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La formation des idées et la neutralité sont explorées à travers des concepts comme la cohérence et la transformation, accompagnés de réflexions personnelles. L’interdépendance entre la souffrance, la volonté et la conscience est examinée, ainsi que leur impact sur la perception du monde. Chaque section apporte une perspective unique, révélant des connexions inattendues.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Animé par une passion insatiable pour la recherche de réponses,
Julien Beutels a entrepris ce projet, valorisant les questions plus que les éclaircissements trouvés. Inspiré par la volonté de transmettre et de contribuer au monde littéraire, il vous invite à plonger dans cet ouvrage pour découvrir des sujets profonds et de nouvelles perspectives enrichissantes.
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Seitenzahl: 101
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Julien Beutels
Au cœur de l’intelligence :
comprendre
les concepts, la cohérence
et leur transformation
Essai
© Lys Bleu Éditions – Julien Beutels
ISBN : 979-10-422-4300-5
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Je m’appelle Julien et j’ai 22 ans. Depuis mon enfance, je me suis toujours posé beaucoup de questions. Je n’ai pas pu exprimer mes pensées, car je ne recherchais pas de réponses précises à mes questions. C’est pourquoi, je vous transmets ma réflexion sur mon questionnement qui traite, de divers sujets.
J’espère que ça pourra vous aider à mieux comprendre le monde qui nous entoure et ainsi, développer vos propres opinions.
J’explorerais ici, la manière dont se forme les idées et comment cela influe sur notre perception du monde grâce à la neutralité qui sera entièrement traité dans ces écrits.
Ce texte est très théorique et je ne donnerais pas de pistes, mais plus une vision du monde tel qu’il est à mes yeux. J’espère tout de même que ce texte pourra vous inviter à réfléchir à penser sous un angle nouveau.
Avant d’explorer les idées présentées dans cet essai, il est important de noter que mon objectif n’est pas de soutenir des positions spécifiques, mais plutôt de vous inviter à une réflexion personnelle et à vous former vos propres opinions. Ce texte est une exploration subjective de divers sujets et concepts, et je vous encourage à remettre en question, discuter et tirer vos propres conclusions à partir des idées présentées ici.
Dans cet essai nous nous pencherons donc sur la formation des idées ainsi que sur les différents types d’intelligence y faisant appel, que ce soit par l’adaptation, l’individualisme, la sociabilité ou la destruction, vous allez parcourir avec moi la nature de l’intelligence humaine.
Voici une définition qui vous aidera à mieux saisir mon texte :
Monde physique : monde dit réel, les idées n’en font partie que par leur répercussion sur celui-ci.
Schéma des idées
Tout d’abord, l’adaptation est ce qui nous permet le profit par l’environnement que ce soit pour se reproduire, créer, vivre.
Le monde idéel
Je commencerais par décomposer le monde idéel en trois points qui sont :
Concepts : Représentation mentale utilisée pour catégoriser et donner du sens à nos expériences en regroupant des informations sous une étiquette commune. Les concepts facilitent la communication et la réflexion en reliant les aspects abstraits et concrets de notre environnement.
La Cohérence acquise : Réseau de croyances, de connaissances et de convictions interconnectées qui forme notre perception personnelle de la réalité. Cette structure mentale stabilise notre personnalité et influence la manière dont nous interprétons le monde, indépendamment de la véracité objective des éléments qui la composent.
La Transformation : Processus de modification des concepts et de la cohérence acquise, résultant en l’émergence de nouvelles idées ou perspectives. La transformation est cruciale pour le développement intellectuel, permettant la remise en question et l’évolution de la pensée.
Par la suite je démontrerais comment notre intelligence se sert de ces concepts pour transformer le monde qui nous entoure. Je souhaite aussi dissocier les pensées des idées, car je pense que seules les idées sont synonymes de création alors que les pensées ne sont que des prolongations de nos perceptions, bien qu’elles aient un rôle à jouer dans le processus créatif des idées, elles ne peuvent en être.
Mais qu’est-il réellement ? Il est le monde des idées, des pensées et de la créativité. Un monde auquel nous appartenons tous, et ce, parfois, sans même nous en rendre compte, en effet, nous vivons grâce aux idées, par elles, pour elles. L’argent en est le plus parfait exemple, un vide, une anomalie n’existant que dans nos têtes, mais ayant tout de même un impact sur notre monde physique pourtant il n’y appartient que parce que nous y croyions tous.
Ensuite, maintenant que vous avez un aperçu de ce qu’est le monde idéel, nous pouvons comprendre comment il fonctionne.
Depuis l’existence même de la vie, les êtres vivants ont appris de la nature pour vivre et prospérer.
Mais, les Hommes, eux, ont appris à apprivoiser la nature par les concepts, la cohérence ainsi que par un principe novateur, la transformation.
Ainsi, par la volonté, nous avons appris et continuons d’apprendre. Mais pas de la même façon que les animaux, nous transformons les concepts connus, et transmettons ce qui fonctionne plutôt que ce qui fonctionnait.
Et vous transmettez-vous ce qui fonctionne ou ce qui fonctionnait ?
Ensuite, je dirais que la seule chose qui nous distingue de nos ancêtres se fait par la spécialisation.
En effet, nos ancêtres étaient plus polyvalents, chacun sachant cueillir, créer et transformer.
De nos jours, certains cueillent, d’autres créent, mais tout le monde est capable de transformations.
De nos jours, nous préférons la production plutôt que la diversité.
Par exemple, les champs n’ont désormais plus de haies afin de gratter le plus de rendement possible ou bien en ne cultivant plus qu’une seule espèce de plante.
Cela se fait au détriment de la faune qui vivait dans ces haies, sans parler des inondations des routes présentes depuis que les haies ne sont plus une priorité.
Je me suis donc tout naturellement posé la question. Qu’est-ce qui nous unit tous ?
Concepts et neutralité
Qu’est-ce qu’un concept et à quoi servent-ils ?
Un concept est un mot ou un ensemble de mots permettant le lien entre le monde physique et notre mémoire avec, comme résultat de pouvoir en discuter même lorsque le visible ne l’est pas ou plus.
Par exemple : un prénom est un concept permettant le lien entre une personne et son image mentale pour pouvoir en discuter sans avoir besoin de la voir physiquement.
Ou alors, si je dis à quelqu’un qu’il y a une mésange sur le perchoir, et bien la personne à qui je parle aurait relié mentalement l’image qu’il se fait de la mésange ainsi que du perchoir et aurais donc compris ce qu’il se passe dehors sans même avoir à bouger.
Mais un concept nous aide aussi à simplifier le monde nous entourant et donc notre façon d’en parler, comme la classification qui nous permet de recevoir beaucoup d’informations sur les moments de l’année, les animaux… et ce même si nous découvrons une nouvelle espèce animale le simple fait de dire qu’il s’agisse d’un oiseau nous fournira des informations sur cette nouvelle espèce, et ce, même sans l’avoir vu de nos yeux, nous comprendrions alors que la nouvelle espèce possède des plumes, un bec, etc.
Au niveau de la neutralité, il s’agit de savoir ce qui est à aborder ou non.
Une autre façon d’utiliser les concepts est l’anticipation qui naît naturellement lorsque l’on nous parle de danger, de vacances, dans le sport… pour la neutralité, savoir anticiper quels sujets porteraient à confusion est bénéfique pour ne pas aggraver les problèmes.
Exemple vous entendez à la radio qu’un accident a eu lieu sur la route que vous empruntez, vous entendez accident route un tel, vous pouvez donc anticiper ce qui vous attend et donc prendre des décisions plus aisément que si vous ne pouviez pas anticiper ce que vous allez affronter.
Savoir que ce concept est à utiliser ou non est déjà très difficile, mais savoir lequel ne provoquera pas de réactions néfastes de la personne en face est encore plus dur, car cela demande de connaître les sujets plus savoir comment les autres pourraient y réagir.
Donc, les concepts nous aident à maximiser nos chances de survie en nous apportant une meilleure compréhension ainsi qu’une description du monde nous entourant et donc la possibilité de l’anticiper. Je dirais que les concepts étaient, et sont toujours, un moyen fiable et rapide pour maximiser la transmission d’informations, mais ils ont tout de même quelques points faibles, à commencer par l’art ou la religion, car même s’ils peuvent les décrire, ils ne permettent pas une compréhension de ce qu’est la créativité ou la foi.
Ensuite, les concepts permettent simplement la communication, puisque, l’alphabet et donc notre langage, sont tous deux des concepts nous permettant de communiquer des idées et pensées visant a entretenir des relations ou simplement de créer un dialogue constructif entre plusieurs individus.
La neutralité peut donc se trouver dans le choix de l’utilisation de concepts neutre et donc tendrait à l’utilisation de ceux-ci pour elle, mais aussi par elle, car certains concepts sont jugés plus neutres que d’autres.
Par exemple, la catégorisation serait à éviter.
Mais la neutralité nous empêchant l’utilisation de tel ou tel concept est elle morale ou éthique ?
Qu’en pensez-vous ?
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La neutralité est-elle morale ou éthique ?
Pour commencer, la neutralité ne nous sert que lorsque nous sommes entourés d’autres personnes, l’acceptant comme existante. Nous sommes donc neutres, pour ne pas blesser en dépit de ce que nous pensons. Nous ne pouvons être neutres, par apport à notre être. La neutralité n’existe donc en aucun cas seul.
La neutralité n’existe pas lorsque, le sujet touche l’une des personnes présentes dans le débat. Bien que cette personne puisse adopter une attitude neutre, elle aura forcément, un avis sur la question. La neutralité est donc un moyen d’exploration et d’enrichissement, plutôt qu’une fin en soi.
La neutralité peut donc être une valeur morale empiétant sur les autres valeurs de par sa lourdeur, lorsqu’elle est inconsciente.
Mais elle n’est éthique que lorsqu’elle est consciente et influe nos choix pour le juste.
Mais alors la neutralité peut-elle être synonyme de juste ?
Qu’en pensez-vous ?
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Neutralité synonyme de juste ?
Le juste ne devrait, tout comme la neutralité, être influencé par nos pensées mécaniques.
En effet, ces pensées nous empêchent le juste en nous empêchant la réinvention tant nécessaire à l’exploration de nouvelles perspectives de transformation.
Ensuite, notre instinct (manger, boire, dormir, se reproduire, etc.), ainsi que nos sentiments sont directement liés à nos pensées mécaniques, elles nous empêchent la prise de conscience, nécessaire à l’exploration de nouvelles approches, en nous opposant les méthodes connues, aux inconnues. L’instinct n’est pas neutre.
Bien qu’il puisse exister des similitudes entre la neutralité et la justice, ils ne sont pas identiques. Comment devrions-nous agir en tant que témoin d’un vol : en adoptant une attitude neutre ou en agissant selon la justice, pour autant que cela ne compromette pas notre sécurité ? En résumé, la neutralité n’existe qu’en groupe sauf lorsqu’elle est consciente. La neutralité n’est pas forcément toujours juste.
Je dirais donc que la neutralité est plus une affaire d’impartialité morale ou éthique que de justice réelle.
En effet, la neutralité se veut impartiale dans ses choix et ses jugements que réellement neutre, car nous avons tous des avis sur tout surtout lorsque les sujets abordés sont connus et nous touche, plus nous exerçons notre neutralité plus celle-ci est ancrée en nous et nous fait dons prendre des décisions au détriment de nos autres valeurs morales.
Qu’en pensez-vous ?
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Note personnelle
La neutralité peut donc être un choix difficile, surtout lorsque nous voulons être justes.
Je distinguerais le juste de l’obligation, car le juste est moral et l’obligation est plus conventionnelle.
Dans l’exemple du vol, selon la culture du témoin, il se sentira obliger de par les normes, d’agir ou non, sauf s’il veut agir pour sa propre définition du juste.
Par exemple, un policier sera bien plus obligé d’intervenir de par son obligation envers son métier. Un passant sera moins contraint d’agir s’il estime cela trop dangereux.
La neutralité peut-elle alors devenir mécanique par la déformation professionnelle ?
Cohérence conceptuelle