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Il existe un remède simple pour chaque maladie ! Maria Treben a aidé de nombreuses personnes à retrouver la santé en utilisant ses connaissances en herboristerie. Avec une grande modestie, elle a toujours souligné que ce n'était pas seulement la bonté de Dieu qui avait fait don aux hommes des plantes médicinales. Des extraits de lettres de lecteurs et lectrices reconnaissants de toutes les couches de la société ont été reproduits dans ce livre. Les remerciements ainsi que les récits de guérison constituent un encouragement à mettre en pratique le savoir ancestral des plantes médicinales.
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Seitenzahl: 462
Maria Treben
Les Guérisons de Maria Treben
Lettres et témoignages de guérisons d’après son ouvrage « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu »
ENNSTHALER VERLAG STEYR
MARIA TRÉBEN
(1907-1991)
Le contenu, les propositions et les méthodes thérapeutiques présentés dans ce livre ne remplacent pas un traitement médical traditionnel ou tout autre thérapeutique. Chaque application des conseils qui y sont donnés doit rester au bon vouloir de chaque lecteur.
Les auteurs, l’éditeur, le distributeur et le libraire, ainsi que toute personne en relation avec ce livre, déclinent toute responsabilité en cas d’éventuelles suites qui résulteraient directement ou indirectement des informations livrées dans cet ouvrage.
www.ennsthaler.at
7e édition 2019
ISBN 978-3-7095-0157-3
Maria Treben · Les guérisons de Maria Treben
Tous droits réservés
Copyright ©1980 by Ennsthaler Verlag, Steyr
Ennsthaler Gesellschaft m.b.H. & Co KG, 4400 Steyr, Autriche
Reproductions des planches des herbes médicinales: Robert Schöller, peintre diplômé des
Beaux Arts, Vienne
Dessins en couverture et reproductions de la sauge:
Marlene Gemke-Passet, Dießen am Ammersee
Composition de la couverture: www.traxl-thomas.at
Composition: Zeilenwert
Avant-propos
Extrait d'un vieux livre sur les plantes médicinales (de 1896)
Expériences vécues
Remerciements et témoignages d'expériences qui me sont parvenus
Reproductions des simples
C’est pour moi une grande joie de voir arriver par la poste de si nombreux témoignages de guérison, à la suite de mon livre sur la guérison par les plantes:« La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu ». En voici un aperçu, mais je tiens avant tout à vous dire que ce n’est pas grâce à moi que ces merveilleux résultats ont été possibles, mais bien grâce à la Bonté du Tout-Puissant, qui nous offre ses plantes médicinales depuis les temps les plus reculés. C’est seulement de nos jours, où des maladies incurables prennent de l’ampleur, que les simples sont à nouveau appréciés par les gens. Quelle bénédiction pour les malades souffrant de cancer ou de sclérose en plaque, pour les paraplégiques, les enfants paralysés ou handicapés, de savoir qu’il pousse des plantes médicinales! Nous devons remercier le Seigneur qu’ll ne nous laisse point dans l’oubli, lorsque nous sommes dans la misère et malades, mais qu’ll nous offre réconfort, patience, et un nouvel espoir grâce aux simples ! C’est lors de la cueillette des plantes que la grâce divine qui les habite nous est révélée.
Beaucoup de personnes, qui ont recouvré leur santé grâce aux simples, retrouvent la foi en Dieu, parce que dès l’instant où ils ne purent plus attendre d’aide de la médecine, ils ressentirent davantage l’aide de Dieu dans leur désespoir. Nous pouvons tous remercier de tout coeur le Seigneur de l’existence des plantes de la pharmacie du Bon Dieu.
Je me dois aussi de remercier ceux qui se mettent de façon désintéressée au service des soins par les plantes médicinales. Enthousiasmés par mon livre« La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu », ils sont animés par l’espoir de venir en aide aux autres, d’apporter leur connaissance des simples pour le bien de nombreux malades. Je souhaite donc une excellente collaboration avec des personnes prêtes à aider les autres, et qui me font part de leurs succès, pour leurs donner encore davantage d’audience. Les témoignages présentés ici sont la plupart des extraits de lettres qui m’ont été envoyées par toutes les couches de la société. Qu’ils servent à redonner espoir à tous les malades et à tous les affligés, afin qu’ils trouvent une nouvelle volonté de vivre et un nouvel espoir dans la guérison des autres.
Pour terminer, je voudrais vous donner une information: le 20 avril 1980, j’ai rompu mon contrat avec l’association « Les Amis des Plantes Médicinales » à Karlstein (Basse-Autriche) par voie judiciaire. La brochure « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu », éditée par l’association et désormais épuisée, ne pouvait être diffusée par elle que jusqu’à cette date. Entre-temps est parue aux Editions W. Ennsthaler à Steyr (Haute-Autriche), depuis le 15 juin 1980, une édition révisée et augmentée de « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu », qui contient toutes mes connaissances, en langage bien clair et compréhensible. Un index alphabétique bien étudié vous informe sans peine de son contenu.
Maria Treben
SOUCI (Calendula officinalis), appelé parfois en allemand « Fleur de la Pluie », parce que, comme vous le savez, le souci est le prophète du temps et annonce la pluie, quand il n’a pas ouvert les petites fenêtres de sa maisonnette à huit heures du matin.
Cette fleur ne possède ni grâce, ni beauté, et son odeur forte, pénétrante et aromatique est pour beaucoup de gens très désagréable. Mais il semble beaucoup apprécier la compagnie de l’homme, parce qu’il s’obstine avec une persévérance héroïque et sincère à s’accrocher à ses pas, se multiplie dans les jardins de façon étonnante, franchit les limites qui lui sont assignées, se mélange aux choux et à la salade, pousse dans les allées, se laisse transporter avec les déchets sur le fumier, où il prend racine, pour y pousser de plus belle; il envoie ses colonisateurs sur une décharge proche ou dans un recoin de la cour, d’où il observe joyeusement et sans problèmes toutes les allées et venues; il se laisse transporter avec le fumier et détritus dans les champs, se sent tout-à-fait à son aise parmi les blés et éventuellement demande au vent: « Enlève-moi par-dessus le mur du cimetière, je dois décorer les tombes ». Les beaux jours d’été, quand nous allons rendre visite à nos défunts, nous voyons à nouveau ces fleurs rayonnantes, d’un jaune souffre, se tenir comme un gardien auprès de la tombe, d’où il semble nous dire:« Ne crains rien, je suis là, car je suis fidèle jusqu’à la mort! ». Mais en même temps, il semble nous adresser un regard plein de reproches et nous demander: « Pourquoi m’as-tu dédaigné? Vois, j’ai accompagné ta route et me suis couché sous tes pas, afin que tu te souviennes de moi! Si tu m’avais demandé de l’aide, tu ne serais peut-être pas ici, au bord de cette tombe, en train de te lamenter…! »
Ainsi parle le souci, et il a raison. Car, bon gré, mal gré, nous devons nous habituer à le considérer et à le respecter, parce que c’est une plante aux merveilleuses vertus médicinales. A l’autorité de sa renommée médicale, se joint l’expérience du quotidien; le souci qui contient des extraits amers, huiles, gommes et sels, et qui dégage une odeur forte, salée et légèrement amère, compte parmi les meilleurs astringents amers, en même temps que dissolvants et sudorifiques. Il n’est pas excessif dans son action, ni fatiguant à l’usage, mais ce qu’il guérit, il le guérit bien et pour de bon.
SON EMPLOI:l’influence bénéfique de la fleur de souci agit véritablement sur les abcès cancéreux, tuberculeux ou purulents, les glandes durcies, sur les crampes d’estomac, même accompagnées de vomissements sévères; plus encore sur les stases du bas-ventre, les blessures, les plaies et les lésions. Celui qui souffre d’un de ces maux, peut utiliser avec confiance la tisane au souci, qui sera préparée à base de plantes fraîches, même avec les boutons. On n’utilisera pour la préparation guère plus de 2 grammes de la plante pour ½ litre d’eau, ou mieux encore de lait, qu’on boira deux à trois fois par jour.
Plus agréable d’utilisation, le jus pressé de la plante, ou son extrait, se prendront quotidiennement à raison de 2 cuillerées à soupe mélangées à du vin ou à du lait tiède et sucré. Bientôt, notamment pour les affections du bas-ventre, l’utilisation de cette tisane ou de cet extrait normalisera le fonctionnement de ces différents organes, et rétablira donc la santé. Des affections externes, telles que le cancer du sein, des abcès scrofuleux, le durcissement des glandes et autres, demandent parallèlement à leur médication interne, un traitement externe approprié, surtout pour la dernière affection, dont les enveloppements à base de décoction de souci ramolissent les endroits durs. L’usage de l’onguent à base de souci est également recommandé pour les abcès évolutifs.
Les plaies seront souvent nettoyées à la décoction de souci puis enduites de baume. La teinture de souci, elle aussi, s’est montrée très efficace dans ce cas-là. Elle est disponible en pharmacie et guérit les plaies sans les infecter.
Si l’on fait des applications de la plante hachée – en les remplaçant souvent – sur les verrues, les cors et les durillons, ils disparaissent ou tombent tout seuls.
En séchant, la fleur de souci perd une grande partie de ses éléments actifs. C’est pourquoi, elle sera employée la plupart du temps fraîche; elle peut se trouver de la fin du mois de mai jusqu’au début de l’hiver. Faute d’avoir la plante elle-même, on utilise son extrait, en n’employant cependant que la moitié de la quantité à utiliser pour le thé. Le souci n’est rien d’autre qu’une« bonne plante »; mais nous ferions bien d’oublier sa banalité quotidienne pour ne voir que son exceptionnelle volonté de nous aider, qu’il essaie de nous faire comprendre.
Pour tous les troubles de la circulation, l’ortie est le meilleur remède.
Lors d’un appel téléphonique désespéré d’une femme habitant la R.F.A., j’ai appris que chez son mari il fallait remplacer une veine bouchée du coeur par une veine saine de la jambe. Une telle opération est une question de vie ou de mort. Je conseillais de la décoction d’orties pour faire disparaître les troubles de la vasoconstriction et de la circulation. Le torse doit être penché par-dessus la baignoire pour mouiller plusieurs fois par jour la région du coeur avec cette décoction d’orties. A peine 15 jours plus tard, je reçus un nouvel appel de cette même femme, heureuse cette fois, qui m’informa que chez son mari, le contrôle médical diagnostiqua un fonctionnement normal de sa veine cardiaque et, qu’en plus, il se sortit à merveille de l’épreuve du test de la bicyclette.
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Une religieuse originaire de la R.F.A. avait une veine de l’oeil bouchée, ce qui lui fit se déplacer son oeil malade de 2 mm. On craignit une tumeur derrière son oeil, ce qui aurait déclenché une cécité. Un examen extrêmement douloureux diagnostiqua une veine oculaire bouchée. Je conseillais des bains et des enveloppements de décoction d’orties. En peu de temps, l’oeil était redevenu normal.
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Une femme originaire de Heilbronn témoigne:« Notre grand-mère de 95 ans, encore bien portante et vigoureuse, avait depuis neuf mois déjà, les poings crispés et ne pouvait plus les ouvrir. En ce temps-là, elle était en traitement chez une femme médecin, qui se donnait beaucoup de peine et qui faisait tout son possible pour aider cette femme. Elle finit par dire:« Je suis désolée, mais votre grand-maman devra garder ces mains-là ». Quelques jours plus tard, le hasard voulut qu’un enregistrement sur bande d’une de vos conférences parvint dans notre maison. Nous apprîmes que les orties fraîches et vertes soignaient tous les troubles de la circulation. C’est ainsi qu’on prépara des bains de mains à base d’orties. La surprise fut grande, lorsque une semaine plus tard, notre grand-maman put à nouveau ouvrir ses mains normalement. Elle peut même à présent faire quelques menus travaux de raccommodage et de ménage. »
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Une dame, qui se faisait soigner depuis plus de 3 ans par des médecins pour une sciatique, a été soulagée en 6 mois de ses douleurs, après seulement 6 bains à base de décoction d’orties.
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Un pasteur du Burgenland me rend visite annuellement pendant sa cure dans la ville voisine de Gallspach. Lors de sa dernière visite, il emmena sa gouvernante, qui me raconta que sa nièce de 23 ans avait un problème auditif depuis sa naissance. Comme elle voulait se marier, elle se rendit à la clinique universitaire de Vienne. Elle voulut savoir si elle pouvait, par une opération chirurgicale, récupérer au moins une partie de son audition.
Après examen, on lui fit part que son mal était irréversible. Sa tante, la gouvernante du presbytère, pensa qu’elle devait essayer les herbes du suédois (« Schwedenkräuter ») d’après mes conseils de « la pharmacie du Bon Dieu » (on trempe le doigt dans la liqueur du Suédois (« Schwedenkräuter ») plusieurs fois par jour et on le met dans l’oreille). Cela semble miraculeux, mais 15 jours plus tard, son ouïe était normale.
En octobre 1977, je donnais une conférence au cours d’un séminaire dans la « Hippolyt-Haus » (maison d’Hippolyte) à Saint-Pölten (Sankt Pölten) en Basse-Autriche. Auparavant, une femme de 24 ans vint me voir avec son mari. Je remarquai que cette femme dégageait une odeur très désagréable. Le mari me raconta qu’après avoir été amputée du sein droit, de graves séquelles dues au traitement par rayons firent leur apparition. Le médecin affirma qu’il n’y avait plus de remède médical possible. Le seul recours, c’était Dieu. Cependant sa femme ne savait rien de son état critique. Après cet entretien, la jeune femme me montra ses lesions dues aux rayons. Cela me fit froid dans le dos. De la clavicule vers le bas, en passant par le sein droit, tout n’était que plaie de laquelle sortaient des proliférations cancéreuses, qui dégageaient une odeur nauséabonde. Sur les proliférations, se trouvaient des couronnes de pus, jaunâtres et écumantes; il ne s’agissait cependant que de tissus morts. De la plaie, qui se terminait par un trou béant de la taille d’un poing, dans la région de la clavicule, s’écoulait une sécrétion puante.
J’ai remonté le moral de cette femme: le Bon Dieu, grâce à ses herbes bienfaisantes, lui viendrait sûrement en aide, et pourtant j’en doutais moi-même. Je lui conseillai de faire des lavements réguliers de décoction de prêle et d’extraits de mauve sauvage (fromageon), que l’on a fait précédemment macérer à froid pendant la nuit. Des feuilles fraîches de plantain lancéolé sont lavées, écrasées à l’aide d’un rouleau à pâtisserie et déposées directement sur la plaie. Cette bouillie de feuilles peut cependant opprimer et causer des tiraillements sur une plaie si profonde. Il est possible que la malade ne puisse supporter cette douleur que très difficilement. Dans ce cas, il est bon d’enlever à nouveau cette bouillie de feuilles, de nettoyer la plaie à l’extrait de mauve et de prêle, et de recommencer à poser une bouillie de feuilles fraîches, ceci jusqu’à ce que les tiraillements et la douleur de la plaie soient supportables. Les lèvres de la plaie devront être enduites de pommade de fleurs de souci. Après cela, je n’ai plus eu de nouvelles de la jeune femme, mais j’ai souvent pensé à elle, et je me suis demandée si le Seigneur l’avait aidée grâce à ses plantes. Vit-elle toujours?
Six mois plus tard, la jeune femme m’appela au téléphone et me demanda si je me souvenais d’elle. C’est avec une profonde émotion que je l’entendis dire:« Tout est guéri, il ne me reste même pas une cicatrice! » Les médecins me dirent que c’était un véritable miracle.
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Avant une conférence que je donnnais à Zwettl en automne 1977, une institutrice en retraite s’adressa à moi: elle a été mise en retraite anticipée à cause d’une crise d’épilepsie pendant ses cours. A présent, ces crises ont augmenté jusqu’ à atteindre le nombre de 8 à 10 par jour. Pendant qu’elle va aux toilettes, un membre de sa famille doit se tenir à la porte, au cas où elle aurait une crise à ce moment-là. Ceci lui arriva au moment même où elle me parlait. Je reconnu cependant, qu’ici il ne s’agissait pas d’épilepsie, mais bel et bien de spasmes, étant donné que ses bras et ses jambes étaient crispés et tirés dans différentes positions. Comme les crampes partent toujours d’un endroit bien précis, je demandai à son mari, témoin de la scène, si la malade avait déjà essayé d’attirer l’attention sur un endroit précis. Il répondit qu’il lui semblait que la crise paraissait commencer en bas du tibia droit. Le hasard voulut que j’avais justement du lycopode frais à portée de main, et j’enroulais une vrille d’environ 25 cm de long, en boule, et la posais sur l’endroit cité du tibia. Au même moment, la femme revint à elle. Je fus d’avis que la crampe avait précisément disparu au même moment, et que cela n’avait rien à voir avec la pose du lycopode. Je lui fixai cependant tout de même ce lycopode antispasmodique sur son tibia, et lui conseillai de le laisser dans cette position, puis de le remplacer occasionnellement par du frais. Cela peut sembler invraisemblable, mais les accès cessèrent à l’instant où je mis le lycopode en place, ce que la femme me confirma le lendemain avec joie, et de même les semaines suivantes, par téléphone.
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Infection des glandes sudoripares: en ce qui concerne cette maladie très douloureuse, j’ai constaté les meilleurs résultats avec le fromage blanc. De toute évidence cela n’entre pas dans la catégorie des herbes médicinales, mais je n’aimerais pas passer sous silence ce précieux moyen de guérison.
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Un jour, je me suis rendue chez une amie fermière dans le Mühlviertel (Haute-Autriche). Elle se tenait assise dans sa belle pièce paysanne traditionnelle, enveloppée dans une couverture de laine bien chaude. Elle me raconta que, depuis des semaines, elle souffrait d’abcès des glandes sudoripares sous les aisselles et que cela lui causait de grandes douleurs, si bien qu’elle avait déjà songé au suicide. Dès qu’un abcès était refermé, il s’en développait un autre à côté.« Justement, aujourd’hui c’est insupportable! Mon mari est parti chez le docteur, pour me rapporter une pommade ». Elle n’avait pas de fromage blanc à la maison, me répondit-elle. Je m’en fus dans le voisinage, chez une soeur de la fermière. Dieu soit loué! Elle en avait. « Tout frais, tout beau! » comme elle disait. Je m’en retournai joyeusement auprès de la fermière malade.« Demain, les douleurs seront passées » lui dis-je, en faisant réchauffer un peu de lait dans un pot et que je mélangeai le fromage blanc en l’écrasant finement. Je le réchauffai à petit feu, mélangeant doucement le fromage et le lait, et j’étalai la bouillie sur deux morceaux d’étoffe. Je mis la pauvre malheureuse au lit, et quand je lui appliquai un cataplasme de fromage frais tiède sous les aisselles, je constatai avec horreur la présence de plusieurs abcès pleins de pus, gros comme des poings. Je la couvris bien et la laissai transpirer abondamment. Le jour suivant, le fermier transporté d’allégresse vint nous voir:« on allait sur les 8 heures hier soir, raconta-t-il, quand ma femme sentit une moiteur tiède. Et ça commença à couler, comme si on avait ouvert le robinet. Je n’ai jamais rien vécu de tel, et croyez-moi, comme paysan, j’en ai vu des choses! ». La fermière était débarrassée de ses abcès des glandes sudoripares. Bien guéris, il n’y en eut plus jamais d’autres.
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En février 1978, j’eu un appel téléphonique de Graz en Styrie (Autriche) d’un fils dont la mère avait du côté droit de son cou un abcès cancéreux gros comme un poing. Le médecin traitant avait prédit une opération fatale à son âge.
Les champs étaient recouverts de neige, et on ne pouvait donc pas aller récolter de plantain lancéolé, ni de grand plantain, dans la nature. Ces feuilles-là doivent être lavées et écrasées à l’aide d’un rouleau à pâtisserie sur une planche et réduites en bouillie et posées sur les plaies cancéreuses malignes. De ce fait, je conseillai des jus de plantain achetés dans un magasin de diététique, imbibé dans du coton, que l’on applique sur la plaie. Cela soulage.
Fin février, l’homme se tenait sur le pas de ma porte en Haute-Autriche. A ma question, pourquoi il avait fait ce si long chemin pour venir me voir, il aurait tout aussi bien pu me téléphoner, il rétorqua: « Je devais venir moi-même, parce que cette affaire me semble trop importante. Nous nous sommes procurés de l’extrait de plantain dans un magasin de diététique et avons appliqué un coton humecté sur la plaie. Il n’y eut cependant pas de résultat. Il y a 10 jours, la neige a fondu. Nous sommes tout de suite allés cueillir les feuilles du plantain lancéolé et nous avons appliqué la bouillie sur les abcès. Le médecin, lors de son passage, s’étonna de ces applications vertes. Elles éveillèrent son intérêt, car il ne venait qu’une fois par jour, et quand il vit que les abcès devenaient de jour en jour plus petits, il se tourna vers son jardin biologique, où le plantain était bien plus développé que dans les prés. Après exactement 10 jours d’application de ces herbes médicinales, les abcès cancérigènes au cou de ma mère avaient disparu »
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Ici, je voudrais soulever un problème qui me tracasse depuis fort longtemps. En été, quand la nature nous gratifie de plantes fraîches en quantité, il n’est pas difficile d’endiguer et de guérir des maladies. En hiver cependant, nous voilà avec nos mains bien vides. Il devrait se trouver des personnes qui, tout comme les entreprises de congélation de légumes, s’occupent de congeler des plantes médicinales récoltées sur des champs traités biologiquement. Ainsi, on pourrait également en disposer en hiver.
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Une voisine s’était cassé la jambe. Elle y consacra 2 années de soins. La jambe enflait et lui faisait mal. Un jour cela devint si pénible, qu’elle dut à nouveau se faire hospitaliser. Après sa sortie, je la rencontrai dans la rue. Elle marchait à l’aide d’une canne, car sa jamble avait plus du double de l’autre. Il lui fallait plus d’une heure pour faire le chemin qu’autrefois elle faisait en moins de 10 mn. On n’a pas pu l’aider à l’hôpital. Je lui conseillai des bains de pieds de fromageon ( mis à infuser dans de l’eau froide pendant la nuit). Je fus très surprise, quand je la vis travailler dans son poulailler trois jours plus tard, avec deux jambes saines.
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Dans un presbytère en Haute-Bavière, une jeune femme, mère de 3 enfants, me demanda si elle devait faire les 32 séances de rayons prévues après une opération de la poitrine. Je lui répondis:« Ceci dépend de votre propre décision. Si j’étais la patiente, je les refuserais ».
Lors d’une visite, plusieurs semaines après, dans ce même presbytère, cette femme vint me voir, complètement désespérée. Les rayons lui avaient brulé les côtes gauches et développé des métastases. Dieu merci, nous avons pour les maladies des os et pour la destruction des os, la consoude, qui pour de tels cas, ne peut être assez louée. La farine de consoude peut être obtenue dans beaucoup de pharmacies et d’herboristeries. A l’aide d’eau chaude, on en fait une bouillie, qu’on applique sur les parties malades. (Voir l’article« Consoude » dans cette brochure). La jeune femme avait elle-même déterré de la consoude, l’avait lavée et brossée (la peau noire ne doit pas être grattée), rapée, mise entre deux couches d’étoffe et l’avait appliquée. Vous aurez du mal à le croire: en 10 jours, les métastases avaient disparues et les côtes étaient soudées normalement!
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Lors d’une conférence à Zwettl (Waldviertel en Autriche) le 16 avril 1978, on porta une femme, qui était gravement malade, sur l’estrade. Elle tremblait de tout son corps et me raconta qu’elle avait derrière elle deux graves dépressions nerveuses, dont elle n’arrivait pas à se remettre. Cela faisait 2 ans, qu’elle soignait sa jambe ouverte. Du genou jusqu’au pied, il y avait une surface suintante, sans peau. Plus bas, une masse rouge-bleuâtre. A l’hôpital où elle avait déjà fait plusieurs séjours, on voulait à chaque fois l’amputer de la jambe à partir du genou. Elle raconta, en sanglotant, qu’à chaque fois, elle ne l’avait pas accepté, mais qu’elle ne voyait plus d’issue. Elle ne pouvait plus, ni marcher, ni s’asseoir, et était désespérée de ne trouver de solution.« Sûrement que les herbes médicinales, présents de Dieu, vont sûrement vous aider » lui dis-je pour la consoler. Il faudrait vous baigner dans une décoction de prêle et d’extraits de fromageon, infusé dans de l’eau froide pendant la nuit, mais utilisée tiède, et très précautionneusement, tant que le pied ouvert le supporte bien. Appliquer directement des bouillies de feuilles fraîches de plantain lancéolé écrasées à l’aide d’un pilon, avec précaution et pour peu de temps seulement. Les bains aux fromageon atténueront aussi l’enflure rouge-bleuâtre du pied. Quand la peau se reforme peu à peu, enduire de pommade de souci après chaque bain.
Contre l’altération du système nerveux, je conseillai des bains complets de thym, à raison de 150 gr. de plantes par bain, mises à infuser dans de l’eau froide pendant la nuit et ajoutées à l’eau du bain. S’y baigner pendant 20 minutes, en prenant soin de préserver le coeur hors de l’eau. On peut utiliser cette eau jusqu’à 2 fois, et en utiliser une partie pour y faire infuser les herbes.
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Le 15 août de la même année, je participais à une bénédiction de plantes médicinales à Maria Bründl en Basse-Autriche, où je fus saluée par une foule de plusieurs milliers d’âmes. Après la consécration, une femme, parmi beaucoup d’autres, se faufila jusqu’à moi, m’agrippa par le bras, et ne me le lâcha plus en aucune façon. Il s’avéra que c’était la femme de Zwettl, qui avait la jambe ouverte. Après 2 mois de traitement par les plantes prescrites, la jambe avait complèment guéri et était redevenue saine. Elle pouvait à nouveau s’occuper normalement de son ménage. A Maria Bründl, elle monta et redescendit le petit chemin raide, qui menait à la chapelle, comme une jeune fille. Voilà les miracles de la pharmacie du Bon Dieu!
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Après une conférence à Gallspach en Haute-Autriche, en novembre 1978, un jeune homme me raconta qu’après un accident de voiture où il s’en était sorti avec une double fracture de la base du crâne, il souffrait quotidiennement de troubles épileptiques. Je lui conseillai des enveloppements à base d’herbes du Suédois (« Schwedenkräuter ») sur l’occiput et sur les vertèbres crâniennes, et de prendre 3 à 4 tasses de thé d’orties par jour. En février 1979, il vint me voir, resplendissant de joie. Il avait suivi mes conseils: ses crises d’épileptie avaient diminué et avaient, à présent, complètement disparu.
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Le 13 septembre 1979, Madame H. W. de O./R.F.A. me téléphona en pleurs le matin pour me dire, que son mari de 38 ans devait être opéré d’une tumeur au poumon. L’examen à la sonde pulmonaire avait révélé un noyau infecté de la tumeur. Les médecins conseillaient une intervention urgente, bien que son mari soit terriblement affaibli par la fièvre, et qu’il ne supporterait peut-être pas l’opération. Plus tard, les médecins autorisèrent alors des enveloppements de vapeurs de prêle (faire chauffer une poignée de prêle dans une passoire au-dessus de la vapeur d’eau), à appliquer sur les tumeurs malignes. Matin et après-midi pendant 2 heures et durant toute la nuit; pendant l’après-midi cependant, un enveloppement de 4 heures à base d’herbes du Suédois (« Schwedenkräuter ») sur les poumons. En plus de tout cela, on fit boire au malade deux litres de tisane à base d’un mélange de 3 parts de souci, I part d’achillée millefeuilles et l part d’orties. Tous les ¼ d’heure, il devait en avaler une gorgée. De cette façon-là, les très grands malades peuvent en ingurgiter une telle quantité. Ceci est de première importance pour les maladies cancéreuses.
Après un traitement de 3 jours à base d’enveloppements de vapeur de prêle, il apparut une diminution de la tumeur sur les radiographies. A la suite de quoi, la jeune femme put emmener son mari à la maison. Au bout de plusieurs jours, le malade retrouva son appétit. Neuf jours après sa sortie de l’hôpital, on put vérifier sur les radiographies de contrôle que la tumeur au poumon avait totalement disparu.
Madame M. M. de M. écrit:« Aujourd’hui je puis me permettre de vous exprimer toute ma gratitude. Pendant de longues années, je consultai sans arrêt les médecins, mais aucun ne pouvait m’aider. L’année dernière, en automne, j’étais hospitalisée pendant 7 semaines: coeur et circulation! Inflammation du foie, et en plus de cela, une gastrite! On me conseilla alors des orties. Je les récoltai en décembre, sous la neige. Au bout de 8 jours, cela allait mieux. A présent, grâce à vous, j’ai approfondi mes connaissances des plantes médicinales, et je suis consciente qu’elles m’aident. »
Madame J. Sch. de l. écrit:« Notre grand-mère fait de grands progrès après trois attaques d’apoplexie en buvant du thé d’orties et de gui. La jambe, qui est encore un peu paralysée, je la soigne avec des feuilles de consoude chaudes, grâce auxquelles la contraction musculaire se relâche peu à peu. En plus, la nuit, je fais des applications de feuilles de fougère, qui donnent de très bons résultats. »
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Un jeune garcon qui malgré un régime sévère avait de graves diarrhées. Au bout de 6 gorgées de thé à base de racines de roseau odorant, que vous indiquez dans votre brochure, sa diarrhée s’est arrêtée, il a retrouvé son appétit et même grossi de quelques kilos. Sa mère en est très heureuse.
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Une connaissance avait depuis des mois des douleurs aux pieds, qui remontaient jusqu’à la cuisse. Un cataplasme de bouillie de consoude fit disparaître en une fois les douleurs; malgré une fatigue intense, elles ne sont plus réapparues
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Une autre connaissance, après une jaunisse d’origine infectieuse, était depuis deux ans de santé très délicate. Depuis qu’elle prend les herbes selon vos indications (soucis, orties et liqueur du Suédois« Schwedenbitter »), elle peut à nouveau travailler à plein temps de 6 h du matin à 10 h du soir. »
Madame W. T. de E. écrit:« Je ne sais pas si vous vous souvenez de mon appel téléphonique de janvier 1978, où je vous appelai au secours de ma petite fille de trois ans, qui souffrait de terribles étouffements d’origine convulsive, et qui avait déjà reçu plusieurs piqûres de cortisone. Vos conseils, qui consistaient à la traiter à l’aide de fromageon, de liqueur du Suédois et de lycopode, ont eu de bons résultats. C’est pourquoi, je voudrais, ainsi que mon mari, vous remercier de tout mon coeur. Chère Madame Treben, c’est le ciel qui vous a envoyée! Je prie Dieu et sa Mère Divine que vous restiez encore longtemps en bonne santé! »
Madame M. R. de W. écrit:« Ma voisine, 50 ans, travaille dans une usine de confection. Après Noël, elle ressentit de vives douleurs dans les deux articulations du poignet, et fut portée malade, car elle ne pouvait plus du tout bouger ses pouces. On lui mit un plâtre pendant 3 semaines; après 9 semaines de traitement, rien n’avait changé. Je lui conseillai de boire du thé d’achillée mille-feuilles, ainsi que des bains, comme c’est indiqué dans votre brochure. Au bout du troisième jour, ma voisine pouvait déjà remuer ses pouces sans douleur, et depuis le 10 avril, elle a repris son travail. »
Madame P. Sp. de Gr. T. écrit:« Ma belle-soeur souffrait de terribles douleurs à la colonne vertébrale en été et en automne. 300 comprimés et plus de 30 piqûres n’ont absolument pas amélioré la situation. Peu avant Noël, elle a pris 6 bains de siège de prêle, et le jour de Noël, elle nous fit joyeusement part que les bains l’avaient bien aidée. »
Un prêtre bavarois écrit:« Quand notre médecin de famille m’a examiné hier, comme tous les ans à la même époque depuis 15 ans (car j’avais une tumeur à la prostate grosse comme le poing), il constata qu’elle avait totalement disparu. Il en est resté médusé:« Mais quel est le remède que vous avez utilisé? Pendant 4 semaines, j’ai bu tous les matins une tasse de thé d’épilobe à petites fleurs. » Encore un miracle que Dieu a réalisé par ses plantes. »
Madame S. R. de G./Allgäu écrit
« J’ai fait l’expérience d’une aide efficace, en buvant du thé à base d’orties. J’ai 67 ans et j’avais toujours des problèmes de ventre. Quand j’ai pris de la tisane d’orties, j’ai eu de violents saignements, mais qui étaient tout foncés, grumeleux et épais, presque comme après une délivrance. Le médecin affirma que c’était une totale purification. Je vous écris ceci, afin que d’autres connaissent aussi les vertus des orties. »
Madame G. R. de Basse-Autriche écrit:« Votre conseil de faire des enveloppements chauds de prêle sur l’articulation du gros orteil douloureux (hallus valgus) a beaucoup aidé mon mari et lui a fait disparaître toutes ses douleurs. »
Madame G. Ph. de Basse-Autriche écrit
« J’ai déjà beaucoup lu et essayé bien des choses de votre livre. Par exemple, je suis tombée dans notre jardin et me suis blessée aux deux genoux. J’ai immédiatement appliqué du plantain lancéolé écrasé sur le flux de sang; après peu de temps, l’épanchement de sang s’arrêta et la douleur se calma. »
Une religieuse de Bavière écrit:« Ma soeur, 35 ans, mère de 2 enfants de 9 et 12 ans, s’est fait opérer de la mâchoire gauche qu’on lui a enlevée, ainsi qu’une partie sous l’oeil. C’était cancéreux. Suite aux conseils que vous lui avez prodigués par téléphone, elle boit du thé à base d’orties, d’achillée mille feuille et de fleurs de souci; elle fait des enveloppements de gouttes de liqueur du Suédois (« Schwedenbitter ») et des applications chaudes de prêle. Elle va bien, et après la pose de sa nouvelle prothèse, cela ira mieux encore. Elle fait scrupuleusement des rinçages au gaillet. Avec l’aide du médecin de la clinique, qui la soutient dans ses soins, elle n’a plus besoin de rayons!
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Votre brochure sur les herbes a beaucoup aidé une autre soeur: elle avait différents types de bactéries dans la vessie, une infection post opératoire. Pendant une année entière, elle avala des pilules qui ont été inefficaces. Elle commença alors à prendre de la tisane d’orties et plus tard des gouttes de liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »). Lors du dernier examen, le médecin ne put découvrir aucune bactérie. Les herbes ont très vite fait leur effet. »
Madame S. R. de l. S. écrit:« Je me réjouis énormément de pouvoir vous faire part enfin d’un résultat qu’on qualifierait presque de miraculeux. Depuis longtemps déjà, j’avais un genou qui me faisait terriblement souffrir. Une nuit, je fus réveillée par des douleurs atroces. Je ne pouvais absolument plus bouger l’articulation du genou. J’étais au bord des larmes. Je me fis un enveloppement d’herbes du Suédois (« Schwedenkräuter ») et le laissai pendant 4 heures sur le genou malade. Toutes les douleurs avaient disparu. Je pouvais à nouveau vaquer à toutes mes occupations, grimper, monter, etc… C’était affectivement comme un miracle. J’ai aussi fait disparaître des douleurs dans l’oreille, en mettant un tampon d’ouate imbibé d’élixir du Suédois (« Schwedentropfen ») dans le conduit. »
Soeur M. A. écrit en mai 1978:« Mon beau-frère souffrait depuis des années de la prostate. En plus, il avait eu 5 ou 6 infarctus. Comme les douleurs à la prostate prenaient de l’ampleur, on voulut l’opérer. Les médecins l’ont cependant renvoyé, car une opération avec son coeur malade aurait été fatale. Nous avons alors essayé de lui sauver la vie malgré tout et lui avons procuré de la tisane d’epilobe. Il la but et dès les premiers jours, il se sentit soulagé; aujourd’hui, il est presque rétabli. »
Madame E. S. de R. écrit le 20 juin 1978:« Les terribles souffrances de mon mari (diarrhées avec saignement, 30 à 40 fois par jour) se sont tellement améliorées, que depuis 15 jours, il peut à nouveau travailler. Il a fait une cure de tisane, comme vous le lui aviez indiqué: six gorgées de roseau odorant, fleurs de souci, achillée-millefeuille et orties. »
Madame M. S. de K. écrit:« Cela vous fera sans doute plaisir d’apprendre qu’une jeune religieuse a pu retourner dans sa Mission en Nouvelle Guinée, grâce à vos conseils et aux plantes fraîches. Elle était à la maison pendant plus de deux ans, à cause d’une maladie du pancréas. A partir du moment où elle suivit vos conseils, cela commença à aller mieux. Elle pense sûrement à vous dans ses prières. Ce que cette soeur apporte aux plus pauvres d’entre-nous est incroyable à nos yeux. Qu’elle puisse à présent reprendre son activité caritative, est l’oeuvre de Dieu et de vous-même! »
Une religieuse écrit:Je voudrais vous adresser mes remerciements les plus sincères pour l’aide que vous m’avez procurée. Ma tension s’est tout-à-fait normalisée, mes douleurs à la vésicule biliaire et à l’estomac ont disparu, je me sens comme un nouveau-né. L’an passé j’étais à Lourdes; à présent je sais que la mère de Dieu m’a aidée à travers vous. Mon médecin traitant était tellement surpris de mon état, qu’il m’a demandé ce qui m’était arrivé, pour que je sois rétablie et au mieux de ma forme. Après quelques hésitations, je lui avouai. Il était tellement enthousiaste, qu’à son tour, il s’acheta le livre « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu. »
Madame R. B. de R. écrit:« J’ai apporté du lycopode à ma mère de 70 ans, qui souffrait de crampes à la cuisse. Pleine de joie, elle me raconta: « Pendant des années, je me suis soignée inutilement pour mes démangeaisons au talon. C’était souvent impossible à supporter. A présent, c’est fini, après 5 bains de pieds aux lycopodes ». Je voudrais aussi vous faire part de deux recettes familiales: Un occuliste dit en 1930 à ma mère, dont les 5 frères et soeurs sont tous morts entre 20 et 30 ans:« Buvez de la prêle, de la pulmonaire et du tussilage en quantités égales. C’est la meilleure tisane pour les poumons ».
Effectivement, il n’y eut plus de morts à partir de ce jour. En cas de bronchite ou d’asthme, le remède suivant fut tout-à-fait efficace: une demi-cuillerée à soupe de sucre, avec 3 ou 4 gouttes de jus de citron, remplir la cuillère d’huile de salade et frotter doucement le tout sur la langue et avaler; ceci 3 fois par jour! »
Madame Emma L. de W. écrit:« En janvier 1978, mon mari fut admis à l’hôpital et fut relégué dans le mouroir; c’est alors que je vous ai parlé, chère Madame Treben. On donna à mon mari des piqûres et on le brancha à l’oxygène. Il avait de terribles quintes de toux et les jambes très enflées; il avait totalement perdu l’appétit. Il resta ainsi pendant 8 semaines. J’entendis parler de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »). Je n’avais plus qu’un seul souhait, c’était de vous parler et de vous demander conseil. Mon mari allait tellement mal, que les médecins ne voulaient pas le laisser rentrer à la maison, car ils pensaient qu’il mourrait en route. De plus, il lui fallait trois ou quatre piqûres chaque nuit. Cependant, je l’ai tout de même emmené à la maison. Nous lui avons donné de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter ») dans de la tisane d’orties et de soucis et nous avons appliqué des cataplasmes d’herbes du Suédois (« Schwedenkräuter ») sur la poitrine et le foie. A partir de ce moment, mon mari n’a plus eu besoin de piqûres, ni de comprimés, et se sent, Dieu merci, beaucoup mieux. Je voudrais vous remercier en mon nom, ainsi qu’au nom de mon mari. »
Une jeune religieuse de A.-P./Haute-Autriche écrit:« Pendant des années, je souffrais tellement à la colonne, que je pouvais à peine enfiler mes bas. Je lus dans votre brochure sous« Prêle des champs », qu’en cas de troubles discaux, il fallait prendre des bains de siège avec de la prêle. Je suivis ces conseils. Tout de suite après le premier bain de siège à la prêle des champs, mes douleurs ont disparu et ne sont pas encore revenues, six mois plus tard. Les six bains de pieds que j’ai pris par la suite m’ont délivrée de la transpiration des pieds. Contre mes troubles circulatoires, j’ai bu avec succès de la tisane d’orties. J’ai beaucoup de plaisir à la réussite des guérisons avec les herbes, si bien que maintenant, je peux aider les autres soeurs avec vos conseils.
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Chez une consoeur, on a diagnostiqué une tumeur avec des métastases dans le bas-ventre, après une simple opération, suite à une rupture de cicatrice. Aux intimes, on fit part que la malade n’avait guère plus de 6 mois à vivre. Cette famille s’est adressée à vous, chère Madame Treben. Après sa sortie de l’hôpital, on fit un cataplasme à base d’herbes du Suédois (« Schwedenkräuter ») pendant 4 heures sur le bas-ventre de la patiente ; de plus, elle but quotidiennement les tisanes, dont vous parlez dans la rubrique« Maladies du bas-ventre ». Après 6 semaines déjà, lors du premier contrôle médical, le médicin-chef s’étonna de la qualité de la formule sanguine. Après 3 autres contrôles, qui eurent lieu toutes les 6 semaines, il se trouvait devant une énigme. Il ne trouva absolument plus rien d’anormal. A présent, la soeur a 71 ans. A part la teinture d’herbes médicinales, elle n’a pas suivi de régime spécial et elle se sent aujourd’hui en pleine forme, au grand étonnement des médecins. »
Madame K. Sch. du Vorarlberg écrit:« Un grand merci pour votre brochure. Nous avons déjà tellement utilisé les remèdes. Je voudrais juste remarquer que les feuilles d’acanthe, dont les prés en été sont remplis, peuvent être utilisées pour purifier parfaitement. On les lave et, mouillées, on les pose sur une planche et on les écrase avec un rouleau. On peut les appliquer pour les maux de gorge, pour les bronchites aigües, les laryngites, et elles se montrent efficaces pour les maux de vésicule biliaire, de foie, d’estomac, de bas-ventre et des poumons. On les met, écrasées, entre 2 morceaux de tissus, on les applique et on les maintient par un bandage. Dans notre famille, on a souvent guéri de graves maladies de cette façon-là.
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J’ai 72 ans et l’ophtalmo m’a dit qu’un glaucome se développait. J’ai mis à infuser de la rue dans de la bonne eau de vie pendant 10 jours et je m’en suis appliquée matin et soir sur les paupières, si bien que, bientôt, je pus à nouveau mieux voir. J’ai aussi conseillé ceci à un vieillard presque aveugle et j’ai appris par la suite, qu’il voyait à nouveau. C’est un très bon remède pour la faiblesse des yeux. L’essence d’arnica produit les mêmes effets. Ma soeur portait des lunettes; elle s’est frottée les paupières à l’arnica, et maintenant elle n’a plus besoin de lunettes. Moi aussi, je portais des lunettes, et je cousais des costumes traditionnels. A présent, pour coudre, je n’ai plus besoin de lunettes. Si on le fait régulièrement, cela aide ».
Madame L. R. de J. écrit:« Il y a à peu près 8 semaines, je vous ai écrit que mon beau-frère devait se faire opérer le 28 avril 1978 d’une inflammation des glandes parotides. Du thym infusé dans de l’huile et de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter ») introduits tous deux dans l’oreille ont rapidement arrêté les douleurs. 12 séances de rayons n’avaient servi à rien. A présent, je voudrais vous remercier du fond du coeur de la part de mon beau-frère ».
Madame Treben elle-même rend public l’épisode suivant:« Lors d’un recueillement à la fin d’un pélerinage, qui se tenait dans une église autrichienne, une femme se jeta à mon cou. Elle m’apprit qu’elle avait un glaucome et qu’elle guérit, après qu’elle se fut soignée à l’aide des conseils que je prodiguais dans ma brochure sous ‘Glaucome’. »
Monsieur A. Th. de D. écrit:« Avec mes remerciements, j’aimerais vous faire partager l’expérience suivante: pendant le temps où je souffrais de cataracte, j’utilisai du jus de chélidoine, qui me soulageait manifestement, et j’en fus très content. Je lavais la feuille, écrasais la tige humide entre le pouce et l’index et frottais ce liquide obtenu à partir de la base du nez jusqu’au coin de l’oeil. De là, le jus de chélidoine agit sur l’oeil, sans toutefois y pénétrer. »
Un appel téléphonique de Bavière du Sud:« Vos conseils de me gargariser avec du gaillet frais ont non seulement totalement éliminé mon goitre, mais je suis débarrassé de tous mes troubles de la glande thyroïde. »
Monsieur A. de Ebensee écrit:« Ma fille avait de l’acné et en était naturellement très malheureuse. Nous avons fait macérer du raifort dans du vinaigre de fruits pendant 10 jours, comme vous l’indiquez dans votre brochure; elle commença alors à se badigeonner la figure humide deux fois par jour et elle but un litre de tisane d’orties fraîches. En trois mois, il n’y avait plus de traces d’acné. A chaque fois, nous nous appliquons à faire exactement comme vous le dites dans votre brochure, et nous remarquons que tout ce que vous dites est exact. Merci de tout coeur! »
Extrait d’une lettre du 29 septembre 1978 qu’une femme de K. en Souabe a écrite:« … de plus, je bois régulièrement le mélange de tisane contre l’arthrose, avec des résultats positifs, ainsi que contre le glaucome. En tout cas, depuis cette époque, ma vision est restée stable. Mes douleurs dans le genou gauche se sont à tel point améliorées, que je peux monter les escaliers sans aide, et sans grandes douleurs.
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Avec l’aide de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »), une grande plaie, qui saignait abondamment, a complètement guéri chez ma mère (elle va avoir 82 ans le ler octobre 1978). Nous avons pu soigner un abcès à l’intérieur du petit doigt de pied, de la même façon. »
Madame H. M. écrit:« Avec les herbes du Suédois (« Schwedenkräuter »), que nous avons déjà fait macérer plusieurs fois, et que nous avons données à des parents et à des amis, nous avons obtenu des résultats remarquables. Par exemple, une cicatrice très vilaine au genou de ma fille s’est considérablement améliorée. Nous vous remercions pour vos efforts et pour votre engagement personnel. »
Madame M. Sch. d’ Augsbourg écrit:« Mon garçon de 12 ans avait des abcès à la mâchoire, 5 jours avant sa confirmation. J’ai tamponné les abcès plusieurs fois par jour avec de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »), et il s’est rincé deux fois par jour la bouche avec de la tisane de sauge et de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »). L’abcès s’ouvrit, le pus diminua, la joue enflée et l’abcès se résorbèrent. Mon fils passa le jour de sa confirmation guéri et heureux.
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De même, quand mon foie se réveilla douloureusement, je me fis des compresses d’herbes du Suédois (« Schwedenkräuter »). Cela alla bientôt mieux. Lors de mes vacances en Autriche, je rendis visite à une fermière, qui était alitée. Je lui ai donné de ma liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »), que j’ai toujours avec moi, et lui laissai aussi la brochure « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu ». Elle but de la tisane d’orties, d’achillée mille-feuille et de fleurs de souci, et elle prit de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »). Au bout de trois jours, elle se portait bien et vaquait à nouveau à ses occupations ménagères. Elle aussi s’est tout de suite préparé de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »). Autrefois, je souffrais de constipation, de flatulences et j’avais des hémorroïdes. Depuis que je prends de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »), je peux aller régulièrement aux toilettes.
Parce que je crois en la vertu curative des plantes, j’ai déterré de la chélidoine majeure, que j’ai replantée dans mon jardin. Mon fils avait des verrues, qu’il se fit enlever. Cela lui donna de vilaines cicatrices. A présent tout est parti, grâce à la chélidoine majeure, même d’autres verrues qui lui restaient. »
Madame A. S. de G. écrit:« Je considère la réception de votre brochure « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu » par des amis que j’ai connus à San Damiano, comme providentielle. A l’époque, je priais en toute confiance notre Sainte Mère de m’aider, car mes forces diminuaient de plus en plus, à cause de la maladie de Parkinson. Je fus très étonnée que les herbes du Suédois (« Schwedenkräuter ») m’aient tout de suite soulagée. Aujourd’hui, six mois plus tard, je peux dire combien tout cela m’a aidé, moi qui suivais tous les conseils de votre brochure. Avant tout, ma gastrite qui me faisait souffrir depuis plus de 15 ans a complètement disparu. Je peux à nouveau tout manger. Tout compte fait, je me sens à nouveau une femme normale, et personne ne remarque de quelle maladie je souffre. Je suis particulièrement reconnaissante qu’on ne puisse plus reconnaître les tremblements dans mon bras droit. Seulement après un énervement ou une grande fatigue, cela devient de temps à autre visible. Même ma démarche s’est améliorée. Ma fatigue est tout de même encore présente, mais de loin pas aussi importante.
Voilà ce que je faisais: le matin, une tasse de tisane d’orties avec de la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »), prise par petites gorgées; une heure après, de la teinture d’achillée mille-feuille dans un peu d’eau. Toutes les heures jusqu’à midi, boire la tisane qui est indiquée dans votre brochure sous « Maladie de Parkinson » avec de la teinture d’achillée mille-feuille. L’après-midi, je buvais cette même tisane toutes les heures et en plus, le soir, contre l’insomnie, la tisane qui figure sous la rubrique « Primevère, Coucou ». Comme chez nous il n’y a pas d’Oxalis, je n’ai pas pu en prendre. Je vous remercie avant tout et de tout coeur pour votre aide si désintéressée. »
Madame J. D. de Vienne écrit:« Je suis dans ma 86ème année, et je souffrais depuis des années de conjonctivite. Aucun médecin n’avait pu m’aider. Au bout de quelques jours de traitement avec des pansements imbibés de gouttes de liqueur du Suédois (« Schwedenbitter ») sur les paupières fermées, cela s’est amélioré. Grâce à la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »), je suis à nouveau, Dieu soit loué, en bonne forme. »
Monsieur le Curé M. écrit:« Ma bonne, Mademoiselle Anna, est devenue une grande collecteuse d’herbes médicinales, et elle aide partout où c’est nécessaire. Avec sa brochure « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu », et avec la liqueur du Suédois (« Schwedenbitter »), elle a déjà secouru plus d’une personne. Grâce au gaillet et au plantain lancéolé, elle a pu guérir un homme qui avait à peine 40 ans et qui souffrait d’un cancer de la langue; ceci au grand étonnement des médecins. Malheureusement, il reçut tant de rayons, qu’il perdit ses cheveux de plus en plus. Mais la joie de sa femme et de ses enfants est néanmoins grande. »
Extrait d’une lettre que Madame Treben écrivit au Pasteur Z. le 7 octobre 1978:« … je suis tout-à-fait convaincue qu’on obtiendrait des résultats chez les malades atteints de lèpre, avec de la prêle et des orties. La prêle des champs guérit des maladies ressemblant au cancer à la surface de la peau par des applications externes (les orties guérissent par l’intérieur)! Il y a quelques jours, une femme ma téléphona de Linz; elle souffrait depuis des années d’urticaire, qui s’étendait jusqu’à l’intérieur de la bouche. Je lui conseillai les orties. Aujourd’hui, j’ai appris qu’après 3 jours, à sa grande surprise, tout était parti. Le « miracle » pourrait bien avoir lieu avec la lèpre. »
Madame Pr. S. de F.-L. écrit le 13 octobre 1978:« Pendant 6 semaines, j’ai bu 4 tasses de tisane (orties et achillée mille-feuille) par jour, et j’ai supporté mes règles sans problème, ce qui ne m’était pas arrivé depuis 4 ans. A chaque fois, je passais un jour au lit. Un grand merci! Que Dieu vous donne encore beaucoup de force et des années de bonne santé! »«
Une religieuse très avancée en âge écrit en octobre 1978:« J’ai dû subir par 3 fois des opérations graves de l’abdomen. Il en résulta de sérieuses déformations et souvent des douleurs insoutenables. Le 11 décembre 1977, au moment où notre Soeur Supérieure fut rappelée à Dieu, on dut m’hospitaliser. Les douleurs étaient insupportables. Diagnostic: occlusion intestinale. Le médecin n’avait plus d’espoir. L’opération lui réussit cependant, mais les difformités étaient si importantes, il en coupa un maximum, que le chirurgien n’avait aucun espoir de survie. Une courte durée peut-être encore. Nous avions toutes recours à notre chère mère Supérieure, qui venait de décéder, si pieusement. Quelques jours avant Noël, le médecin-chef dit à notre Supérieure: « Je ferais tout pour que Soeur A. (la rédactrice de la lettre) puisse passer les fêtes parmi vous pendant les jours de fête, afin que vous n’ayez pas à nouveau un enterrement » – Cela allait un peu mieux, mais la fièvre ne baissa point. On me permit, fin Janvier, de quitter l’hôpital, sans doute pour me laisser mourir à la maison.
C’est alors qu’une soeur m’apporta de la liqueur du Suédois (« Schwedentropfen ») et me lut ses effets dans la brochure. J’en pris quotidiennement; à Pâques, la fièvre avait disparu. Aujourd’hui, je me sens mieux que jamais auparavant. Dieu soit remercié, ainsi que cette chère Madame Treben, qui fait tant de bien avec son livre sur les plantes médicinales. »
Madame Maria G. de P. près de Vienne écrit:« Une connaissance m’offrit la brochure « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu » et je dois avant tout vous remercier de tout coeur d’avoir accompli une tâche si magnifique. Depuis mes 24 ans, je possède tous les originaux de Sébastian Kneipp, et j’ai maintenu ma famille en bonne santé. Avec de l’argile, je me suis débarrassée en peu de jours de rhumatismes, et j’ai aussi utilisé des compresses de fromage blanc. Mais à présent, à 87 ans, on ne peut plus utiliser cela aussi facilement qu’autrefois. J’ai immédiatement fabriqué la liqueur du Suédois et le vin des cardiaques et je bois quotidiennement quelques gouttes d’élixir. Il m’a déjà beaucoup aidé; je suis devenue beaucoup plus active, malgré mes 87 ans. Je fais mon ménage, ainsi que mon jardin, toute seule. Je voudrais tellement aider d’autres gens qui souffrent, et j’ai besoin d’autres brochures. Je vous admire, chère Madame Trében, et je vous remercie pour votre magnifique travail, et votre promptitude à aider les autres avec votre brochure. »
Monsieur Karl Sch. de W. dans l’Allgäu écrit:« Tout d’abord, je voudrais très sincèrement vous remercier, ainsi qu’au nom de beaucoup de malades, pour votre aide désintéressée. Quel trésor inestimable que votre livre « La Santé à la Pharmacie du Bon Dieu ». Chez ma femme, nous avons obtenu une guérison que nous n’avions plus espérée. Depuis plus de 20 ans, elle se plaignait auprès des médecins, que sa bouche n’était plus saine, elle n’avait plus de goût et en plus elle se plaignait de paralysie de la mâchoire. Après 3 semaines de gargarismes à la tisane de mauve fromagère, et d’absorption de cette même tisane, sa bouche et son palais commencèrent de guérir. Le goût est revenu. A présent, ma femme espère obtenir un résultat avec l’essence de bourse-à-pasteur pour l’atrophie musculaire. Depuis 6 ans, elle ne peut plus se déplacer sans aide, et elle souffre depuis 18 ans de cette maladie, qui a d’abord été diagnostiquée comme sclérose en plaques.
Moi-même, j’ai obtenu une complète guérison en deux semaines d’une hypertrophie de la prostate. Avec du lycopode, je me suis tout-à-fait débarrassé de ma goutte. Pour tout ceci, nous vous remercions de tout coeur. »
Monsieur H. H. de L. écrit:« Après que nous vous avons rendu visite au printemps avec notre fils et que vous nous avez prodigué des conseils pour sa maladie rénale, j’aimerais vous faire part des résultats de ces soíns. Nous avons simplement suivi vos indications et avons pu, au bout d’environ 6 semaines, à part d’infimes valeurs, constater une amélioration notoire après la première analyse sanguine. Au bout de 12 semaines, nous devions à nouveau lui donner les compléments minéraux que nous avions précédemment abandonnés, car les numérations sanguines s’averaient mortellement dangereuses. Après des discussions avec le service des dialyses, nous continuons le traitement selon vos indications, mais nous devons absolument donner un apport supplémentaire de certains médicaments. De toute évidence, un résultat positif est indéniable, car les valeurs en chute jusqu’alors sont stabilisées. Nous sommes devenus des ramasseurs d’herbes médicinales chevronnés et nous vous en remercions, car à présent nous parcourons les campagnes en connaissance de cause et les yeux beaucoup plus ouverts. »
Madame M. S. de F./Main écrit:« Depuis le printemps dernier, j’ai eu de bons résultats avec votre « Pharmacie du Bon Dieu ». J’avais une bursite