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"La souffrance est une bénédiction - Autobiographie de Jupiter Steeve" raconte le parcours d'un jeune homme brillant et déterminé à réussir malgré les défis qu’il traverse. Au-delà de son histoire, découvrez sa philosophie du succès, inspirée par des figures historiques, et explorez une riche variété de citations tirées à travers les âges.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Salomon Alves a toujours été convaincu d’exprimer ses pensées à travers sa plume. Guidé par des visions, il conçoit des scénarios pour donner naissance à ses écrits. Auteur de deux ouvrages publiés dont "Les quatre saisons de l’amour", il vous livre à présent "La souffrance est une bénédiction - Autobiographie de Jupiter Steeve".
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Salomon Alves
La souffrance
est une bénédiction
Autobiographie
de Jupiter Steeve
© Lys Bleu Éditions – Salomon Alves
ISBN : 979-10-422-1268-1
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Ce roman retrace l’expérience de ma vie. Un enchaînement d’obstacles me rapprochant de mon créateur. Une pluie de bénédiction m’a envahi dans tout mon être et à travers l’environnement. Je souhaite que ce livre vous apporte les réponses dont vous avez besoin pour faire face aux intempéries de la vie. Il est difficile de trouver la force d’avancer lorsqu’on a l’impression que le monde est contre vous. Cependant, rien n’est facile. Cette vie nous apprend tous les jours à nous battre, à se relever après chaque chute. C’est alors que l’on devient de plus en plus fort. C’est un long chemin, il faudra s’armer de patience, de volonté, de détermination, car sans ces principes, il vous sera difficile d’atteindre votre objectif ultime ; Le succès.
Disait la sage-femme, de l’hôpital de la Sainte Trinité, à ma mère. Elle était en train de vivre la meilleure expérience de sa vie. Mettre au monde son sang, la chair de sa chair, est l’une des plus belles choses que les femmes ont la chance de vivre.
La reproduction, un but pour tous. Porter son enfant, marquer l’humanité par sa présence, c’est magnifique.
Cependant, ce n’est pas de tout repos. Ma mère a dû passer les 7 plus longs mois de sa vie ; la grossesse. Entre souffrance, bonheur, rire, pleure, ma mère a dû faire face à des souffrances pour que je puisse me présenter à l’humanité. Je suis venu au monde prématurément. J’étais dans le ventre de ma mère, elle voulait déjà me faire découvrir le monde. Cette hâte était compréhensive. Mettre au monde un enfant est un cadeau immense.
Il faut passer par une certaine souffrance, pour pouvoir apprécier la valeur d’une chose, que l’on a en sa possession. Cette peine, ce changement d’humeur, se sentir laide parfois, tout cela ; avaient pour but, de renforcer le lien indescriptible, que l’enfant aura avec sa mère.
Par des cris, des pleurs, je pointe le bout de mon nez dans ce monde nouveau pour moi. Un environnement assez complexe, dans lequel, au fil du temps, je devrais apprendre à y vivre. J’allais faire face, au cours de ma vie, à de multiples péripéties et de déceptions.
La vie, par sa façon, allait me donner des leçons, m’apprendre à devenir un homme. Je commençais néanmoins mon long chemin dans cette vie avec l’accompagnement et la présence de ma tendre mère.
Je ne pouvais pas encore imaginer, le lien qui allait m’unir à elle. Un long cheminement dans notre vie, qui allait nous rapprocher plus. Un lot d’expériences, de conflits et d’incompréhensions mettra à l’épreuve notre amour.
Je le savais pas encore, mais cette femme serait l’amour de ma vie. Cette personne qui serait toujours présente dans ma vie. Mon bonheur serait sa quête quotidienne.
La vie est tellement compliquée, rempli d’inattendu et de fourberie, qu’il faudrait s’accrocher à quelque chose de pur et d’authentique, pour pouvoir, continuer son chemin. Certaines retrouvent cela dans la religion, le travail, la passion… Nous, on l’avait déjà trouvé dans les yeux de l’autre.
Selon des dires, mes moments de paix, de calmes, je ne pouvais l’avoir que dans ses bras. Pointant mes yeux sur son visage, qui de jour en jour, devenait familier et me faisait sourire à chaque fois que je le voyais.
Je pense au plus profond de moi qu’elle ressentait la même chose que moi. Notre amour pour l’autre ne pouvait être quantifié. Les sentiments naissant de cette relation ne peuvent connaître qu’une évolution exponentielle.
La protection, le calme qu’éprouve l’enfant juste en voyant sa mère, provient sûrement de la grossesse. Cette durée de temps a fait naître leur relation. Son existence dépend du seul vouloir de sa mère.
La naissance de l’enfant est un moment inoubliable pour la famille. Les gens proches, les personnes que l’on aime, qui, depuis le début, ont pu assister à la formation de l’être.
Sa venue au monde, après une longue souffrance de la mère, s’accompagne de cri de joie et de prières pour l’enfant. Certaines cultures organisent une fête mémorable au jour 7 de sa naissance.
C’est le moment choisit pour féliciter la mère et lui promettre, un soutient de taille tout au long de sa vie. Des personnes qui ne vous quitteront jamais, qui seront toujours présentes pour vous.
L’éducation de sa progéniture semble être une chose assez difficile dans la société actuelle. Il faut beaucoup de courage et de bons sens. Une mère célibataire aura sûrement beaucoup de mal à s’occuper seule de son enfant. Si elle devait se trouver dans cette situation, elle le ferait sans se plaindre. Les mères développent une force surnaturelle lorsqu’il s’agit de leur enfant.
L’amour qu’elles peuvent avoir pour ce dernier n’aura jamais d’égal au cours de sa vie. On ne peut atteindre l’intensité de ce sentiment. On peut remarquer que les mères ne se mettront jamais à juger leur enfant. Il peut avoir les défauts les plus ignobles, un comportement détestable, mais il trouvera toujours refuge auprès de sa mère. Elle sera la plus loyale des partenaires. Je pense que c’est la seule au monde qui espère mourir avant son enfant.
Dans la majeure partie des cas, c’est cette relation qu’un enfant a avec sa mère. Parfois, on tombe sur des cas exceptionnels de mères qui ne ressentent rien pour leur enfant. Cela peut avoir un lien avec le moment où l’on a conçu ce dernier. Souvent, le père est pointé du doigt. Il se peut également au cours de leur vie, des circonstances feront que ces deux êtres s’éloignent, devant des inconnus. C’est là que l’on verra l’importance d’une bonne éducation.
Un foyer stable, avec la présence des deux parents, aura une importance capitale sur l’avenir de l’enfant.
S’entourer des membres de sa famille est, selon moi, une force que Dieu nous offre. Des personnes aimantes, sans jugements, sans vices.
Un foyer chaleureux où l’on peut grandir sans peur de se faire juger ni blâmer. Un havre de paix que j’avais connu depuis ma naissance avec la présence de ma mère et ma marraine.
Des femmes fortes, braves qui ont bercé mon enfance. Je n’étais qu’entouré de femmes. Une tendresse venant de leur part que je vivais au quotidien.
Elles pouvaient être tendres, douces, mais aussi, dures lorsqu’il s’agit de mon éducation. Elles se sont occupées de mon apprentissage, que ça soit au niveau scolaire et aussi des principes pour réussir sa vie.
Un but commun les animait. Transmettre l’héritage de notre famille. Un cadeau que ma mère avait reçu de ma grand-mère, qui ne croyait qu’en une seule chose véridique, l’entraide. Elles m’ont toujours appris, à aider les autres. Les personnes qui sont dépourvues de moyens, de familles, méritent toute l’aide à disposition.
Faire passer les besoins des personnes que l’on aime avant les nôtres. Surtout si la personne en question était ma mère.
Cette brave femme a été victime d’un sort. Une chose assez peu prise au sérieux par la majeure partie des gens. Cependant, bien présente dans notre culture des Antilles.
Sa générosité, sa disponibilité envers tout le monde lui ont valu la haine venant de certains membres de notre communauté.
Essayer de faire du bien autour de vous n’attire pas seulement les bonnes personnes, mais aussi les mauvaises. Dans le monde, les sociétés qui la composent, le mal sera toujours présent. Les disciples du diable essaieront de vous faire peur. Vous décourager, ou vous faire abandonner la noble cause que vous avez entreprise. N’ayez jamais peur de là où vous passez, l’éternel est avec vous. Ayez une confiance absolue en lui, le diable ne pourra pas vous atteindre.
Le mal ne doit pas vous faire abdiquer. Lorsque vous êtes en train de faire du bien, ou votre quotidien, c’est d’aider les gens, continuez. Même si la route est sombre, sachez que votre foi éclairera votre chemin. Rien ne sert de s’inquiéter, vous portez en vous le courage venant de votre seigneur. Restez prêt des gens que vous aimez lorsqu’ils ont besoin de vous. Votre soutien leur permettra d’être forts et de vaincre.
Sans comprendre ce qui lui arrivait, ma mère n’avait goût pour rien. La paresse s’emparait de son corps au fur et à mesure que le temps passait. Ma grand-mère allait régulièrement à l’église pour prier et demander grâce à Dieu afin de sortir sa fille de cette emprise.
La religion avait une importance capitale dans la vie de ma grand-mère. Cependant, sa déception fut grande lorsqu’elle avait compris que la cause de l’état dépressif actuel de sa fille était un homme qu’elle avait connu.
La pensée commune soutient le fait que nos ennemis sont souvent des membres de notre famille. Une personne qui ne vous connaît pas ne peut vous haïr. Pour que l’on vous jalouse, il faut que la personne connaisse votre vie. Seulement votre entourage est au courant de votre quotidien, donc la majeure partie de vos ennemis viendront de vos proches. Ne leur laissez pas la possibilité de vous nuire. Affrontez-les par les actes qui améliorent votre vie. Voltaire avait compris cela en affirmant, Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m’en charge.
Elle ne pouvait imaginer qu’une personne qu’elle a côtoyée pourrait s’en prendre à elle. La jalousie, l’orgueil mènera toujours l’Homme à sa perte.
Lorsque Dieu est présent dans votre cœur, vous disposez d’une force physique et spirituelle que vous ignorez. En effet, ma grand-mère continuait de prier, de faire des louanges au seigneur afin de donner une santé et d’éloigner le malheur de sa famille.
La cause de ses soucis, une personne jalouse. Mais en tant que bonne croyante, elle a accepté de s’en remettre à son créateur, qui est le seul juge, qui peut rendre le meilleur jugement possible.
Malgré tout ce qui se passe dans sa vie, ma mère n’a jamais manqué le soutien de sa famille, qui était présente, en lui facilitant son quotidien de jeune mère.
Cette façon de penser, cette cohésion de groupe, m’a permis de grandir avec une bonne mentalité et des valeurs sûres et saines. Je pense que la meilleure chose que nos parents peuvent nous laisser en héritage, c’est l’éducation. Un Homme qui acquiert une discipline, un enseignement rempli de bonnes vertus, ne peut que réussir sa vie. Avoir une richesse est avant tout une question de perception. En d’autres termes, la majeure partie des gens pensent que l’argent est la meilleure des richesses. Je pense que c’est une incompréhension totale de la vie de penser comme cela. Cette existence est incroyable, remplie de surprises. Les valeurs morales ainsi que notre comportement nous permettront d’être heureux. La vraie richesse se trouve dans l’épanouissement spirituel et l’entraide.
Père absent
Comme tout enfant, la logique voudrait que les deux parents soient présents pour s’occuper de leur enfant. C’est l’instinct inné qui anime chacun de nous. La relation qu’un parent peut avoir avec son enfant ne sera jamais égalée.
Une forte envie de protéger, d’aimer sa progéniture est encrée en chacun de nous. Un comportement que l’on ne peut expliquer. Aimer une personne s’en même l’avoir rencontré, ni même l’avoir parler.
On peut voir cet exemple avec les animaux, qui souvent s’occupent de leur portée jusqu’au jour où ils pourront se débrouiller seuls. Se privant de nourriture jusqu’à se sacrifier lorsqu’un danger guette ou essai de s’en prendre à sa progéniture.