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"La grossesse pour ma conscience" relate l’itinéraire jalonné d’épreuves et de découvertes de l’auteur, révélant à la fois la douleur du chemin parcouru et les joies enfouies derrière ces difficultés, ainsi que la manière dont il les a surmontées. Selon lui, les larmes dévoilent l’irréparable, tandis que la contemplation favorise le développement. Il souligne ainsi que chaque adversité contribue à construire un avenir meilleur.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Kpêkpê Hien puise dans son vécu pour écrire. Il partage ses expériences et démontre, au fil des pages, que toute situation concourt au bien de qui s’en inspire. C’est donc un message de résilience et d’abnégation qu’il transmet à travers "La grossesse pour ma conscience".
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Seitenzahl: 104
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Kpêkpê Hien
La grossesse pour ma conscience
© Lys Bleu Éditions – Kpêkpê Hien
ISBN : 979-10-422-3144-6
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
La toute première situation discutable que mon premier enseignant de la philosophie m’a ordonné d’analyser lors de mes toutes premières rencontres éducatives avec la science de la philosophie socratique fut : « Philosopher, c’est apprendre à mourir. » Toutefois, la philosophie, bien que connue à la naissance par le sens de « Amour de la sagesse », est dans sa jeunesse actuelle perçue et conçue populairement comme une activité liée à la vive réflexion. Disons-le, tout vrai écrivain possède une hormone ou un gène de la philosophie. En effet, écrire c’est obligatoirement réfléchir. C’est argumenter une conception, enseigner une idée ou une pensée, présenter en écrit son point de vue, sa connaissance, sa remarque ou même ses vengeances, pourquoi pas une quête de sagesse, à l’ensemble des êtres dont la pensée est non seulement un droit mais aussi un devoir. Aucun vrai livre de savoir n’est destiné aux êtres privés de la pensée. Car tout lecteur reste un conquérant, un correcteur, un enseignant de l’écrivain. Tout être ayant une capacité de réflexion en dessous du half1 de celle admise pour l’unité authentiquement humaine doit impérativement se tenir à l’écart de ces écrits. Pour ma part d’ailleurs, il conviendrait mieux d’être un animal malin authentiquement que de se vouloir humain puis discuter le prix d’un vrai livre de savoir pour en restreindre le coût.
L’écriture est certes du volontariat, mais l’écrivain reste toujours un esclave, un disciple, un étudiant ; or toute quête de sagesse est une étude perpétuelle. Disons donc : « Écrire, comme philosopher, c’est exposer sa pensée pour le paradis des autres. » Cette activité n’est ni liée au business, ni liée à l’opulence, ni liée à l’entrepreneuriat selon le premier degré ! Elle attribue à l’écrivain un caractère d’exposition aux autres. Elle lui fait subir des gloses. C’est donc héberger la honte afin de l’éviter lors des humiliations ! Et ainsi, la majorité des humains estime l’écriture comme un penchant à la mort. La joie est que tout livre authentique constitue non seulement pour l’écrivain mais aussi pour l’ensemble des authentiques humains, comme un passeport, un visa, une diplomatie publique et internationale, sans aucun délai d’expiration. Le philosophe Socrate eût dit : « Je ne suis qu’un simple citoyen du monde. » C’est également dans ce même sens que se veut un écrivain dans la logique et dans l’authenticité. Ce volontaire lutte pour la guérison de toutes sortes de plaies dans l’espace international. Voilà pourquoi les larmes de son semblable deviennent pour lui une production ! Et cela est très évident ! Puisque la cohérence sociale est établie de la sorte que l’on serve de consolateur pour son semblable, et cela n’est pas en pleurant avec lui, mais plutôt en saisissant les raisons de ses telles larmes, lui procurer le sourire pour que la société soit entièrement gaie ! Bref !
Je ne suis pas le premier être humain, ni du monde, ni de l’Afrique, ni de la Côte d’Ivoire, ni de ma région, ni de ma sous-préfecture, ni de mon village, ni de mon ethnie, ni de ma famille, ni de ma fratrie d’ailleurs ! Juste pour dire que j’ai appris des informations concernant mes devanciers, et j’ai su comment l’écrivain souffre dans sa tâche de volontariat, j’ai eu des informations liées à la pression qu’endure son cerveau sur ce chemin de professionnalisme. En dépit de quoi, venant d’une part quelconque dont je ne sais où, j’ai sécrété ce vif sentiment de passion, d’amour, sur cette activité de production. Il est d’ailleurs fort compliqué de se passer de son destin si ce n’est que par l’inspiration de l’obscurité par son bonheur d’utopie et de perfidie matérielles ! Depuis les premières applications de ma conscience scolaire et éducative, un instinct d’orgueil me faisait déjà croire qu’à l’avenir, je recevrai une aptitude de devenir soit un écrivain, soit un scientifique (mathématicien). Cette logique prouve que, ce domaine, je l’ai rêvé, je l’ai songé, je l’ai cerné, je l’ai analysé, je l’ai étudié, je l’ai imaginé, je l’ai pensé, j’en ai tiré une conclusion. J’ai donc la lumière pour masquer l’obscurité sur ce chemin. De cette vision, j’ai dû aborder cette restriction liée à la production littéraire à cause de mon inaptitude due à mon fin niveau d’étude qui me confisque de plusieurs connaissances scientifiques, mais. Pour l’écriture, les quelques grains de vue scientifique et philosophique y compris ma fonction de *main-en dessous*, fonction sans titre, fonction d’humiliation, où pour dire que nous n’avons pas d’autorité ou même que nous sommes pour eux des VC publiques de railleries, l’on nous appelle des « maîtres de maison » au lieu de « maîtres à domicile », qui m’ont inculqué et extorqué une spiritualité d’analyse. Du coup, je peux écrire et je dois écrire. De cette conscience, j’ai donc acquis la nature du particulier et dès que je suis présent dans une société, je deviens une philosophie sans être d’ailleurs philosophe. L’on suscite ainsi diverses thèses pour la compréhension de ma nature humaine ! Insuccès, pour certains je suis un fou ; pour d’autres, je suis un ignorant ou même un niais ; un autre groupe dirait que c’est moi l’enfant des enfants (être à cerveau disloqué ou sans crâne). Ne serait-ce qu’un peu minimum qui lie une petite authenticité de mon unité humaine, qui m’héberge et me nourrit peu. Cette conception minoritaire m’a poussé à savoir que si j’écris les mots de mes conceptions pour les composantes de ma cohabitation, ou même que je passe dans les lieux publics, dans les carrefours des rues au moment où les feux stationnent tous les véhicules et les piétons, puis exécuter cette tâche comme les inspirés religieux, personne ne tiendra compte de mes tels enseignements, puisqu’il est moins probable que l’on sache que je suis un fou utile ! Alors pour gagner la sagesse et l’utilité de ma folie, l’écriture m’est tant nécessaire ! Et, par là du moins, si une bonne conduite spirituelle envahit et sert de guide à ma conscience dans ce domaine, des sages pourront comprendre que mon unité humaine n’admet ni d’hormone, ni de gène de folie.
À savoir, la composition de cette vision de production m’est authentique de la sorte que j’obéisse à la formule de mon inspirateur de la pensée, de Socrate. Cet être, je ne le connais pas. J’ai appris qu’il est mort, c’est-à-dire qu’il a existé. J’ai également appris que dans son existence, il a déplacé l’activité de la pensée par la loi (la formule) de « Connais-toi, toi-même. » Et « Sois sage ». Du coup, cette connaissance de soi tant spirituelle et cette sagesse qui d’ailleurs lui permet les deux suivantes formules : « Je sais maintenant que je suis conscient car je sais que je ne sais rien » et « Ce que je sais, c’est que je ne sais rien », formules approuvant l’authenticité de la qualité et la grandeur de l’homme, permet que dans ma tâche, je ne présente ni un caractère d’historien, ni un caractère de scientifique, ni un caractère de philosophe. Cependant, je voudrais sentir le plaisir de présenter dans ce premier écrit, mes cordonnées d’historiques pour tout d’abord obéir à cette connaissance de soi par les mémoires. Pour juste prouver la genèse de « Ma conscience », afin que dans la suite et le cursus de mon tel professionnalisme, j’utilise cette conscience par sagesse pour gagner ce que j’appelle « Le Paradis de la Pensée », opinion à développer dans un de mes suivants écrits. Et donc je souhaiterais que l’on saisisse les historiques que je vais développer nécessairement dans le sens de la pensée et du spirituel car il s’agit là des étapes de la révolution et de l’évolution d’une conscience. De cette logique, je souhaiterais inviter, invoquer, la présence de Dieu non seulement pour la conduite de mon âme, mais aussi nécessairement pour la conduite de ma pensée et sa telle production. En effet, l’espace terrestre est vaste. Et je ne m’exprime pas pour moi seulement, mais pour toute l’authentique démographie mondiale afin d’être au moins un *aide-soignant* dans le domaine de la pensée. Une populaire expression est comme suite : « L’humain opère et DIEU guérit. ». C’est dans cette même cohérence spirituelle qu’il est convenablement nécessaire d’affirmer : « Nous écrivons et Dieu en portant une utilité enseigne et inspire le lecteur. » Raison pour laquelle je fais la suivante prière :
« DIEU, à toi les mots, à toi le style linguistique, à toi le langage, à toi la cohérence, à toi la pensée, à toi la raison, à toi la lumière ! Je ne peux ainsi m’exprimer sans désirer ta conduite ! La seule capacité que tu m’as octroyée est la conscience de l’esprit de la pensée. Pourtant l’humain est doté de la conscience de l’esprit de l’âme, grandeur et aptitude d’accès au surnaturalisme et spiritualisme divins. Dans toutes sortes de lecture consciente, non seulement la joie de la pensée, mais plutôt avec celle de l’esprit de l’âme, sont aptes de totaliser notre entière unité humaine, dans son existence et dans sa vie ! Qui suis-je, moi un fou, pour garantir le paradis de l’esprit de l’âme de mon semblable ! Cet être de jalousie, être à multidimensionnalité ! Être de soucis, de problèmes et d’insatisfaction perpétuelle ! Je te prie donc, oh l’Éternel dit des armées, de consolation, de paix, de satisfaction, de liberté, de ciel et dont de paradis de l’âme de l’humain ! Accorde de la logique à mes expressions ! Laisse ta volonté se comptabiliser avec la mienne sur ce chemin pour le concours d’utilité de mon unité humaine. Que la sagesse envahisse la vie de chaque mot utilisé ! Que la structuration de chaque expression formulée soit celle de la logique commune linguistique ! Attribue de la vive spiritualité à chaque lecteur pour la distinction de la pensée positive et de la pensée négative dans ses rencontres avec toutes situations développées. Que dans tous leurs rendez-vous avec non seulement mes livres, mais aussi avec tout livre authentique, leurs joies soient comparables à celles des âmes délivrées ou des âmes dont le paradis leur est préfiguré et rassuré ! Que nul ne verse des larmes face à la rencontre avec un livre, mais qu’au lieu des larmes, il mûrisse son cerveau pour une conscience d’analyse spirituelle ! Conduis-moi sur cette voie. Favorise ce chemin pour moi. Apporte ta lumière et ne me laisse pas être traduit par ni l’arrogance, ni l’ignorance, ni l’orgueil, ni l’inconscient, disons donc le diable ! Permets-moi de luire afin de servir de renouvellement du monde dans la sagesse ! Merci infiniment, oh DIEU de paix. Par ta volonté, je souhaiterais sentir le plaisir et la liberté sur ce chemin ! »