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Une méthode simple mais efficace développée par mes soins pour éliminer l'écoulement nasal et le rhume des foins. J'ai aussi eu le nez qui coule trés souvent, j'en avais marre des nombreux bons condeils qui n'étainent efficaces que pendant une courte période. -Faites simplement ce que je dis dans le livre. -Aprés avoir compris cotte technologie trés simple et constanté par voun-méme qu'elle est efficace et que votre nez le coule plus, alors vous connaítrez la situation, ce qui se passe et ce que pouvez faire au moindre raclement de gorge, coassement. Ou des éternuements. Pour vous protéger.
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Seitenzahl: 31
Comment prévenir le nez qui coule ?
Pourquoi ton nez coule ?
La solution
La première partie de la solution
La deuxième partie de la solution
La technologie de nettoyage réussie, après laquelle votre nez ne coulera plus, la méthode Keszthely i
Résultat
Facteurs que j'ai observés dans lesquels le rhume des foins et l'écoulement nasal peuvent se développer
Histoire vraie
Une autre histoire où j'ai aidé et qui a donné des résultats
Une autre histoire qui m'est arrivée
Une autre histoire
Résumé
La méthode Keszthelyi
C'est la boisson Citron-Ail
(Je l'ai traduit du hongrois vers votre langue à l'aide de Google Translate.
Si le texte n'a pas de sens quelque part, je m'en excuse.)
-Les expériences d'un jardinier qui avait beaucoup le nez qui coule. Il a reçu de nombreux conseils, mais cela ne l’a pas vraiment aidé.
Ensuite, il a fait les choses qu’il avait imaginées et ça a marché, c’était un succès !
Les pages suivantes racontent comment j'ai découvert cette technologie.
- Je n'ai pas été malade depuis, mon nez ne coule pas !
Je n’écris pas un gros livre avec beaucoup de mots intelligents et scientifiques.
Ceci n'est qu'un petit livre, et malheureusement il n'y a pas de Docteur devant mon nom....
- Mais depuis, je n'ai plus été malade depuis des années.
- Depuis, si je me racle un peu la gorge, si j'éternue ou si j'ai l'impression que mon nez commence à couler, je sais déjà ce que c'est et quoi faire.
Dès l’âge de 16 ans environ, j’avais régulièrement le nez qui coule environ 1 semaine par mois. J'ai été plusieurs fois en arrêt maladie à cause de cela.
Adolescente, je ne savais pas pourquoi. J'ai cru à l'idée des autres selon laquelle j'étais malade. C’est ainsi que je dois vivre ma vie à partir de maintenant.
Comme un jeune garçon recherchant la compagnie des filles, je me suis retenu.
Parce que j'imaginais à quel point je suis répugnant avec le nez qui coule, par exemple en embrassant ou quelque chose comme ça...
- C'est pour ça que j'étais souvent seul. Je me suis retenu.
- Parfois, je n'étais pas très malade. Mais à cette époque, je ne faisais pas de distinction entre le fait que j'étais dans un environnement différent, où les habitudes des gens étaient également différentes.
- C'est précisément à cause d'habitudes différentes (ils nettoyaient différemment) que mon nez ne coulait pas autant.
-On me donnait régulièrement des antibiotiques, mais cela n'a pas vraiment aidé non plus. Maintenant, je sais pourquoi il ne pouvait pas m'aider.
- Plus tard, j'ai vécu dans une ferme à Nyársapát. Cette ferme a été construite vers 1848. Le bâtiment est orienté face à la direction des vents dominants. C'est ainsi qu'il protégeait la basse-cour des vents violents.
Le vent, en arrivant, s'est élevé au-dessus du faîte du toit, puis est revenu vers la cour, tourbillonnant dans la cour.
Les très nombreuses poussières microscopiques qu'il avait apportées avec lui se sont déposées dans les endroits intérieurs protégés du vent.
- La porte d'entrée se trouvait dans un endroit abrité.
- Quand je suis entré dans la maison, mais avant cela, je me tenais devant la porte, cherchant la clé. Pendant ce temps, j'ai bougé un peu et j'ai remué la poussière microscopique déposée avec les mouvements de mon corps.
J'ai inhalé la poudre microscopique, ce qui m'a fait couler le nez.
- A cette époque, je ne pensais pas qu'il fallait seulement nettoyer ici, nettoyer la poussière microscopique.
-Je me comportais aussi de la même manière que mon environnement : je croyais à l'idée que ce n'était pas vrai, que mon nez ne coulait pas de poussière microscopique.