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Table of Contents
INTRODUCTION
«DE L'ONANISME EN PARTICULIER»
TITRE I GÉNÉRALITÉS
TITRE II
APPENDICE
SECTION II.—L'EXTÉRIEUR.
SECTION III
APPENDICE
CHAPITRE II
APPENDICE AU CHAPITRE II
CHAPITRE III
APPENDICE AU CHAPITRE III
TITRE III
CHAPITRE I
APPENDICE AU CHAPITRE I
CHAPITRE II
CHAPITRE III
APPENDICE AU CHAPITRE III
CHAPITRE IV
APPENDICE AU CHAPITRE IV
CHAPITRE V
APPENDICE AU CHAPITRE V
CHAPITRE VI
APPENDICE AU CHAPITRE VI
CHAPITRE VII
APPENDICE AU CHAPITRE VII
TITRE IV
CHAPITRE I
APPENDICE AU CHAPITRE I
CHAPITRE II
APPENDICE AU CHAPITRE II
CHAPITRE III
APPENDICE AU CHAPITRE III
CHAPITRE IV
APPENDICE AU CHAPITRE IV
CHAPITRE V
APPENDICE AU CHAPITRE V
CHAPITRE VI
APPENDICE AU CHAPITRE VI
TITRE V
CHAPITRE I
APPENDICE AU CHAPITRE I
CHAPITRE II
APPENDICE AU CHAPITRE II
CHAPITRE III
APPENDICE AU CHAPITRE III
CHAPITRE IV
APPENDICE AU CHAPITRE IV
TITRE VI
CHAPITRE I
APPENDICE AU CHAPITRE I
CHAPITRE II
APPENDICE AU CHAPITRE II
CHAPITRE III
APPENDICE AU CHAPITRE III
CHAPITRE IV
APPENDICE AU CHAPITRE IV
CHAPITRE V
APPENDICE AU CHAPITRE V
CHAPITRE VI
APPENDICE AU CHAPITRE VI
TITRE VII
CHAPITRE I
APPENDICE AU CHAPITRE I
CHAPITRE II
APPENDICE AU CHAPITRE II
CHAPITRE III
APPENDICE AU CHAPITRE III
TITRE VII
CHAPITRE I
APPENDICE AU CHAPITRE I
CHAPITRE II
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
APPENDICE AU CHAPITREIV
CHAPITRE V
CHAPITRE VI
APPENDICE AU CHAPITRE VI
TITRE IX
CHAPITRE I
APPENDICE AU CHAPITRE 1
CHAPITRE II
CHAPITRE III
APPENDICE AU CHAPITRE III
CHAPITRE IV
APPENDICE AU CHAPITRE VI
CHAPITRE V
APPENDICE AU CHAPITRE V
CHAPITRE VI
APPENDICE AU CHAPITRE VI
TITRE X
CHAPITRE I
APPENDICE AU CHAPITRE I
CHAPITRE II
TITRE XI
Théologie hindoue. Le Kama soutra
Vatsyayana
2018 - Anna Ruggieri
Les principes sur le juste et l'injuste sont les mêmes entout temps et en tout lieu, ils constituent la morale absolue; maisles principes sur les moeurs varient avec les âges et lespays. Depuis la promiscuité sanslimites des tribus sauvagesjusqu'à la prohibition absolue de l'oeuvre de chair en dehorsdu mariage, que de degrés divers dans la libertéaccordée aux rapports sexuels par l'opinion publique et par laloi sociale et religieuse! A l'exception des Iranienset des Juifs,toute l'antiquité a considéré l'acte charnel commepermis, toutes les fois qu'il ne blesse pas le droit d'autrui,comme par exemple le commerce avec une veuve ou toute autre femmecomplètement maîtresse de sa personne. Toutefois laChine, laGrèce et Rome ont honoré les vierges, et l'Indeles ascètes voués à la continence à titre desacrifice.
Au point de vue de la raison seule et d'une conscienceégoïste, la tolérance des Indiens et des païensparait naturelle et la règle sévère desIranienssemble dictée par l'intérêt social oupolitique; aussi cette règle n'a-t-elle étéimposée qu'au nom d'une révélation par Zoroastre etpar Moïse.
De là deux grandes divisions entre les peuples sous lerapport des moeurs; chez les uns la monogamie est obligatoire, chezles autres la polygamie est permise sous toutes les formes qu'ellepeut revêtir, y compris le concubinage et la fornicationpassagère. Dans l'antiquité on doit, entre les peuplesqui n'admettent pas de révélation, distinguer sous lerapport desmoeurs: d'une part, les Ariahs de l'Inde chez lesquelsla religion et la superstition se mêlent intimement etactivement à tout ce qui concerne les moeurs, dans unintérêt politique, avec absence de génie artistique;et d'autre part, les Ariahs d'Occident, c'est-à-dire les Grecset les Romains chez lesquels ce culte a été seulement lamanifestation extérieure des moeurs, sans direction ni actionmarquée sur elles, et où le génie artistique a toutidéalisé et tout dominé.
Ainsi le naturalisme des Brahmes, l'antiquité payenne etles principes de l'Iran ou d'Israël, dont a héritéle Christianisme, forment trois sujets d'études de moeursà rapprocher et à faire ressortir par leurs contrastes.La matière se trouve: pour le premier sujet, dans lesscholiastes etles poètes du brahmanisme; pour le second, dansla littérature classique, principalement dans les poèteslatins sous les douze Césars; pour le troisième, dans lesauteurs modernes sur les moeurs, savants et théologiens. Cesauteurs sont universellement connus et il suffira d'en citerquelques extraits. Mais il est nécessaire de donner, danscette introduction, d'abord des renseignements sommaires sur lesIraniens, puis des détails plus complets sur les Brahmes.
LES IRANIENS.—Il paraît établi que leMazdéisme est postérieur au XIXe siècle avantJésus-Christ, époque où commence l'èrevédique, et antérieure au VIIIe siècle avantJésus-Christ;d'où l'on conclut que l'auteur de l'Avesta aprécédé la loi de Manou et n'a pu êtrecontemporain de Pythagore comme l'affirment quelques historiensgrecs. Peut-être d'ailleurs Zoroastre est-il un nomgénérique (comme l'ont été probablement ceux deManou et de Bouddha) qui désigne une série delégislateurs dont le dernier serait celui que Pythagore auraitconnu à Babylone età Balk où il tenaitécole.
L'antique Iran était à l'est du grand désertsalé de Khaver, autrefois mer intérieure; son centreétait Merv et Balk. Tout près était, sinon leberceau de la race Aryenne, au moins sa dernière station,avant la séparation de sesdeux branches asiatiques.
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