourir pour celle que nous aimons que de vivre pour elle.
L’AMOUR COMME VUE DE L’ESPRIT : L’amour ne reste qu’une vue de l’esprit qui cherche désespérément à s’incarner dans une rencontre avec l’autre.
DE LA NATURE DE L’AMOUR :Indéfinissable par nature, l’amour ne peut, bien sûr, se comparer.
DE LA COMPARAISON DE L’AMOUR : Vouloir comparer son amour, pour quelqu’un ou pour quelqu’une, signifie déjà que ce n’est pas ou que ce n’est plus de l’amour.
DE LA RELATION AMOUREUSE ET DE LA CONNAISSANCE DE L’AUTRE : Dans la relation amoureuse, connaître l’autre, consiste, en fait, à identifier exclusivement ses manques, et, savoir précisément ses manques revient inévitablement à anticiper ses désirs, au risque impitoyable et inéluctable d’y perdre les siens.
LES TEMPS DE L’AMOUR : Nous sommes souvent sommés, dans la relation amoureuse, de choisir entre aimer tout le temps et aimer toujours.
À l’analyse, il semble que seul l’amour absolu permet d’aimer tout le temps et toujours.
L’AMOUR ET LA BEAUTÉ : L’amour possède ce pouvoir magique de recouvrir, d’une fabuleuse beauté, la laideur des êtres et des choses.
L’AMOUR ET LE RÊVE : L’amour exige, comme indispensable préalable, que le rêve ait la capacité de rejoindre la réalité.
LE SOUVENIR DE L’AMOUR : Peut-être, en amour, serait-il plus sage de se quitter pendant que nous nous aimons encore pour ne conserver que les meilleurs souvenirs d’une merveilleuse relation ?
LES CHEMINS DE L’AMOUR : Seul l’amour nous permet d’accéder au bonheur, mais ce n’est pas l’itinéraire qui compte, c’est seulement notre façon de voyager.
DE L’AMOUR ET DES ÂMES : L’amour reste la plus belle illustration d’une fabuleuse conversation entre les âmes, les cœurs et les corps.
LES BLESSURES DE L’AMOUR : Seul l’amour peut combler les blessures et les vides du passé de deux êtres maintenant réunis.
DE L’AMOUR COMME LIEU RELATIONNEL :Avec l’autre, nous ne sommes, avant toute chose, qu’une simple relation, car l’amour, comme lieu de l’étrange, ce n’est ni toi, ni moi, mais simplement notre relation en elle-même qui lui donne tout son sens.
Et, cette relation fabuleuse s’exprime, plus particulièrement, à ces instants précis où le besoin, comme expression de manques, souvent non-dits, et le désir de chacun se conjuguent enfin, au même temps.
DE L’AMOUR ET DU SILENCE : Dans la relation amoureuse, lorsque nous cessons de parler, ce n’est jamais le silence… Il est juste question d’une autre communication que seuls ceux qui s’aiment peuvent écouter, puis entendre.
DE L’AMOUR ET DE L’IMAGE DE L’AUTRE :Penser à « quelqu’une » ou à « quelqu’un », de façon récurrente, voir obsessionnelle, signifie simplement oublier l’être aimé juste un court instant, puis revenir sans cesse sur cet oubli pour mieux le faire renaître, pour mieux le faire exister, de manière répétitive, souvent superbement compulsive.
L’AMOUR ET LA BONNE PERSONNE : La véritable question n’est pas d’aimer, mais de savoir si nous aimons la bonne personne.
DE L’AMOUR ET DU COUPLE :Un couple, assemblage généralement incongru, représente, surtout et avant tout, un « mal - entendu ».
Sachant que le véritable questionnement consiste simplement à connaître qui détient, en fin de compte, plus ou moins formellement, plus ou moins symboliquement, « le phallus ».
LE RÊVE DE L’AMOUR : Pour aimer totalement, il suffit de rêver, pas de comprendre.
LES FORMES DE L’AMOUR : Nous sommes toujours contraints d’aimer « trop », car, sinon, cela signifie que nous n’aimons « pas assez ».
DE L’AMOUR COMME PRISE DE RISQUE : Pour vivre pleinement, il faut se laisser aller à aimer sans aucune retenue… Cette volonté représente une terrible prise de risque, mais, même l’échec dans cette folle tentative, nous permet d’exister.
DU DISCOURS DE L’AMOUR : Lorsque l’amour parle, la raison se trouve inéluctablement condamnée à se taire.
L’ÉGOÏSME ET L’AMOUR : L’amour repose aussi sur l’égoïsme merveilleux d’être ensemble, rien que pour le plaisir de l’instant présent.
DU RÊVE ET DU REEL : Incontestablement, l’amour reste l’unique rêve qui s’ancre dans le réel et qui peut se vivre pleinement.
DE L’AMOUR ET DU DÉSIR DE L’AUTRE :Le couple ne sera jamais une relation véritablement équitable puisque, de fait, l’un des partenaires devient inéluctablement l’objet des désirs de l’autre, au risque de s’y perdre.
C’est d’ailleurs, vraisemblablement, dans cette acceptation-là que se structure véritablement le sentiment amoureux.
LES MOTS D’AMOUR ET NOS SILENCES : Les mots d’amour que nous n’avons jamais osé exprimer s’installent souvent dans nos silences.
L’AMOUR ET L’ESPOIR : L’amour possède cette particularité de donner un sens à nos espoirs.
L’AMOUR ET L’AUTRE : Aimer ! C’est ne plus avoir la force d’être séparé un seul instant de celle que nous aimons.
LES INCERTITUDES DE L’AMOUR : L’amour augmente nos incertitudes et renforce nos convictions.
L’AMOUR ET LE TOUT : En amour, il ne faut jamais se contenter des miettes, il faut exiger le tout.
DE L’AMOUR ET DE L’ÉCOUTE DE L’AUTRE :Dans la relation amoureuse, comme d’ailleurs dans la vie sociale et sociétale, il demeure incroyablement étonnant de voir que chacun écoute, avec plus ou moins d’application, l’autre et les autres, tout en n’entendant obstinément que son propre discours.
Les moments véritablement privilégiés correspondent, en fait, à un exceptionnel recouvrement de l’écoute de l’autre et de l’entente de soi.
DE LA RELATION D’AMOUR : Dans la relation d’amour, la passion dilate l’espace et nous autorise, ainsi, à dépasser tous les interdits.
DE L’AMOUR APPRIVOISÉ ? : L’amour ne peut, en aucun cas, s’apprivoiser, et nous nous trouvons contraints de le vivre pleinement, tout simplement.
DE L’AMOUR ET DE L’AGE : L’amour n’a pas d’âge ! Il n’est jamais trop tard pour une histoire d’amour.
DES MIRACLES DE L’AMOUR : Lorsque nous aimons, même les fleurs semblent avoir une âme.
DE L’AMOUR ET DES PARTICULARISMES DE L’AUTRE : L’amour en passe aussi par l’acceptation inconditionnelle des défauts de celle que nous aimons.
DU VÉRITABLE AMOUR : Le véritable amour… Ce n’est pas coucher avec, c’est se réveiller avec !
DE L’AMOUR ET DE CEUX QUI NOUS AIMENT : Les personnes qui nous aiment nous « donnent » du bonheur et des souvenirs, les autres nous « donnent » des leçons de vie.
DE L’INSTANT AMOUREUX : Dans la relation amoureuse, seul l’instant se suffit à lui-même !
SUPPLIQUE : N’oublie pas que je t’attends… N’attends pas que je t’oublie… Car c’est impossible lorsque l’on s’aime !
DE L’ÉVIDENCE DE L’AMOUR : L’amour, comme superbe évidence, ne peut jamais se définir.
POUR AIMER : Pour véritablement aimer, il nous faut aussi vouloir être aimés.
DE L’AMOUR ET DE L’INFINI : Seuls l’amour et le désir sont des portes ouvertes sur l’infini.
L’AMOUR ET LA CONDITION HUMAINE : Seul l’amour nous renvoie véritablement à notre condition d’humain.
LES ACCEPTIONS DE LA RELATION AMOUREUSE : Aimer ! C’est accepter, de manière inconditionnelle, l’impermanence et l’incompréhension.
DE L’AMOUR ET L’IMPOSSIBLE : Aimer revient à tutoyer l’impossible !
DES CONVERSATIONS DE L’AMOUR : Aimer… C’est converser avec l’inconfort, l’inquiétude et le déséquilibre.
DE L’AMOUR ET DE L’ENTHOUSIASME : L’amour nous porte naturellement à l’enthousiasme ! Du grec « En théo » qui signifie « Un dieu intérieur ».
DES PRISONS DE L’AMOUR : Nous ne sommes souvent prisonniers que de ceux que nous aimons.
LE VOCABULAIRE ET L’AMOUR : Malheureusement, l’amour manque toujours cruellement de vocabulaire pour rendre compte de son intensité.
L’AMOUR ET L’ESSENTIEL : Ce fabuleux sentiment possède cette merveilleuse capacité de nous détacher de l’inessentiel.
L’AMOUR ET LA RÉGRESSION : L’amour prend parfois l’étrange aspect d’une ultime régression.
L’AMOUR ET LES SILENCES : L’amour ! Un tendre sentiment qui se décline aussi dans le tendre partage des silences.
LES CHEMINS DE L’AMOUR : Les chemins de l’amour, parfois stressants, parfois anxiogènes, nous invitent surtout à ne jamais faire machine arrière.
L’AMOUR COMME ITINÉRAIRE : Cet étrange sentiment qui se donne à voir comme un itinéraire dont il convient d’accepter l’impossibilité de connaître la véritable destination.
AIMER : Cela revient à tenir la main de celle que nous aimons avec le sentiment que c’est de notre vie dont il est question.
L’AMOUR COMME PARADIS : L’amour : Un fabuleux paradis qui reste, inlassablement, à explorer.
POUR AIMER :Pour pouvoir aimer totalement, il suffit d’accueillir celle que nous aimons avec le cœur.
L’AMOUR COMME IMPOSSIBLE DÉFINITION : Pourquoi tenter de définir l’amour ! Peut-être pourrions-nous nous contenter de l’éprouver véritablement et pleinement ?
L’AMOUR COMME ÉNIGME : L’amour ! Une extraordinaire énigme à deux inconnues qui reste perpétuellement à résoudre.
DES INTERROGATIONS DE L’AMOUR : Si dans la relation amoureuse, un problème vous semble insoluble, interrogez simplement votre cœur.
DE LA RELATION AMOUREUSE : Peut-être serait-il plus sage, dans la relation amoureuse, de se quitter pendant que nous nous aimons encore ?
DE L’AMOUR ET DES VOYAGES : Lorsque nous aimons, les plus grands voyages restent, manifestement, ceux que nous faisons dans notre imaginaire.
Ce qui suppose, bien sûr d’accepter cette invitation au voyage, même si elle nous semble anxiogène dans un premier temps.
DES DÉRAISONS DE L’AMOUR : Il nous faut absolument dépasser nos raisons d’aimer pour trouver enfin les déraisons de l’amour.
L’AMOUR COMME MYSTÈRE : L’amour ! Un mystère insondable à ne surtout pas chercher à résoudre.
DE L’AMOUR ET DU MONDE QUI NOUS ENTOURE : Seul l’amour nous autorise un regard radicalement différent sur le monde qui nous entoure.
LES DÉCLINAISONS DE L’AMOUR : Il n’existe qu’une seule sorte d’amour, mais nous pouvons la décliner, au quotidien, de mille façons, toutes différentes les unes des autres.
DE L’AMOUR ET DE L’USURE DU TEMPS : impossible d’étouffer l’amour entre deux êtres… Mais, à l’usure du temps, leurs relations peuvent s’éteindre, d’elles-mêmes, irrémédiablement.
LA MUSIQUE DE LABOUR : Aimer et être aimé revient à avoir une fabuleuse musique céleste en stéréophonie.
DE L’AMOUR ET DES TABOUS : L’amour n’a de tabou que dans les restrictions que lui imposent ceux qui s’aiment.
AIMER LA BONNE PERSONNE : Aimer ! C’est trouver la bonne personne avec qui exister.
L’AMOUR ET LE BONHEUR : L’amour ? C’est lorsque le bonheur de l’autre devient plus important que notre bonheur.
L’AMOUR ET LES TÉNÈBRES : Le véritable amour éclaire même les ténèbres les plus sombres.
POUR AIMER L’AUTRE : Pouraimer l’autre, il convient de connaître son histoire afin de savoir comment il souhaite être aimé.
LA FRAGILITÉ DE L’AMOUR : L’amour : Cette ultime fragilité qui se donne parfois à voir et qui représente, assurément, la seule véritable force.
L’AMOUR ABSOLU ! C’est tout simplement, lorsque les amants se rejoignent enfin dans le champ d’un même désir.
L’AMOUR COMME PEINTURE : L’amour, comme peinture abstraite, commande, absolument, de lâcher prise pour le vivre pleinement.
L’AMOUR COMME PRINCIPE : L’amour reste le seul grand principe auquel il ne saurait être question de déroger.
DE L’AMOUR ET DE L’ÉTERNITÉ : Le véritable amour n’a pas de durée, car il représente l’éternité.
DE LA DÉFINITION DE L’AMOUR : L’amour : Un mot banal, mais magique, dont nous ne pouvons approcher la définition que lorsque nous l’éprouvons.
DES « MATHEMES » DE L’AMOUR :
Les « mathèmes » de l’amour :
DU LIVRE DE L’AMOUR : Seul l’amour nous permet de tourner une page de notre vie, pour en écrire une plus belle.
DU GRAND AMOUR : Il reste impossible de savoir pourquoi nous aimons et c’est même grâce à cette impossibilité-là que nous reconnaissons le grand amour.
DE L’AMOUR ET DES CERTITUDES : L’amour fait, généralement, table rase de toutes les certitudes.
DE LA COMPRÉHENSION : Aimer : c’est comprendre, avant tout autre chose.
DE L’IMPOSSIBLE COMPARAISON : Nous sommes dans l’incapacité d’estimer l’intensité de l’amour et il semble donc totalement vain de vouloir comparer son amour à d’autres amours passés.
DE L’IMPOSSIBILITÉ DES MOTS : Parfois, le grand amour ne peut se dire, car nous nous trouvons irrémédiablement dans l’impossibilité de trouver les mots pour le décrire.
DE LA COMPRÉHENSION DE L’AMOUR : Pour aimer, il n’est pas véritablement nécessaire ni utile de comprendre ; il suffit de se laisser porter par son rêve.
DE L’AMOUR ET DU MONDE : Seulsl’amour, les baisers et les caresses possèdent le pouvoir de nous transporter ailleurs et de nous faire oublier la réalité du monde.
L’AMOUR MAGIQUE : Toujours totalement magique, l’amour nous inscrit dans un fabuleux sentiment d’éternité.
DE L’AMOUR ET DE LA TENDRESSE AMOUREUSE :Dans la vie amoureuse, la tendresse représente, en fait, la somme de l’amour thésaurisé multipliée par le temps qui passe.
DE LA NATURE DE L’AMOUR ET DE SA REPRÉSENTATION :Indéfinissable par nature, l’amour ne peut, bien sûr, se comparer.
Vouloir comparer son amour, avec quelqu’un ou avec quelqu’une, signifie déjà que ce n’est pas ou que ce n’est plus de l’amour.
DE LA RÉACTUALISATION OBLIGÉE DE LA RELATION AMOUREUSE :Lorsque, après plusieurs années, l’usure du couple nous confronte à l’écart entre l’image fantasmée et l’image avérée de l’autre, il nous reste, hélas, peu de degrés de liberté pour gérer cet inexorable constat, et nous pouvons, entre autres exemples :
Divorcer au plus vite,
pour mettre fin à cet incroyable marché de dupes !
Rester malgré tout, avec « l’autre »,
contre vents et marées,
pour ne pas rester seul,
avec, parfois, les conséquences psychologiques et sociales que nous pouvons imaginer !
Refaire un dernier enfant,
qui devient le garant « objectal » de la continuité du bon fonctionnement du couple, ou dit autrement, celui qui n’est pas encore né et à qui l’on énonce :
« Soit le bon petit objet qui permet à maman et à papa de continuer à exister, tant bien que mal, en tant que couple ! »
Faire le constat
que la réalité, différente de l’imaginaire, reste très satisfaisante et
passer, ensembles, de l’amour fou à la plus profonde tendresse amoureuse, etc.
DE L’AMOUR-PROPRE : Ce qui caractérise manifestement l’amour propre… C’est qu’il ne l’est que très rarement par ses intentions sous-jacentes.
D’UN AMOUR NAISSANT : Tout amour naissant s’accompagne inéluctablement d’une folle inquiétude, souvent indéfinissable, pour l’autre.
DE L’EXPRESSION DE L’AMOUR : L’expression totale de l’amour suppose l’absence totale de toutes conditions.
DE L’AMOUR COMME PARADIS À EXPLORER : Dans ce siècle où la banalisation outrancière signe l’ultime désenchantement, l’amour reste le dernier des paradis à explorer.
DE LA NOTION DE CHUTE : Tomber amoureux renvoie, de fait, à la notion de chute, et les dégâts de cette chute inéluctable demeurent directement en rapport avec l’intensité de l’amour en question.
RECHERCHER L’AMOUR ET LE TROUVER : Paradoxalement, nous nous trouvons irrémédiablement dans l’impossibilité de rechercher l’amour, mais, parfois, nous pouvons le trouver.
POUR SORTIR D’UN GRAND AMOUR : S’aimer encore davantage reste l’ultime porte pour sortir d’un grand amour… au risque de s’y perdre à tout jamais.
DE L’AMOUR ET DES SAISONS : Il demeure très simple de reconnaître le grand amour : il ne gèle jamais en hiver,quelle que soit la rigueur du climat auquel nous le soumettons !
DES MULTIPLES FORMES DE L’AMOUR : L’amour revêt des formes multiples : À chacun sa forme particulière d’amour et le bonheur consiste à rencontrer cette forme particulière d’amour chez l’autre.
DES CONDITIONS DE L’AMOUR : Aimer ! C’est trouver la bonne personne avec qui exister.
DU MARQUEUR DE L’AMOUR : l’amour se reconnaît par ce que nous sommes lorsque nous sommes avec lui.
DE L’INCLUSIVITÉ DU SENTIMENT AMOUREUX : Seul l’amour reste inclusif, et seule la jalousie demeure exclusive dans la mesure où elle s’érige rapidement en possession pathologique.
DES DIFFÉRENTES FAÇONS D’AIMER : Il existe de multiples façons d’aimer, et même si certaines façons semblent particulièrement maladroites, elles restent de loin préférables à une incapacité notoire d’aimer.
D’UNE SUPER BONNE RÉPONSE : Chercher à comprendre les désirs de l’autre, pour mieux les anticiper, pour mieux y répondre, représente une des plus belles preuves d’amour.
D’UN DON TOTAL : Dans l’amour, il faut impérativement se donner totalement à l’autre, et alors, ce don de soi se transforme en d’extraordinaires échanges qui construisent totalement notre bonheur.
DE L’AMOUR DU BONHEUR DE L’AUTRE : Seul l’amour absolu nous permet d’aimer sans restriction aucune le bonheur de l’autre.
DU PARTAGE D’UN DON EXTRAORDINAIRE :L’amour représente un don extraordinaire qui, pour exister réellement, doit impérativement se partager.
DU TEMPS DE L’AMOUR : Dans la relation amoureuse, comme d’ailleurs dans l’existence en général, il est toujours bien plus tard que nous l’imaginons.
DU CHAMP DES POSSIBLES DANS LA RELATION AMOUREUSE : Il devient quasi naturel, lorsque les désirs des amants se rejoignent, d’ouvrir le champ des possibles de la relation amoureuse.
DE L’AMOUR TOTAL : Aimer totalement ! Peut-être est-il préférable de ne pas vivre ensemble pour mieux conjuguer le bonheur.
DE L’ENVIE D’ÊTRE AIME : Souvent, le seul véritable désir, plus ou moins inconscient, dans une relation amoureuse, repose sur l’envie impérative d’être aimé.
DU DÉSIR ET DES ILLUSIONS : L’amour représente la conjonction du désir le plus fou et des illusions les plus inconcevables… Et, nous le constatons, l’amour se décompose lorsque le désir s’érode, et il s’éteint, irrémédiablement, lorsque les illusions s’évanouissent.
DE L’EXPRESSION AMOUREUSE : Nous ne pouvons que vivre notre amour, car nous nous trouvons dans l’impossibilité de l’exprimer, sauf à risquer de le périmer définitivement.
DE L’AMOUR TOTAL : L’amour que nous éprouvons devient total lorsque l’autre nous devient indispensable, voire essentiel, voire vital.
DE L’AMOUR COMME PARTITION : L’amour ! Une merveilleuse partition qui ne peut se jouer qu’à deux mains.
DE L’AMOUR ET DES ÉTOILES : Seul le grand amour absolu nous permet d’accéder aux étoiles.
DE L’AMOUR ET DU PRÉSENT : La seule et unique raison d’un amour repose, quasiment exclusivement, sur l’amour que nous vivons au présent.
DE L’INJUSTICE DE L’AMOUR : L’amour représente la plus cruelle des injustices pour ceux qui n’aiment plus et pour ceux qui n’ont jamais aimé.
DU VÉCU DE L’AMOUR : La raison raisonnante tente de l’expliquer, mais l’amour ne peut que se vivre.
DE L’IMPORTANCE DE TOURNER LA PAGE : Tourner une page de notre vie affective suppose toujours d’avoir, comme perspective, la possibilité d’ouvrir une page nouvelle, a priori plus prometteuse d’amour.
D’UNE CERTAINE LIBERTÉ : La laisser parfois partir reste la véritable façon de montrer à l’autre que nous l’aimons.
DE L’AMOUR À VENIR : Seule l’impossibilité première d’un grand amour ouvre la possibilité d’un grand bonheur à venir.
DE L’AMOUR ET DE L’ABSENCE : Quel que soit l’éloignement, en termes d’espace et de temps, l’amour gomme la plus douloureuse des absences.
DE L’AMOUR, DU RÊVE ET DE LA RÉALITÉ : Dans l’amour fou, la réalité finit toujours, d’abord par se confondre avec le rêve, puis à se substituer à lui, dans un second temps.
DE L’AMOUR ET DE LA VIE : L’amour nous emporte irrésistiblement, avec celle que nous aimons, dans l’itinéraire de la vie.
DE L’AMOUR ET DÉSIR : Seul l’amour absolu peut, véritablement, répondre aux différents questionnements du désir.
DE L’AMOUR ET DES DÉSIRS INTIMES : Dans la relation amoureuse, modérer ses désirs les plus intimes reste la meilleure façon de ne pas s’autoriser à les vivre.
DE L’AMOUR ET DE L’IMAGINAIRE : L’amour se nourrit, avec une réelle volupté, de l’imagination, de la création et de la créativité.