Le temps qui passe - Pascal Dufus Calou - E-Book

Le temps qui passe E-Book

Pascal Dufus Calou

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Beschreibung

"Le temps qui passe" est un hommage aux parents de Pascal Dufus Calou, célébrant les joies et les épreuves ayant façonné sa vie. Célibataire en quête de l’âme sœur dans son département et ses environs, l’auteur explore également les incivilités qui marquent notre époque. Cet ouvrage s’illustre d’une part par des charades à déchiffrer, des remerciements sincères et d’autre part à travers une richesse en récits fictifs empreints de réalité.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Originaire de la région parisienne, Pascal Dufus Calou réside actuellement dans le département des Deux-Sèvres. En quête d’amour, il incarne la tendresse, la passion, la franchise, l’honnêteté et la vérité. "Le temps qui passe témoigne de son regard authentique et sensible sur la vie".

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Couverture

Page de titre

Pascal Dufus Calou

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le temps qui passe

Roman

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Copyright

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

© Lys bleu Éditions – Pascal Dufus Calou

ISBN : 979-10-422-3504-8

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tous les prénoms utilisés dans ce livre sont pris au hasard, toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne serait que fortuite. Bonne lecture à vous !

 

 

 

 

 

Je suis Pascal.

Je suis né en région parisienne, mais je vis dans le département des Deux-Sèvres.

« La première partie de ce roman est autobiographique et la seconde présente des histoires policières et des aventures. » Il raconte mes coups de gueule et mes envies, en l’occurrence rencontrer la femme qui me comprendra. Mais sera-t-elle parfaite ? Je ne pense pas, du moins pas pour tout le monde, mais du moment où moi, je la vois parfaite, c’est le principal !

Bien souvent, elles ont des enfants, surtout quand on arrive à plus de quarante-cinq ans. Aussi, on ne peut avoir la beauté extérieure et intérieure à la fois. On sait très bien qu’il y a des enfants et bien généralement, elles sont divorcées. On a tous des cartons et des casseroles dans nos vies. Et qui nous suivent, mais une chose est sûre, nous avons tous envie de rencontrer la personne avec qui nous passerons le restant de notre vie. Sereinement, dans le partage des tâches et la complicité de l’un et de l’autre.

En ce qui concerne mes coups de gueule, je trouve que les incivilités vont bon train. Alors que tout le monde se dit très courtois, quand on voit le nombre d’incivilités, on se demande où l’on vit !

Et je suis très bien placé pour le savoir, puisque je suis conducteur d’autocar scolaire. Les incivilités abondent, que ce soit dans le véhicule ou sur la route ! Et là, en Deux-Sèvres, il y a un village qui en est le parfait exemple ! Je joins également la photo de mes parents, qui ont fait de moi ce que je suis devenu, pour leur rendre un hommage à titre posthume.

Il y a aussi les photos dans lesquelles nous avons passé de super bonnes vacances avec nos parents, dans différents lieux, dont trois, en particulier. Je vous laisse les découvrir.

Enfin, il y a mon coup de cœur du moment, un endroit que je trouve très agréable et où j’aimerais passer ma future retraite, sauf si je trouve la perle rare dans les Deux-Sèvres. Il y a aussi des photos des soirées passées avec les amies. Je cite plusieurs endroits que j’aime fréquenter. Mais dans ce roman, c’est plus indiqué en charade. Je vous laisse les découvrir à l’intérieur.

Madame, j’ai croisé votre regard, celui-ci m’a touché, j’aimerais qu’il y ait une suite à cette belle rencontre, mais comment faire ? Je viens d’en apprendre un peu plus sur vous et je dois dire que cela va peut-être me faciliter la tâche, pas facile avec un ou des enfants, à voir s’il y aura une suite ou pas !

J’aimerais remercier les enfants que je transporte dans le triangle Vallans, la Foye-Monjault et la Rochenard pour leur gaieté et leur bonne humeur, ainsi que leur accompagnatrice Karine.

Il y a surtout dans la deuxième partie un bon nombre d’histoires inventées avec une pointe de réalité, comme dans le chapitre sur les voyages en autocar. J’ai fait des vérifications sur internet pour mélanger le vrai et le faux, vous verrez par vous-même. Une certaine description a été faite avant d’être indiquée ici : (l’année de la construction de la tour Eiffel par exemple).

La photo de couverture a été prise par ma sœur vers l’île de Noirmoutier. J’aime raconter des histoires.

Et depuis peu, je les partage en écrivant des romans qui sont en première partie une autobiographique et en second des aventures policières.

Le passé côtoie le présent et plonge dans l’avenir ou reste dans le présent !

 

 

Pascal

 

Si tu veux être fort, apprends à te battre seul.

Il y a ici des coups de cœur et des coups de gueule qui vont à la suite de ma vie.

 

Je rends hommage à mes parents et à ma sœur, même si nous n’avions pas les mêmes informations, car nous l’avons découvert avec ma sœur il y a peu de temps. Mes parents nous ont aimés et nous le leur avons bien rendu, nous sommes une famille et nous le resterons à jamais.

Les rencontres, mais surtout les lieux qui nous laissent aussi de très bons souvenirs où l’on revient le plus souvent. Et un jour, on réalise un peu son rêve, car on part vivre dans ces lieux où, enfant, on n’avait qu’une envie, c’était d’y vivre !

Il y a un lieu que j’ai adoré et auquel je vais donner un petit coup de pouce, c’est le Bistrot du Phare qui se trouve à Saint-Palais-sur-Mer. J’ai fait la rencontre d’une serveuse là-bas, avec qui j’avais commencé à discuter. Dommage, nous n’avons pas eu le temps de finir cette conversation. Et j’ai appris qu’ils venaient d’acheter ici et c’étaient les nouveaux propriétaires qui l’avaient embauché pour la saison. Ces plats sont vraiment très bons, je vous invite à aller découvrir cet endroit qui a une vue extraordinaire. On y trouve un grand parking non loin de là, à vous de le découvrir.

Il faut savoir raconter des histoires, qu’elles soient vraies ou pas. Pour celles qui sont inventées, je prends le temps d’effectuer des recherches sur internet. Et dans des livres, afin que ces informations soient réelles, pour que les histoires que j’invente soient réelles avec une grande part d’inventions afin que les deux se confondent. Et mon imagination fonctionne super bien.

Je rends hommage à des gens qui ont subi des choses horribles. Que ce soit pendant la Première Guerre mondiale ou la Seconde, je trouve très important de rendre hommage à ces gens qui ont vécu l’horreur de ces deux guerres. Et malgré ce qu’ils ont vécu, ils ont continué à sourire à la vie sans jamais se plaindre ni faire allusion à ce qu’ils avaient enduré ou vécu et même subi pendant ces années de guerre.

Ce qui est sûr, c’est que mon premier livre va énormément me servir pour ne pas refaire les mêmes erreurs afin que la publication de cet ouvrage soit plus simple et plus facile à lire.

Durant l’écriture de ce livre, nous avons eu la perte d’une icône, la reine Élisabeth II, elle est décédée le 8 septembre 2022.

Il y a eu de nombreuses autres disparitions comme le roi Pelé et le pape Benoît XVI.

Notre équipe de France de foot s’est super bien battue lors de la coupe du monde, ce qui a redonné le sourire à un peuple !

Les filles de l’équipe de France de foot se battent également très bien et elles sont moins chochottes que vous, messieurs !

Et le stade rochelais est toujours au top.

Photo intérieure prise à Saint-Palais-sur-Mer en 2022, le bistrot du Phare de la terrasse extérieure.

 

 

Dans ce livre, il y a un grand chapitre sur les conducteurs d’autocar… Étant moi-même conducteur d’autocar, je suis complètement concerné par cette activité. Cela risque de perturber certains d’entre vous. Car vous n’êtes pas cool avec les chauffeurs de car, bien au contraire, à croire que nous transportons des boîtes à pizza et non des personnes ou des enfants !

Nos autocars mesurent 12,80 m de long minimum. Ils peuvent aller jusqu’à une longueur de 15 m sur une largeur de 2,50 m pour un poids de 19 t à 26 t ; ah oui, la hauteur est de 3,75 m et nous n’avons pas le droit de quitter la route ni de faire de marche arrière. Il y a un permis spécial pour conduire ces types de véhicule ; notre porte-à-faux arrière est de 3,50 m, on le mesure de la façon suivante : vous prenez le milieu de votre roue arrière et vous allez jusqu’au bout de votre parechoc arrière, cela vous donne le porte-à-faux arrière ; idem pour l’avant, quand nous faisons une manœuvre, on peut ouvrir une voiture en deux.

Exemple : si je tourne à droite, mon porte-à-faux arrière a besoin de 6 m pour un balayage en toute sécurité. Allez donc voir des tutos sur internet, cela vous fera voir la réalité de notre métier. Notre permis coûte en moyenne la somme de 8 000 € (uniquement pour le permis D). La formation dure trois mois. Ensuite, il y a l’examen – le Code de la route, la théorie avec les questions et réponses à donner, le plateau pour les manœuvres et la route ; le permis B est obligatoire pour passer le permis D et il faut avoir plus de 21 ans.

Les mesures indiquées ici sont à titre indicatif, car je pense que certains conducteurs d’autocar vont me dire qu’il y a des véhicules plus petits qui font partie du groupe des autocars.

Alors quand j’entends de simples automobilistes nous dire comment nous devons conduire nos véhicules, je me demande si vous avez bien réfléchi avant de parler !

Prenez soin de vous et des autres utilisateurs de la route, celle-ci ne vous appartient pas, merci.

 

Les entreprises savent nous chanter de belles mélodies pour nous faire venir dans leurs entreprises quand celles-ci sont en pénurie de personnel. Et c’est bizarre, la mélodie change au fur et à mesure que les mois passent. Comme quoi, il faut se méfier de tout le monde. J’ai l’exemple en ce moment, là où je travaille !

Et la mélodie s’améliore par moments et repart dans le mauvais sens.

Ils sont comme les politiciens, ils nous chantent de belles mélodies pour nous amadouer. Et une fois que cela est fait, ils nous chantent une autre mélodie. Je vais surveiller ça de près et je vous indiquerai dans mon prochain roman l’évolution de leur mélodie.

 

Il y a aussi des petits groupes de jeunes qui aiment foutre le bordel dans les véhicules qui les transportent pour aller en cours ou les ramener. J’ai un groupe comme ça, ils viennent d’un hameau qui se trouve à la sortie d’un village après une grande surface en direction de Granzay-Gript (après le rond-point auquel se trouve la station de lavage, il y a ce hameau où ce quartier, il est situé sur la D 650). Il y a une indication dans ces phrases (pour vous indiquer le nom de cette commune sans la nommer directement).

Foutre le bordel à l’intérieur du véhicule est devenu leur spécialité. Ils sont vulgaires et irrespectueux vis-à-vis des chauffeurs. Ce n’est pas beau de voir ça. On est là pour faire notre métier qui est de conduire ces véhicules. Ce n’est pas à nous de leur rappeler tous les matins les règles, le comportement qu’ils doivent avoir. C’est quand même dingue de voir autant d’incivilités de la part des jeunes. Lesquels nous disent le contraire alors que dans la réalité. Ils ne mettent pas la ceinture de sécurité, ils crachent, posent les pieds sur les sièges, déchirent les fauteuils, se baladent dans le véhicule quand celui-ci est en mouvement, répondent au chauffeur de manière déplacée, etc. Même la médecine du travail est au courant que cette ligne est particulièrement difficile et que certains conducteurs et conductrices ont fait un burn-out à la suite des incivilités de ces jeunes. Nous ne sommes pas des gendarmes et nous aimons travailler dans le calme.

À voir si une déclaration d’une main courante ne ferait pas mieux et fait réagir ma direction qui pour le moment n’en a rien à faire !

Je vais encore les avoir cette année, je comprends pourquoi ils ne trouvaient personne pour faire cette ligne, c’est la seule ligne qui comporte un groupe aussi irrespectueux et qui va au collège situé à Frontenay R-R.

Je change de sujet !

Toutes les photos figurant dans ce livre sont tirées de mes albums de photos personnels.

Toute ressemblance avec des prénoms qui font partie de mon entourage serait une pure coïncidence !

Bonne lecture à vous !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Première partie

 

 

 

 

 

Mon histoire

 

 

 

Papa, c’est toi qui m’as appris la vie et le devoir du travail bien fait. Tu m’as fait voir également la dureté des gens et l’indifférence de certaines personnes. Tu as toujours été présent même après ton départ, car l’étoile que j’ai au-dessus de la tête, je pense que tu en fais partie, tout comme papi.

Papa, tu m’as poussé à exercer un métier que je n’avais pas choisi au départ, puisque je voulais être routier ; ton métier, je l’ai découvert de bonne heure, le plaisir n’y était pas au début.

Je me suis épanoui dans la pratique avec beaucoup de difficultés. Je n’ai jamais rien laissé paraître, effectivement, je ne voulais pas laisser paraître que je n’étais pas en accord avec ton choix et celui de maman.

Je suis bien mieux dans mon nouveau métier qui est conducteur d’autocar et dans l’écriture qui me permet de m’évader.

Papa,

Tu n’as pas eu une vie facile, tu as dû travailler de bonne heure. Car tes parents n’étaient pas à la hauteur et tu devais nourrir ta sœur qui est plus jeune que toi. Puis, tu as fait l’armée. Ensuite, tu as rencontré maman et vous vous êtes mariés. Une fois à la retraite, tu pensais vivre ta retraite à Montereau, mais tu as été stoppé par cette maladie qui est le cancer de l’estomac. Pendant près d’un an, tu as été soigné à l’hôpital de Montargis où tu as encaissé les séances de chimiothérapie qui t’ont permis de rester en vie pendant quelques mois. Puis il a fallu l’hospitaliser à nouveau ; et là, ton corps, et surtout ton cœur a dit stop ; la maladie avait de nouveau gagné, tu nous as quittés le 28 décembre 2002.

Maman, tu as toujours pensé que l’école ne m’intéressait pas. Je m’ennuyais pendant les cours, j’avais besoin d’être intéressé, je n’ai pas reçu l’amour que tu as eu envers ta fille, du moins pas au début de ma vie. Tu as ouvert les yeux quand papa est décédé. Tu voulais aller t’occuper de papi et il fallait déménager notre maison de Montereau pour que tu puisses vendre la maison familiale. Tu souhaitais aller vivre avec papi pour t’occuper de lui. À la suite du décès de mamie, je me suis tapé ton déménagement seul, je n’ai eu aucune aide, j’avais emprunté le camion de l’entreprise dans laquelle je travaillais à ce moment-là !

C’était en 2002, l’année où mamie est décédée, puis il y a eu le décès de papa, ensuite, il y a eu un évènement dans ma vie également : la perte de ma compagne Nathalie, qui est décédée d’un cancer quelque temps après, en 2003. La perte de papa a été un coup très dur à encaisser.

 

C’est vrai que l’on a eu des hauts et des bas avec Nathalie. Vous avez été absents au moment où j’avais besoin d’une épaule pour pleurer. J’ai dû prendre sur moi et ne rien laisser paraître, elle est décédée en 2003. J’ai dû ravaler ma souffrance. Et faire comme si rien ne s’était passé, et pourtant, j’ai encaissé ce mauvais moment sans rien dire et comme vous me l’avez appris sans le savoir, ne rien faire voir à personne.

En 2017, tu as pris conscience du métier que je voulais faire et qui était en rapport avec la route, puisque j’ai passé mon permis D ; Nadine aussi a ouvert les yeux ce jour-là.

Si vous aviez eu la chance d’être présents en cette année 2018, je suis sûre que je vous aurais mis sur le cul.

À la suite de l’écriture de mes deux romans, car ces deux livres m’ont permis de me libérer de cet enfermement dans lequel vous m’avez mis volontairement ou pas !

En effet, il ne fallait rien dire à chaque fois et j’ai pu le constater quand papa est décédé et que tu as vendu Montereau. Je n’ai pas eu le droit de dire quoi que ce soit. Je n’avais qu’une chose à faire, c’était de fermer ma gueule et dire amen. Plus tard, tu as acheté Beaulieu à la suite de mon conseil et de celui de Nathalie avant qu’elle ne tombe malade.

Je me suis aussi aperçu d’une chose après le décès de papa. Que tu avais l’impression de le voir en moi, et je me suis rendu compte de cela à l’occasion d’un de mes anniversaires auxquels tu avais oublié de me le fêter une fois de plus. Tu m’avais acheté un pantalon de grand-père, tu m’as dit ces mots : « Il aurait aimé le porter » en parlant de papa. Et tu m’as déclaré ces mots : « Alors tu le porteras. »

Je t’ai dit que je ne porterais pas ça, tu m’as dit : « Ton père aurait aimé le porter, donc tu vas aussi le porter, un point c’est tout. »

Une fois de plus, je me suis fait avoir, puisque Beaulieu n’est plus à nous. Comme Nadine voulait que l’on renonce à la succession, car tu nous as laissé des dettes, effectivement, ta sœur qui était au courant de ta maladie en a profité pour tirer profit de cette situation.

J’aurais aimé poursuivre cette tante à qui on a donné du temps, nous l’avons emmenée en vacances, puisque ses enfants n’en avaient rien à foutre d’elle. Et les repas de Noël que l’on faisait chez Nadine, elle était invitée à chaque fois. Maman n’a pas eu la chance d’être aussi bien accueillie par ses enfants !

Et de voir comment elle nous remercie en voulant nous poursuivre et payer ses dettes. Alors qu’elle vient d’hériter, à la suite de la renonciation que nous avons faite, elle me fait vomir de honte, honte d’avoir une tante comme elle.

Malgré tout, je vous ai aimés, papa et toi, reposez en paix maintenant que vous êtes délivrés de votre souffrance due à vos maladies.

Maman,

Il y a une chose que j’ai apprise récemment : on a eu des versions différentes, que tu ne nous as jamais donné la même version à l’un comme à l’autre, ce qui nous a éloignés au lieu de nous rapprocher comme un frère et une sœur. Nous avons commencé à en discuter dernièrement, on aura peut-être l’occasion de continuer cette conversation, car il y a des choses que nous n’avons pas encore abordées !

 

 

 

 

 

Pour ma sœur

 

 

 

Elle est rentrée à la R.A.T.P. Elle a fait entrer toutes ses amies et certaines personnes de notre famille. Et moi, je suis resté sur le bord de la route, pourtant j’avais rempli un dossier pour y entrer aussi. Elle ne l’a jamais déposé dans les bureaux de recrutement où elle avait des amies. Je le découvre quelques années plus tard dans un carton dans sa cave. Elle l’a regretté en deux mille dix-huit, quand elle a su que j’avais passé le permis D. Ce qui me permet de conduire maintenant des autocars. Je me souviens de ce qu’elle m’a dit ce jour-là (ah, merde, si j’avais su !).

Je t’ai prêté ma voiture pour que tu partes en vacances quand les enfants étaient petits.

Et qu’as-tu fait, tu as arraché le poste de radio, soi-disant ça sentait le chaud à l’intérieur de la voiture.

Tu m’as rayé le rétroviseur extérieur côté gauche en la sortant du garage, soi-disant parce que les roues de la voiture n’étaient pas droites. Tu avais pourtant le permis, de plus, la voiture avait quelques jours, puisqu’elle était neuve. Je n’ai jamais demandé quoi que ce soit pour les réparations. Quand papa est décédé, il a fallu que je te donne la part de l’héritage qui me revenait pour que tu puisses te faire opérer. Tu avais une très bonne couverture. Je n’ai pas eu mon mot à dire. Puisque je n’ai jamais vu un centime de cette part qui devait me revenir. Je n’ai rien dit non plus. J’ai fait confiance. Et quand maman est décédée, et que tu m’as dit que c’était mieux de renoncer à la succession, je t’ai fait une fois de plus confiance. Cependant, je voulais poursuivre une certaine personne qui avait profité de la faiblesse de notre mère, mais je t’ai de nouveau laissé faire, car je pensais que tu avais plus de connaissances que moi. Et tu as poursuivi la mauvaise personne.

Il y a quelques mois, quand je suis venu te voir, et que je t’ai laissé conduire ma voiture, puisque les routes que l’on a prises, tu les prends régulièrement, et que tu t’es fait flasher, tu m’as dit que tu n’avais pas vu le radar. Je me suis posé la question suivante : « Elle le fait exprès ? ». J’aimerais donc savoir jusqu’à quand tu vas me faire payer le fait que je sois ton frère. Je pense que tu aurais préféré être fille unique pour avoir les mains libres. Je ne sais pas de quoi je suis accusé, mais il y a une chose que tu ne sais pas et que je te dirai par courrier. Je suis loin d’être le vilain. J’ai même subi une chose qu’un enfant ne devrait pas être victime. Mais je suis sûr que tu n’en as rien à faire, et pourtant, c’est largement punissable par la loi. Il y a prescription, puisque le fait remonte à plus de cinquante ans et que je suis la victime !

J’arriverai peut-être à en parler dans mon prochain roman, car j’ai encore envie de vider mon sac, et cela ne sera pas mon dernier livre, parce que depuis peu. J’ai recommencé à écrire, comme j’ai encore des choses à dire, mais surtout à raconter.

Malgré tout, tu es ma sœur et je n’oublie pas le lien de parenté et je t’excuse à chaque fois !

J’ai appris récemment que nous avions subi l’un et l’autre des violences dans notre enfance, nous en avons parlé l’autre jour.

Ce qui explique que nous n’avions plus confiance puisque nous devions faire comme si rien ne s’était passé, comme vous nous l’avez appris, papa et maman.

Ma famille a vraiment été absente.

Il aura fallu la sortie de mon premier livre pour que les langues se délient et que la parole refasse surface. Il aura fallu quand même attendre plus de cinquante ans avant que cela ne sorte.

La complicité a été présente à certains moments, j’espère qu’elle reviendra afin que l’on puisse laisser le passé dans lequel il est. Il est préférable de regarder vers l’avenir un peu plus comme frère et sœur !

 

Nous avons parlé de certaines choses la dernière fois que je suis venu chez toi, j’espère que maintenant tu vas me croire.

Et que nous allons continuer de discuter de notre passé.

Pour mieux avancer dans l’avenir.

Mais j’aimerais savoir pourquoi tu disais tout le temps à maman de ne pas appeler les enfants pour ne pas les déranger. Elle a tenu parole, car même à la fin de sa vie, elle ne les a pas dérangés. Pourquoi lui avoir interdit de prendre de leurs nouvelles ? Quel était le but de cette interdiction ?

 

Moi, j’ai commencé dans la vie difficilement.

Je suis Pascal, je suis né dans les années 1960, je ne vous donnerai pas l’année exacte, en région parisienne à Vitry-sur-Seine dans le (94).

Mon enfance a été pleine d’insouciance et de douceur, j’ai eu la chance d’avoir des parents aimants en apparence.

Une main de fer dans un gant de velours. Je n’ai pas toujours dit ça, je vous rassure. Comme tous les gamins, parfois ils nous sortent par les yeux, mais avec le temps et leur absence, on oublie les mauvais moments et l’on ne garde que les bons.

Je n’ai pourtant pas un niveau d’étude très haut, car j’ai arrêté l’école vers mes quatorze ans et à seize ans, je travaillais déjà. C’est la vie et mon père qui m’ont appris tout ce que je sais maintenant. Ce paragraphe aurait pu être mis plus haut, mais bon, c’est comme ça !

Entre quatorze et seize ans, j’allais travailler avec mon père, c’est lui qui m’a appris le métier de laveur de vitres.

Et cela n’était pas simple de se lever tôt le matin, quand on n’a que quatorze ans. Mon père m’emmenait et me réveillait à quatre heures du matin ; c’est très dur pour un enfant. Surtout que le travail était fatigant. Je sais bien qu’il y a d’autres enfants qui allaient aussi travailler le matin de bonne heure avec leurs parents pour avoir un peu d’argent de côté, mais moi, je ne touchais rien. J’ai toujours pensé que cela était plus pour payer le logis et la nourriture que mes parents devaient payer pour moi.

Je vais refermer cette parenthèse, car il y a trop de choses à dire et cela risquerait de faire remonter de mauvais souvenirs. Ma sœur me dira qu’il n’y a pas beaucoup de mauvais souvenirs. Je ne sais pas si elle se rappelle quand maman avait balancé toutes mes affaires par la fenêtre, puisque je ne venais pas déjeuner avec eux à cette époque-là. Je n’ai pourtant pas été chiant avec ma famille, mais les retours n’ont jamais été à la hauteur des efforts que j’avais faits de mon côté et ils ne le seront jamais !

Il y a tellement de gens qui ont bien réussi leur vie, la mienne n’a pas pris la direction que j’aurais souhaitée ; étant petit, je voulais être routier, j’aimais écouter une émission de radio qui était animée par Max Meynier (Les routiers sont sympas, RTL). (Il est libre Max.)

Conduire de grands véhicules était un rêve, j’aurais aimé au moins conduire des bus ou des autocars à cette époque.

 

Eh oui, écouter les autres et boire leurs paroles ne sont pas la réalité !

Faut-il leur faire confiance ?

C’était l’interrogation du moment !

 

Je change de sujet !

 

J’ai vécu dans la maison qui était louée par mes parents à Vitry-sur-Seine jusqu’en 2000.

Après, je suis partie vivre dans le Loiret (45) pendant huit ans. Ou j’ai eu de bon et de très mauvais souvenir, comme la perte de ma grand-mère, puis celle de mon papa qui est survenu en deux mille deux à la suite d’un cancer de l’estomac, pour mon père ; ma grand-mère ces laissées mourir, elle n’avait plus la force de rester sur cette terre, cette même année.

J’ai perdu Nathalie avec qui je vivais, elle avait une tumeur du cerveau et elle n’avait que 31 ans, c’était un an après en 2003.

Je n’avais rien dit jusqu’à présent, surtout sur cette année de 2002 qui m’a fait très mal émotionnellement.

La maison du Loiret était située à Montereau, il y avait un étang dans cette commune. Et une salle des fêtes, nous y avons fait le mariage de ma sœur. Elle aurait mieux fait de se casser une jambe que d’épouser ce crétin. Je lui en veux encore de nous avoir volés alors que mes parents l’ont accueilli à bras ouverts. Il était rentré par la fenêtre de la cuisine à Vitry pour nous voler le peu de choses que nous avions. Il m’a volé un appareil photo qui était un Olympus O-M 10, avec un objectif de 80-210 mm.

Elle a eu deux enfants avec ce mec-là, que le monde est mal fait.

Mais bon, on les a quand même aimés, ces deux enfants qui ont vite oublié que l’on faisait partie de leur famille.

Il faut dire que ma sœur nous a toujours dit, enfin notamment à ma mère, n’appelle pas les enfants que tu vas les déranger, laisse les tranquilles, chose que ma mère a faite jusqu’à son dernier souffle.

Il y a plusieurs choses que je n’ai pas pu faire, comme ces dires au revoir à mon père quand il était à l’hôpital.

D’Amilly quand il est décédé seul dans sa chambre, idem pour mon grand-père en 2007.

Pour ma mère aussi, j’étais chez moi en train de me préparer pour aller la voir, quand l’hôpital m’a prévenue que c’était fini.

Idem pour Nathalie, nous avons vécu ensemble à un certain moment. J’étais dans le jardin lorsque je vivais à Beaulieu-sur-Loire et mon portable était chez moi. Il faut dire que ça s’est mal passé au niveau de la communication à cette époque-là. Elle a laissé un message sur ma messagerie et le lendemain, lorsque je l’ai rappelé, sa mère m’avait répondu et m’avait dit qu’elle avait quitté cette terre une heure après m’avoir laissé un message. Je te souhaite de refaire ta vie !

Je change de sujet, car celui-ci était nécessaire à dire.

 

Il y a eu d’autres choses qui m’ont mis en rogne.

 

Lorsque j’étais artisan dans le nettoyage à Paris.

Les grosses entreprises qui sont venues foutent le bordel en cassant les prix. J’ai dû arrêter à cause d’eux : ils prenaient 10 F là où moi je devais prendre 50 F, dans les années dix-neuf cent quatre-vingt-quinze.

J’ai dû échanger ma liste de clients. Contre un emploi dans une entreprise qui était tenue par un pseudo-pote. Qui a pris le melon par la suite : il venait avec sa grosse Mercedes. Et en costard portant les factures chez mes clients, il se prenait pour le caïd du quartier. Mes clients étaient pliés de rire en le voyant arriver. Je me souviens de ce qu’avait dit Gérard, voilà l’autre branquignole qui nous apporte la note !

J’ai encore des photos de son mariage, il va falloir que je trouve son adresse avant de les mettre à la poubelle.

Il y a eu bien d’autres entreprises de nettoyage dans le Loiret ! En revanche, j’ai rencontré de très bons collègues avec qui je suis allé à la pêche ; Roger, Severino, Bernard et Pierre. Qui faisaient partie d’une autre entreprise. J’ai beaucoup rigolé, on a passé de super bons moments dans le Loiret.

À Niort, il y a eu : Alexandra, Thifaine, Jean-Claude, Vincent, Erwan. Dans une entreprise qui s’occupait d’enfants en situation de handicap.

Les autres entreprises n’étaient pas mieux que certaines dans lesquelles je ne me suis pas senti bien !

Dans celle où je suis pour le moment, il y a une super bonne ambiance. La rigolade est souvent présente et le sérieux également, même si tout n’est pas parfait dû à leur manque de sécurité pour les chauffeurs !

 

– J’avais un rêve depuis tout petit. Je voulais aller vivre au plus près du bord de mer. Mais pas évident à mettre en place et la vie m’a bien aidé. Et j’ai pu parvenir à le réaliser en partie, car aujourd’hui, je ne suis qu’à une heure du bord de mer, je vis dans les Deux-Sèvres (79) à Niort.

J’y suis arrivé en 2008 à la suite d’un travail trouvé ici.

 

Heureusement que certains salariés étaient cool. J’ai bien rigolé dans cette boîte de nettoyage qui est située à Mendès France à Niort. Surtout avec eux deux, Olivier et Thierry. (Thierry) lui avait un gros défaut, il était alcoolique. J’ai essayé de l’aider sans résultat. J’ai même dû le signaler, car il arrivait le matin avec les grammes de la veille. Et il conduisait le véhicule de l’entreprise en état d’ébriété, j’ai déposé une fois une main courante puisqu’il m’avait menacé par téléphone : quand je l’ai signalé, je me suis pris un avertissement et une punition pendant un mois, j’ai trouvé ça complètement injustifié, le patron qui était en place à ce moment-là était comme son ouvrier.

Je suis très bien placé pour le savoir !

Heureusement, quand il a pris conscience de sa façon de faire, il a très vite rectifié le tir. Et nous sommes devenus potes, je parle de Thierry, ce qui m’a bien fait rire, car nous avons grugé cette entreprise à plusieurs reprises en des termes clairs, nous les avons b…r !

Il y a d’autres entreprises dans lesquelles ça s’est mal passé également !

 

Je change de sujet maintenant.

 

Les chiffres ont parfois raison et moi, j’aimerais finir ma vie au bord de la mer. Dans quel département d’après vous ?

Je me suis amusé il y a huit jours à faire ça : (94) 9+4 =13 1+3꓿4/– (45) 4+5꓿9/– (79) 7+9꓿ 16 ?

À vous de trouver la réponse.

Encore quelques mots de moi (la glace commence à fondre, mais le cornet est encore bien garni !), à vous de trouver de quoi je parle !

Je resterai dans ce département si je trouve la bonne personne, qu’elle soit avec des enfants ou non.

Je finis dans ce livre par vider mon sac pour le moment. Il y a beaucoup de gens qui m’ont fait du mal quand je n’étais qu’un enfant, entre les insultes et les mauvais comportements.

Voilà, vous me connaissez un peu plus et je vous révèle d’autres choses sur moi et vous verrez plus loin pourquoi je dis ça.

Il n’y a pas que de ma famille dont je parle, même si la douceur de celle-ci n’a pas été au rendez-vous, comme dans certaines familles tout ne se passe pas bien !

Il y a un ami qui me manque également. Et avec qui j’ai refait le monde : Alain, tu étais le petit ami de ma sœur quand ?

Nous étions des adolescents… Puis, on s’est perdu de vue pendant un certain temps. Par la suite, un jour, ma sœur m’a dit de venir manger chez elle. Quand elle vivait encore à Paris, moi, je vivais déjà à Niort à cette époque-là. C’était en deux mille quatorze, et j’ai retrouvé ce pote qui avait été retrouvé par ma sœur. Et comme il voulait de nouveau discuter, on a refait le monde au téléphone. Car nos conversations à cette époque pouvaient durer plusieurs heures, tu souhaitais que je vienne passer Noël deux mille quinze avec toi, Lydia, Mimite, Nadia, Géry et ma sœur. Malheureusement, je ne pouvais pas venir pour des raisons financières. Tu voulais me présenter ta fille, tu as donc fait Noël avec ta fille et ta mère, nous avions décidé de nous revoir ultérieurement.

Malheureusement, en ce jour de Noël deux mille quinze, tu as fait une crise cardiaque. N’ayant pas réussi à te réanimer (les pompiers), et j’ai effectivement connu ta fille le jour de ton enterrement qui a eu lieu au mois de janvier 2016, repose en paix, mon ami.

 

 

On retourne un peu dans le passé. Là, je devais avoir quinze ans et j’étais partie tout un week-end avec des potes sans rien dire à mes parents !

Inutile de vous dire qu’à mon retour chez moi, je me suis fait remonter les bretelles. Ils avaient bien raison, nous n’avions pas de portable à cette époque, c’était dans les années quatre-vingt.

Revenons à aujourd’hui.

Comme bon nombre de personnes, je recherche une femme : fidèle, sincère, complice, franche, tendre, que l’on s’occupe de l’un comme de l’autre. Celle-ci devrait s’occuper de sa vie et de la mienne comme je le ferais également pour elle, et ce que font les couples normaux, il est vrai que je ne suis pas resté en couple assez longtemps. Mais je ne suis pas à plaindre, car en général, il y a une femme tous les ans dans ma vie. Mais aucune n’a réussi à me garder plus longtemps. Il faut dire que j’ai un caractère de lion et plein d’occupations. Mais bon, elle doit bien exister quelque part et si elle est à Niort ou dans les environs, c’est mieux.

Elle devra habiter dans la même région, voire la même ville que moi. Bien plus pratique pour se voir et construire une relation durable. On nous demande souvent de vous prendre avec vos casseroles et vos bons côtés, et vous recherchez toujours le top. Vous ne vous posez pas la question de savoir si nous n’avons pas envie que vous nous preniez tel que l’on est avec nos petits bourrelets, nos défauts et nos qualités. Et non, on doit absolument ressembler à un acteur très connu, et bien souvent on vous croise plus tard dans la vie et quand on voit la tronche du mec avec qui vous êtes, il y a vraiment du foutage de gueule ! Donc avant de nous sortir une belle phrase, demandez-vous comment nous recevons vos textes et vos belles paroles. Il faut toujours être aux petits soins, cela va dans les deux sens, on doit vous écouter. Il n’y a que vous qui souffrez après une rupture. Avez-vous déjà essayé de vous mettre à la place de l’autre pour analyser ce qui n’avait pas marché, ou considérez-vous qu’il n’y a que vous qui aviez raison. (Je ne parle pas des gens qui ont été trompés par leur compagne ou compagnon.)

Donc, marquez de jolis textes sur les réseaux sociaux pour faire pleurer dans les chaumières. Cela vous permet peut-être de vous sentir bien pendant un temps, mais je ne suis pas sûr que tout le monde le prenne aussi bien que vous le pensez. Car il y a de quoi écrire un livre sur le sujet et tout le monde a une version. Différente, effectivement, si tout le monde se posait la bonne question, il y aurait de quoi faire, mais il y a toujours des gens qui vont nous influencer. On a tous entendu les bons copains qui nous disent « non, reste tout seul, tu es bien mieux ainsi ». Alors qu’il est en couple, ça donne envie de répondre : « Vire ta bonne femme, on pourra se refaire des sorties comme quand on était plus jeunes. » Et là, tu as la réponse à deux balles. Non, tu comprends, ce n’est pas possible, je ferai comment après !

Je pense que je vais continuer à développer ce sujet, car il y a encore pas mal de choses à dire.

Je développe un peu plus loin mes impressions et mon ressenti.

 

 

 

 

 

Souvenirs des vacances

 

 

 

Je suis un petit village qui se trouve sur le littoral, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Je fait partie de la Bretagne historique.

Beaucoup de gens ont des souvenirs, nous les avons aussi.

Avec nos parents, notre père qui adorait cet endroit et qui porte le nom de Pornic.

Nous y sommes allés plusieurs années, il y avait aussi Saint-Gilles-Croix-de-Vie.

Nous partions de notre maison en région parisienne avec notre Renault 16 TL et notre caravane pliante. On prenait la nationale pour rejoindre notre lieu de vacances, ma mère était copilote et donnait toute la directive à mon père qui devait exécuter les ordres du chef de bord (rire).

Une fois arrivé sur le camping, on devait donner un coup de main pour placer la caravane. Et bien souvent, c’étaient les voisins qui donnaient un coup de main. Car mon père, qui discutait très rapidement, il avait le contact facile, ne mettait pas longtemps à se faire des potes, ce qui lui permettait de faire vraiment le vide dans sa tête. Et de penser à autre chose que le quotidien de la vie courante.

Notre père aimait beaucoup cet endroit, même si nous n’y restions que quelques semaines à chaque fois. Je n’ai pas trop de souvenirs de ces moments passés là-bas.

Je me souviens davantage des vacances passées dans la vallée des merveilles à Breil-sur-Roya. Nous étions avec la Renault 16 et toujours notre caravane pliante, nous avions pris la nationale 7 et en montagne, je me souviens que ma mère qui craignait le vide. Elle était serrée contre mon père quand le vide était de son côté. Nous n’avions pas intérêt à rire, car la mère ne nous aurait pas loupés.

Un jour, nous avons fait un pique-nique dans un champ en montagne et des vaches sont venues nous tenir compagnie. Ce fut très marrant et un peu perturbant, j’ai adoré ces vacances-là. Puisque nous avions autre chose à voir en dehors de la mer et du sable. Il y avait une rivière dans laquelle deux papis étaient en train de pêcher. À tous les coups, ils prenaient des truites.

Nous avons été aussi sur l’île d’Oléron où mon père avait fait une sortie en mer avec des matelots au port de la Cotinière.

Nous avons aussi passé des vacances en Normandie du côté de Cabourg, c’était sympa également.

Moi, j’ai adoré la Charente-Maritime et ma sœur est venue vivre aussi par ici, plus vers le nord de la Vendée.

Après l’achat de leur maison à Montereau, nous y avons passé le reste des vacances que nous avions. Nous allions aussi en vacances chez nos grands-parents du côté de ma mère, car nous n’avons jamais connu les parents de mon père, ceux-ci étaient décédés.

Je vous mets trois photos dans lesquelles nous avons passé de super bonnes vacances !

 

 

 

(Pornic/Loire-Atlantique)

 

 

(Saint-Palais-sur-Mer/Charente-Maritime)

 

 

La vallée des merveilles – Breil-sur-Roya

(Alpes-Maritimes)

 

Un autre sujet.

 

Mes belles rencontres

 

Nous nous sommes croisés à plusieurs reprises et nous avons effectivement des amis en commun. Aujourd’hui, ce ne sont plus les mêmes, il y a quelques semaines tu as rejoint mon groupe de sortie j’ai été agréablement surpris de te voir ici je me réjouis déjà de te croiser sur une sortie et d’avoir location de discuter avec toi, car je pense que nous avons des points communs comme le fait d’aimer des périodes identiques, je pense que tu aimes la période des années cinquante et moi j’écris sur les années 1850 à 1950 dans mes livres on pourrait développer cette idée quand tu seras au courant de ma démarche, et si tu es célibataire pourquoi ne pas rêver d’un rapprochement intime pour une durée indéterminée.

Il ne faut pas s’arrêter aux gens que l’on n’aime pas dans nos connaissances mutuelles, on ne peut pas aimer tout le monde !

La première fois que je t’ai vue, c’était dans une petite commune non loin d’où je te vis dans un restaurant, le 66.

Il y a peu de temps, j’ai appris que tu avais acheté une maison dans un quartier non loin de chez moi. Ce peut être une coïncidence ou non ?

Je le serai peut-être un jour je vais demander la complicité d’une amie pour te rencontrer à nouveau et avoir le temps de discuter avec toi et on verra, si notre route fait plus de 66 000 km, et ne rencontre pas plus de 437 embûches, si cela fonctionne on fera la java et une fois détendue, on pourra aller se faire un croque qui nous tombera sur la bedaine, on sera tout chamboulé avant d’aller se coucher !

Les numéros et les mots en gras sont des endroits à Niort où j’aime passer du temps le samedi soir.

 

C’est un clin d’œil à cette personne qui restera un bon souvenir, mais c’est comme ça, tous ne peuvent pas se réaliser, mais ce fut une très belle rencontre, et tes yeux bleus mon fait chavirer, je suis toujours très attiré par toi, car tu resteras dans mon cœur comme un sacré coup de cœur.

 

Les yeux bleus me font craquer uniquement chez les femmes lol.

Les autres un peu moins mettent bon avoir si la personne est malgré tout attirante.

 

Il y en a eu d’autres depuis, et elles sont toutes différentes et plus étonnantes les unes que les autres, et les chemins que nous pouvons prendre décident de notre avenir !

 

Je t’ai croisé là où j’habite, ta mère vit ici et l’on sait croiser, tu m’as trouvé séduisant. Et ta mère a eu une réponse pas très sympathique à mon égard, dommage, j’aurais bien aimé faire ta connaissance simplement pour discuter, mais à première vue, c’est ta mère qui dirige ta vie, et te dit les personnes que tu peux voir, tu es adulte et tu devrais prendre ta décision seule.

C’est elle déjà poser la question de savoir si elle aimerait que l’on fasse pareil pour elle !

Si j’avais été plus jeune, j’aurais peut-être été à son goût, mais bon, je ne trouve pas ça cool de sa part surtout qu’une discussion n’est pas une demande en mariage, ou alors, j’ai loupé des épisodes, on aura peut-être un jour l’occasion de discuter si ta mère nous en laisse l’occasion, dommage je ne sais pas où tu habites n’y si tu es seule dans la vie, car je me serais permis de venir traîner vers chez toi pour provoquer une rencontre, un jour peut-être !

 

C’est toujours à l’improviste que cela se déroule ça peut être dans une salle de sport, dans votre supermarché, chez des amis, au boulot, un regard, un sourire, on se croise plusieurs fois, et un jour la magie opère on ne sait pas pourquoi, ce jour-là la rencontre se déclenche ; une belle histoire ou une simple histoire, on espère tous rencontrer la belle histoire et aller le plus loin possible, avec l’être rencontré, mais par les temps qui courent c’est plus les générations, je consomme et je change dommage que cela ne soit plus comme avant j’aimerais probablement faire une chose que je n’avais jamais faite, même si on va me dire ne fait pas cette connerie-là je suis sûre que vous avez deviné de quoi il s’agit, on verra comment se déroulent les mois à venir !

Je te croise trois fois par semaine à la salle de sport, tu es très mignonne, mais nous avons un décalage d’âge ce qui risque de perturber les gens, faut-il regarder autre part pour ne pas provoquer la rencontre ou se foutre de ce que pensent les gens, et voir si ça peut marcher entre nous, je vais provoquer pour voir les réactions s’il y a un sourire la discussion pourrait commencer, après si c’est plus la soupe à la grimace, on en restera là ; la réaction des gens vue notre différence d’âge va davantage nous faire chier, qu’autre chose c’est d’autant plus que nous avons vingt ans d’écart, et se promener main dans la main dehors peut en faire chier plus d’un mai, c’est sur toutes les réflexions qui risquent d’être dérangeantes, doit ton vivre caché pour être heureux ou aller vivre autre part pour avoir la paix, nous le serons bientôt je vous tiens au courant !

Bon, c’est toujours au point mort de nouveau croisé. Hier à la salle, je t’ai dit bonjour, pas de réponse, j’ai essayé d’engager la conversation, rien à faire, je vais rééditer lundi, si cela ne déclenche rien, je laisserai tomber, pas la peine d’insister, c’est que tu n’es pas intéressée, c’est quand même bizarre, tu me suis partout dans le club. J’ai fait le test hier, tu t’es dirigé vers le vestiaire et quand tu as vu que je retournais vers les vélos, tu es venue te placer juste devant moi, sur un tapis de course pour quelqu’un qui était sur le point de partir, tu as fait demi-tour rapidement, tu as peut-être envie de te sentir protéger, mais on n’est pas loin l’un de l’autre à chaque fois, ou alors c’est moi qui me fais des idées à voir la semaine prochaine en attendant, je vais y retourner, lundi matin, car mercredi, je n’y serai pas, j’ai un rendez-vous.

Ta beauté me fait chavirer, c’est très dur de rester insensible à une telle beauté, moi, je te vois comme ça, certains diront oui, moyen.

Moi, je dis oui, je signe ou dans un premier temps, car tant qu’il n’y a pas de conversations, on se fait toujours des films, en le disent, elle doit être comme si ou comme ça et une fois la conversation engagée oups c’est sauve-qui-peut, oui je sais, je parle dans le vide puisque nous n’avons pas entamé une conversation, mais bien souvent vous vous faites des illusions ; il est sûrement marié ou il ne veut qu’une chose ces couchers avec moi et après, je ne le verrais plus et si tu te trompais si en réalité j’avais envie de te connaître et de partager ma vie avec toi que tu me fasses un bébé ce n’est pas réalisable, peut-être que c’est toi qui n’as envie que d’une chose faire baver un mec pour t’amuser, dandiner ton petit cul devant ces yeux pour voir ses réactions et quand tu rentres chez toi tu retrouves ton mec et ta petite famille et tu leur racontes l’histoire pour faire rire la galerie !

Si cela continue, c’est moi qui vais tourner les talons en allant à la salle à un autre moment pour ne plus te croiser, et que ta silhouette disparaisse de ma mémoire, on dit loin des yeux, loin du cœur.

Je ne te vois plus, tu as disparu comme un rêve au réveil.

Je te suis et j’ai tout foiré, un éléphant dans un magasin de porcelaine n’aurait pas fait pire, je t’ai fait fuir, je ne sais pas comment je vais me rattraper, il va falloir être plus discret et plus patient, pas simple quand on est attirée comme un aimant.

Je t’ai revue aujourd’hui, tu ne portes plus tes lunettes normales, il y a une autre femme qui te ressemble étrangement, ça m’a perturbé et je trouve que cela lui va très bien même si ce n’est pas là même personne. Tu n’es pas resté bien longtemps, on arrivera peut-être à communiquer un jour ou pas !

Je viens de la revoir, mais sa voiture est à un autre endroit, mais je l’ai bien vue ☺.

Je viens de voir une autre femme, celle-ci a de jolis tatouages et je l’ai interpellée pour un de ses tatouages, on s’est souri mutuellement, elle a répondu à une question que je lui avais posée, il ne faut pas perdre espoir !

C’est tombé à l’eau, elle est partie draguer un mec dans la salle, bonne chance à vous !

Mais il y a beaucoup de femmes et peut-être sur un malentendu ça peut fonctionner, là aussi, il faut laisser les choses se faire, même si l’on est toujours pressé et que l’on aimerait que cela aille plus vite !

Je pourrais presque écrire un chapitre sur les aventures aux sports !

J’ai laissé tomber et je vais laisser faire le temps !

Je ne suis pas retourné dans cette salle depuis une grosse opération au niveau de la thyroïde, je vais y retourner à la fin de la semaine.

 

Je change de nouveau de sujet !

 

 

 

 

 

Les sorties et les amis

 

 

 

Avec mon pote qui avait le pseudo de Mario, moi, j’avais le pseudo de (Pascalion) et par la suite (Bellérophon), nous avons lancé les plus grandes sorties jamais lancées dans cette ville de Niort.

 

 

Soirée O.V.S

 

 

Soirée chez les potes

 

Entre les sorties carnaval, Halloween, les sorties dans des bars à thème, les restaurants, les pique-niques, les sorties moto/voiture, les jeudis niortais, les sorties plage, nos anniversaires et ceux du site, les randonnées.

Il y avait aussi le samedi et les sorties billard qui se déroulaient à la trémie à Niort.

Ou nous nous retrouvions tous une bande, nous avions notre Tof qui faisait également des soirées en même temps que la mienne, lui pour faire danser et chanter les gens moi pour faire jouer les gens au billard ceux qui ne voulaient pas participer à la soirée du Tof ou qui ne voulait n’y danser n’y chanter, et à chaque fois nous étions une bonne trentaine au total, voire plus à certains moments.

Plus tard quand notre billard a dû fermer nous nous sommes dirigés vers le Stadium, où nous avions eu la chance d’avoir un tarif public qui était bien plus intéressé, car nous étions maintenant entre 9 et 12 participants, simplement pour jouer au billard, puisque pour les soirées karaoké, il a fallu attendre de retrouver un endroit, chose qui a été faite un jour ou j’ai dû choisir entre le hangar dans lequel il y avait un concert et un nouveau bar à bière qui faisait restaurant le croque Bedaine, j’ai donc choisi le petit nouveau et notre Tof a vu avec la direction de cet établissement pour faire des soirées karaoké, Tof leur avait proposé, ils ont tout de suite dit oui et c’est là qu’ils sont organisés depuis. Nous avions d’autres endroits où l’on aimait passer de bons moments, comme L’Épicure qui était avant la cervoiserie qui est un bar à bière.

Il y a aussi le patio pour prendre l’apéro et passer un bon moment.

Car pour nous les soirées billards nous ne pouvions pas utiliser tous les billards il n’y en avait que six au Stadium, et il fallait que l’on en laisse un pour les clients là aussi nous avons passé de super bon moment, c’était le mercredi soir j’ai appris à certaines femmes à y jouer elles ont bien aimé et moi j’adore partager mon savoir.