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"Déclive ton sexe et ton cœur" explore avec vous les intrications complexes des relations humaines, dans les subtilités des interactions entre hommes et femmes depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte. En suivant un cheminement attentif et progressif, vous êtes invité à décoder les sentiments et les comportements souvent mal compris, offrant une analyse bienveillante du développement personnel et des connexions sociales. Une analyse profonde et délicate qui vous accompagne dans la découverte de vous-même et la compréhension de ceux qui vous entourent.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Par cet ouvrage,
Amaury de Tarlé décide de plonger dans les méandres de sa propre vie amoureuse. Dans une quête de compréhension de soi, il se tourne vers une nouvelle voie en devenant thérapeute spécialisé dans les traumatismes amoureux. En encourageant l’harmonie entre les énergies masculines et féminines, plutôt que leur confrontation, il aspire à une exploration introspective mutuellement enrichissante.
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Seitenzahl: 148
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Amaury de Tarlé
Déclive ton sexe et ton cœur
Essai
© Lys Bleu Éditions – Amaury de Tarlé
ISBN : 979-10-422-3076-0
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Le salaud, la sainte, le saint et la putain : la valse infernale de la relation de pouvoir dominant dominé en couple, frein à l’intimité sexuelle et sentimentale.
Au cœur de notre existence physique réside un pouvoir sacré : celui de donner la vie. Pourtant, cette vérité profonde a longtemps été dissimulée, reléguée au statut de tabou par les normes sociétales et les dogmes religieux. Pendant des siècles, les humains ont été égarés, considérant cette énergie divine comme un péché, nourrissant une culture de désir et de luxure plutôt que d’embrasser l’acte de création et notre déification inhérente. Pendant ce temps, dans les royaumes intacts de la nature, d’autres êtres incarnent sans effort cet ordre cosmique, préservés des distorsions de l’influence humaine. C’est au sein de cette révélation que réside l’essence de la vie spirituelle, dissimulée dans le tissu même de notre existence physique, attendant reconnaissance et compréhension.
Dans Déclive ton sexe et ton cœur, l’interaction complexe entre la sexualité et les sentiments est scrutée, mettant en lumière la tendance prédominante à idéaliser une facette au détriment de l’autre. À travers des portraits vivants d’archétypes tels que le « Salaud et la Putain » et le « Saint et la Sainte », le livre dissèque les paradigmes sociétaux et les liens intimes, invitant les lecteurs à transcender les dynamiques de pouvoir traditionnelles et à cultiver une intimité profonde en harmonisant tous les aspects de leur être. Offrant un guide pratique pour naviguer dans les subtilités de la sexualité humaine, il présente une feuille de route pour cultiver un amour profond et favoriser une joie authentique dans la vie. À travers une exploration nuancée, les lecteurs sont encouragés à confronter les limites de la pensée conventionnelle tout en exploitant le potentiel transformateur d’embrasser à la fois leur sexualité et leurs sentiments.
Kamran Rasoolzadeh
Clivage : considérer une attitude, un comportement, un sentiment ou une émotion comme exclusivement bon ou mauvais, sans nuance. La personne clivée idéalise ou méprise. Elle n’est pas dans l’acceptation. Elle ne « sent » pas son corps. Elle est hors de son corps. Elle peut parfois être temporairement dans son corps, mais elle constate alors que ses émotions sont gelées, figées, anesthésiées. Les émotions (énergies en mouvement) ne circulent pas dans le corps, ce qui est insupportable. Pour se protéger, la personne clivée sort à nouveau de son corps. Une personne est rarement tout le temps clivée. Elle peut toutefois adopter ce mécanisme de défense presque systématiquement lorsqu’elle a fait, par exemple, un stress post-traumatique. Lorsqu’une personne se clive, les vibrations électromagnétiques de ses attitudes, de ses comportements, de ses sentiments et de ses émotions sont bloquées. Elle empêche le flux énergétique de circuler librement dans son corps. Bloquer le flux équivaut à le juger (et à activer le mécanisme de la culpabilité). Bloquer le flux mène à la maladie physique, émotionnelle et mentale. Se cliver, c’est se juger, c’est refuser de s’aimer. Se juger en bien ou en mal, c’est du pareil au même. Accéder à la réalité implique la sortie du jugement, et de sentir, afin de rétablir la libre circulation de l’énergie dans le corps.
Principe Masculin (énergie Yang) : énergie active et par extension une attitude, un comportement, un sentiment ou une émotion associé(e) à l’activité. Comprendre ici « Masculin » comme synonyme de « Mouvement ». On ne parle pas ici de sexe masculin. La tradition hindouiste, à titre informatif, attribue au contraire le « Mouvement » au « Yin », au « Féminin ».
Principe Féminin (énergie Yin) : énergie passive et par extension une attitude, un comportement, un sentiment ou une émotion associé(e) à la passivité. Comprendre ici « Féminin » comme synonyme « d’Immobilité ». On ne parle pas ici de sexe féminin. La tradition hindouiste, à titre informatif, attribue au contraire « l’Immobilité » au « Yang », au « Masculin ».
Idéalisation : survaloriser une attitude, un comportement, un sentiment ou une émotion.
Mépris : sous-valoriser une attitude, un comportement, un sentiment ou une émotion.
Acceptation : ni survaloriser ni sous-valoriser une attitude, un comportement, un sentiment ou une émotion.
Toute-Puissance/Abus d’Autorité/Bourreau : intruser autrui dans son intimité, le forcer. Idéaliser sa propre valeur et mépriser celle d’autrui. Il est question ici de culpabilité.
Impuissance/Soumission à l’Autorité/Victime : se laisser intruser par autrui dans son intimité, se laisser forcer. Mépriser sa propre valeur et idéaliser celle d’autrui. Il est question ici de culpabilité.
NB :Fondamentalement, la toute-puissance est synonyme d’impuissance.
Puissance/Autorité : intruser personne, se faire intruser par personne. Ne pas idéaliser ni mépriser sa valeur ni celle d’autrui. Il est question ici d’acceptation et de responsabilité.
Culpabilité : croyance au Bien et au Mal. Cette croyance est le propre des personnes bloquées entre la Toute-Puissance et l’Impuissance. Elle est propre aux enfants (et aux adultes restés des enfants).
Responsabilité : certitude d’être le seul créateur de sa vie, et que les actions entreprises ont des conséquences bénéfiques ou non bénéfiques sur soi et les autres. Être responsable c’est assumer les conséquences de toutes ses décisions. Cette certitude est propre aux personnes qui sont dans leur Puissance. Elle est propre aux adultes.
Idéalisation du Principe Féminin, mépris du Principe Masculin : si la femme est dans cette configuration, elle affiche un comportement de dominante et elle est clivée cœur. Elle est surnommée la « Sainte ». Elle « prend » le Masculin de l’homme. Si l’homme est dans cette configuration, il affiche un comportement de dominé et il est clivé cœur. Il est surnommé le « Saint ». Il laisse la femme « prendre » son Masculin. Les sentiments priment sur la sexualité. La femme abuse de son Autorité, l’homme se soumet à l’Autorité de la femme.
Idéalisation du Principe Masculin, mépris du Principe féminin : si l’homme est dans cette configuration, il affiche un comportement de dominant et il est clivé sexe. Il est surnommé le « Salaud ». Il a tendance à abuser de son Masculin envers les femmes. Si la femme est dans cette configuration, elle affiche un comportement de dominée et elle est clivée sexe. Elle est surnommée la « Putain ». Elle « laisse » le Masculin de l’homme l’intruser. La sexualité prime sur les sentiments. L’homme abuse de son Autorité, la femme se soumet à l’Autorité de l’homme.
Sortir du clivage, c’est connecter l’amour véritable/la tendresse/la douceur en provenance du cœur, avec le désir/le plaisir en provenance du sexe. C’est mettre de la joie dans son sexe et dans son cœur : l’amour véritable et le désir deviennent durables. Cela implique de respecter 3 Lois : la Loi de Maman, la Loi de Papa, et la Loi du Grand-Père.
Elle permet l’ouverture sur le plan énergétique des deux pôles Yang du couple, les deux pôles « donneur » qui transmettent l’amour : le pénis chez l’homme, le cœur/la poitrine chez la femme. L’homme devient amant, et la femme devient maman lorsque le Principe Féminin est accepté (n’est plus idéalisé) chez l’homme et chez la femme. Le Principe Masculin est automatiquement accepté également (n’est plus méprisé) chez l’homme et chez la femme.
La Loi de Maman, c’est la Fusion de la Femme avec Maman, mais la Défusion de l’Homme avec Maman.
Cela signifie que l’homme et la femme n’idéalisent plus le Principe Féminin représenté par l’archétype du Cœur. L’homme cesse de séduire maman, la femme s’identifie à maman. La conséquence directe est qu’ils ne méprisent plus le Principe Masculin représenté par l’archétype du Sexe, d’où l’ouverture des pôles énergétiques Yang du couple (le pénis de l’homme, le cœur/la poitrine de la femme). Cesser l’idéalisation du Féminin, c’est décliver le Cœur, et donc par ricochet décliver le Sexe, c’est-à-dire permettre que la connexion entre l’homme et la femme ne soit pas qu’avec le cœur, mais avec le sexe également.
Elle permet l’ouverture sur le plan énergétique des deux pôles Yin du couple, les deux pôles « receveur » qui reçoivent l’amour : le vagin chez la femme, le cœur/la poitrine chez l’homme. La femme devient amante et l’homme devient papa lorsque le Principe Masculin est accepté (n’est plus idéalisé) chez l’homme et chez la femme. Le Principe Féminin est automatiquement accepté également (n’est plus méprisé) chez l’homme et chez la femme.
La Loi de Papa, c’est la Fusion de l’Homme avec Papa, mais la Défusion de la Femme avec Papa.
Cela signifie que l’homme et la femme n’idéalisent plus le Principe Masculin représenté par l’archétype du Sexe. La femme cesse de séduire papa, l’homme s’identifie à papa. La conséquence directe est qu’ils ne méprisent plus le Principe Féminin représenté par l’archétype du Cœur, d’où l’ouverture des pôles énergétiques Yin du couple (le vagin de la femme, le cœur/la poitrine de l’homme). Cesser l’idéalisation du Masculin, c’est décliver le Sexe, et donc par ricochet décliver le Cœur, c’est-à-dire permettre que la connexion entre l’homme et la femme ne soit pas qu’avec le sexe, mais avec le cœur également.
La Loi peut également s’appeler la Loi de la Grand-Mère, ou la Loi transgénérationnelle. Elle connecte ainsi sur le plan énergétique les pôles Yang (le pénis de l’homme, le cœur/la poitrine de la femme) avec les pôles Yin (le vagin de la femme, le cœur/la poitrine de l’homme). L’homme et la femme deviennent amant/amante (le pénis masculin Yang se connecte au vagin féminin Yin), et papa/maman (le cœur masculin Yin se connecte au cœur féminin Yang), en même temps, lorsque leurs Principes Masculin et Féminin sont acceptés (ne sont plus idéalisés ou méprisés) en eux. Il n’y a plus de dominant ou dominante, ni de dominé ou dominée. Les deux Sexes se mélangent alors avec les deux Cœurs pour apporter de la Joie durable (plaisir et amour, sexualité et sentiments). L’homme et la femme sont dans leur Puissance et se reconnaissent dans leur Autorité.
La Loi du Grand-Père, c’est l’Unification de la Fusion et de la Défusion de l’Homme et de la Femme avec Papa et Maman.
Cela signifie que l’homme et la femme n’idéalisent plus et ne méprisent plus ni le Principe Masculin représenté par l’archétype du Sexe ni le Principe Féminin représenté par l’archétype du Cœur, d’où l’ouverture des deux pôles énergétiques Yang et Yin du couple (le pénis de l’homme et le cœur/la poitrine de la femme, ainsi que le vagin de la femme et le cœur/la poitrine de l’homme). Ils mettent alors de la joie (amour véritable et désir durables) dans leurs sexes et leurs cœurs. L’homme s’identifie à papa et ne séduit plus maman. La femme s’identifie à maman et ne séduit plus papa. Il n’y a ni dominant ni dominante. Ni dominé ni dominée. Le Salaud a fusionné avec le Saint. La Sainte a fusionné avec la Putain.
Sortir de cette impasse nécessite de reconnaître l’Autorité de maman et de papa, afin de reconnaître la sienne par effet miroir. Il s’agit de sortir de l’idéalisation ou du mépris des valeurs de papa et maman. Il est vital de légitimer ses parents à porter ces valeurs, d’adopter ces attitudes, ces comportements, de ressentir ces sentiments et émotions. C’est leur donner le droit d’avoir ces valeurs. C’est cesser de contester leurs valeurs, ce qui permet de sortir de l’Abus d’Autorité (le Bourreau), et cesser de se soumettre à leurs valeurs, ce qui permet de se sortir de la Soumission à l’Autorité (la Victime).
Mépriser ou idéaliser autrui (et par conséquent soi-même automatiquement et indirectement), c’est tomber dans le piège de la culpabilité, du clivage (soit il/elle est bien, soit il/elle est mal), dans la Toute-puissance (abus envers l’Autorité méprisée), ou l’Impuissance (soumission à l’Autorité idéalisée). C’est décider selon son filtre du jugement, propre à l’idéalisation et au mépris, ce qu’est l’amour, et ce que n’est pas l’amour. Ce qui est bien et ce qui est mal. Chacun selon son point de vue peut affirmer le contraire de ce qui est affirmé par l’autre. Il n’y a rien qui ne soit pas de l’amour. Ne pas voir cela, c’est violer la loi du Grand-Père. Il n’existe que de l’amour, souffrant ou non.
Idéaliser papa, c’est mépriser maman. Idéaliser maman, c’est mépriser papa. Idéaliser un parent, c’est se mépriser. Mépriser un parent, c’est s’idéaliser. Se juger supérieur (s’idéaliser), c’est juger l’autre inférieur (le mépriser). Et inversement. Sortir du Bourreau (l’Abus d’Autorité) et de la Victime (la Soumission à l’Autorité), c’est se légitimer soi-même en tant qu’homme et femme. C’est se donner soi-même de l’amour et se sentir légitime à se donner. Automatiquement, c’est légitimer les autres à se donner de l’amour.
Idéaliser un parent, c’est mépriser forcément l’autre. Et inversement. Idéaliser un parent, c’est se soumettre à son Autorité. C’est le rendre tout-puissant (Bourreau) et se rendre impuissant (Victime). Mépriser un parent, c’est abuser de son Autorité envers lui. C’est le rendre impuissant (Victime) et se rendre tout-puissant (Bourreau). Accepter et aimer ses parents, c’est sortir de l’Impuissance et de la Toute-Puissance, ce qui est du pareil au même. C’est sortir de la Culpabilité. C’est devenir puissant. C’est être dans sa Responsabilité.
NB : on peut idéaliser ou mépriser un parent dans un domaine (par exemple l’éducation des enfants ou la sexualité), et idéaliser ou mépriser le deuxième parent dans un autre domaine (par exemple la relation de couple, l’argent, la religion). Le jeu Victime-Bourreau est donc différent selon les domaines concernés.
Il s’agit de reconnaître l’Autorité de chacun. Comment et pourquoi reconnaître l’Autorité d’un ivrogne, d’un violeur, d’un meurtrier, d’un voleur, d’un malade mental ? Tout simplement en comprenant que ne pas reconnaître l’Autorité de l’autre, quels que soient ses agissements, c’est rejeter sa propre Autorité. L’autre nous montre souvent une partie de nous que l’on ne veut pas voir (en s’idéalisant, on ne veut par exemple que voir sa lumière, et en méprisant l’autre on projette à l’extérieur notre part d’ombre). C’est justement ce refus d’y toucher qui sape notre Autorité. Reconnaître son Autorité c’est accepter toutes ses parts de Lumière et d’Ombre, et faire la même chose avec autrui.
C’est comprendre que ce qu’il y a de plus beau dans la vie ne peut exister que si le contraire existe. Il s’agit de voir que le plus laid permet au plus beau d’être visible. C’est observer que le plus laid nous permet de nous positionner. C’est aussi respecter l’autre dans son apprentissage de l’amour inconditionnel. Respecter qu’on n’avance/qu’on n’évolue pas tous à la même vitesse. Reconnaître que l’autre c’est nous, qu’il est soit derrière nous (il s’aime moins que nous nous aimons), soit devant nous (il s’aime plus que nous nous aimons).
Au final, il n’y a que de la Lumière, créant son opposé, l’Ombre, se caractérisant par l’absence de Lumière. Pourtant l’Ombre est la Lumière intrinsèquement. La Lumière ne peut exister sans l’Ombre, l’Ombre ne peut exister sans la Lumière. Plus l’intensité de la Lumière est forte, plus l’intensité de l’Ombre doit l’être pour assurer l’équilibre. L’homme a donné arbitrairement le nom de Lumière (ou Dieu) aux hautes vibrations énergétiques, et le nom d’Ombre (ou Diable) aux basses vibrations énergétiques. Il n’existe cependant aucun jugement de valeur entre une vibration haute et une vibration basse. L’une ne peut exister sans l’autre, et vice-versa. Refuser l’Ombre, c’est refuser la Lumière, et vice-versa. La vibration haute et la vibration basse doivent être acceptées sans jugement, afin de choisir la plus haute en l’appréciant pleinement. Une vibration est bonne, juste parce que nous le disons. Ou mauvaise juste parce que nous le disons. Les hautes vibrations et les basses vibrations ne sont ni bonnes ni mauvaises. Selon les situations et les besoins, elles peuvent toutes être bénéfiques ou non bénéfiques. Chaque vibration possède des avantages et des inconvénients. Un choix judicieux consiste à choisir la vibration revêtant plus d’avantages que d’inconvénients, bien qu’il soit important d’accepter aussi de choisir celle avec plus d’inconvénients que d’avantages. Sinon on ne peut pas passer au « niveau supérieur ». C’est-à-dire monter en conscience et en taux vibratoire. Cela n’est possible qu’en embrassant les opposés, les deux pôles inverses de la dualité.