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Tenter de révéler la méconnaissance de monsieur tout le monde en explorant sans limites le vrai sens de mots essentiels, tel est l’objectif de cet ouvrage. Cette liste de mots, bien que non exhaustive, permet de mettre en évidence des problèmes de société, l’ignorance des êtres, les manipulations possibles amenant souvent à la pensée unique, et aussi à une liberté perdue par la délégation de l’esprit.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Après un parcours marqué par des défis et des relations toxiques,
Claude Prouteau a découvert la puissance de l’écriture qui est devenue une évidence pour lui. Ce chemin l’a conduit à une vie plus noble, éveillant en lui une nouvelle conscience.
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Claude Prouteau
Philosophie mon amour
Essai
© Lys Bleu Éditions – Claude Prouteau
ISBN : 979-10-422-4494-1
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
La vie commence par la naissance et se termine par la mort comme chacun sait, entre les deux l’être évolue dans un monde, un contexte, des conditions propres à chacun sans oublier la génétique, tout cela contribue à façonner des caractères, des parcours, des comportements, une vision des choses, des jugements, des points de vue, des réflexions personnelles et profondes ou pas du tout d’ailleurs. Sa vie peut aller de la banalité la plus grande, la plus basique voire en mode survie à des évolutions matérielles ou intellectuelles extrêmes.
Chaque être est unique disait-on, mais il est évident que des cheminements communs ou si proches les uns des autres que des êtres se retrouvent malgré tout et souvent malgré eux dans des situations qui leur confèrent des comportements, des modes de vie ou des pensées très similaires. C’est l’effet de groupe lié à toute société, l’appartenance à une communauté, une ethnie, un pays…
Ensuite ce qui va permettre de construire l’être avec plus ou moins de chances d’évolutions, c’est l’éducation, les expériences de la vie ou la formation intellectuelle, au moins la base qui peut permettre une motivation, d’avoir des outils pour apprendre plus, toujours plus et se prendre en charge. Apprendre est une vaste entreprise, car ce terrain sans limites ne nous permet pas d’atteindre de toutes les façons un jour la connaissance absolue. Après, comment apprendre et pourquoi ? On peut apprendre des tas de choses par l’éducation familiale, l’école, les livres, les médias, les ascendants, les autres en général, mais aussi par ses expériences de vie, l’apprentissage peut se limiter à mémoriser des tas de connaissances sans pour cela qu’une analyse soit réalisée ou nécessaire, une corrélation, un croisement des informations, mais dans le pourquoi apprendre, la compréhension permet de partir dans une autre logique, plus étendue et certainement plus axée sur l’évolution de l’être lui-même.
Apprendre, analyser pour comprendre la vie, les autres et surtout soi-même ce qui reste certainement le point de départ, cela permet de partir vers des réflexions éclairées plus abouties. Pour le commun des mortels, le chemin reste souvent difficile à suivre, au milieu d’un monde que l’on ne maîtrise pas, on cherche des références pour s’assurer un confort de vie, que ce soit religieux, sectaire, communautaire ou alors plus simplement un mode de vie standard ce qui permet d’éviter toute perdition dans des pensées personnelles trop prises de tête, des situations trop complexes à gérer, car sinon il s’agit de se confronter à la vie, aux autres, pour cela il faut avoir construit des modes de compréhension solides, embrasser l’inconnu, le désert et accepter les différences. L’humilité doit alimenter ce moteur, car plus on apprend, plus on comprend et plus on découvre notre propre ignorance, une ignorance abyssale qui doit nous amener à prendre la vie et les autres avec respect.
La vie et les relations humaines consistent à communiquer. Les êtres pour cela ont inventé le langage, je parle ici essentiellement de la parole dans nos pays développés. Parler c’est mettre des mots les uns derrière les autres pour se faire comprendre. Évidemment il existe une foultitude de niveaux de communication, du dialogue purement matériel aux conversations les plus intellectuelles, les plus élaborées et entre les deux, des conversations très variées selon l’évolution des êtres.
Les mots ont le plus souvent un sens « premier degré », basique qui implique une pauvreté ou une simplification dans l’utilisation, un sens très limité qui n’apporte pas la consistance nécessaire parfois pour expliquer et argumenter vraiment. En fait nous devrions nous poser la question de la définition plus ou moins profonde des mots pour apporter cette consistance nécessaire lors de leur utilisation, pour moi c’est là que la philosophie apporte un éclairage salutaire en cherchant sans fin à comprendre les choses au-delà du premier degré.
La question est de savoir si l’on doit tout apprendre des autres, du passé et donc de ceux qui nous ont laissés leurs connaissances à travers les livres par exemple comme s’il n’y avait plus rien à découvrir, à comprendre. Ceci est aussi valable dans bien d’autres domaines comme l’art par exemple ou la littérature. Bien sûr que l’héritage est riche et précieux, il est surprenant de constater la haute conscience et l’énorme richesse laissée par les philosophes, les peintres, les sculpteurs, les poètes, des intellectuels ayant vécu bien avant nous et de voir à quel point des années ou des siècles plus tard leurs œuvres, leurs analyses sont intemporelles ou nous apportent un terreau d’une immense fertilité, à se demander parfois ce que nous pourrions faire de plus. Cependant le monde évolue toujours, les contextes sont différents et ça nous invite à réfléchir encore et encore. En revanche il est des domaines où la vérité d’hier reste celle d’aujourd’hui, l’analyse des êtres et la philosophie.
Ma vie personnelle est certainement particulière par rapport à cette approche de la compréhension des choses, du monde, des humains et peut-être surtout des mots qui sont extrêmement révélateurs des comportements dans nos sociétés développées. Je suis venu d’un monde si modeste, si pauvre que les mots se limitaient à l’essentiel pour communiquer, d’autant plus que la peur de ne pas savoir faire ou dire restait un des sujets les plus angoissants pour moi, trop timide, le terrain de la communication n’appartenait qu’aux autres. L’ignorance servait de frein à la communication d’autant plus que plein d’observations dans ma tête généraient une envie forte d’exister dans les débats sociaux. Comprendre sans pouvoir partager ses idées apportait une souffrance souvent insupportable, mais quand ce phénomène vous habite depuis longtemps on vit avec ce mur infranchissable, un mur qui rassure par ailleurs pour éviter un saut dans le vide, un mur qui contient aussi votre peur, un mur qui vous emprisonne et qui vous protège en même temps.
Durant des années faute de beaucoup échanger avec le monde, j’ai cultivé mon jardin à partir des expériences de vie. La vie des autres n’est pas forcément la sienne et dans notre monde, les rapports humains sont certainement la meilleure référence pour apprendre. Après pour comprendre c’est une autre histoire, car là commence un travail intellectuel qui demande d’entrer dans l’effort plutôt que de se laisser porter avec légèreté par l’opinion publique, dans ce cas il s’agit de penser comme tout le monde sans se poser de questions, sans faire de vagues. Ce travail m’a effectivement demandé de passer progressivement dans une quête de plus en plus marquée de recherche pour comprendre.
Pourquoi ? Ma démarche fut motivée par une nécessité absolue, une envie indéfectible de m’éloigner d’une certaine image de médiocrité, de bêtise, d’ignorance, d’insipidité qui au fond de moi ne me ressemblait pas. Sûrement l’ego depuis trop longtemps en souffrance, mais la vie vous apporte aussi des éléments déclencheurs, des évènements qui peuvent vous éteindre ou vous faire rebondir pour aller plus haut et trouver la lumière. J’avais une vingtaine d’années, naïf en partie, quand je vécus la première grande trahison, celle d’amis, je sais que cela s’est produit dans la plus grande inconscience, mais l’effet fût terrible pour moi et là, je suis parti au contraire dans les abîmes de la déchéance pendant longtemps en me victimisant, quelle erreur, pensant comme beaucoup que le destin me prendrait un jour par la main pour me sortir de cette situation injuste à mes yeux, et bien, il me faudra beaucoup de temps pour comprendre que le meilleur ami c’est soi-même, qui mieux que soi peut vous aider à sortir de cette « torpeur », personne ! Ce fut le contraire environ 23 ans plus tard, quand même, en 1998, même si mon statut de victime était évident cette fois-ci, après des décennies d’inexistence partagées entre confort et souffrance, surtout 5 ans de harcèlement au travail. Alors, je me suis jeté dans le vide défiant toutes mes peurs et acceptant la confrontation au monde, aux humains, c’était le début d’un apprentissage long et difficile, mais tellement enrichissant. Entre observations et analyses je commençais à me comprendre dans cet espace d’humains, j’expérimentais avec le désir d’exister enfin et je découvrais en moi petit à petit des capacités, des ressources et même des pépites dont les autres me faisaient écho.
Pourquoi ? À nouveau, en 2008, la vie m’a confronté à une énormité concernant les rapports humains et ceci est en connexion avec mon évolution précédente à partir de 1998. J’ai vu naître dans mon intimité amicale le phénomène de la jalousie, une jalousie vraiment démesurée avec pour conséquence au bout du bout une rupture relationnelle inévitable et salvatrice après des mois douloureux de questionnements. Impensable pour moi et inacceptable qu’on soit jaloux de moi, de ma famille surtout et à ce point. Ce point de rupture fut une énorme déception et en même temps une révélation pour ne pas dire une libération énorme. Ce choc terrible amena chez moi une prise de conscience extrême. En réponse à un courrier reçu reconnaissant une culpabilité très minimisée, loin de la réalité et sans qu’il y eut la moindre évocation de notre problème avant, avec ce couple qui avait fini par nous ignorer totalement, leur but étant d’effacer l’ardoise en nous manipulant pour revenir curieusement un jour dans notre espace, il fallait que j’oppose des arguments sans failles, une nécessiter de démontrer que la partie adverse si l’on peut dire vivait dans le mensonge et le déni, il fallait que l’on ne puisse pas se dérober et que mes mots verrouillent toute tentative d’échapper à la vérité. Je compris à ce moment-là toute l’importance des mots. Mon courrier simple et efficace a fait son effet, je me sentais un peu fier de dire la vérité de manière douce, mais sans colère, qu’avec des mots. Mais par la suite, ce fût le déclenchement d’une surenchère dans un mépris insupportable lié à l’ego énorme de ce couple qui se prétendaient amis depuis toujours, bien sûr qu’il s’agissait d’une pure bêtise, mais surtout pour moi le constat insupportable qu’ils avaient nié ce que nous étions devenus ma famille et moi par une mise à distance longue, et puis un retour soudain avec une condescendance brutale et insupportable. Le couple extrêmement orgueilleux ne voulait pas perdre la face et a mis tout en œuvre pour occulter ces 5 années de relations escamotées, à mes yeux ça alimentait encore plus ma détermination à rompre et ce fût réalisé sans fâcheries, je m’en suis tenu à leur dire que nous souhaitions rester dans la continuité de la non-relation qu’ils avaient eux-mêmes instaurée et tourner la page ainsi. Il faut dire que c’était la fin de 40 ans « d’amitié » depuis l’enfance et que je me suis vu coupable et responsable aussi d’avoir accepté cette longue relation parfois toxique avec naïveté, mais aucun regret, car la vie nous construit de toutes les expériences vécues. Cet évènement commença à construire chez moi à partir de là un édifice sans limites, une envie folle de démolir ce mur qui m’empêchait d’exister pour grandir enfin et toujours, être en phase avec ce que je suis vraiment depuis longtemps au fond de moi.
Voici donc le décor planté, inutile de développer plus sur cet évènement sordide. Juste pour dire que la confrontation avec les autres et soi-même nous place sur une trajectoire positive pour qui fait l’effort de comprendre. Écouter les autres, faire pour les autres, entrer dans une humilité consciente, mais exister, ne pas s’oublier, surtout travailler à rester lucide, dans une pleine conscience de manière à échapper à ses pensées les plus moches et puériles, ses névroses ? Toujours prendre du recul par rapport aux informations reçues, aux invectives, aux évènements, éviter d’entrer dans l’agitation provoquée par les « compréhensions » du 1er degré. Bien sûr les points de vue ne sont pas très personnels en général dans notre monde médiatique, mais j’aime justement parler de la ronde des points de vue quand même, il est intéressant pour ne pas dire indispensable d’écouter toutes les idées autour de soi et tout ce qui se dit, ça permet de mieux comprendre la société, ce qui s’y passe, pourquoi les gens disent ce qu’ils disent, avec quels arguments…
Se questionner profondément voire sans limites permet d’avancer dans le domaine du possible, l’espoir de vivre en paix avec soi-même et les autres, en harmonie, car comprendre apporte la paix de l’esprit contrairement au monde dans lequel on vit. L’agitation permanente des politiques et des médias, des réseaux sociaux, tout cela contribue à nous envahir d’informations qui formatent les esprits sans possibilité d’y voir clair et de réfléchir. Nous vivons dans le monde de l’instantané alors que les réflexions demandent du temps, parfois d’aller chercher des explications dans l’histoire ou le passé pour des opinions plus proches de la vérité. Les analyses n’existent pas ou peu malheureusement et on éclipse des données indispensables pour servir une autre vérité qui arrangent certains, c’est fort dommage en pensant que des personnalités cultivées et intelligentes adhèrent à ce système, ça montre bien les limites de l’honnêteté intellectuelle pour donner priorité à des postures purement dogmatiques ou intéressées, ou alors il manque peut-être du courage, dit plus crûment, il s’agit de lâcheté. Comme nous sommes entrés dans l’air du numérique, la manière de penser devient étonnamment de plus en plus binaire si pensées il y a, alors qu’il existe tellement d’espaces à explorer entre le blanc et le noir, c’est un peu comme la vie d’un être, on ne peut pas résumer celle-ci à la naissance et à la mort, entre les deux il existe tellement de choses, une telle diversité d’évènements que le principe binaire n’a pas sa place. Paradoxalement le domaine binaire ne se prête pas à des tergiversations, car il faut bien l’avouer, la pression est grande et l’injonction omniprésente pour choisir entre le blanc et le noir aujourd’hui, pourtant nous assistons à des discussions sans fin sur la scène médiatique concernant des tas de sujets pour lesquels la cause est déjà entendue, en fait on a l’impression de beaucoup de bla-bla sans que l’on donne un sens profond aux débats sur les sujets traités, l’espace entre deux camps n’existe plus et les débats ne sont plus vraiment justifiés.
Comment échapper au flux de la pensée unique, il faut imaginer une route sur laquelle tout le monde converge pour différentes raisons et l’essentiel de la cause se situe au niveau du nombril, c’est l’ego. Que vous vous sentiez agressé verbalement par exemple par quelqu’un, vous vous retrouvez sur la même route que la plupart par une réaction de colère et d’agressivité. Si vous participez à une conversation au sein d’un groupe et que vous tenez le même langage que la majorité sans avoir la maîtrise de vos dires, vous vous retrouvez sur la même route que ceux qui adhèrent à cette idée. Tout cela paraît simpliste et bien naturel, mais en fait l’ego se trouve attaquer dans le premier cas sans pour autant que ce soit si grave pour justifier la colère et dans le deuxième cas il s’agit d’éviter la confrontation, se protéger ou alors se satisfaire de bien penser puisque c’est le cas de la majorité. Dans les deux cas, l’ego est un piège qui nous enferme et empêche une ouverture d’esprit.
Alors il existe un outil précieux pour justement prendre de la distance par rapport à tout ce qui peut déranger notre ego, notre être. C’est le lâcher-prise, une façon de ne pas réagir de manière spontanée, mais de mettre une barrière le temps de passer de la pulsion à la raison. Est-ce si grave de l’entendre dire ceci, dois-je manquer de courage pour ne pas dire vraiment ce que je pense, est-ce que je dois forcément répondre, réagir, intervenir. Bien sûr que là encore l’ego nous oblige pour ne pas se sentir exclu, coupable ou broyé par autrui. Alors c’est là qu’un difficile travail permet ce lâcher prise, ce que pense les autres, ce qu’ils affirment à tort pour soi, ce qu’ils diffusent parfois en nous ciblant de manière directe ou plus ou moins subtile pour nous interpeller ou nous provoquer, il faut se dire que ça leur appartient et parfois laisser les gens dans leur ignorance ou leur bêtise vaut mieux que des discussions ou des querelles stériles. Mieux vaut réserver les discussions intéressantes à ceux qui sont capables d’échanger vraiment, même en parlant un peu fort avec passion si besoin.
Toutes ces remarques nous amènent encore et toujours à analyser pour comprendre et c’est aussi une façon de dire que mieux vaut rester humble, s’avouer qu’on est ignorant soi-même de tellement de choses. Réfléchir me semble être un bon chemin pour grandir et je suis persuadé que la philosophie nous amène vers la liberté, la sagesse, un rapport aux autres bien plus ouvert. Notre regard de tolérance, d’acceptation, d’indulgence peut nous apaiser et s’il était partagé par le plus grand nombre, alors ce serait le début d’une humanité plus belle. Je me dis que la démarche de Gandhi devrait nous inspirer, car la violence nourrie la violence et ne nous amène nulle part dans le règlement des conflits, mieux vaut convaincre et être convaincu, certainement gagner plus par les mots, plus par les arguments que la violence, la violence verbale ou même physique.
C’est un vaste chantier que celui qui consiste à comprendre le monde, comme déjà dit le monde se comprend déjà à travers le langage, les mots derrière lesquels se cache un sens profond.
C’est un mot employé à gorge déployée par tellement de responsables politiques et d’intellectuels, mais aussi de personnes ordinaires dans un sens vulgaire sans en connaître forcément le sens profond. Alors c’est quoi au juste la liberté ?
Déjà le mot liberté doit se définir avant tout, certainement en deux parties distinctes, la liberté personnelle, celle qu’on a dans la tête, intrinsèque et la liberté dans le domaine communautaire, celle dont on dispose dans toute société.