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- Herausgeber: Youcanprint
- Kategorie: Gesellschafts- und Liebesromane
- Sprache: Französisch
Le livre "Grand-Mère Louise À La Maison Verdiana" ouvre au lecteur un monde très proche des familles françaises, italiennes et de tout le monde civilisé et c'est celui relatif aux Maisons de Repos pour les personnes dites AUTONOMES du troisième âge, mais qui utilisent souvent un chariot de marche. Il y a des aspects de la vie quotidienne, des amitiés et des relations entre eux, avec les soeurs qui gèrent Casa Verdiana, ainsi qu'avec les médecins, les travailleurs civils et les membres de la famille, ces derniers fondamentaux pour leur santé physique et mentale avec leur affection et leurs visites, qui avoir un effet comparable à celui obtenu avec des thérapies médicales et avec une bonne assistance matérielle, physique et spirituelle. Il est à l'image de la société française, italienne et des autres nations du monde, car les personnes accueillies sont majoritairement des femmes, qui vivent plus longtemps que les hommes. Des étrangers comme NONNA LOUISE commencent également à être présents, signe que la société italienne est de plus en plus internationale et multiraciale.
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Veröffentlichungsjahr: 2023
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Italian: Copyright
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Italian: NOTA
IL Libro fa' parte della Collana ideata e scritta dall'Autore Rotini Leone Gabriele dal titolo "VITA DEI NONNI E DELLE NONNE NELLA CASA DI RIPOSO PER PERSONE AUTOSUFFICIENTI E NON AUTOSUFFICIENTI" di cui il primo libro è "IL NONNO AL RECLUSORIO". Tale Collana fa' parte integrale del Copyright e nessun libro in qualunque lingua al mondo può essere prodotto e stampato con i contenuti a cui fa riferimento la NOTA riportata senza l'Autorizzazione scritta da parte dall'Autore.
English: NOTE
The Book is part of the Series created and written by the Author Rotini Leone Gabriele entitled "LIFE OF GRANDPARENTS AND GRANDMOTHERS IN THE REST HOME FOR SELF-SUFFICIENT AND NON SELF-SUFFICIENT PEOPLE" of which the first book is "IL GRANDFATHER AT THE RECLUSIO". This Series is an integral part of the Copyright and no book in any language in the world can be produced and printed with the contents to which the NOTE refers without written authorization from the Author.
Titre.
GRAND-MÈRE LOUISE À LA MAISON VERDIANA.
Sous-titre.
UNE GRAND-MÈRE FRANÇAISE DANS UNE MAISON DE RETRAITE ITALIENNE.
Chapitre 1.
Transfert de grand-mère Louise à Casa Verdiana.
La fin de l'été approchait et grand-mère LOUISE, invitée de Casa Verderio, un établissement pour personnes NON AUTONOMES, était sur le point de déménager, compte tenu de l'amélioration de ses conditions physiques et mentales dans un établissement pour personnes AUTONOMES.
Ainsi le fils Antoine, après s'être entretenu avec la directrice Béatrice, l'informa de la décision de muter sa mère, car elle refusait l'assistance d'une aide-soignante et ses nombreux engagements professionnels en tant que médecin l'empêchaient de la suivre.
C'est ainsi qu'il se mit à la recherche d'une maison de repos pour personnes autonomes en visitant
quelques structures de ce type près de Florence, sa ville de résidence.Parmi celles visitées, il identifia la solution possible à un problème qui devenait chaque jour plus pressant à Casa Verdiana et donc il a répété la visite de l'établissement s'est convaincu que cela représentait la meilleure solution.
Il était situé sur une colline surplombant Florence et avec un grand jardin dans la partie arrière du bâtiment, il disposait d'un seul endroit, immédiatement disponible, avec une chambre individuelle comprenant une salle de bain interne.
La gestion de la maison de retraite est confiée à une congrégation de religieuses bien connue et les références sont excellentes.
Ils avaient de grands espaces intérieurs, une salle à manger, un salon de jour avec une télévision de cinquante pouces de dernière génération qui permettait, entre autres, des connexions directes avec les principaux sanctuaires mariaux nationaux et européens via YouTube,
et il y avait une chapelle intérieure où le dimanche le curé de la paroisse voisine venait célébrer la messe. La cuisine était gérée par les religieuses elles-mêmes, elle était donc de bonne qualité, et l'assistance pour tous les besoins était confiée à la supérieure, Sœur Lucie et à l'infirmière, Sœur Elisa, qui, vivant dans la structure, garantissent une assistance infirmière 24 heures sur 24, et deux femmes qualifiées d'Oss opérateurs externes, qui ont nettoyé et désinfecté toutes les chambres et les espaces communs.
Les personnes âgées assistées pouvaient atteindre au maximum une trentaine d'unités et devaient être autonomes, même si beaucoup utilisaient le chariot de marche pour se déplacer. Deux médecins de famille s'occupaient de tous les hôtes de Casa Verdiana et une fois par semaine, le matin, ils se rendaient disponibles pour les visites médicales et les prescriptions. Casa Verdiana disposait également de vélos stationnaires et de tapis roulants pour l'activité physique des invités, que la religieuse infirmière soumettait en outre à des exercices de groupe tous les jours dans la salle de réunion au rez-de-chaussée. Les chambres étaient toutes situées au premier étage et étaient accessibles avec un ascenseur confortable et spacieux, qui pouvait accueillir des brancards pour l'assistance hospitalière des mamies. Je dis mamies parce qu'il n'y avait que cinq hommes autour ! Sur la base de ces informations, références, organisation et assistance, Antoine a parlé avec sa mère qui, bien qu'à contrecœur, s'est convaincue d'aller vivre à Casa Verdiana. La redevance mensuelle n'était certes pas bon marché mais pas chère non plus, pas à la portée de tous mais soutenable. Les frais comprenaient tous les services, y compris la lessive et la fourniture de savon liquide pour les mains, la bouteille pour la douche, qui est obligatoire chaque semaine, le dentifrice, le bain de bouche, la brosse à dents et le shampoing. Une fois par mois, Casa Verdiana faisait venir un coiffeur et une pédicure pour les besoins de tous les clients, bien sûr payants mais limités. Alors un dimanche matin il y a deux ans Antoine est allé à la Casa Verderio, une opératrice a aidé grand-mère LOUISE à faire ses valises, à dire bonjour à tous les autres opératrices, au directeur et à mettre les valises dans la voiture Antoine a fait monter sa mère et il est parti parvenir à Casa Verdiana, après avoir déjà eu l'occasion de remercier et de saluer vendredi le Dr Verderio pour les excellents résultats obtenus et de l'informer de la décision prise. Au bout d'une heure environ, elles arrivèrent à Casa Verdiana et furent accueillies par la supérieure/directrice sœur Lucia avec beaucoup de chaleur et d'humanité, à tel point que la grand-mère se sentit immédiatement à l'aise et lui accorda une grande confiance. Ils montèrent ensemble dans la chambre, tout propre et rangé, et ils virent que
la chambre avait un lit simple avec une table de chevet, une lampe, une commode, une armoire, un joli fauteuil situé devant la commode sur lequel il y avait une télévision avec télécommande. La salle de bain était à l'intérieur de la chambre et avait une douche avec un siège escamotable, ce qui permettait de le faire même en position assise, deux supports de support, dont l'un était de type poignée et l'autre linéaire et d'un mètre de long. Les toilettes permettaient également de laver les parties intimes, car elles disposaient d'un robinet d'eau à proximité avec une rallonge munie d'un jet spécial régulateur de débit. La sécurité d'utilisation de la salle de bain, a déclaré sœur Lucia, est un point fondamental pour les personnes âgées de
Casa Verdiana, et naturellement celles qui ne se sentent pas en sécurité se font aider par un opérateur pendant la douche. Le changement de serviette pour le visage était assuré tous les trois jours et celui pour la douche à chaque fois après utilisation, tandis que les draps et taies d'oreiller étaient changés tous les quinze jours. Avec toutes ces clarifications, ainsi que les mesures de sécurité et les règles quotidiennes de nettoyage et d'assainissement, Antoine a laissé sa mère LOUISE, après des câlins et des bisous, à Casa Verdiana entre les mains de Sœur Lucie, des autres religieuses et des opérateurs. Mais d'abord, ils ont procédé à ranger tous les vêtements, costumes, vestes, chandails, chemises et vêtements divers dans l'armoire, dans les tiroirs de la commode et de la table de chevet.
Grand-mère LOUISE a donc vécu plus d'un an et demi à la Casa Verdiana, elle s'est habituée aux horaires, rythmes et vie de la structure, avec ses longs couloirs pleins de tableaux accrochés aux murs donnés par des peintres inconnus et célèbres, participant activement à la gymnastique de groupe dans la salle de réunion au rez-de-chaussée, aux promenades dans le jardin plein d'oliviers, de parterres de pelouses vertes et de fleurs.
Elle a également amélioré sa spiritualité en participant à la messe dominicale célébrée par Don Filippo et à la prière interconfessionnelle hebdomadaire organisée par la supérieure Sœur Lucie, avec des mamies bouddhistes, hindoues, évangéliques, islamiques, anglicanes et protestantes.
Enfin, elle a pleinement savouré toutes les spécialités culinaires préparées par la cuisinière Soeur Benedetta, ses douceurs ainsi que le bon café fait avec la cafetière moka. Mais ses graves problèmes d'allergies qui ont commencé à l'affliger l'ont forcée à quitter Casa Verdiana, où chaque jour elle pouvait regarder au loin la ville de Florence, qu'elle a toujours aimée, où elle a vécu sa vie après avoir épousé Cesare et où son fils Antoine est né, sa petite-fille Alessia et déménageant dans une structure sur la mer où, sur les conseils du médecin de Casa Verdiana dr Dante, son allergie se serait beaucoup améliorée en raison de l'absence de pollen dans l'air.
J'avais connu
grand-mère LOUISE à Casa Verderio, une structure pour Individus Non Autonomes où elle venait d'arriver, alors que j'étais sur le point de la quitter pour déménager à Casa Azzurra, une structure pour Individus Autonomes située en bord de mer à Marina di Pisa.
Par la suite, elle m'a parlé par téléphone, pour me saluer et savoir comment j'étais dans la structure au bord de la mer de Casa Azzurra, où j'avais déménagé et elle a apprécié ce que je lui ai dit.
Alors son fils Antoine a contacté Sœur Pensa, la directrice de Casa Azzurra, lui demandant la disponibilité d'une place pour sa mère et fixant une date pour une visite à l'établissement.
Après sa visite à la Maison de repos à Marina di Pisa, qui l'avait pleinement satisfait, pour l'emplacement, pour les services offerts et la qualité de vie des hôtes, il est convaincu que pour sa mère LOUISE c'était l'endroit idéal pour vivre et qu'elle irait bien.
Il en parlait avec sa mère et elle ne voulait pas quitter la Casa Verdiana car, elle s'était liée d'amitié avec toutes les autres grand-mères, elle aimait vivre dans cet environnement, elle pouvait voir Florence, la ville qu'elle aimait et qui lui permettait de souvent reçoit la visite de sa petite-fille Alessia et du même fils Antoine.
Avec beaucoup de patience, Antoine lui a rappelé que les raisons de son transfert n'étaient que des raisons de santé car le Dr Dante, voyant qu'elle avait de très sérieux problèmes d'allergies au printemps et en été, lui avait conseillé de déménager dans une maison de repos proche de la mer. où il aurait certainement amélioré son état de santé. Elle a partagé les avis de son fils et il y a deux mois, après avoir informé Sœ ur Lucie du directeur de la Casa Verdiana et annulé la chambre, LOUISE, accompagnée de son fils Antoine, est
arrivée à la Casa Azzurra et nous nous sommes donc retrouvés après plus d'un an et demi , et Ses histoires m'ont permis d'écrire ce livre.
Il n'est pratiquement pas fait mention de Casa Verderio, une structure de qualité pour personnes non autonomes, mais nous ne parlons que de Casa Verdiana, également une structure de qualité pour personnes autonomes près de Florence et qui a accueilli grand-mère LOUISE en tant qu'invitée. pendant plus d'un an et demi avant son nouveau transfert à Casa Azzurra, une structure pour personnes autonomes située à Marina di Pisa, également de haute qualité mais avec l'emplacement supplémentaire en bord de mer.
L'occasion d'écrire, pour l'instant, uniquement sur l'expérience de grand-mère LOUISE à la Casa Verdiana est donnée par le fait qu'elle a déménagé à la Casa Azzurra récemment, environ trois mois, et n'a eu que le temps de me parler de son séjour à la Casa Verdiana, mais plus tard elle m'a promis qu'elle me parlerait également de son expérience en tant que personne non autonome à la Casa Verderio, où elle a été invitée pendant près d'un an et qui sera décrite dans le prochain livre.
Certes grand-mère LOUISE a de la sympathie pour moi pour me raconter sa vie, avec une période plus difficile à Casa Verderio et une plus sereine à Casa Verdiana.
Me pousser à écrire le livre sur une grand-mère française dans une structure pour personnes autonomes comme Casa Verdiana sont aussi des raisons pédagogiques, sociales et de témoignage, visant à sensibiliser la société d'aujourd'hui à la réalité des maisons de repos italiennes qui accueillent des grands-mères également d'origine étrangère. , mais habitués à vivre en Italie, à un moment particulier et difficile de leur vie.
Chapitre 2.
La structure de Casa Verdiana.
Casa Verdiana, étant située sur les collines florentines, jouissait d'une vue splendide sur Florence et au-delà. La structure a déjà été un peu décrite mais dans ce chapitre je vais en compléter tous les aspects. Il a la forme d'un sept et est réparti sur deux étages avec deux ascenseurs reliant le rez-de-chaussée au premier étage, dont l'un est grand pour tous les invités et pour les services d'urgence, et un plus petit pour le service, utilisé par les religieuses et Le rez-de-chaussée dispose d'une entrée lumineuse sur la rue, avec un couloir adapté qui brise les barrières et permet également l'accès aux chariots de marche et aux brancards de secours. Il a un grand hall d'entrée et des deux côtés un couloir central se développe le long de toute la structure mesurant quarante-cinq mètres qui se répète textuellement au deuxième étage. Une salle d'entretien, un bureau de direction, une salle d'infirmerie, une grande salle à manger donnant sur le couloir et pouvant accueillir trente convives répartis sur dix tables. Il y a une cuisine bien équipée, avec un extracteur de fumée qui fonctionne pendant la préparation des aliments, un garde-manger et une chambre froide. Il y a aussi un entrepôt, une salle de bain de service avec une pièce séparée pour habiller les opérateurs et loger les chariots utilisés pour nettoyer et désinfecter les chambres et les espaces communs. La partie accessible aux hôtes est complétée par une buanderie avec trois méga machines à laver, une penderie avec un coin repassage équipé de deux surfaces de repassage avec deux fers à vapeur, une grande salle de réunion pouvant accueillir sur des fauteuils rembourrés, divisée en deux rangées, plus d'une
trentaine d'invités et meublé d'un meuble TV sur lequel domine une smart TV 50 pouces de dernière génération, avec connexion Internet, et de deux tables pour les jeux de cartes quotidiens. Tout le long du couloir se trouvent des fauteuils capitonnés où les invités s'attardent parfois pour parler aux proches pendant les heures de visite si la salle d'entretien est occupée. Une grande chapelle pour les fonctions religieuses complète la partie réservée aux hôtes. Sur les murs de tout le couloir, il y a des peintures données à Casa Verdiana par divers artistes, certains inconnus, d'autres célèbres et honnêtement, chaque fois que vous le traversez, vous avez l'impression d'être dans une galerie d'art. Enfin, il y a deux cyclettes et deux tapis roulants pour l'exercice physique de ceux qui veulent et peuvent le faire. Le reste du rez-de-chaussée est réservé aux religieuses pour leurs chambres, chambres, salle à manger, salon.
En prenant l'ascenseur, vous montez au premier étage où vous êtes accueilli par un grand atrium qui mène au couloir central divisé en deux parties et surplombé de part et d'autre par trente chambres simples réservées aux hôtes plus deux salles de bains de service et une pièce avec placards contenant linge de rechange pour les lits et serviettes pour la salle de bain, le visage et le bidet. Sur les côtés du couloir se trouvent quatre groupes de trois chaises rembourrées dans lesquelles les invités s'arrêtent parfois pour parler. Sur les murs du couloir, il y a d'autres peintures suspendues données à Casa Verdiana mais aucune d'artistes célèbres. Il y a deux cyiclettes pour l'exercice. Les chambres ne sont pas très spacieuses mais offrent un espace adéquat et sûr pour le déplacement des sujets âgés. Ensuite, toutes les chambres sont équipées d'un détecteur de fumée d'incendie, d'une grande fenêtre donnant sur la rue ou le jardin, des gravures de Florence, y compris des rues, des bâtiments historiques, des statues, des places, des églises, des tronçons de l'Arno, et elles ont toutes la salle de bain interne est équipé d'une hotte aspirante. L'ameublement est similaire pour toutes les chambres, mais avec quelques petites différences dans le mobilier, car parfois, à la demande du client, il y a une chaise rembourrée et un bureau pour écrire, dans le type de fauteuil et de télévision. Au bout des deux côtés du couloir, il y a deux salles ouvertes avec table, chaises, fauteuils, meuble TV, capables de faciliter la coexistence, l'échange et la socialisation entre les invités, même avec des jeux de cartes ou la visualisation commune des détails des événements télévisés. Le premier étage dispose d'une issue de secours qui permet d'accéder à un escalier extérieur qui rejoint le rez-de-chaussée. Une particularité unique est représentée par la présence de haut-parleurs, tant dans le couloir du rez-de-chaussée qu'au premier étage, qui diffusent toute la journée de la musique symphonique à faible volume, ce qui contribue à instiller la sérénité chez les invités, qui apprécient et remercient le supérieure Sœur Lucie pour celle qui a eu l'idée. Le jardin de la Casa Verdiana est vraiment splendide, composé de sept parterres pleins d'herbe verte, de fleurs, de plantes vertes, d'oliviers et de haies qui entourent chaque parterre, il est fréquenté toute l'année par les hôtes, qui bénéficient de la vue sur tout ce qui verdure et quelques fleurs. De plus, en été, deux gazebos sont installés et sont visités, le matin et en fin d'après-midi, par les clients seuls et en compagnie de parents ou d'amis en visite. Une autre particularité est représentée par la présence d'un bassin d'eau dans lequel vivent des poissons rouges et une cage avec deux mignons perroquets verts qui rassemble plus de spectateurs que le réservoir avec des poissons.
Chapitre 3.
Les religieuses de Casa Verdiana.
Les religieuses de Casa Verdiana sont le pivot de l'organisation de la maison de repos et ont tout et tout le monde sur leurs épaules et seuls les deux opérateurs externes prêtent main-forte au nettoyage, à la désinfection des chambres et des espaces communs et aident également les clients qui ont besoin d'aide pour obtenir habillé le matin, se coucher le soir et prendre la douche hebdomadaire obligatoire.
Les religieuses ont de la chance car Sandra et Giulia, les deux opératrices externes de Casa Verdiana, ne manquent jamais un jour de travail et, étant célibataires, vivent leur métier au service des autres.
En tout cas, les religieuses sont des femmes comme toutes les autres et parfois leurs caractères différents les amènent à des discussions animées qui pourtant reviennent aussitôt dès qu'elles sont devant le Seigneur dans la chapelle pour quelques instants d'adoration ou de prière, mais la vœu d'obéissance résout définitivement les problèmes résiduels et l'organisation des travaux de Casa Verdiana.
- Sœur Lucie.
La supérieure/directrice Sœur Lucie est une religieuse avec une vaste expérience humaine, sociale, organisationnelle et spirituelle. Elle ressemble à une grande femme, de corpulence normale, aux yeux bleus, au visage légèrement allongé, aux lèvres fines, aux mains soignées et un sourire toujours aux lèvres. Elle a été en mission en Afrique pendant dix ans et est revenue en Italie il y a cinq ans.Elle a entre autres un diplôme en psychologie, mais elle n'a jamais pratiqué parce que le Seigneur l'a appelée, dès qu'elle a obtenu son diplôme, et elle a répondu oui . Il a une grande influence, humaine et spirituelle, sur toutes les nonnes et mamies de Casa Verdiana. Il n'élève jamais la voix et parfois ses yeux suffisent à parler. Il se soucie de ses nonnes et mamies comme s'il s'agissait de ses filles. l'esprit et le cœur se voient dans chaque geste d'affection, de consolation et de service envers ses filles mamies qui appellent chacune par le nom qu'elles préfèrent.Elle a le don d'accueillir car elle a une sensibilité extraordinaire capable de rendre les mamies qui entrent à Casa Verdiana ou qui y vivent déjà perçoivent un amour et une affection qui les font se sentir mieux que chez eux. Cela s'est passé avec grand-mère LOUISE mais aussi avec toutes les autres grands-mères et quelques grands-pères "rares".
En fait, ils ont tous un visage serein et quand ils voient Sœur Lucie, ils sourient toujours et montrent visuellement leur joie. Il respecte également les invités qui professent d'autres religions et à Casa Verdiana il y en a plusieurs. En effet, il y a une grand-mère chinoise bouddhiste, une grand-mère indienne hindoue, une grand-mère égyptienne islamique, une grand-mère japonaise bouddhiste, une grand-mère allemande protestante, une grand-mère américaine de religion évangélique, une grand-mère anglaise de religion anglicane, une grand-mère turque islamique. Sœur Lucie organise une prière interreligieuse entre les mamies de la religion chrétienne et les mamies de toutes les autres religions présentes à Casa Verdiana. La prière dure deux heures et en plus de lire des passages de l'Evangile, des passages concernant d'autres religions sont lus et toutes les mamies participantes font aussi des prières spontanées.Il faut reconnaître que ce type de prière communautaire crée un climat de paix, de respect et d'estime parmi les mamies et vers les nonnes. Le supérieur ne sert pas pendant les repas, mais les ouvre toujours par une prière qui est tantôt un Notre Père, tantôt un Ave Maria ou un Glory Be. Au lieu de cela, il gère entièrement le petit-déjeuner le matin, servant à toutes les mamies du lait, du café, des biscuits, du thé et du chocolat les dimanches et jours fériés d'hiver et envoie immédiatement une religieuse vérifier si des mamies ne se présentent pas au petit-déjeuner. Elle anime le chapelet de l'après-midi qui a lieu après le goûter et s'arrête volontiers pour parler avec tout le monde, mais surtout avec ceux qui ont besoin de plus d'affection ou de réconfort à cause d'un problème. Elle s'occupe également de la vie spirituelle des autres moniales, organisant des retraites de trois heures l'après-midi, invitant des prêtres préparés à la connaissance de l'Évangile et dotés d'une profonde spiritualité. Au terme de ces brèves retraites spirituelles à la chapelle, les sœurs ont un visage plus lumineux et plus serein. Enfin, une fois tous les deux mois, il organise des réunions avec les proches des hôtes pour leur faire part de la situation humaine, sanitaire et spirituelle de tous les
hôtes de Casa Verdiana et, si nécessaire, écouter les suggestions ou considérations des proches. - Sœur Benedetta.
Elle a la tâche de cuisinière de Casa Verdiana et est vraiment douée pour la préparation des plats et des desserts.Elle n'est pas grande, yeux noirs, corpulence robuste, lèvres pleines, visage ovale, sourire spontané, mains bien finies, aussi parce que dans la cuisine, elle utilise toujours des gants. Sœur Lucie lui a fait suivre un cours spécialisé de cuisinières et elle en a profité, notamment dans la préparation des douceurs.Elle a aussi une grande sensibilité, car à la fin du repas elle passe entre les tables pour entendre si les mamies ont apprécié le premier et seconds plats préparés, demandant également quels plats ils préfèrent tout au long de la semaine. Bien entendu, Sœur Benedetta participe à toutes les prières de sa communauté et aux mini-retraites spirituelles organisées par Sœur Lucie et, dès qu'elle le peut, elle se rend à la chapelle interne de la Casa Verdiana pour des moments d'adoration et de prière personnelle. Je signale également une liste qualitative de trois premiers et seconds plats, accompagnements et desserts préparés par sœur Benedetta.
1-SPAGHETTIS AUX TOMATES FRAÎCHES.
Laver, bien essuyer et couper les tomates en quartiers. Cuire les spaghettis (blé dur italien et taille 5) al dente dans l'eau bouillante et ajouter le sel. Faire revenir l'ail dans l'huile d'olive extra vierge (toscane) et ajouter les tomates et le basilic. Égouttez les pâtes et mélangez les spaghettis dans une casserole avec les tomates et le basilic. Servir.
2-SOUPE AUX 2 PAIN.
Préparez un oignon haché, du céleri et des carottes, puis ajoutez les tomates pelées hachées (abondantes). Salé. Dès que la préparation commence à bouillir, verser le pain rassis (toscan) trempé dans l'eau. Mélangez le tout en le portant à ébullition lente. Tourner la soupe progressivement en veillant à ce qu'elle ne colle pas. Finalement, la soupe doit être crémeuse. En touche finale, du basilic haché et de l'huile d'olive extra vierge (toscane). Servir.
3-TAGLIATELLES SAUCE.
Préparez une sauce à la viande comme suit : ajoutez le bœuf et le porc hachés à l'oignon, au céleri et aux carottes hachés. Faire dorer le tout, saler et ajouter le vin blanc. Lorsque le vin s'est évaporé, ajouter la purée de tomates pelées, un peu de concentré de tomates, une pincée de sucre et de l'eau chaude au goût. pour tout diluer. Concentrez lentement la sauce jusqu'à ce qu'elle soit complètement cuite. Cuire les tagliatelles italiennes séparément dans l'eau jusqu'à ce qu'elles soient al dente. Ajouter la sauce aux tagliatelles égouttées et remuer jusqu'à ce qu'elles soient bien mélangées. Servir.
4-FARAONA AUX OLIVES DE TOSCANE.
Faire dorer la pintade coupée en petits morceaux avec beaucoup d'oignon et de sauge. Saler et poivrer. Ajouter le vin blanc et laisser évaporer, puis ajouter la tomate pelée hachée et un peu d'eau chaude. Porter à ébullition en tournant de temps en temps. à temps et, si nécessaire, ajouter plus d'eau.Dix minutes avant d'éteindre le feu, ajouter les olives toscanes.Servir.
5-POITRINES DE POULET AU VIN.
Farinez les poitrines de poulet, faites-les dorer dans du beurre additionné d'huile d'olive extra vierge
(Toscane) et d'une feuille de sauge. Ajouter le sel Lorsque les poitrines de poulet sont dorées, ajouter un peu de vin blanc (italien). Servir.
6-SANGLIER AUX OLIVES DE TOSCANE.
