La philosophie de l'absolu - Larisa Seklitova - E-Book

La philosophie de l'absolu E-Book

Larisa Seklitova

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Beschreibung

Les connaissances contenues dans le livre lèvent à l'homme le voile sur les secrets des énergomondes, révèlent les limites de la matière physique et les processus inhérents aux autres dimensions. On donne des connaissances sur ce comment on peut développer l'Esprit Supérieur et on explique comment l'Absolu se forme, à partir de quoi il est construit et si l'homme peut devenir l'Absolu lui-même.

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Contacts avec l'Esprit Cosmique Suprême

Les connaissances contenues dans le livre lèvent à l’homme le voile sur les secrets des énergomondes, révèlent les limites de la matière physique et les processus inhérents aux autres dimensions. On donne des connaissances sur ce comment on peut développer l’Esprit Supérieur et on explique comment l’Absolu se forme, à partir de quoi il est construit et si l’homme peut devenir l’Absolu lui-même.

Aucune partie de ce livre ne pourrait être reproduite sous aucune forme sans l'autorisation des auteurs (ou de leurs ayant-droits).

© L.L. STRELNIKOVA © L.A. SEKLITOVA

Sommaire

Introduction

Principes de base de la structure de l'univers

Chapitre 1

VOLUMES DE L’UNIVERS, CONSTRUCTION DE PROCESSUS ÉTERNELS

Totalité comme indice d'intégrité

Coordination est une condition indispensable de l'harmonie du monde

Vie privée est le indice d’appartenance

Permanence ou constitution de processus perpétuels

Partialité comme indicateur de distinction

Chapitre 2

STRUCTURE DU VOLUME ET SON PERFECTIONNEMENT

Perfectionnement de l’espace

Continu est l’indicateur du continuum espace-temps

Pluralisme est un signe de la pluralité

Condensation comme facteur de compression maximum d’énergie

Inertie en tant que facteur de constance

Chapitre 3

FORMATION DE L’ESPRIT ABSOLU

PRINCIPE DE

LA TRANSITION DE LA QUALITE A LA LOI

États identiques de formes ou pourquoi les doubles sont ils estimés nécessaires en Absolu

L’Intelligibilité comme facteur de connaissance

Perception de l'Absolu

Chapitre 4

INSTANCES DE GESTION DU CONTINUUM MONDIAL

Instance en tant qu’entité de particuliers

Minutie est le maillon le plus bas de la Loi du Contrôle

Chapitre 5

TEMPS INITIAL CONTENU INTERNE DU TEMPS

Temps initial en tant que structure de gestion

Puissance du Temps

Puissance du temps futur

Puissance du présent et du passé

Contenu du temps passé, présent et futur

Chapitre 6

DIRECTIONS DE DÉVELOPPEMENT

Antinomie - le mécanisme de fonctionnement

Positivité est l’indicateur de la vraie direction de développement

Impérativité est le facteur de soumission absolue

Orientation en tant que chaîne d'actions de liaison

Diversification - associations de communautés

Chapitre 7

TRANSFORMATIONS D'ETATS – PROPRIETÉ DE NON-DÉSINTÉGRATION ÉTERNELLE

Immanence est l’indicateur du contenu interne

Facteur de développement extensif

Métamorphose est le processus de transformation de formes

État amorphe est une propriété de non-désintégration éternelle

Chapitre 8

FORCES DE MISE À JOUR DES ÉTATS INTERNES

Modulation est le processus perpétuel de renouvellement

Successivité est le lien cause et effet

Processus comme loi de développement dynamique

Intensification est l’accélérateur de développement

Chapitre 9

PROCESSUS D'UNIFICATION DES ACCUMULATIONS INTERNES

Intégration est l'unification des formes particulières

Intégration en tant que fonction de l'unification

Développement de la génération dans deux orientations

Création comme processus de formation du nouveau

Résolubilité comme indice d'accomplissement de la situation

Chapitre 10

NIVEAUX DE REALITÉ MANIFESTATION DES FORMES DANS LES MONDES

Niveaux de réalité

Manifestation en tant que forme de transition entre niveaux

Élimination en tant que facteur d'exclusion

Chapitre 11

CONFORMITÉ, SYSTÉMATIQUE ET INDICATEURS

Indicateur comme base de calcul

Fonctionnement de congruence en trois phases

Méthode comme base d'exécution d'un programme

Deux types de méthode

Chapitre 12

DIFFERENCIATION DU PRINCIPALE À LE EXTÉRIEUR ET À L’INTÉRIEUR

Constitutivité est la différenciation du principale à l’extérieur

Quintessence est la différenciation du principal à la base de la forme

Introduction

Le présent livre est une fenêtre sur le monde subtil, c'est un chemin vers l'infini, vers cet espace mystérieux et fantomatique qui ne portait rien à l'homme auparavant sauf les phénomènes incompréhensibles et effrayants.

Les connaissances contenues dans le livre soulèvent pour la première fois le voile à l'homme sur les secrets des énergomondes, en faisant voir ce qui dépasse les limites de la matière physique, quels processus sont propres aux autres dimensions, et ce qui unit tous les plans de l'existence et des êtres vivants.

Les informations ont été obtenues sur la base de contacts avec les Maîtres Supérieurs de l’humanité. Pour la première fois, les gens apprennent comment l'Esprit Supérieur a été formé chez l'homme et expliquent comment l'Absolu est formé à partir de quoi il est conçu et s'il est possible pour un humain de devenir l'Absolu en personne.

Mais ce qui est surtout important, c'est que ce livre répond à des questions aussi surprenantes, à savoir: «Que faire pour devenir éternel?» et «Pourquoi devrions-nous respecter les lois?» Dans la vraie vie, un humain comprend la mise en œuvre des lois uniquement du côté pratique qui ne lui permet pas à se voir infliger une amende, d'aller en prison ou de se faire voler par d'autres. Mais les lois ont un autre côté étonnant que le lecteur aura à apprendre pour la première fois.

Un humain se tient au seuil de l'éternité, il a donc besoin de savoir vers quel monde il va diriger ses pas et par quoi il va y être guidé. Il doit également à se donner une idée de la manière de faire en sorte que l’humanité tout entière, avec un minimum de pertes, soit passée à un stade de développement plus élevé, car ce n’est que dans l’unité des objectifs de l’ensemble que sera réalisé son aspiration personnelle.

La nouvelle information transmise par les Supérieurs porte en elle les vérités choquantes pour la conscience humaine et contribue à la libération des fausses idées sur la réalité.

C'est évident qu'il faudra beaucoup de temps avant que les connaissances supérieures ne bouleversent radicalement la conscience des gens, qu'elles soient correctement interprétées et orienteront l'humain vers les valeurs spirituelles et non vers les valeurs matérielles, mais la création des fondements de l'avenir se fait à nos jours. Par conséquent, libérons-nous des idées fausses et dépassées dans notre conscience et allons-nous hardiment à l'encontre de nos Maîtres, qui ont porté secours à l'humanité.

Principes de base de la structure de l'univers

L'humanité est entrée dans le vingt-et-unième siècle et avec ce fait dans une nouvelle ère de son développement dans l'ère du Verseau. Le succès de son développement dépend de l’humanité elle-même, de chacun de nous.

Le Verseau suppose une avancée décisive de tout le nouveau, d'inhabituel, par exemple, une manifestation de masse de capacités inhabituelles chez les personnes, telles que la clairvoyance, la télépathie, les capacités extrasensorielles, etc. Dans la réalité environnante, le nombre de phénomènes étonnants augmentera, comme nous l’avons déjà vu au cours des dernières décennies: l’émergence d’OVNIS et autres phénomènes mystérieux associés à l’impact du monde subtil sur notre plan matériel, et d'autres informations obtenues grâce aux contactés au monde subtil.

C'est à l'ère du Verseau que commence l'exploration active du monde subtil*, qui est de l'ordre de grandeur supérieur au physique selon les vibrations de la matière qui le compose, y compris les contacts avec ses habitants. A nos jours les conditions, pour ces recherches sont mûres: les physiciens ont créé des capteurs et des dispositifs pour enregistrer et étudier les énergies du monde subtil et des expériences intéressantes ont été menées afin d'étudier les propriétés de ces énergies.

Les parapsychologues et les sujets psi ont accumulé d'importantes données expérimentales sur l'étude des corps minces (coquilles)*de l'humain qui correspondent au plan subtil, ainsi que pour obtenir les informations sur le monde subtil à travers leur étude du fait que la personne est représentée de la constitution aux nombreux niveaux qui est également un outil unique de ces expériences. Ce qui veut dire que les personnes aux capacités uniques, qui leur sont données d'en Haut, sont capables de pénétrer par leurs sens dans le monde subtil et de nous transmettre les informations plausibles sur la structure de ce plan et de ses habitants.

Légende:

* - voir glossaire; )* - précisions d’auteur

1,2,3…23…- textes originaux; 1*,2*….23*…interprétation

Nos Maîtres Célestes font leur contribution en dirigeant les humains dans la vie de la Terre et ils sont intéressés par le fait que l'homme découvre le plus vite possible la véritable structure de l'Univers, et les liens existants du monde physique avec le plan subtil, de la place de l'homme dans le système général de l'Univers.

Au tournant des siècles XX-XXI les Maîtres Supérieurs de l'humanité ont fait passé à la Terre l'ensemble de «Lois de l'Univers» destinées aux futures générations de l'ère du Verseau, qui seront d'actualité au cours de prochains 2000 ans. En 2003 le livre «Les Lois de l'Univers, ou les fondements de la Hiérarchie Divine» a été publié par les éditions «Amrita-Rus'».

Une série de livres «Au-delà de l'inconnu» contient les informations intéressantes sur la structure du monde subtil, ses habitants, les lois selon lesquelles ce monde existe et progresse. Cette information a été obtenue également de la part de nos Maîtres Célestes.

Ce livre est la suite du livre «Philosophie de l'éternité» et «Formation de l'âme ou la philosophie paradoxale» et révèle la fonction principale, qui est l'action des Lois de l'Univers dans le monde subtil, le processus de leur fonctionnement.

Pour la bonne compréhension des informations contenues dans notre série de livres, il est nécessaire de procéder à partir des postulats de base qui définissent les principes généraux de la structure et du fonctionnement de l'Univers:

1. Le fonctionnement des mondes subtils dans l'Univers se passe selon un rythme unique et selon les mêmes lois établies par Dieu.

2. Tout dans l'Univers est vivant et en évolution.

Aussi fantastique et irréel que cette affirmation puisse paraître, mais pour les entités vivantes et en développement sont:

tous les êtres des plans physiques et subtils de l'existence dans l'Univers entier;

tous les sujets matériels et énergétiques du Cosmos visible et invisible, tels que: les planètes (à l'exception des planètes mécanismes et des planètes hologrammes ), les étoiles, les galaxies, etc., ainsi que les sujets cosmiques invisibles du monde subtil;

l'espace même qui possède la matrice spirituelle, contenant d'autres sujets de l'Univers et qui se développe selon son programme;

le temps, qui embrasse par sa Substance tout l'Univers et contrôle tous les processus en développement qui s'y déroulent;

les lois, chacune ayant sa Substance spirituelle, qui vit et se développe selon son programme;

des concepts tels que l'Absolu, la Vérité, la Volonté, l'Action, le Mouvement, l'Inertie, etc. chacun d'entre eux, par sa matrice et son programme de développement, sont liés avec les matrices de Lois et d'Entités qui leur sont soumises et exerce leur activité de gestion sur celles-ci.

3. Les mondes (plans* d'existence) de l'Univers sont disposés au niveau de la structure Hiérarchique en fonction des Niveaux d'énergie correspondant au degré de développement du monde donné. Plus le degré de développement du monde est élevé, plus l'individu est élevé dans la Hiérarchie.

4. La transition de l'Unité* (Substance) d'un Niveau de Hiérarchie* à un autre Niveau se produit de manière cohérente. L'Unité n'étant pas en mesure de passer à travers d'un Niveau, car cela ne lui permettra pas de réaliser l'énergopotentiel accumulé dans la matrice.

5. Le plan physique terrestre et l'humanité avec lui, se situe au Niveau d'énergie en dessous du premier Niveau de la Hiérarchie Divine. L'individu ne peut s'élever vers lui qu'après que tous les 100 Niveaux de la Hiérarchie terrestre soient traversés en son développement. La transition de l'Unité dans la Hiérarchie Divine passe par la mort (perte de la coquille physique).

6. L'objectif essentiel de l'existence humaine sur Terre est le perfectionnement de l'âme, qui consiste en accumulation d'énergies spirituelles par la matrice. La perte de toute qualité spirituelle conduit à la dégradation.

En plus, un humain en tant qu'une unité d'un organisme cosmique* vivant est impliqué dans le processus global d'énergoéchange cosmique*. La perte d'une unité de ce processus entraîne immédiatement sa mort.

Toutes ces Vérités Supérieures nous ont été révélées par nos Maîtres Célestes, par Dieu, et ont été enregistrées et interprétées pour la compréhension du public par Son ordre. Ce livre présente d’abord le texte original, c’est-à-dire les informations reçues par le contacteur L. Seklitova sur le canal de communication spatiale, et ensuite Strelnikova L.L. donne une interprétation où une présentation complexe est présentée sous une forme plus simple et plus compréhensible pour une personne contemporaine.

Chaque section du texte contient une description précise du concept interprété, sa fonction et de l'interaction avec d'autres Entités et les processus. Les concepts ayants le fonctionnement similaire, la destination ou la structure, sont réunis dans les chapitres généraux selon les caractéristiques générales de l'appartenance fonctionnelle.

La maîtrise de l'information présentée dans ce livre, ainsi que dans le reste des livres de série «Au-delà de l'inconnu», permettra au lecteur d'élargir les cadres de ses connaissances du monde jusqu’aux limites du monde subtile, d’apprendre beaucoup de choses nouvelles et intéressantes, de se rendre par sa conscience à un nouveau niveau de compréhension de la réalité qui nous entoure

Chapitre 1VOLUMES DE L’UNIVERS, CONSTRUCTION DE PROCESSUS ÉTERNELS

Le mot «ciel» sonne différemment et il est exprimé par une variété de symboles de lettres dans de nombreuses langues. Autant de nations, tant de mots pour le ciel, c'est-à-dire que le concept est le même, mais son expression en symboles est multiple.

Quand une personne meurt, les mots et le langage disparaissent de son essence intérieure, et dans l'âme il ne reste que des concepts qui reflètent ce qui existe dans la réalité. Par conséquent, en apprenant une certaine matière, une personne n'étudie pas le mot, mais elle saisit le sens du concept qui lui est associé.

Mais qu’est-ce que cela signifie connaître le concept? Le fait de comprendre un concept exprime la compréhension du complexe de connaissances qui lui est associé. Par exemple, un certain domaine de connaissance, est exprimé par le concept d’«humain», qui reflète sa structure, les systèmes d’actions et de connexions inhérents qui sont propres à lui; le concept d'«oiseau» porte en lui d'autres caractéristiques, et la «planète» en prévoit d’autres. Il est nécessaire d'étudier le mode d'existence d'une personne, d'un oiseau, d'une planète, pour maîtriser chacun d'entre eux afin de se familiariser avec leur contenu interne et leur forme externe. Donc, le mot porte une image en lui, qui est associée au concept, et lorsque nous découvrons le mot «ciel», nous maîtrisons le complexe des connaissances qui y sont associées. Par conséquent, il est important de ne pas retenir les mots, mais de comprendre l'essence qu'ils expriment.

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Nombreux sont les philosophes du passé qui défendaient les positions de l'agnosticisme qui affirmait que la chose en soi n'est pas connue et que tout ce qui est spirituel n'est pas à la portée de l'étude humaine. Mais, comprenant certains processus et certaines lois opérant dans les volumes mondiaux, ainsi que les fondements de la naissance du nouveau et les conditions de son existence éternelle, l’homme découvre la genèse du monde subtil, les principes de base et les mécanismes de son développement. Connaissant les fonctions générales, il découvre que nombre d’entre eux lui sont inhérents, qu’ils sont originaires de lui et lui révèlent les secrets des fondements de la perfection éternelle. La personne possède la possibilité d’apprendre comment le système général de l’univers est construit et fonctionne à travers la compréhension des concepts.

Dans le schéma général, il s’agit d’un ensemble des volumes disposés les uns dans les autres selon la séquence hiérarchique. La direction du développement des mondes se fait infiniment vers l'intérieur d'un tel système et ainsi qu’infiniment vers l'extérieur.

La totalité en termes absolus exprime le volume mondial global qui contient tous les autres mondes existant dans l'univers et appartenant au stade de développement du maxi-absolu, c'est-à-dire exprimant le stade de sa perfection. Dans le système général de l'univers, dans son volume total, tout le reste existe et se développe, étant les éléments constitutifs et les unités de sa structure multidimensionnelle. Nous allons maintenant analyser spécifiquement quel est le concept de «totalité», que signifie-t-il dans la structure de l'univers et quelles sont ses perspectives de développement.

Totalité comme indice d'intégrité

1 La Totalité représente une certaine intégrité, qui détient dans son volume certains éléments qui composent ce volume, sinon cette intégrité ne représenterai pas cette formation, du fait que pour le contenu interne elle est ce qui réunit en un tout, qui englobe tout et ce qui est universel. Ainsi, donc, la totalité est la définition qui ne possède que la signification pour le contenu interne, et la même définition pour la totalité et le même volume extérieur perd de son importance en raison de l'impossibilité d'englober la réalité. Par conséquent, la totalité est toujours un volume rempli qui se diffère par les paramètres de pique qui servent de la limite de passage pour le contenu interne. Si cette limite est brisée de l'intérieur, donc, la constructivité de la totalité, perd sa base d'existence, aussi, du fait que la plénitude du contenu intérieur fait partiellement partie de la réalité extérieure, et elle passe par la limite brisée vers l'extérieur, autrement, dit vers un volume plus important par rapport à celui qui est mise en considération.

2. Le total veut dire l'intégral, par conséquent, cette configuration a une structure parfaite, et la perfection signifie une certaine définition surtout de la valeur limite. Ainsi, la Totalité a une forme de fondation formée à perfection, mais elle ne dispose pas de finalité dans son contenu interne. En d'autres termes, cette forme du volume existe par rapport à son propre niveau de développement, mais son contenu interne n'a pas encore atteint le taux de saturation limite par les éléments qualitatifs. Voilà pourquoi, il y a toujours une croissance et une progression parfaites au niveau de la base totale, grâce à quoi la forme de Totalité se transforme en restant inchangée pour chaque Niveau, mais elle se transforme sur les limites des transitions d'un Niveau* à un Niveau.

Par conséquent, la Totalité n'est transformée qu'aux limites, ce qui signifie que la Totalité immuable là où tout a lieu au changement, c'est-à-dire directement sur les Niveaux. Mais, selon la Loi des contraires les limites elles-mêmes, sont également inchangées, elles représentent le milieu de transformation pour la Totalité, du fait qu'en présence de plénitude ou de l'intégralité du contenu interne du volume total de base (c'est-à-dire de l'ensemble complet de composants de haute qualité qui correspondent à chaque Niveau), la base interne effectue la transition vers la forme extérieure en modifiant ainsi les dimensions de limites de la forme de la Totalité. Dans le cas contraire, l'introduction de le perfectionnement intérieur dans l'enveloppe de le forme parfaite de l'ampleur est basée sur la transmission de contenus d’énergocomposant* internes sur la forme extérieure. L'élément de transition de la forme répond à l'équivalent du processus de perfectionnement* de la base interne et de la forme extérieure.

Fig. 1

La Totalité est un concept d’intégrité qui possède une certaine complétude de la configuration de niveau limite, où cette complétude est saturée pour la structure de son enveloppe (forme) ou un état du volume externe, mais qui ne possède pas de la base parfaite pour son contenu interne. C'est-à-dire que dans ce cas, l'extérieur est pas égal à l'intérieur en raison des formes de niveau de non-concordance interne du Niveau de la forme du présent volume par rapport à la base contenue en intérieur, ou le perfectionnement et le développement des éléments contenus se produisent et la forme extérieure du volume possède déjà initialement la configuration parfaite pour cette position au niveau. Ce qui veut dire que l'on y voit la réalité suivante, qui est représentée schématiquement sur la (Fig. 1).

A partir de ce concept, on voit que la forme de la formation totale ne varie que lors de la transition de l'ensemble du volume à partir d'un Niveau vers un autre Niveau, à savoir aux limites de Niveaux. Le contenu interne du volume, au contraire, se transforme avec le développement parfait uniquement aux Niveaux, entre les limites qui les bornent. Par conséquence, la forme du volume de Totalité est toujours plus élevée et plus perfectionnée que leur contenu interne du fait qu'elle apparaît sur les Niveaux en étant déjà parfaite, ce qui veut dire qu'elle correspond au degré de développement de ce Niveau et reste inchangée jusqu'au passage des limites du Niveau, ce qui ne peut pas dire sur le contenu interne de cette forme, qui se développe selon le système de commande pour surmonter la montée de ce Niveau. Cela veut dire que chaque Niveau a son propre système de hiérarchie, sur lequel la montée des éléments par rapport à leur propre développement est effectuée.

Interprétation:

1* La Totalité exprime la globalité de la structure. Là où il y a un volume entier, il y a aussi la Totalité du Niveau correspondant. Elle peut appartenir au volume de l'univers et peut concerner le volume d'une personne, mais ce seront les totalités des différents degrés. Et le mini-volume* peut être qualifié d'une certaine Totalité par rapport à ses micro-éléments.

Si on fait la comparaison entre les deux concepts tels que "totalité" et "volume", alors à première vue, il peut sembler qu'ils sont identiques, car tous les deux expriment une forme spatiale. Mais le volume lui-même peut être complètement ou partiellement rempli, peut avoir n'importe quelle configuration à l'intérieur qui ne le rend conçu en bloc.

Le concept de la totalité est plus vaste et, on pourrait dire, plus ciblé. Il exprime le volume* réunie avec ses éléments internes, ce qui veut dire que la Totalité suppose l’intégrité complète de la forme, avec son enveloppe extérieure, et pas seulement son enveloppe. La Totalité a une définition sémantique plus étendue, puisque ce concept prévoit la garniture obligatoire d'un volume avec quelque chose. Il ne peut y avoir aucun vide en elle. Tout vide transgresse la Totalité. Mais elle peut contenir un volume vide ou remplie partiellement. Le vide du volume concerne le volume même et n'affecte pas l'intégrité de la totalité. Quant aux humains le volume vide signifie l'absence de tout. Mais en fait, pour l'Univers, un volume vide exprime la présence d’une enveloppe constructive qui porte certaines fonctions et le manque de la garniture interne.

En Totalité, les composants internes qui constituent un volume par leurs liaisons intégrales sont d'une importance particulière. Quant au contenu interne la Totalité sert d'une certaine connexion globale et par conséquent, elle n'a de sens que pour ce qu'elle recouvre. Si elle ne recouvre pas les éléments externes, elle ne s'applique pas au volume extérieur et, tel qu'elle est mise en œuvre à ce dernier, elle ne peut pas être utilisée.

Ainsi donc, nous avons découvert que le concept de la Totalité se réfère uniquement au contenu interne du volume et ne s’étend pas à l’environnement appartenant à un autre volume plus important. La Totalité des éléments internes du volume sert de limite concrète qui sépare l'interne de l'externe et est en même temps la limite qui ne permet pas aux éléments du volume de passer dans le volume externe.

Si on imagine que cette limite est détruite pour quelque raison que ce soit, même partiellement, l’intérieur est réuni à l’extérieur et devient son cas particulier. Dans ce cas, le concept de la Totalité perd sa signification et le volume total cesse d'exister, mais l'environnement externe est reconstitué par de nouveaux états privés.

2* La Totalité, exprimant un volume holistique avec tout son contenu, possède la configuration interne*, puisque toutes les constructions particulières qui constituent sa garniture interne se situent de manière strictement définie, en fonction des missions à exécuter. Et cette précision vous permet de créer une texture concrète de la Totalité, qui pour un volume donnée sera complétée et aura une signification particulière pour elle.

La totalité qui passe les étapes de la formation c'est-à partir de quelque stade, qu'elle se forme en conformité avec son programme. Et du fait que les étapes de développement sont infinies, on ne peut pas parler de sa structure finale et complète. Les nouvelles étapes requièrent l'apparition dans sa structure de nouvelles formes et d'éléments constructifs. Le développement nécessite l'accroissement et la complication de la structure interne. Pour chaque niveau d'amélioration, il existe une certaine énergosaturation normative obtenue en remplissant le volume avec la quantité requise d'ingrédients* d'une qualité certaine. Et bien que la structure nécessaire à l'intérieur et l’énergopotentiel du volume n'atteignent pas la valeur normative, la transition de la Totalité au prochain Niveau de développement n'aura pas lieu.

Le perfectionnement du volume interne oblige à la nécessité de reconstituer le fondement de Totalité à l'aide des éléments progressifs qui lui permettent de s’améliorer davantage et, par conséquent, d’avoir un avenir. En raison des processus d'amélioration, il y aura des changements qualitatifs dans les éléments partiels du volume, la Totalité changera également de son «visage» et se transformera en un nouvel état qualitatif.

On y voit sa transformation de Niveau, c'est-à-dire qu'en appartenant au même Niveau, la Totalité a une forme, mais accumule constamment les changements en elle ce qui lui permet d'atteindre les indices qualitatives et quantitatives qui donnent la possibilité d'effectuer le passage à un Niveau supérieur avec la modification de la forme de la Totalité. Ou, pour le dire plus brièvement, dans les limites d'un seul Niveau, la Totalité reste inchangée, sa forme ne change que lors du passage d'un Niveau à un autre. Et dans ce cas, on peut voir une contradiction: le Niveau lui-même dispose de tous les mécanismes qui permettent d'apporter des modifications à l'intérieur de la forme, mais la forme de la Totalité dans les limites du Niveau reste constante.

Un contraire est valable à la limite de deux Niveaux adjacents: les limites elles-mêmes restent constantes, mais la Totalité elle-même change de forme. Et cela suggère que les limites du Niveau ont d’autres mécanismes que les Niveaux eux-mêmes. Et ils contribuent à la transformation de la Totalité, mais à condition que la forme soit définie par les indices normatifs.

Les mécanismes agissant sur la Totalité contribuent à la transition de sa base interne vers le volume externe. De cette manière, ils modifient la taille de la forme, les limites de la Totalité. Ces dernières deviennent plus importantes. La nuance de la croissance de la Totalité réside dans le fait que sa base interne passe dans l'enveloppe externe, dont les fonctions s’étendent. Après cela, la limite de la Totalité passe à l'enveloppe externe.

L'enveloppe externe change de ses fonctions sur la base de ce que son contenu qualitatif change, du fait que les énergocomposants du volume interne vont vers l'extérieur et, c'est grâce à eux, que ces fonctions sont restituées, et dont les composants sont capables.

3* Puisque la totalité de la configuration externe reste inchangée, pour le Niveau, son énergopotentiel et sa saturation en énergie doivent également atteindre une certaine valeur dans l'état limite. L'enveloppe a ses propres indicateurs. Lors que le développement se produit à un Niveau, ils auront les mêmes valeurs, et lors du passage de la limite du Niveau, d'autres. Mais après la transformation, l'enveloppe externe ne dispose pas ni de la composition et ni des indicateurs qui caractérisent le stade parfait, ils doivent donc s'accumuler davantage. Pour atteindre la perfection inhérente à ce niveau, il est indispensable de changer la composition interne qualitativement et quantitativement. Et chaque élément particulier révélant le contenu interne continuera à progresser tant que la forme se situe entre les limites d'un Niveau nouveau. Et le Niveau présentera pour chacun d'entre eux ses propres exigences.

Rappelons-nous en même temps que la forme totale externe sur un Niveau reste inchangée et est constante uniquement parce qu'elle a atteint la perfection. Et les éléments particuliers qui la composent (Fig.1) continuent de se développer et restent de ce fait imparfait. Mais lorsque tous les éléments particuliers atteindront la perfection, il y aura une transition vers un autre Niveau avec une modification de la base qualitative et de la forme externe de la Totalité.

Lors du passage aux limites de Niveau la modification du contenu interne entraîne une modification de la forme externe. Il existe deux tendances principales de développement dans ce cas: les éléments particuliers internes ne changent que dans les limites du Niveau et la forme externe de la Totalité est transformée au moment de la transition d'un volume entière vers un Niveau nouveau .

Une distribution pareille des transformations successives indique que la forme externe de la Totalité selon le Niveau de développement est supérieure à celle de ses éléments particuliers: même au moment si elle est parvenue à la perfection, les éléments se dirigent toujours vers elle. Et cette façon de faire est assez longue, car pour les unités particulières, chaque Niveau représente son propre système hiérarchique d’ascension. C'est-à-dire que lorsque la forme totale externe passe par les étapes de développement d'un Niveau, ses unités particulières passent par les stades de perfection au niveau de leur Hiérarchie, qui est d'un ordre inférieur du Niveau de la forme. Et une correspondance logique entre l'externe et l'interne est établie, ce qui leur permet de se développer dans l'unité tout en se dirigeant vers l'objectif en commun, ce qui permet aux éléments du volume de passer au volume externe.

Coordination est une condition indispensable de l'harmonie du monde

4. La Coordination est un indice d'Ordre ou de Lien, ce qui est une symbiose dans la manifestation essentielle de cet état.

La Coordination forme l'environnement de la dispersion correspondante entre les éléments dont l'existence repose sur l'ordre d'interdépendance, où les transformations d'un élément donnent lieu aux changements d'un autre élément lié à lui, et ainsi de suite. Ainsi, l’environnement émergent des concepts et forme une certaine structure du volume, et il s’agit d’une structure intégrale des éléments liés entre eux à la base.

Toute substance ordonnée possède le système de règles législatives, d'après lesquelles les formes qui en résultent sont formées et développées selon l'ordre de forme. Ainsi, la dépendance de l'existence générale est subordonnée à des motifs réguliers, dont les principes assimilés déterminent l'environnement réel des associations futures. Par conséquent, la coordination dépend des éléments d'approximation ou de voisinage existants, où la puissance d'interaction constitue la structure de base des fondements construits. L'ordre et d'interdépendance sont les indices de réunification.

5. La Coordination met de l'ordre et, par conséquent, montre la texture de la dépendance fondamentale des liaisons ou des connexions. Ainsi, la base connectée forme une progression substantielle des connexions, puisque les informations qui y sont contenues continuent à se développer de manière indépendante tout en faisant partie des modifications apportées à l’amélioration de la structure globale du volume.

La Coordination effectue la distribution des types particuliers d’éléments à connecter selon le système de dispositions législatives les uns par rapport aux autres, formant ainsi le réseau de la structure générale, c’est-à-dire une telle structure de la forme, qui est requise pour une telle ou telle régularité de manifestation et d'existence au niveau de l'endroit en du temps correspondant.

La coordination en tant qu'une fonction de la propriété est valable aux moments de l'autodétermination d'une forme individuelle et particulière, par rapport à laquelle se produisent l'orientation, la reconnaissance et la corrélation de l'individu dans la réalité environnante avec d'autres formes manifestées.

Par conséquent, dans ce cas, la Coordination accomplit la fonction de calcul des rapports avec d’autres phénomènes existants.

6. La Coordination en tant qu'un élément par le biais duquel la Loi sur la distribution est partiellement mise en œuvre et qui est subordonnée naturellement à cette loi, mais elle est distincte des autres sujets législatifs, sans parler de ceux qui sont régis par la Coordination.

La coordination affecte toutes les manifestations et les formes existantes, puisque le fait même de l'être dans ce monde porte la condition de l'Existence intégritunique. Et tout ce qui est manifesté ici, trouve sa texture dépendante des états et des volumes environnants. C'est-à-dire que là où le fait d'existence prédomine, la notion de dépendance forme les principes de l'Intégritunité*.

La dépendance en général vise à rassembler et à combiner toute manifestation ou forme pertinente. La condition de dépendance engendre donc un facteur d’interaction ou de coordination qui caractérise tous les concepts émergents selon les principes de fonctionnement, qui comprennent tous les paramètres des données disponibles et celles à acquérir.

Ainsi, la coordination relie tout à tout et, par la voie d'un certain ordre, corrèle et disperse ces éléments dans la relativité de la conception d'ordre universel. Voilà pourquoi, la conceptualisation des définitions de la Coordination établit en particulier la dépendance de l'existant en face du niveau d'instruction initial.

Interprétation

Le monde semble infini à la personne, sans aucune limite ni lien à quelque chose de concret. Pour lui, c'est un vide qui consomme tout, dans lequel on peut placer n'importe quoi et dans n'importe quel ordre. Mais la nouvelle connaissance donnée par les Supérieurs affirme que l'univers est l’ordre le plus grand. Et chaque objet, existant ou nouvellement créé, a sa place spécifique dans le volume total de l'espace.

L'Univers, la Nature, l'Absolu ce sont les volumes spatiaux d’ordinalité*, autrement dit des différents Niveaux de développement, et chacun d'entre eux est situé d’une certaine manière par rapport à l'autre. Nous pouvons dire que l'univers est un volume externe pour la Nature et que la Nature est le volume extérieur de l'Absolu, mais ils sont tous reliés entre eux par une dépendance constructive unique. Bien que l'Absolu puisse être pris par l’univers lui-même, puisque ce sont toutes les subdivisions conventionnelles qui nous permettent de suivre la direction du mouvement de développement qui nous intéresse.

Si nous prenons l'univers pour l'Absolu, cela indiquera que nous considérons les perspectives de développement humain éloignées. Et si nous acceptons Dieu pour l'Absolu, cela témoignera que nous avons en vue les perspectives de développement de l’humain les plus proches. Bien que les Absolus ne se diffèrent que par l'ordinalité, mais en évolution de l'âme, elle traversera l'un et l'autre selon leur disposition aux Niveaux. Par conséquent, pour nous, le concept d'Absolu* est un sommet résultant d'une convention qui complète un certain cycle de développement. La Genèse de l'univers commence en infini et se dirige vers l'infini. Mais comme tout se répète d’une manière identique, alors, connaissant peu, on peut connaître le plus grand.

D’habitude nous prenons pour le point de référence notre monde dans n'importe quelle étude, et pour la limite extrême, nous prenons la limite du volume extérieur de l'univers qui est conforme aux conventions, qui semble infiniment grand aux yeux de l’humain. Mais, mettant en avant ce volume comme global, la personne essaie de la transformer en une valeur finale, même si, en réalité, le volume encore plus grand du continuum s’étend au-delà.

On sait que l'univers peut être représenté schématiquement sous la forme d'un bulbe d’ognon avec un nombre infini de couches, qui sont également orientées à l'infini vers l'intérieur et vers l'extérieur (fig. 2).

Cet emplacement résulte de l'ordre de leur alignement l'un par rapport à l'autre, en fonction du niveau de développement et du fait que nous commençons à le comprendre, étant conditionnellement au milieu de cette chaîne infinie des volumes.

Dans l'univers, tous les mondes sont ordonnés et chacun occupe la place qui lui est assignée. Aucun monde ne peut se développer arbitrairement. Les lois hiérarchiques du développement évolutif opèrent en tout. L'expansion des mondes ne se produit que lorsqu'ils passent d'un Niveau à un autre, c'est-à-dire lorsque le monde inférieur prend le volume du monde supérieur avec le progrès graduel général de tous les mondes. Par conséquent, tout est en stricte conformité avec le volume externe et avec le contenu interne.

Observations:

B…K – autres Natures du même Niveau que le nôtre.

1 – milieu extérieur de notre Nature, ou le volume total de l’univers.

Fig. 2

Dans l'univers, tous les mondes sont ordonnés et chacun occupe la place qui lui est assignée. Aucun monde ne peut se développer arbitrairement. Les lois hiérarchiques du développement évolutif opèrent en tout. L'expansion des mondes ne se produit que lorsqu'ils passent d'un Niveau à un autre, c'est-à-dire lorsque le monde inférieur prend le volume du monde supérieur avec le progrès graduel général de tous les mondes. Par conséquent, tout est en stricte conformité avec le volume externe et avec le contenu interne.

La Nature* occupe un certain volume dans le volume total de l'univers et il ne peut y avoir qu'un certain nombre de ces Natures, chacune ayant sa place selon les fonctions qu'elle remplit. Et chacune des fonctions est individuelle, du fait de l'individualité de leur contenu interne qualitatif (voir le livre: «Philosophie D'Éternité», ch.4). Ce qui veut dire que toutes ces Natures sont les composantes particulières du volume total de l'univers.

Par contre, dans ce cas, nous ne sommes intéressés que par ce auquel nous nous rapportons. Naturellement, la Nature même est une certaine structure dans laquelle tout possède une place spécifique et ne peut se déplacer nulle part sans tenir compte des lois de son développement. Tout y est en interconnexion. Mais lorsque on y place de nouvelles fonctions ou d'autres fonctions, il est nécessaire de déterminer les coordonnées dans l'espace. Le fait même que l’univers et la Nature soient des structures conçues pour un certain fonctionnement, dit que tout en eux doit absolument avoir un lieu d'affectation spécifique. Par conséquent, pour déterminer ce lieu, il doit y également exister un système de coordination. Bien sûr, tous les Créateurs Supérieurs font appel à de leurs propres méthodes, et quant aux humains ils introduisent le concept de la «coordination».

Il exprime la régularité, la formation d'un système d'ordre d'emplacement, l'alignement de la position d'un objet par rapport aux autres ainsi que leurs interrelations. L'emplacement doit nécessairement être lié à de nouvelles interrelations avec d’autres objets, puisque ce sont les connexions qui déterminent le fonctionnement général et le développement des structures particulières. Les liens avec ceux nouvellement submergés ne doivent pas interférer avec ceux qui les ont précédés; de plus, tout ce qui est nouveau apparaît sur la base des besoins de l’ancien, ce qui est déjà évident. En d'autres termes, il est conçu pour aider l'existence de ce qui existait avant lui. Tout devrait être proportionné à ses indicateurs et être lié les uns aux autres selon tous les paramètres possibles. Par conséquent, l'emplacement de nouvelles formes se produit toujours avec l'interconnexion de tout le reste.

Chaque élément, pour lequel on peut prendre en considération un volume mini, placé dans le maxi-volume* du monde, qui devient pour lui un habitat, doit avoir un certain espace d'existence qui lui fournit tout ce qui est nécessaire au développement. En d'autres termes, il doit y avoir un certain espace de vie. Par conséquent, la Coordination aide à disperser tous les objets, de sorte qu’ils n’interfèrent pas seulement les uns avec les autres, mais aident également à exécuter les fonctions réciproques, à condition qu’ils soient interdépendants. C'est ce dernier qui génère des réactions, des fonctions, des mouvements, car le changement d'une chose entraîne une transformation progressive de tout ce qui l'entoure.

L'interdépendance exige de l'ordre dans sa structure et des phénomènes de logique en liens. Par conséquent, l'objet n'est pas simplement attaché à un lieu par Coordination (par de certains paramètres), mais il est associé à l'environnement de ce Niveau et lui est adjacent fonctionnellement et avec d'autres dépendances.

Tout cela provoque dans le système de Coordination la création d'un environnement de concepts correspondant, qui forme la structure du volume. Autrement dit, si nous considérons son volume, il sera conçu sur la base de ses propres phénomènes de logique.

Le système de coordination possède les connaissances appropriées en fonction de chaque Niveau, car chaque monde a ses propres spécificités d'emplacement, de liens et de fonctions.

Toute forme, tout processus, tout mouvement ne sont pas créés sans but précis, mais ils sont situés dans l'espace d'une certaine manière, ayant son début, sa fin, le domaine de développement et des lieux de transition vers un autre état ou d'un Niveau vers un autre Niveau autrement dit de transition d'un monde vers un autre monde.

Tout état, peu importe comment il est conçu et quelles que soient les fonctions qu'il remplit, se développe lui-même selon les lois définies, donc tout ce qui s'y trouve est subordonné à son propre système de lois. Chaque substance a son propre système de règles de développement. Par exemple, sur le plan de terre, un arbre, en tant qu'état, se développe selon ses lois, et un homme selon les siennes. Il existe des systèmes législatifs différents les uns des autres à leur fort intérieur, mais tout ce qui est à l'intérieur de l'arbre et de l'homme est soumis à son système de règles. Tout élément qui tombe dans le volume d'un arbre ou une personne depuis le monde extérieur obéira aux exigences correspondantes et aux lois de leurs volumes. C'est-à-dire qu'ayant atteint le volume correspondant*, il commencera à se déplacer selon les lois du présent volume, il participera aux interactions, aux réactions et à chaque mouvement à l'intérieur du volume ne sera pas arbitraire, mais obéira au système de lois qui assure l'existence de cet état. Sur la base de la représentation du mouvement d'un élément dans le corps humain, on peut imaginer à quel point son mouvement sera subordonné au régime interne et à la coordination.

Comme nous le voyons, la coordination d’états particuliers au sein de différentes substances sont subordonnées aux divers fondements législatifs du monde extérieur, mais en tout cas elle détermine la précision de l'emplacement, de l’ordre et des interactions au niveau du milieu interne. Les lois du monde extérieur sont toujours sous l'influence des lois du monde intérieur et, en cela, que consiste l'interconnexion de leur coexistence en commun et l'existence de la coordination des interactions et de la distribution de leurs pouvoirs. La Coordination peut se manifester non seulement au niveau de l'emplacement, mais dans la sphère des pouvoirs d'action aussi.

Considérons à titre d'exemple notre monde et essayons de réunir la réalité du présent avec l'avenir, prévue à l'avance d'en Haut et existant dans les constructions holographiques. Notre monde comprend l'emplacement non seulement des objets visibles, mais aussi des structures du monde subtil, qui planifient l'avenir, qui attend l'arrivée de son heure. Et les futurs ouvrages de la manière requise sont distribués dans l'espace, mais ils n'apparaîtront que s'ils sont en usage au temps actuel et s'il y a un choix fait par les individus en fonction des situations.

Le milieu réel d'existence est conçu par les individus sur la base des lois définies qui assurent leur vie au présent. Mais en fonction de ce qui est conçu au présent, tout ce qui sera construit dans l'avenir lointain se manifestera, car nous savons déjà que le choix des actions dans le présent affecte la manière dont le développement se déroulera en avenir. Et les différentes voies portent en elles-mêmes les diverses structures constructives.

Les variantes des voies au niveau du programme supposent de différents attachements d'ouvrages, d'actions, d'individus dans un volume d'espace. Considérons une partie du volume pareil (Fig. 3), où le choix des modes de développement est admissible. Dans la partie du volume «V», la coordination des situations de vie de l'individu dépendra de son choix (voies 1, 2 ou 3), mais ce choix sera limité par de certains paramètres ou par la zone d'action (zone «a-b»).

Fragment de développement de l’individu

Fig. 3

Ainsi, la Coordination permet de choisir un certain emplacement ou bien de déroulement des actions et des liens. Il est important par ici que les volumes d'espace permettent le développement de la Coordination des actions dans de différentes directions, en fonction du choix, tout en maintenant tout ce qui se passe dans certaines limites (zone «a-b»). Le choix affecte aussi l'environnement futur de l'existence. Il est clair que sur les voies «1» et «3» elles seront opposées, puisque sur la dernière (voie «3») l'individu sera attendu par de nombreux facteurs négatifs, et sur la voie «1» ils sont positifs. Le choix affecte également la formation du milieu au niveau des autres volumes mondiaux.

Du fait que tout volume d'espace possède sa structure propre à elle, le rattachement d'un nouvel objet à un objet existant dépendra de ce qui l'entoure. Tout ce qui existe possède ses droits à lui, et tout ce qui est introduit de nouveaux ne doit pas outrager leurs fondements légitimes d'exister. Par conséquent, la coordination, c’est-à-dire l'emplacement du nouveau dans l’ancien, implique toujours de prendre en compte toutes les dépendances et les influences de la structure existante sur ce qui est de nouveau.

5*. On doit comprendre sous la Coordination non seulement le mécanisme d'emplacement dans l'espace, mais aussi comme une interconnexion d'actions et de mouvements. Par exemple, tous les processus et les réactions doivent être coordonnés dans le corps humain. Un humain garde la forme de l'humain avec le respect de toutes les proportions et les proportionnalités de ses créations uniquement grâce à la Coordination du développement de l'organisme tout entier. Si elle n'était pas là, alors il se transforme en une masse inexplicable dépourvue de la forme.

À plus forte raison que la Coordination est nécessaire dans les limites de toute la Nature. Afin de la faire fonctionner correctement dans toute la diversité de sa multidimensionnalité, la Coordination, la cohérence dans son ensemble, doit atteindre le plus haut degré de développement. Embrassant son plein volume, elle est également liée et met en contact absolument tous les processus, les réactions les progressions, les actions des formes et des situations, tout en maintenant des conceptions de proportionnalité de la Nature et tous ses plans de l'existence. La Coordination est également importante, par exemple, quant au niveau de développement de la Hiérarchie, du fait qu'à un moment donné une progression générale graduelle des mondes se produit, et ils devraient être rejoints par de nombreux paramètres, en particulier tels que le temps, les accumulations de qualité, les énergopotentiels.

La Coordination est également un mécanisme permettant d'établir la loi d'ordre dans l'univers, dans chaque monde et sous toutes les formes. Ce qui existe devrait avoir ses propres règles de mouvement sans contraindre les lois de l'existence de son entourage, donc la Coordination reste toujours dans une interrelation compliquée avec tout le reste. Si, admettons le, tout cela est attribué au volume de la Nature, où chaque composant doit tenir strictement sa position et effectuer selon elle les fonctions définies en liaison avec d'autres pour les mener à bien, afin de préserver cette envergure, de garder tout en ordre et de savoir où on veut introduire les réapprovisionnements, on a besoin d'un système organisationnel puissant muni de sa base particulière de calcul.

Tout cela permet de suggérer que la Coordination développe sa propre substance avec une expérience particulière des interactions et la possession de certaines lois, ainsi qu'elle possède le potentiel de réunification générale. Cette substance a une structure hiérarchique dans lequel les états particuliers de la même orientation sont développés indépendamment, ce qui contribue au renouvellement et à la reconstitution par le nouveau du volume total de la substance de Coordination, ainsi qu’à l'aider à s'améliorer.

Cela nous ramène à ce qui est difficile à la perception humaine, à savoir à ce que l'agencement interne des unités constitutives est contrôlé par la substance autosuffisante, par une certaine Substance munie d'une structure spécifique, de son mode d'existence, de son degré d'intelligence et ainsi de suite.

Afin qu'un processus qui doit évoluer éternellement, de façon normale et en accomplissant ses fonctions qui lui sont assignées, il est indispensable qu'il soit réunie avec une certaine substance vivante, appelée Substance, qui l'inspire, le gère, le surveille, en guidant son développement dans la bonne direction. Le processus représente certainement une structure définie et une certaine qualité des énergies, dont il est constitué. Mais pour comprendre à quelles fins sert la gestion du processus par la substance spiritualisée, nommée Substance, faisons l'analogie avec l'humain

Il représente un être vivant seulement lorsque son corps physique, en tant que la construction définie, est réuni avec une substance spiritualisée qui est l'âme ce qui est aussi une Substance. L'Âme* de manière constructive est la matrice animée par Dieu, qui est reconstituée au cours du développement par l'accumulation d'énergie. C'est l'âme qui spiritualise chaque cellule du corps humain, la rendant vivante, et le programme* de développement qui leur est apposé guide le mouvement des processus au niveau du corps dans la bonne direction. Mais dès que l'âme quitte le corps, il devient mort, toutes ses fonctions vitales cessent. Ce qui veut dire qu'une structure pareille, qui est le corps physique, fonctionne et existe tout au long d'un délai défini, il est nécessaire de le réunir avec l'âme (la matrice spiritualisée) et prévoir un programme. Sans programme, aucun processus, ni la progression, ni le mouvement ne peuvent avoir lieu.

De la même façon une certaine substance dit une Substance suscite toujours le développement des processus et des progressions, ainsi que de toutes les formes possibles. Mais les Substances, dans ce cas, mènent une existence qui est incompréhensible à l'homme. Par exemple, il est difficile de comprendre ce qui est une Substance de l'Éternité, une Substance de l'Espace ou une Substance de la Transmission. Mais puisque nous sommes placés dans la Nature vivante, alors, tout est en elle, tous les processus, et même les valeurs doivent être vivantes et spiritualisées, parce que chaque monde comme la cellule du corps accomplit ses missions et fonctions. Et plus loin je ne vais pas donner des explications pareilles, en m'adressant aux processus et aux états comme aux Substances ou bien aux états avisés. Cela devrait déjà être assimilé que chaque concept est associé avant tout à la Substance spiritualisée, existant réellement en isolement et la conscience humaine tentent de conduire d'en Haut à une simple compréhension de ces états isolés et indispensables qui régissent la structure et les fonctions de la Nature, de Dieu de l'humain et d'autres formes. Ce qui signifie que certaines formes spiritualisées sont contrôlées par d'autres formes spirituelles que nous appelons substances et états.

Maintenant, revenons à la substance de Coordination. L'homme en a aussi du fait que pendant le développement du corps physique depuis l'ovule jusqu'à l'état adulte tout agencement est réalisé sous le contrôle de la substance de Coordination, appelée à l'ancien code génétique. Le code, bien sûr, est là, mais il reflète partiellement la substance de Coordination.

Pour en revenir au volume total de la Nature, il faut se rappeler que tout ce qui se passe à l'intérieur est en constante évolution et que les substances de Coordination doivent faire une activité considérable dans toutes les transformations. Tout mouvement à l'intérieur doit être conforme aux exigences des normes et des lois applicables dans chaque volume spécifique, et l'emplacement relatif les uns par rapport aux autres dans l'espace et dans de différentes dimensions doit également respecter les lois qui constituent la structure globale du volume. Bien entendu, nous désignons sous toutes réserves cette structure comme un volume.

Ainsi, un humain peut être désigné comme "volume". Mais si nous nous tournons vers le concret, chaque volume a sa forme propre à lui. Par exemple, un oiseau a sa propre forme, un animal a la sienne, un poisson a la sienne. Et dans chacun d’entre elles se trouve un arrangement individuel des éléments inhérents qui forment leur configuration générale. Mais chaque oiseau, animal, ou humain a un système de coordination personnel qui contrôle le placement de tout ce qui est à l'intérieur sur la base du code génétique qui est mis en forme appropriée. Dans ce cas, un programme de contrôle de la formation de sa constitution est intégré dans le code génétique, mais l’état substantif de la Coordination gère le code en se rapportant à une forme particulière.

La Coordination prend en compte non seulement l’emplacement spatial, mais aussi l’accostage dans le temps, car les processus doivent nécessairement évoluer dans le temps pour mener le résultat souhaité à un autre processus, sans lequel il ne peut pas commencer. Le décalage dans le temps peut entraîner une interruption des fonctions.

Chaque individu apprend également à coordonner sa situation dans le monde qui l’entoure. Il doit déterminer correctement la direction de son mouvement dans la ville et ailleurs. La maîtrise de la coordination aide une personne à se déplacer librement à travers du globe terrestre. Par exemple, les pilotes et les capitaines de navires étudient la coordination des avions et des navires dans l'espace terrestre et l'utilisent habilement aux déplacements sur de longues distances.

En maîtrisant la coordination, l'individu apprend à se reconnaître par rapport aux objets d'environnement, en utilisant la comparaison et le rapprochement. Il met également en œuvre la fonction de calcul. Dès l'enfance, l'individu développe graduellement l'orientation dans son environnement en déployant ainsi sa propre qualité de coordination. Donc, la Coordination n’appartient pas seulement à l’envergure de la Nature, mais aussi aux mini-états comme l’homme.

La Coordination est externe et interne. La Coordination de l'homme dans le monde qui l'entoure lui sera externe et la coordination des éléments dans son corps sera interne. Et c'est déjà la Coordination de différents Niveaux, et de l’ordinalité.

La Coordination est une fonction partielle de la Loi de distribution (voir le livre «Lois de l'Univers ou bases de l'existence de la Hiérarchie Divine»), elle se réfère à ses exécuteurs, de fait qu'elle lui obéit. En ce qui concerne les autres lois, elle est séparée et elle gère même certaines parmi elles. Les lois ont également un accord de coordination et les interactions entre elle et de tout ce qui reste. La fonction de coordination est donc universelle.

Elle combine tout ce qui existe en une seule unité, en positionnant correctement l'un par rapport à l'autre, aidant à maintenir la fonction et des moyens de subsistance des petits et des grands. Il affecte tout: les sujets animés et non-animés, en les lient avec les dépendances définies. Le principe fondamental est de maintenir son existence intégritunique, du fait que le sujet se trouve placé quelque part afin de seulement exister, mais d'aider et de continuer à assurer le fonctionnement intégritunique de la Nature ou du volume particulière. (Mais le maintien de cette dernière, concerne finalement la Nature.)

Proprement dit, la dépendance de l'un à l'autre existe pour développer la qualité, nommée cohésion, ou bien l'unification des formes d'existence les plus diverses. Lorsque la dépendance fait son apparition, les actions entrent en jeu. La forme dépendante cherche de nouvelles façons d'interagir, les formes tentent de coordonner leurs actions dans le but de maintenir une existence intégritunique. La coordination des actions vise non pas les petites choses particulières, mais la société en général, ce qui contribue à la prospérité de tous.

Ainsi, la Coordination aide l’état à maintenir une forme définie, en liant tout ce qui relève de son volume sur la base des lois de la distribution et de la régularité. La coordination permet d’établir la dépendance de tout ce qui existe par rapport à tout ce qui a été créé précédemment.

Vie privée est le indice d’appartenance

7. La Vie privée est un concept qui caractérise la propriété privée. L'état du facteur privé dépend toujours de l'individu à qui appartient la présente propriété.

Le nominant privé peut faire manifester les biens externes, ainsi que les biens internes. Une partie de la propriété externe est la propriété d'une personne à part dans le cas où elle a acquis cette propriété et en est le propriétaire. La propriété interne contient en elle-même tous les développements qualitatifs de l'individu en termes de la formation de sa propre structure.

La propriété privée est un concept relatif qui caractérise les formes ou les phénomènes de possession. Par conséquent, la condition de leur appartenance est définitive dans l’accumulation systématique de données concrètes. Mais l'individu dans le volume universel peut également être nommé en particulier, car il a la possibilité d'un développement indépendant. Et quand il y a au moins une part d'indépendance, il y a de la liberté, qui octroie les certains droits de recevoir et de posséder.

Ainsi, la propriété privée dépend directement de la présence d’une base de développement indépendante, qui comprend les activités de gestion du propriétaire, s’étendant à la propriété, ainsi que toute autre activité associée à celle-ci. Par conséquent, la Vie privée dans ce cas est toujours une fonction assujettie.

La Vie privée est l'état de la substance particulaire qui la caractérise comme faisant partie du volume total. C'est-à-dire que cette particularité est un élément constitutif du volume, dont la structure est basée sur la contenance de ces particularités. Le développement d'états particuliers est opéré au sein du volume total plus puissant qui la perfectionnent tout au long de leur développement.

Ainsi, dans ce cas, le type privé en tant que la personne de ce type privé* reflète la dépendance conditionnelle au facteur externe*, car les détails ici ont une base indépendante pour le développement, ainsi que pour toute progression animée*.

La relativité entre la partie et l'intégrité qui démontre dans ce cas la condition du facteur existant de la structure de base, dans laquelle les parties forment un tout, mais le tout peut également faire partie d’une considération relativement externe, c’est-à-dire externe par rapport à chaque élément. En plus, le volume ou l'état privé reflète la base de la constitution et les principes de développement du volume externe.

Interprétation

7* Nous avons mentionné à plusieurs occasions dans nos livres qu'il y avait quatre Univers dans la Nature de Dieu, le reste étant sous le contrôle d'autres Dieux, c'est-à-dire les Personnalités Suprêmes, qui correspondaient dans leur développement au Niveau de notre Dieu. Nous avons également mentionné à plusieurs reprises qu'il existait la Hiérarchie de Dieu et la Hiérarchie du Diable. Nous pouvons en conclure que la propriété privée existe dans l'univers, où quelque chose appartient à quelqu'un.

Certains espaces, mais aussi les formes animées dont les gens et les nombreuses Substances de la Hiérarchie font partie, appartient à Dieu ainsi comme à Diable. Ainsi, la particularité concerne non seulement le territoire, mais aussi les âmes. Et la valeur principale consiste en âmes, car leur nombre dépend du pouvoir du Hiérarque et de l'espace qui lui est fourni. Par conséquent, la présence d'un concept tel que la Vie privée, autrement dit d'une certaine propriété privée, est tout à fait pertinente à l'échelle de l'univers.

Tout le territoire par ici est divisé et attribué à de certaines Personnalités Supérieures ayant atteints le Niveau de développement correspondant. Un humain nomme les Personnalités pareilles les Absolus de différents ordres, dont il a une idée très vague quant à leur structure. Mais elles possèdent juste le plus haut degré de développement, qui existe dans une variété de dimensions et se réfèrent à l'Intelligence Supérieure des différents ordres. Une zone spécifique du cosmos se trouve derrière chaque Personnalité Suprême, dont elle veille au développement tout en progressant en même temps elle-même.

L'univers entier est divisé en sphères d'influence. Mais les territoires privés n'appartiennent pas à la Personnalité pour toujours, elles les possèdent temporairement aux certaines étapes de leur développement. Une fois traversés ces étapes, les individus prennent de la grandeur en espace et au potentiel de puissance, et les territoires encore plus importants leur sont réservés pour un usage privé. Ainsi, la propriété privée augmente avec développement, et la Vie privée de la Personnalité grandit et prend de l'ampleur.

Une Substance spiritualisée, représentée par Dieu ou l'Absolu assume la responsabilité de son territoire. Elle se voit obligée de modifier son contenu qualitativement, remplir la matrice de l'espace par de nouvelles énergies d'un Niveau plus élevé. Les structures essentielles de l'espace restent constantes. Mais le nouveau propriétaire (Dieu) en conformité avec l'objectif assigné d'en Haut devant lui reconstitue l'espace à sa manière, en créant les modèles qui permettent de travailler avec de nouveaux types d'énergie et de faire les accumulations nécessaires et les transformations des énergies.

Au niveau de son espace privé, le propriétaire est capable de faire à sa discrétion et construire tout ce qu’il juge approprié. Sur ce territoire, il traverse les étapes de développement et remplit la matrice avec des énergies du Niveau supérieur. De cette façon, le territoire est renouvelé et rajeuni. Et à l'échelle de toute la Nature entière, cela ressemble à la mise à jour permanente, à l'autorégulation et au contrôle. C'est-à-dire que c'est le mécanisme de rajeunissement éternel auquel participent les Substances Supérieures (Dieux, Absolus). Ils relient les processus d'amélioration des espaces qui sont mis en leur disposition avec la perfection individuelle.