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Un crime - le meurtre d'un homme ayant écrit de son propre sang les lettres «Monis», un policier-enquêteur et pour finir, un coupable. Classique - mieux - historique, puisque ce roman policier date de la fin du Second Empire, mais aussi un polar, un vrai. Méchinet, agent de sûreté et fin limier, reprend tranquillement, patiemment, l'enquête de zéro pour dénouer l'énigme: débonnaire, attentif aux conseils de sa femme, frondeur à l'encontre des autorités supérieures, il avance patiemment et infailliblement jusqu'au coupable.
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Émile Gaboriau (November 9, 1832 - September 28, 1873), was a French writer, novelist, and journalist, and a pioneer of modern detective fiction. Gaboriau was born in the small town of Saujon, Charente-Maritime. He became a secretary to Paul Féval, and after publishing some novels and miscellaneous writings, found his real gift in L'Affaire Lerouge (1866). The book, which was Gaboriau's first detective novel, introduced an amateur detective. It also introduced a young police officer named Monsieur Lecoq, who was the hero in three of Gaboriau's later detective novels. Monsieur Lecoq was based on a real-life thief turned police officer, Eugène François Vidocq (1775-1857), whose memoirs, Les Vrais Mémoires de Vidocq, mixed fiction and fact. It may also have been influenced by the villainous Monsieur Lecoq, one of the main protagonists of Féval's Les Habits Noirs book series. The book was published in the Pays and at once made his reputation. Gaboriau gained a huge following, but when Arthur Conan Doyle created Sherlock Holmes, Monsieur Lecoq's international fame declined. The story was produced on the stage in 1872. A long series of novels dealing with the annals of the police court followed, and proved very popular. Gaboriau died in Paris of pulmonary apoplexy.
Lorsque j’achevais mes études pour devenir officier de santé – c’était le bon temps, j’avais vingt-trois ans – je demeurais rue Monsieur-le-Prince, presque au coin de la rue Racine.
J’avais là, pour trente francs par mois, service compris, une chambre meublée qui en vaudrait bien cent aujourd’hui ; si vaste que je passais très aisément les manches de mon paletot sans ouvrir la fenêtre.
Sortant de bon matin pour suivre les visites de mon hôpital, rentrant fort tard parce que le café Leroy avait pour moi d’irrésistibles attraits, c’est à peine si je connaissais de vue les locataires de ma maison, gens paisibles tous, rentiers ou petits commerçants.
Lesen Sie weiter in der vollst?ndigen Ausgabe!
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