La maladie mystérieuse - Sébastien Coudrin - E-Book

La maladie mystérieuse E-Book

Sébastien Coudrin

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Beschreibung

« Équipe un, videz les placards des produits ménagers. Équipe deux, faites de même avec ceux de la cuisine et apportez tout au laboratoire pour des tests approfondis afin de trouver la source de la bactérie ou du microbe. Ensuite, dressez une liste des médicaments qu’il a pris récemment et recherchez dans les dossiers une maladie aux symptômes similaires. Vous avez une heure pour résoudre ce mystère. Allez, au travail ! » Le compte à rebours commence alors que les équipes s’activent. Parviendront-ils à déjouer le temps et à stopper cette menace invisible avant qu’il ne soit trop tard ?

À PROPOS DE L'AUTEUR 

Sébastien Coudrin a puisé son inspiration de la série animée Teen Titans : Les Jeunes Titans pour créer son septième roman. Dans cette œuvre, il fusionne l’intensité des aventures des héros avec une profondeur narrative unique, offrant aux lecteurs une immersion totale dans un univers où chaque page révèle des surprises et des émotions intenses.

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Sébastien Coudrin

La maladie mystérieuse

Roman

© Lys Bleu Éditions – Sébastien Coudrin

ISBN : 979-10-422-4166-7

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

1

La maladie mystérieuse

Dans un hôpital de Seine-et-Marne, il y a plusieurs patients qui ont les symptômes d’une maladie très célèbre qui s’appelle « mourque-sel ». Mais là c’est par la même maladie, il s’agit d’une autre maladie qui fait apparaître des crevasses sur la peau des patients et leur fait aussi vomir du sang par la bouche et pour finir leur fait perdre beaucoup de poids, et les effets de cette maladie sont mortels, car le patient le plus touché s’est donné la mort en sautant par la fenêtre de sa chambre d’hôpital. Il a laissé ses amis dans un état grave et leur a laissé très peu d’espoir, il leur a aussi causé beaucoup de chagrin.

Et à cause de sa mort, les 6 autres patients ont fait une crise d’épilepsie et sont tombés dans un coma artificiel. Et là, la grande équipe du docteur Couturier très célèbre contre la maladie mourque-sel se rassemble. Les infirmières commencent à parler de l’état des patients et disent au docteur Couturier qu’elles ont trouvé un nom pour la maladie. Elles ont décidé d’appeler « morque-sel » la nouvelle maladie et elles attendent l’avis du docteur Couturier.

— Bien alors, mesdames je suis d’accord avec vous pour le nom de la maladie, mais maintenant on va parler de l’état des patients et on va décider si on continue les traitements ou la recherche de traitements et avant on va faire une liste de tous les médicaments qu’on a utilisés jusqu’à maintenant et on va chercher un traitement pour faire disparaître les crevasses, ou on prend la décision de leur dire qu’ils risquent de vivre à vie avec cette maladie ou on choisit d’arrêter les traitements et de leur donner l’euthanasie.

Trois semaines plus tard, un nouveau patient arrive à l’hôpital dans un état de santé très inquiétant. Il arrive dans l’hôpital avec ses parents qui donnent le dossier médical de leur fils au docteur Couturier. Aussitôt le médecin conduit son nouveau patient dans son bureau et lui donne une chemise de nuit et elle lui dit :

— Tu pourras la mettre quand on aura fini de visiter la zone de traitement. Bien messieurs, madame, suivez-moi, je vais vous faire visiter la zone de traitement et après on ira voir les patients. Alors voici d’abord la chambre des patients, pour l’instant ils dorment tous dans le laboratoire tant qu’on n’aura pas trouvé de traitement pour réduire les douleurs que provoque leur maladie. Bien maintenant on va aller visiter la salle de bains… alors voici la salle de bains, bon les douches sont ergonomiques, et le plus souvent ils reçoivent leur traitement après la douche. Maintenant on va visiter le laboratoire, mais les patients l’appellent « la chambre des soins » alors, on l’appelle soit « le laboratoire » soit « la chambre des soins ». Bien, maintenant on va voir les patients et les infirmières. Bonjour, mesdames, comment allez-vous ?

— Bien et vous, madame Couturier ?
— Très bien. Laissez-moi vous présenter votre nouveau patient et ses parents, euh le prénom du patient ?
— Sofiane.
— Excusez-moi, j’ai oublié de vous dire que tous mes patients sont dans le coma après qu’un de mes patients du nom de Sébastien Palaud se soit donné la mort en sautant de la fenêtre de sa chambre il ya 4 semaines, ce qui a provoqué une grande colère de mes patients qui ont fait une crise d’épilepsie. Et ensuite ils sont tombés dans le coma… Bien alors Sofiane on va te laisser avec les infirmières et on va remplir ton dossier d’admission. Allez, à demain, mon trésor. Francine et Michèle, je vous le confie, vous vous en occupez bien. Venez, messieurs dames.
— Alors mon petit chou on va te mettre la chemise et on va te prendre un peu de sang, disent les infirmières à Sofiane.

Trois semaines après, le docteur Couturier attend les parents de Sofiane à l’hôpital quand tout à coup le téléphone sonne.

— Allô madame Couturier… oui ici le val d’Yerre, on vous informe que les parents de votre jeune patient Sofiane Raja viennent d’avoir un accident et aucun d’eux n’a survécu. Je vous remercie, au revoir, madame.

Le docteur Couturier part annoncer la mauvaise nouvelle à Sofiane.

— Euh Francine, suivez-moi moi s’il vous plaît… Elles vont vers la chambre de Sofiane.
— Sofiane, je viens t’informer que j’ai annulé ton anniversaire parce que tes parents ont eu un accident et aucun d’eux n’a survécu. Je suis désolée…
— Et je vais devenir quoi dans tout ça ?
— On va te garder.

Deux mois plus tard après avoir fait une prise de sang à Sofiane, une infirmière découvre une étrange cellule blanche, elle appelle ses collègues et ensemble ils font une recherche approfondie et découvrent que l’étrange cellule se défend contre la maladie. Ils appellent le docteur Couturier qui descend illico presto. Elle dit à ses infirmiers :

— Bien joué ! Vite on essaie le nouveau sédatif sur les 6 patients qui sont dans le coma et puis on fait l’anniversaire de Sofiane pour fêter l’heureux évènement ! Bien, alors allons-y, injectons la même dose à tous les patients.

Une heure plus tard, tous les patients sont sortis du coma et ils fêtent tous l’anniversaire de Sofiane avant d’aller à la douche.

Sept mois après la découverte du nouveau traitement l’équipe du docteur Couturier organise une sortie au cinéma avec les patients et les infirmières. En rentrant du cinéma avant d’aller coucher les patients, le docteur Couturier va chercher dans son bureau une surprise pour les patients et elle revient avec des étiquettes numérotées, et là elle demande à ses patients de bien garder l’étiquette et de ne pas l’échanger sinon ce sera la « fessée déculottée » pour tous les numéros.

— Bien, allez, maintenant à la douche et au lit après. Du numéro 1 au 5 à poil et à la douche, vous vous rincez bien et ensuite on va venir vous mettre les suppositoires… Stop, c’est bien, vous sentez bon, maintenant, vous ne bougez pas, vos référentes vont venir s’occuper de vous.
— Aïe, aïe, aïe… ça fait trop mal.
— Non, mais arrêtez ! Allez tous au lit et vite ou sinon encore un suppositoire. Oh non, mais c’est bon là, mince à la fin ! Bien, à vous numéros 6 et 7, d’abord vous vous lavez et ensuite venez sur nos genoux, prenez votre temps.
— C’est bon, moi j’ai fini.
— Moi aussi !
— Bien, venez sur nos genoux et hop !
— Aïe, aïe, aïe.
— Allez maintenant au lit. Et demain on va à la piscine à partir de 8 h 40 jusqu’à 20 h.

Une semaine après avoir donné des étiquettes aux patients, ils sont un peu perturbés sur l’usage des étiquettes et ils vont voir les infirmiers qui leur donnent des explications.

— Comme vous êtes très nombreux, on a décidé en équipe d’attribuer des étiquettes avec des numéros pour pouvoir reconnaître les patients et éviter un accident sur les traitements et aussi ça aide à savoir qui est référente de qui et ça nous permet de voir où vous êtes et si vous n’avez pas de souci ou si vous êtes malheureux…
— D’accord.
— Bien, allez-vous préparer et ensuite on va tous à la piscine et ensuite on va au restaurant et on verra pour la suite.
— D’accord.
— Bien, allez-vous préparer et on se rejoint devant le bureau du docteur Couturier. Allez, dépêchez-vous, allez vite…

Dans un hôpital à Londres, il y a les patients les plus violents et agressifs d’un côté et les plus fragiles et faibles de l’autre. Mais un jour dans le côté le plus violent, un gardien remarque que l’un des patients qu’il a sous sa garde n’est pas à ses activités. Il le réveille, et là le gardien court chercher le médecin de garde et il lui lit de venir immédiatement dans la cellule 107, car le patient vomit du sang noir en grande quantité. Ils courent tous les deux jusqu’à la cellule 107, mais au moment où ils arrivent ils voient une mare de sang noir devant la porte de la cellule. Le gardien est pétrifié et le médecin tire le signal d’alarme et dit dans le micro « ceci n’est pas un exercice, évacuation immédiate ! je répète évacuation immédiate ! Merci ». Le directeur arrive dans la cellule 107 et voit le gardien pétrifié, il lui demande de le suivre et de parler d’autre chose. Pendant ce temps-là, les médecins continuent de s’occuper du patient qui vient de tomber dans le coma.

— Bon, messieurs-dames, à 3, on le met sur le lit à roulettes. 1, 2, 3… maintenant allez dans la zone de quarantaine. Bien vous le mettez sous oxygène… Vous lui faites des analyses de sang et des analyses urinaires… ensuite vous lui faites des radios et après vous lui donnez une faible dose de morphine. Moi je fonce prévenir les patients et les aides-soignants.

Il arrive devant les soignants et les patients et s’adresse à eux.

— Écoutez-moi s’il vous plaît, officiellement l’hôpital est en quarantaine, l’unité des spécialistes doit venir…

Au même moment l’unité arrive.

— Ah, justement, les voilà ! Bonjour, messieurs-dames.
— On nous a prévenus…
— Suivez-moi, je vous prie.
— Vous connaissez la source ?
— Non, mais regardez l’état de la cellule.
— Ah mince…
— Bon, alors équipe 1 vous me videz les placards des produits ménagers et l’équipe 2 vous me videz les placards de la cuisine et vous amenez tout ça au laboratoire pour qu’ils fassent des tests et analyses approfondies pour voir d’où vient la source de la bactérie ou du microbe. Bien vous me faites une liste de tous les médicaments qu’il a pris ces derniers jours et vous recherchez dans tous les dossiers si on ne parle pas d’une maladie avec les mêmes symptômes. Et tout de suite ! Vous avez une heure pour trouver cette maladie. Allez, au travail !

— J’ai trouvé des cas similaires, je savais bien que j’avais déjà vu ça quelque part.
— Dans quel hôpital ?
— Dans un hôpital en France. Apparemment, ils auraient trouvé un traitement adapté pour arrêter les vomissements de sang.
— Bon, il faut prendre contact avec cet hôpital.
— Je connais la directrice de cet hôpital ? Je pense pouvoir trouver son numéro de téléphone.
— Je vous laisse 30 minutes.

— Je l’ai c’est le 01 25 39 50 !
— Bien, appelez-les.

— Allô, oui, bonjour, je souhaiterais parler au docteur Couturier.
— Euh oui, vous pouvez me dire votre nom s’il vous plaît.
— Oui je suis le docteur Sébastien Le Ret.
— Bien, alors vous voulez prendre rendez-vous, ou seulement lui parler.
— Je vais prendre rendez-vous.
— Alors je vous donne rendez-vous le 18 août à 10 heures.
— Merci beaucoup, au revoir.

Le docteur Le Ret fait un compte rendu de son coup de téléphone au directeur :

— J’ai pris rendez-vous avec le docteur Couturier, c’est elle qui a les autres cas de la maladie qui s’appelle « morque-sel », mais le patient de la cellule a une forme plus évoluée. J’ai pris rendez-vous le 18 août à 10 heures.
— Bien, très bien, vous irez avec le patient le 18 août, je vous donne l’autorisation de quitter l’Angleterre avec un fou !

Le 18 août en France.

— Monsieur Le Ret, s’il vous plaît, vous pouvez venir… Patientez ici, le docteur Couturier va venir vous chercher.
— Merci bien.

Le docteur Couturier arrive.

— Sébastien ! Ça alors ! Ça faisait bien longtemps qu’on ne s’était pas vus.
— Oui, exactement 8 ans.
— Que le temps passe vite, ça ne nous rajeunit pas.
— Non, hélas !
— Bien, tu dois venir m’apporter de bonnes nouvelles ou un cadeau ! Bon alors tu travailles toujours à Londres ?
— Eh oui… Et là je t’amène un patient de très bonne qualité, très attachant, mais surtout très agité quand il ne fait rien.
— Alors il doit vraiment avoir quelque chose de très méchant pour que tu me l’amènes.
— Oui il a la maladie « morque-sel », mais je crois que je l’ai découvert un peu tard.
— Il a eu quoi comme symptômes ?
— Il a vomi beaucoup de sang noir et s’est retrouvé dans le coma et il en est sorti il y a peu de temps, mais il reste encore très fragile, et toujours aussi violent.
— Bien alors est-ce qu’il est capable de mettre une chemise de nuit ?