Le tribunal d'inquisition populaire - Kuman Kafkas - E-Book

Le tribunal d'inquisition populaire E-Book

Kuman Kafkas

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Beschreibung

Akkad Sumer est injustement arrêté à son domicile en raison d’une fausse dénonciation. Après six mois de détention et une longue bataille pour prouver son innocence, il est finalement libéré. Ce livre relate ses expériences, y compris sa visite au Vatican et à la Curie générale de la Compagnie de Jésus en août 2023.


À PROPOS DE L'AUTEUR

Au cours de l’un de « ses rêves numineux », Kuman Kafkas trouve l’inspiration pour rédiger cet ouvrage consécutif à son dernier livre, "Les âmes corrompues", paru en 2023 pour lutter contre l’injustice.

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Kuman Kafkas

© Lys Bleu Éditions – Kuman Kafkas

ISBN : 979-10-422-2160-7

Ce livre est dédié à tous les enfants,

Que le jésuite unisse donc la simplicité de la colombe à la prudence du serpent.

Ignace de Loyola

J’arrive à comprendre qu’il soit possible de regarder la terre et d’être athée ; mais je ne comprends pas qu’on puisse lever, la nuit, les yeux sur le ciel et dire qu’il n’y a pas de Dieu.

Abraham Lincoln

Ne pas être contenu par le plus petit, ne pas être limité par le plus grand.

Introduction

Afin de faire une meilleure entrée et de s’acclimater au livre Le tribunal d’inquisition populaire, il est certainement plus convenable, plus adéquat de commencer par le Prologue du livre précédent : Les âmes corrompues.

Avant tout, il est préférable de clarifier que le récit dans ce livre est réel/non-fiction : c’est un vécu. Tous les lieux, les adresses, les dates, les services, les institutions et sociétés indiqués, ainsi que les évènements et les faits sont (tous) vrais. Les documents et preuves irréfutables dans cette Affaire sont étalés en des milliers de pages dans les dossiers. Par souci d’anonymat, les noms et prénoms des personnages sont des pseudonymes. Cela fait presque huit ans, à Genève, que la vie familiale d’Akkad et celle de ses enfants, son fils Hülâgü-Batikan et sa fille Hilâlî-Maral, est infestée d’abord par les erreurs judiciaires pour commencer, ensuite par les faux rapports, la violation des lois et des droits tant de la Constitution fédérale suisse que de la Constitution cantonale de Genève. La situation intenable commence au mois de mai 2015 : ce père de deux enfants – qui ont également pris l’origine paternelle, naturalisé, citoyen suisse et de Genève – est arrêté par la police qui se base sur les accusations infondées dans une plainte en dénonciation calomnieuse. Il est emprisonné durant près de six mois, mais il réussit à se faire libérer en se battant de toutes ses forces. Dans la tempête quasi mortelle pour ses deux petits, le premier n’avait pas encore trois ans, la deuxième était dans sa première année, lui-même moins de quarante. Après sa libération début novembre 2015, il doit s’engager dans un combat contre une existence déshumanisée, imposée par des personnes qui portent le masque humain, mais qui sont en réalité des Âmes corrompues ; elles emploient des pratiques monstrueuses en semant l’horreur, provoquant des dégâts irréversibles et en assassinant les relations humaines et familiales. Par manque de chance, son fils a dû subir une opération à cœur ouvert quand il avait trois mois, sa fille, une opération crânienne peu après son premier anniversaire et le père s’est fait opérer du pied après sa sortie de prison. De la fin d’année 2015 jusqu’à fin 2018, cet homme a enduré encore la spirale infernale. Au bout de trois ans et demi de vie brisée, il est poussé à quitter le pays – devenu le sien, où il a passé plus d’un quart de siècle –, ses enfants et tout ce qu’il avait construit en travaillant et étudiant sans répit. Au moment des préparations et prises de décision de départ définitif pour l’un des pays anglo-saxons dont il devait faire le choix éminemment, c’est alors qu’intervient un vrai miracle par des rêves numineux : le premier, début décembre, de la Compagnie de Jésus : « Il était habillé entièrement en blanc, ses deux enfants en bas âge étaient avec lui, son fils à sa droite, sa fille à sa gauche, ils étaient accompagnés d’une foule de personnes, tous marchaient à l’intérieur d’un bâtiment aussi grand que celui du Palais des Nations à Genève. Tout à coup, il entend des voix qui s’élevaient de près et de loin, de toute part ; c’est lui, c’est lui, c’est lui ; il est là ; c’est le général des jésuites, c’est le général des jésuites, c’est le général des jésuites, tout le monde criait à tue-tête. Les appels s’élevaient de partout, il lève sa tête et se rend compte que c’est à lui que la foule s’adresse, c’est de lui qu’on parle ; Monsieur, Monsieur, Monsieur. Voyant leurs mains levées, entendant leur voix, il s’arrête et incline sa tête et son buste, comme fait un homme devant son roi, de façon marquée dans les quatre directions. Les gestes de la foule devenaient plus vivants, les cris et appels, plus puissants, se prolongeaient ; il reprend les enfants par la main en continuant de marcher avec les compagnons et l’affluence qui les entouraient des quatre côtés. Quand il a balayé des yeux l’intérieur, il a remarqué que les gens qui les entouraient marchaient en même temps qu’eux, les protégeaient de tous les côtés, comme un épais mur humain, vigilants, et observaient tout l’espace jusqu’au coin le plus éloigné. Ils avançaient calmement, sereinement, tous ensemble. » Puis le deuxième, fin décembre 2018, de son fondateur et Premier Supérieur général : « N’oublie jamais, tu dois mener le combat jusqu’au bout, tu as le devoir de le faire. Je suis seul, je ne peux pas, a-t-il répondu. Tu n’es pas seul, tu peux, dit la voix. Après avoir entendu ces paroles, je le jure, dit-il, en se réveillant. » Ensuite les autres, (notamment celui de fin novembre 2021 dans lequel : « Un homme lui dit, par une voix bienveillante et rassurante, ce livre doit être terminé avant la fin d’année, alors qu’Akkad était allongé à terre même, pensif sur le cours des évènements »), qui ont montré le chemin à suivre à ce père dévoué qui engage un combat pour sauver et protéger ses enfants des Âmes corrompues, quel que soit le prix à payer et quoi qu’il arrive. Que la Terre se divise en deux, que la moitié soit brûlée par le feu et l’autre engloutie par la tempête pluviale destructrice, il n’abandonnera pas ses anges et le combat libérateur. Dès lors, une véritable guerre de survie commence ; Akkad ainsi que les siens sont du côté du Seigneur contre les Âmes corrompues, monstres démoniaques. Il abandonne les préparations et annule définitivement son départ pour l’un des quatre pays : le Canada, l’Australie, les États-Unis d’Amérique ou le Royaume-Uni. Désormais, il prend une voie nouvelle vers une vie nouvelle, car celle d’avant était tuée par les êtres qui violent l’État de droit et les droits naturels, tout en se cachant derrière le visage humain pour pouvoir commettre les actes les plus ignobles : créer des tensions irréparables entre les parents, les frères et sœurs, les enfants et les parents, les séparer, les persécuter, les exploiter comme du bétail. Ce qui empoisonne et anéantit les racines, le fondement de la famille, mais ces créatures ennemies de l’humanité n’en ont rien à faire ; elles veulent assurer leur poste, leur salaire très élevé, et garantir leur carrière. Certaines occupent le SPMi, un service de l’État, où des milliers, voire des dizaines de milliers, de victimes sont enregistrées dans leurs registres et archives. Il y en a aussi au sein des autres institutions étatiques, d’autres dans des sociétés privées. Entre eux, des contrats, allant de quelques milliers, mais sur le long terme englobant divers domaines, peuvent atteindre les centaines de milliers de CHF, voire dépasser le million, sont signés tous les jours. Le combat que ce père et les siens mènent est celui du Bien contre le Mal. La libération nécessite la présence permanente de corps-âme-esprit unis et encouragés par la puissance céleste qui montre la direction à prendre. Le 15 juillet 2019, Akkad Sumer se rend à Rome afin de visiter la tombe d’Ignace de Loyola, le fondateur et Premier général de la Compagnie de Jésus, dans l’église de Jésus, non loin du Vatican qu’il visite également. À l’église, il rencontre un prêtre jésuite avec qui il parle et lui raconte dans un premier temps la situation de ses enfants et de lui, notamment judiciaire, puis ses rêves qui sont un phénomène mystérieux divin, la puissance agissante de la divinité, un sentiment de présence absolue, une présence divine. L’homme de Dieu l’écoute et dit à son interlocuteur, Monsieur Sumer, je peux vous dire qu’en tout cas, c’est très bien, c’est une excellente chose, vous avez de la chance, beaucoup de chance. Dieu vous aime et ne vous laisse pas seul, vos rêves le prouvent. En même temps, s’agissant de votre affaire juridique, vous devez être prudent devant les tribunaux et apporter des preuves de tout ce que vous dites et de tout ce que vous faites, de même que pour les autres, vous devez prouver tout ce que les autres vous disent et tout ce qu’ils vous font. Vous devez en permanence vous protéger et vos enfants et être en mesure d’avoir tous les moyens nécessaires pour vous défendre par des pièces, des preuves et des témoignages concrets. Vous devez être en mesure de présenter des preuves sur les discours, téléphones, messages, lettres, documents officiels, échanges électroniques, conversations lors des entretiens, ou entretiens téléphoniques et vidéoconférences, des audiences au tribunal, ou d’autres éléments devant les tribunaux. Vous devez faire attention à chaque chose, car sans preuve, les gens ne vont pas vous croire. Pour toutes ces raisons, il faut les conserver afin de les utiliser quand le jour, le moment sera venu, c’est juste une question de temps. Soyez prudent, que Dieu vous bénisse, vous et vos enfants. Les années suivantes, 2020, 2021, et 2022 sont passées dans le combat en différents endroits, mais Akkad a suivi la voie tracée par la divine puissance, les conseils des personnes qu’il a consultées pour le porter sur d’autres dimensions, sortant du cadre local passant par celui régional puis national et enfin international pour dénoncer les Âmes corrompues. Car c’est une Affaire qui a les caractéristiques des dimensions sociétales, donc toute la société est concernée. Début février 2022, près de trois ans après la première visite, Akkad décide de se rendre à Rome pour la deuxième fois et visiter la tombe de Saint Ignace de Loyola. Dans le même temps, le 14 février vers 16 h 45, dès qu’il entre dans le Palais du Vatican, côté visiteurs, il se présente à la réception et dit à l’homme d’une quarantaine années, directement en français, je vais voir le Très Saint-Père, à qui dois-je m’adresser ? Ce dernier répondant également en français l’envoie vers les gardes du Vatican. Le chef de la sécurité pontificale lui demande : pourquoi vous voulez voir Sa Sainteté ? Écoutez, je suis ici, parce que j’ai reçu des interventions miraculeuses de la Compagnie de Jésus et de Saint Ignace de Loyola, qui me conseillent et me guident depuis plusieurs années et c’est toujours le cas, entre autres le conseil urgent d’écrire un livre sur l’Affaire, mais avant de le publier, j’aimerais le voir, et lui parler juste un instant, quelques minutes, et je sais que Sa sainteté est membre de la Compagnie de Jésus, répond Akkad. L’homme habillé en costume gris reprend, aujourd’hui, c’est déjà le soir, demain le Saint-Père aune journée chargée, mais le mercredi 16 février le Pape donnera une audience à 9 h 15, Sa Sainteté pourra vous y recevoir, et on va l’informer avant, vous aurez un instant seul avec le Saint-Père. En sortant du Vatican, Akkad se souvient de ce que saint Ignace de Loyola avait dit plusieurs siècles auparavant : « Fais comme si tout dépendait de toi, abandonne-toi comme si rien n’en dépendait ».

Prologue

Le récit dans ce livre, Le tribunal d’inquisition populaire, est la suite du livre Les âmes corrompues. La raison d’être de ce livre, comme le précédent, est basée sur les rêves numineux qui ont commencé au mois de décembre 2018 sur la Compagnie de Jésus et son fondateur et Premier général, Ignace de Loyola (paix soit sur son âme), ainsi que les Jésuites, et les autres.

Les évènements ont lieu à Genève, Suisse, à Rome, Italie, à Loiola, Azpeitia, Espagne et au Vatican. L’ensemble de ce récit, dans le livre, est vécu, réel/non-fiction. Par souci d’anonymat, les noms et prénoms des personnages sont des pseudonymes. De la première à la dernière page, toutes sont semées de points d’interrogation qui questionnent les lectrices et les lecteurs sur la raison d’existence de la vie humaine et de sa mission sur la Terre. Dans certains passages, on tombe dans le vide comme un vaisseau spatial qui voyage dans une zone où il est une absence de gravité. On pourrait parfois se sentir perdu au milieu de nulle part : Que s’est-il passé ? Où on en est ? Est-ce toujours le même livre ? Est-ce que le sujet a changé sans que je me rende compte ? Ai-je laissé passer plusieurs pages par inattention ? En fait rien de tout cela. Si certains écrits se répètent, c’est qu’ils expriment les actes répétés, c’est l’exact reflet de la réalité dans la vraie vie, effrayante. Par conséquent des questions sans nom, nombreuses et intimidantes apparaissent de tous côtés, encore une fois sans pouvoir les nommer. Puis on s’efforce pour donner une forme à ce qu’on lit et relit sur un monde infernal, les persécuteurs anéantissent les persécutés, c’est même leur but.

« Mai 2022 – Rêve : À l’aube du jour, tout était encore plongé dans les ténèbres de la nuit noire, mais on commençait à percevoir au loin, au très loin, les couleurs magnifiques matinales roses dorées très lumineuses de l’aube, accompagnées d’une lumière blanche où l’on est témoin de la naissance d’un nouveau jour, des nouveaux espoirs, la voix habituelle de l’homme lui disait, en envahissant Terre et Ciel dans l’Océan d’obscurité, par un très puissant appel, Ignace de Loyola ! La voix se répandait par vagues. C’est par ce puissant, rassurant et paisible appel qu’il se réveille ».

C’est le combat du Bien contre le Mal. Il n’est pas permis de se décourager, ni désespérer, ni déprimer pour mener le combat en faveur du Bien à terme. Il faut rester puissant, stable, entier, et ce, par corps-âme-esprit, même dans les situations les plus épouvantables. Il est nécessaire de regarder les choses non seulement de l’extérieur, mais aussi de l’intérieur pour percevoir au mieux ce qui est enfermé sous des couches invisibles et malicieuses.

« Juillet 2022, Rêve : Akkad arrive dans un lieu, c’était le soir, il pleuvait des cordes, des flaques d’eau et de la boue partout, il y avait des personnes qui prenaient des notes, bloc-notes à la main, il voyait des gens allongés partout, “ils sont morts” disent les personnes qui prennent des notes. Un homme qu’Akkad ne voit pas dans l’obscurité, lui montre une tombe, ils creusent ensemble, “il est mort” disent plusieurs autour, les deux hommes constatent que l’enterré n’est pas mort, il respire. “Il n’est pas mort”, leur dit-il. “Non, il est mort, disent les autres, c’est fini”, lui répète un groupe. Ils déterrent l’homme, Akkad entend quelqu’un lui dire c’était un père, ils l’ont enterré vivant. Il voit les parents de l’homme qu’ils ont déterré et leur demande : “Pourquoi vous avez laissé faire ces gens-là, enterrer votre fils alors qu’il n’était pas mort ?” Les deux parents lui répondent : “On n’a pas pu faire quoi que ce soit”. Akkad voit un autre homme plus jeune allongé sur le dos ; les personnes qui font des tours partout ne cessent de répéter “ils sont tous morts”. “Non, celui-là n’est pas mort, il bouge, il faut le sauver”, crie Akkad. “Non, répondent de la même manière, les personnes qui prennent des notes, il est mort, c’est fini”. L’autre homme l’aide à le sauver. Avec l’homme qui l’a aidé, ils se sont dirigés vers la sortie et quand ils sont finalement sortis de cet endroit terrifiant, l’homme demande à Akkad, “est-ce que tu as utilisé des éléments de défense ?” Il répond non. Et quand il ouvre les yeux, quel endroit horrible était-ce, se dit-il. »

Cependant, avancer et conserver le fil conducteur s’imposent pour comprendre les graves et nombreux dysfonctionnements, notamment dysfonctionnements personnels au sein des différents Services et sociétés d’une part, la survie des dizaines de milliers de citoyens et citoyennes de l’autre, par les comportements et les agissements inquiétants des âmes corrompues contre le Seigneur. Par contre, personne ne semble pouvoir apporter des solutions aux problèmes récurrents créés gratuitement contre les citoyens et citoyennes. Néanmoins, il pourrait y avoir un aboutissement ; la création d’un Tribunal d’inquisition populaire (TIP) qui pourrait être actif dans deux secteurs : en cas de violation des droits dans le domaine de la petite enfance et violation des Constitutions. Autrement dit, les coupables ou les présumés coupables pourraient faire l’objet d’enquêtes et d’être jugés par cette Institution qui serait sous le contrôle direct de l’Assemblée fédérale et du Gouvernement suisse. Toutefois avec une exception, le Tribunal d’inquisition populaire doit collaborer en toutes circonstances et dans tous les cas avec le Procureur général du canton de Genève. Ensemble, les représentants du Pouvoir fédéral, la Direction du TIP et le Procureur général du canton, ils réaliseront une meilleure organisation de la nouvelle institution. Mais il ne faut pas confondre ce Tribunal avec les Tribunaux d’Inquisition des siècles passés.

Le personnage principal, Akkad Sumer, effectue des voyages en différents lieux : Rome, Loiola et Vatican. Partout, il est accueilli chaleureusement, les portes grandes ouvertes, et chaque fois il est invité à revenir.

« Mai 2023 – Rêve : Lors d’un rassemblement dans une grande salle surpeuplée, un homme, responsable de l’évènement, lui dit : “tu es le Président de la Compagnie Céleste”. Akkad confirme par “oui, je suis le Président de la Compagnie Céleste”. »

Avertissement

C’est une histoire kafkaïenne, comme dans le premier livre, Les âmes corrompues. Il y a des personnes qui abusent d’un pouvoir, à tort bien sûr, bureaucratique étatique omniprésent qui bloque et gangrène les possibilités des modes d’existence. C’est une tragédie humaine. Conséquences terribles : des dizaines de milliers de vies de bébés, d’enfants, d’adolescents, de parents, de familles entières et autant de relations humaines et familiales sont détruites dans des conditions atroces. Parfois secrètement, parfois ouvertement au vu et au su de beaucoup de gens. Les victimes sont punies par des châtiments incompréhensibles basés sur des accusations inexistantes. Il faut aller jusqu’au dernier mot pour comprendre les drames familiaux, la mort, le suicide, la vie rendue handicapée, la perte d’emploi et la perte de logement, les menaces permanentes sur les parents et les enfants, les larmes incessantes des anges et de leurs familles, le tout causé par les âmes corrompues.

Le mal n’est pas dans le monde mais dans LES ÂMES CORROMPUES, ennemies jurées de la Terre et de l’Humanité.

Ce qui est dit et vécu dans ce livre, Le Tribunal d’inquisition populaire et dans le précédent, Les âmes corrompues, n’est que le bout de l’Iceberg.

En cas de conflits ou de complications, logique et raison nous dirigent toujours et sans exception à, premièrement, identifier les problèmes. Deuxièmement à chercher et trouver les solutions. Le Tribunal d’inquisition populaire (TIP), composé de trois parties : représentants du Pouvoir fédéral, la Direction du TIP et le Procureur général du canton de Genève, pourrait être une solution.

De retour de Rome, du Vatican, chez lui, à Genève, Akkad continue le combat avec plus de conviction et il a une pensée sincère pour maître Honoré, un ancien avocat qui l’a défendu et qui a accompli sa mission. Le monde a besoin des avocats comme maître Honoré. Puis il se rappelle une citation du courageux et vénérable président américain Abraham Lincoln : « J’arrive à comprendre qu’il soit possible de regarder la terre et d’être athée ; mais je ne comprends pas qu’on puisse lever, la nuit, les yeux sur le ciel et dire qu’il n’y a pas de Dieu ». Lincoln a empêché la division des États-Unis d’Amérique, et il a réussi à abolir l’esclavage. En effet, pour les âmes corrompues, il n’y a pas de Dieu et ces créatures le manifestent par leurs actes terrifiants et funèbres, par leurs incompétences professionnelles, ce qui met le monde en danger. Toutes les personnes qui entourent Akkad et qui le conseillent régulièrement pour le soutenir étaient dans le même état d’esprit : voir ce combat, achevé, qui dure depuis des années. Alors que les âmes corrompues, qui avaient quitté le monde des humains, manigancent en des lieux fermés pour attenter aux relations et à la vie de leurs victimes. Cela leur permet de créer de l’occupation qui signifie un enrichissement financier incalculable, colossal, sur le dos des victimes, du contribuable et des assurances. Ce qui leur permet d’avoir une carrière dorée, nourrie par le sang et la sueur des humains, de nos citoyens et citoyennes démunis, au sein de l’État et en privé, toujours sur le dos du contribuable. Avant de continuer dans le récit, reculons un peu pour mieux constater l’évolution au sein de leurs réseaux.

Le vendredi 3 décembre 2021 après une visite au Point de rencontre dans les locaux de Féloniea, à 13 h 40, Akkad demande à Alèrnem Kammarkh, l’éducatrice, d’appeler son directeur, patron de Féloniea Sàrl, Silleg Mentandon, pour parler d’un faux rapport, inventé de toutes pièces, manipulatoire, rempli de calomnies qu’elle-même avait rédigé, sous l’ordre et la demande de la curatrice, Quarel Rancob, au Service de protection des mineurs (SPMi), qui, à son tour, l’avait adressé au juge, au TPAE. Lorsqu’Akkad reçoit la copie dudit rapport, il n’en croit pas ses yeux : dans son rapport elle indique les horaires d’arrivée et de départ des enfants et leurs parents, ensuite qui arrive en premier, qui en deuxième, comment les parents parlent avec l’éducatrice, elle parle de nourriture et boissons consommées sur place, quel genre de boissons ou nourriture, comment ils les mangent, comment ils trouvent le goût de la nourriture et des boissons, leurs critiques sur les aliments. On dirait que madame Alèrnem Kammarkh est payée pour des séances de critiques de consommation lui permettant d’humilier les citoyens tombés dans les mains du réseau dont elle est membre et qu’elle soutient à coup de contrats rapportant des sommes colossales à la Société Féloniea. La séance hebdomadaire d’une heure et demie serait d’environ de 400 CHF, encaissés sur les deniers publics, cela peut être bien plus, selon des cas. Puis elle continue d’orner son rapport avec les informations suivantes : à quelle heure les enfants et parents repartent, qui avant, qui plus tard, combien de minutes s’écoulent entre les deux départs. Cette dame payée par les impôts des citoyens, les manipule, provoque le frère contre la sœur, la mère contre le père et inversement, ensuite elle les transcrit dans ses rapports aux collabos au Service de protection des mineurs (SPMi), en ajoutant qu’il y a des tensions (tensions non existantes bien sûr), au sein de la famille et qu’elle a besoin de passer par Féloniea. On ne connaît jamais les délais qui peuvent durer une année au minimum pouvant aller jusqu’à cinq voire une décennie et plus. Dans ce-dit rapport, elle avait également inventé « Monsieur Sumer se montre toujours dans une posture défensive face à votre instance ; donc, contre le SPMi » (Page 259-260 du premier livre). Par là, elle manipule et trompe l’opinion, en faisant croire à tout le monde que le père des enfants est contre l’institution. Or, c’est totalement infondé, elle calomnie ouvertement le père qui, par tous les moyens légaux, essaie de sauver ses deux enfants de la psychiatrisation, de la manipulation, des mains mortelles des pseudos-professionnels et des centres sordides comme Féloniea. En début d’entretien, il demande à l’éducatrice pourquoi elle a fait un tel rapport sur lui et ses enfants, cette dernière répond : je n’ai jamais dit de pareilles choses contre vous, Monsieur Sumer. « Êtes-vous sûre, madame, la questionne-t-il, parce que j’en ai une copie en main, la voici, vous pouvez la voir ». Quand elle a terminé de lire devant son patron-directeur, sa langue se bloque, silencieuse totalement, puis sa langue se délie ; je ne me rappelle pas d’avoir dit tout cela pour vous critiquer, Monsieur Sumer. Le patron soutient sa collabo et chasseuse de contrats, (spécialement auprès de l’État, là où il y a de l’argent facile à encaisser, où les âmes corrompues se servent sans limite) : madame Kammarkh ne parle jamais comme ça, je vous assure, dit le patron. Mais monsieur Mentandon, reprend le père des mineurs, stupéfait par son discours négationniste, dans ce cas qui a fait ce rapport ? Les deux recommencent, « en tout cas nous n’avons jamais rédigé un tel rapport ». Sur cette phrase se termine la conversation. Dans les locaux de son établissement, pour Silleg Mentandon et son personnel, la valeur de nos citoyens et citoyennes est comme celle des animaux contrôlés et torturés, mais très subtilement bien sûr. Heureusement l’esprit et la discipline ignaciens (Ignace de Loyola) sont présents. Vous devez en permanence vous protéger vous et vos enfants. Et vous devez absolument être en mesure d’avoir tous les moyens nécessaires pour vous défendre […] avait dit clairement et avec beaucoup d’affection, le prêtre jésuite à Akkad, le 16 juillet 2019, dans l’Église de Gesù à Rome.

Rentré à la maison, Akkad met par écrit ce qu’il venait d’entendre et l’envoie par courriel le même jour à 15 h 27 à l’éducatrice et à son patron :

« Chère Madame, Cher Monsieur,

Suite à notre réunion tripartite de ce jour, à 13 h 40, entre :

Madame Alèrnem Kammarkh, éducatrice,

Monsieur Silleg Mentandon, directeur de l’établissement Féloniea,

Et moi-même, Akkad Sumer,

Je me permets par le présent message de vous demander, après votre réponse commune orale (que vous n’avez jamais dit ce que Madame Rancob a écrit au juge au TPAE, qu’une telle conversation n’a jamais eu lieu entre vous et elle), une réponse écrite sur ce qui suit ;

Pour rappel, Madame Quarel Rancob, curatrice, a écrit, le 22 novembre 2021, au TPAE : (Le 17 novembre 2021, l’éducatrice de Féloniea nous a transmis ce qui suit : « Monsieur Sumer se montre toujours dans une posture défensive face à votre instance, le SPMi.) Donc, contre ce Service.

Comme vous m’en avez parlé cet après-midi, la réalité des faits, mais par écrit. »

Plusieurs jours passent, personne ne répond. Pourtant, la rédaction de la réponse demandée ne prendrait qu’un instant. Le 8 décembre l’éducatrice envoie une étrange écriture à Akkad :

« Afin de compléter notre échange, pourriez-vous vous rendre disponible mardi 14 décembre prochain à 14 h dans nos locaux ?

J’aimerais revenir sur les propos rapportés au juge au TPAE par Madame Rancob, curatrice au TPAE et vous rencontrer une nouvelle fois avec Monsieur Mentandon. »

Akkad réfléchit, pourquoi elle m’invite pour un deuxième rendez-vous, plus le directeur ? Il voulait régler la question par téléphone, mais les collabos du centre Féloniea l’accusaient de ne pas vouloir se rendre disponible aux rendez-vous proposés dans leurs locaux. Afin d’éviter les problèmes que préparent subtilement madame Kammarkh avec ses amis, il se rend, à contrecœur, dans les locaux de Féloniea, rue Industrielle, à la date et à l’heure indiquées ci-dessus.

Durant toute la discussion, ils essaient de manipuler le père en disant que la curatrice n’a pas dit qu’elle allait envoyer le rapport au juge et répètent que ce n’était pas dans ces termes que l’éducatrice a parlé.« Mais qu’est-ce que vous êtes en train de raconter, Madame Kammarkh ? »Madame Rancob l’a transmis au juge et elle lui a écrit que ce rapport est rédigé et signé par vous. Ni Kammarkh ni Mentandon ne répondent. Puis-je recevoir une copie du rapport que vous avez envoyé à la curatrice, demande Akkad ? Non, répondent les deux, il faut vous adresser à la curatrice. « Mais elle refuse de m’envoyer un exemplaire de votre rapport, et vous le savez », insiste le père. « Rien à faire, ils ne veulent pas l’entendre, le rapport est chez madame Rancob », disent-ils, l’un et l’autre rejettent leur responsabilité. À force de voler, de corrompre, de manipuler, ces gens ont perdu tout sentiment de honte. Ils ont passé un rendez-vous entier à débiter des absurdités, à nier des faits pour remplir les fiches de présence, chaque fiche vaut 400 CHF en faveur de cette société véreuse, payée par les assurances que les assurés doivent s’acquitter, ce montant pourrait varier selon les circonstances. Il pourrait aussi y avoir des fiches de présence des rendez-vous qui n’ont pas eu lieu, mais quand même payés à ce Mentandon qui contraint les victimes à participer au crime financier qu’il commet sans borne contre les assurances et contre l’État. On blâme les citoyens piégés dans les centres divers, mais on ne touche pas les coupables et leurs nombreux réseaux. Akkad exige une réponse écrite et obtient une promesse qui restera, comme d’habitude, vaine, mais il pressent déjà leurs ruse et félonie.

Le 10 janvier 2022, Akkad leur adresse un autre courrier électronique :

« Madame Kammarkh,

Monsieur Mentandon,

Je me permets de revenir sur notre entretien du 14 décembre 2021 et vous informe de l’absence de votre réponse à mes demandes qui datent du 3 et 14 décembre 2021, malgré vos promesses.

Cela fait plus d’un mois pour la première et 4 semaines pour la deuxième. »

Elle répond le 11 janvier 2022 par le texte suivant :

« La réalité n’est pas toujours aussi simple qu’on le souhaiterait.

Nous nous sommes effectivement rencontrés à deux reprises, les 3 et 14 décembre 2021, en présence de Monsieur Mentandon, afin d’échanger sur le courrier du TPAE que vous aviez reçu et les propos rapportés par Madame Rancob à mon égard vis-à-vis de votre situation.

Nous avons pu de manière sereine et apaisée avoir un dialogue constructif et exprimer les positions de chacun. J’ai aussi pu m’entretenir avec Madame Rancob et notre collaboration reste essentielle dans votre affaire. À l’avenir, je serai informée des courriers et/ou informations communiqués au Tribunal. »

Très facilement, habituée à insulter et maltraiter les parents et les enfants, Madame Kammarkh commence par répéter son affront contre l’honnête citoyen, père des enfants, qui n’avait demandé que les faits qui ont eu lieu, donc la réalité sous forme écrite, au lieu d’apporter des réponses, elle écrit « La réalité n’est pas toujours aussi simple qu’on le souhaiterait ». Pendant près de deux mois et une vingtaine de demandes, principalement par mail, mais aussi par voie orale, elle et son patron qui avaient fait des promesses entre les quatre murs dans leurs locaux savaient parfaitement qu’ils ne les tiendraient pas. Pis encore, ils continueront de manipuler leurs victimes. Les occupants de ces lieux sinistres jouent avec les parents et les enfants comme faisaient les nazis dans les camps de concentration, en leur racontant des discours fallacieux par un vocabulaire raffiné : « Mentandon et son personnel disent, vous vous battez vraiment bien contre les curatrices, les curateurs, leurs chefs et supérieurs au SPMi, contre le juge au TPAE et contre les autres, vous faites bien les choses, il faut continuer de vous battre contre ces gens, vous avez raison, c’est normal. Quels manipulateurs ! Les objectifs des nazis et ceux des Mentandon, tout comme les autres centres […], sont différents, mais les méthodes se ressemblent, exploiter et détruire. Dès que Kammarkh, Mentandon ou les autres collabos renvoient les parents et les enfants, ils commencent à rédiger des rapports faux, défavorables et abominables contre les parents et les enfants pour les contraindre de continuer de fréquenter leur établissement, à l’adresse de leurs donneurs et donneuses de contrats au SPMi, un Service de l’État rendu gravement malade par ses collabos (tous ne sont pas collabos). Ce qu’ils appellent Service de protection des mineurs est en réalité un Service de Persécution des Mineurs. »

Puis de nouveau elle écrit le 20 janvier 2022 :