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"Divine victoire" vise à offrir au lecteur un regard neuf sur notre monde en crise. Alors que la planète semble plongée dans la folie, l’auteur affirme qu’il existe des solutions. Comment ? En trouvant un nouveau sens à cette situation apparemment désespérée. À travers les réflexions de Jonas, le personnage central, ce second ouvrage explore de nouvelles pistes pour éclairer le chemin vers un avenir meilleur.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Ronan est régulièrement réveillé au milieu de la nuit par une étrange « voix intérieure » qui l’incite à prendre la plume. Il a pour but d’offrir au lecteur un regard éclairé sur l’avenir de notre humanité et sur les défis auxquels nous sommes confrontés dans ce monde en constante évolution.
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Seitenzahl: 107
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Jean Ronan
Divine victoire
Essai
© Lys Bleu Éditions – Jean Ronan
ISBN : 979-10-422-4016-5
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Jonas avait compris pourquoi il avait plusieurs problèmes de santé, et autres en même temps.
Il y avait plusieurs raisons à cela. « En gros », le Malin, le Malin, oui, s’acharnait contre lui.
Il faut dire que Jonas avait publié plusieurs podcasts dont certains étaient la « version orale » de quelques chapitres de ses livres.
En plus du fait qu’il avait publié le recueil de ses deux premiers livres en un seul assez récemment.
Alors, déjà, pour ces 2 raisons, le Malin était furieux parce qu’il y avait « matière » à « sauver », peut-être, un grand nombre de personnes.
Il était à noter que Jonas avait réellement essayé de « transmettre » le plus possible « d’informations » et que toutes, semblait-il, étaient de nature à « ouvrir » certaines « Portes ».
Et une fois ces Portes « ouvertes », tout un chacun serait en mesure d’affronter, de surmonter, voire de surpasser, toute une « série » d’épreuves même parmi les plus dures.
Donc (0 h 27 le 27 juillet 2023)
Le temps importait peu, la date, l’heure, parfois, sur certains plans. Jonas pensait : s’ils savaient, ils prieraient, mais ils n’obtiendraient pas immédiatement la communication. Pourquoi ? Mais à part de très, très rares cas, nous devons d’abord prendre réellement l’habitude de prier ; que prier devienne comme un réflexe à toute situation, que prier soit devenu comme une seconde nature ; et là, parfois, au bout d’assez longtemps, et parfois beaucoup moins longtemps, mais très, très souvent beaucoup plus longtemps – c’est-à-dire déjà prier vraiment tous les jours et plusieurs fois par jour – ce jour viendrait où prier serait devenu une joie et aussi une nourriture pour notre âme et là, donc, nous commencerions à véritablement « déchiffrer », « décoder », en quelque sorte, les « messages » venant, provenant parfois de galaxies très, très lointaines, et là, alors, nous comprendrions la différence énorme entre les propos des charlatans, de celles et de ceux qui racontent de belles ou d’affreuses histoires, concernant des êtres venus d’ailleurs, et « les vrais messages », parce que nous qui avons vraiment pris l’habitude de prier, nous aurions accès aux « vrais messages ».
Je viens de recevoir un message urgent pendant ma prière. Je prie beaucoup : il faut prier beaucoup pour Taïwan, la Corée du Sud et le Japon, c’est vraiment URGENT !
Et bien sûr pour les États-Unis, et pour que l’Europe se consolide, d’urgence également.
Voilà le message reçu. Je vous remercie.
Certaines personnes croient qu’en méditant uniquement, elles finiront par être en accord avec elles-mêmes, à défaut d’être en accord avec Dieu.
Savent-elles qu’elles sont, qu’ils sont, souvent comme des éponges ? Et, que fait, que subit plutôt, une éponge lorsqu’elle entre en contact avec un liquide ? Elle s’imbibe complètement de ce liquide.
Il nous appartient donc de comprendre que si nous ne prions pas d’abord, notre mental « absorbera », soit des pensées négatives, soit des énergies négatives, qui finiront, tôt ou tard, par nous être très néfastes donc, destructrices pour nous et pour les autres.
Alors que si nous prions tout d’abord, tout changera.
Si nous prions suffisamment, et avant chaque décision, nous saurons si ensuite, nous avons à méditer ou pas.
Et si nous méditons après avoir prié assez, notre méditation amènera notre mental à être en accord avec notre âme et donc notre âme sera en accord avec Dieu.
C’était un sujet très complexe déjà en ce temps-là, très délicat à aborder et même, pour certaines personnes assez, voire très dangereux, pour leur équilibre psychique. De plus, nous sommes, depuis des décennies maintenant, d’autant plus dans le temps de l’apostasie.
La Très Sainte Vierge Marie aurait – paraît-il – répondu à une « voyante » à Medjugordjé – au cours d’une de Ses apparitions – ceci : « La réincarnation n’existe pas. »
Le problème est – entre autres – que d’entendre ainsi cette affirmation « pousse certains vers la sortie ».
Petite formule triviale pour expliquer que toutes celles et tous ceux qui y croient « dur comme fer » refusent de croire que Marie a dit cela ou – pire – refusent de croire à Ses apparitions, ou – pire encore – refusent de croire en Son existence – ou en Sa divinité.
Une question intéressante pourrait être : est-ce que l’âme du prophète Elie était, bien plus tard, « dans le corps » de saint Jean-Baptiste ?
Oui ou non, Le Christ Jésus a-t-il « laissé entendre » que le prophète Elie était effectivement « re-venu » ? Et que donc la prophétie s’était alors réalisée ?
Une autre question pourrait être :
« Est-ce que le fait de croire à des “incarnations” successives et/ou plurielles d’une même âme nous oblige à réfuter le concept, la réalité du Purgatoire et du Paradis ? Et donc aussi de l’Enfer ? »
Sainte Catherine de Gênes disait que l’incarnation terrestre n’est que le premier stade du Purgatoire, qui en compterait 6 en tout.
Oui ou non, au temps de la première venue du Christ, la population entière croyait qu’une âme pourrait « revenir » ?
Donc dans une nouvelle incarnation ?
Eh bien, oui, c’est un fait absolument avéré…
Mais dans ce cas, était-ce pour « purger son karma » ? Ou pour quelle autre raison ?
Yvonne disait : « Dieu est Amour et donc Il ne nous fait en aucun cas “payer” nos “anciennes vies”. »
Mais, de nos jours, la plupart des croyants refusent de le croire.
Alors Jonas ne voulait pas en dire plus.
Voir son père régulièrement, lorsque nous avons la chance qu’il soit encore vivant, nous donne, nous procure, une véritable force intérieure.
Mais tant de femmes (surtout « ces féministes intégristes » en particulier) essayent de véhiculer le message « que l’on peut se passer des hommes » et des pères surtout pour élever un enfant uniquement donc entouré de femmes, alors que tant de psychologues « éclairés » disent bien « que c’est le père, l’homme, qui symbolise la force, la sécurité, la stabilité, donc la protection ».
« Et c’est la présence du père, du vrai père de plus, qui rassure très, très souvent l’enfant. »
Sauf si, bien entendu, l’épouse, la compagne ou la mère fait tout ce qu’elle peut pour dénigrer, rabaisser, juger, le plus négativement possible le père, le vrai père et que, si souvent, elle l’a « remplacé » par une compagne, donc une femme ou un amant, parfois qui, très souvent, « détruit l’image du vrai père » (biologique) lui aussi.
Il s’agit d’une véritable « entreprise de démolition », « démolition psychique, psychoaffective, psychologique, affective, émotionnelle, symbolique » très bien « orchestrée », « calculée », bien souvent « avec précision », une précision « diabolique », sauf dans les cas où c’est au niveau inconscient que cela se situe.
Dans les « méandres nébuleux » de conceptions non exprimées non « calculées » non « pensées » peut-être mais, malgré tout, très néfastes, très destructrices pour la construction psychique, et même physique parfois de l’enfant.
Il était écrit que Dieu avait créé la femme à partir de la côte de l’homme.
Pour justement symboliser cette complémentarité, l’homme, c’est la force, la sécurité, l’autorité, la virilité.
Alors que la femme, c’est la féminité, c’est-à-dire la douceur, la tendresse.
La femme, c’est celle qui « arrondit » les « angles » de l’homme.
Comment certains peuvent-ils/elles croire que quiconque peut être « bien élevé », bien « structuré », sans la complémentarité du masculin et du féminin ? C’était pourtant tellement évident !
Yvonne disait aussi : « La femme, c’est l’humilité. »
Et, pourtant, à certaines d’entre elles qu’elle recevait chez elle pour des « entrevues » ou des « interviews », si vous voulez.
Yvonne leur disait, en privé : « Vous être “blindées” d’orgueil ! »
Il fallait donc essayer d’avoir le plus possible de discernement pour bien comprendre ce qu’elle voulait nous dire par là.
Le président de « SOS PAPA » disait, à peu près, ceci : « L’un comme l’autre, la femme comme l’homme, doit comprendre que – évidemment – les violences physiques sont interdites ! Réprimées par la Loi ! Mais les violences verbales aussi ! »
Donc surtout pour les hommes, ils doivent s’empêcher d’être violents physiquement !
Mais les femmes doivent bien comprendre, elles doivent savoir que leurs maris peuvent les poursuivre en justice, aussi ! Si elles les insultent par exemple.
Et, de plus, il y a parfois des « rôles inversés ». Oui, il y a des femmes qui sont violentes, aussi, physiquement.
Donc pour résumer :
LES DEUX DOIVENT APPRENDRE À S’ÉCOUTER.
SE RESPECTER MUTUELLEMENT.
ET CHERCHER – TOUJOURS – LE COMPROMIS.
Et ne pas dire, NE JAMAIS DIRE DE REPROCHES !
NON.
Au contraire, ESSAYER – TOUJOURS – D’EXPLIQUER ce que chacune et chacun RESSENT profondément, intérieurement.
Lorsque, par exemple, l’autre a une attitude ou des paroles qui nous BLESSENT l’un comme l’autre !
Et CESSER DE CROIRE QUE « MADAME » EST « PARFAITE » et que C’EST « MONSIEUR » QUI A TOUS LES TORTS. Ou l’inverse.
« La réalité c’est souvent “50/50” », disait la mère de Jonas.
Un jour, lors d’un entretien avec Yvonne, elle dit aux personnes présentes :
« Vous n’avez pas compris qui est Dieu ! »
Un grand silence se fit dans la salle. C’était il y a bien plus que 10 ans peut-être 15 ans ou plus.
Et maintenant ? Avons-nous compris ?
Jonas se posait sincèrement – et véritablement – la question…
Et, honnêtement, il n’était pas du tout sûr de la réponse.
La réponse que nous ferions – nous – individuellement.
Jonas n’était pas désespéré de cette lacune et il gardait l’espérance.
Cette espérance qui nous fait avancer et tenir bon.
Et, en même temps, il n’était pas dupe.
C’est-à-dire qu’il savait très bien le nombre incalculable de personnes qui étaient encore « dans le brouillard » pour ne pas dire « dans les ténèbres ».
Une certaine Alexandrina, dans les années 1920 environ, reconnaissait, en s’adressant à Jésus, qu’elle s’était adonnée à des « actions futiles » et, sans le savoir à l’époque des faits, des actions qui l’avaient tellement éloignée de Dieu et de Jésus-Christ.
Mais, fort heureusement, elle avait fini par s’en rendre compte.
Et un jour, elle devint proprement incapable de rester « dans les ténèbres » Jésus-Christ lui expliqua, au plus intime de son âme, « que tant d’âmes avaient été appelées, par lui, mais qu’elles avaient refusé de “se sacrifier”, c’est-à-dire, par exemple, d’accepter de “traverser certaines épreuves”, comme celle de la maladie grave, ou d’autres difficultés. »
Alexandrina, elle, acceptait ses souffrances, qui étaient, pourtant, peu « évidentes » mais elle les transcendait.
Carlo Acutis, lui aussi, tomba vraiment très malade c’était dans un temps bien plus proche de nous. Il allait pourtant communier à l’église tous les jours.
Tous les jours, Carlo prenait l’eucharistie, en étant, de plus, complètement conscient que Le Corps du Christ était réellement présent dans cette minuscule hostie.
En permanence, il agissait en totale « complicité » avec Jésus.
Et pourtant, un jour, il ressentit un malaise, puis un autre et encore un autre à tel point qu’il fallut l’hospitaliser en urgence.
Il dit alors à Antonia, sa mère : « Maman, je ne sortirai pas vivant de l’hôpital. »
En effet, en 3 jours, il était décédé.
C’était le 12 octobre 2006. Carlo avait réussi à « faire passer le Message Christique » en utilisant les « balbutiements » de cet internet naissant à l’époque.
Aujourd’hui, il y a YouTube, Facebook, Instagram et, plus récemment, TikTok.
Et il est heureux et positif que certains utilisent ces réseaux sociaux pour essayer de transmettre leur foi.
Mais nous savons très bien que ça ne suffit pas.
Le Christ Jésus disait bien qu’il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus.