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Âgé de cinq jours, Léo, le dernier à être adopté, a été récupéré sur un toit. Sa mère l’ayant abandonné, son histoire est une succession de surprises. Elle s’entremêle avec celle des autres chats de la maison. Sa vie relève d’un véritable miracle. Découvrez-la !
À PROPOS DE L’AUTEUR
Écrivain, professeur de littérature arabe, chanteur de musique orientale et classique, Abdelkarim Belkassem est oudiste et ténor au sein d’un orchestre arabo-andalou. Il consacre son temps à l’écriture de romans qui servent de pont entre les cultures française et marocaine ainsi qu’à la rédaction d’essais.
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Seitenzahl: 168
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Abdelkarim Belkassem
Léo, mon petit chat doré
Roman
© Lys Bleu Éditions – Abdelkarim Belkassem
ISBN: 979-10-422-0384-9
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L. 122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L. 122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L. 335-2 et suivante du Code de la propriété intellectuelle.
Du même auteur
Nous disons toujours que les animaux sont plus fidèles et plus doux que les humains !
Ils accompagnent les hommes et les femmes sans faire de différence.
Un chat ne trahit jamais son maître ! C’est le contraire pour ce dernier qui l’ignore quand il ne veut plus s’amuser avec lui ou qui l’abandonne au bord de la route.
L’homme est un traître par instinct et le chat est un animal attaché, par instinct aussi !
Mon histoire avec les chats, en France, a commencé en 2004 quand j’ai posé mes valises dans mon pays d’adoption. Les chats m’accompagnent depuis.
Ils pansent le mal-être subi par l’absence de mes proches et de mes amis, après avoir quitté ma ville natale pour une autre, inconnue, avant de rencontrer la femme qui m’accompagne, elle aussi, dans la vie.
J’avais 40 ans et cet âge-là est celui de la maturité, de la responsabilité. Le cerveau fonctionne à pleine capacité.
Ensuite, la vie devient différente. On ressent l’importance de vivre et de profiter de ce qui reste, car l’enfance, l’adolescence, l’âge de la folie sont terminés !
Les amis sont rares et les chats prennent une place dans notre vie, quand nous n’avons personne d’aussi attachant qu’eux.
L’histoire a commencé avec une petite chatte de passage. Elle se montrait à la fenêtre côté jardin, au sud ou passait la porte entr’ouverte. Quand elle franchissait le portail côté rue, elle circulait dans l’allée à pas feutrés.
Le silence est un moyen de survie !
Un chat n’apparaît jamais n’importe où, à n’importe qui. Il se présente à quelqu’un en qui il a confiance, avec qui il a envie de se lier.
Ses sens de chat lui donnent un avantage !
Il entend mille fois mieux que nous. Ah l’oreille féline ! Surtout l’oreille, il n’y a pas plus sensible aux bruits, qu’un chat ! Et il voit mille fois mieux, de jour comme de nuit.
La petite chatte « douce », son surnom, vient en souplesse en prenant le temps de s’approcher. À quatre pattes, au ras du sol et elle baisse le regard quand le maître la fixe.
Elle avance silencieusement, calmement, attentive à tout. On dirait qu’elle est en chasse !
Quand un chat sent sa proie, il rampe, pas après pas, sans aucun bruit.
Pour nous, le chat est souvent discret, sauf quand il fait tomber des assiettes dans la cuisine. Quand il fait du bruit, ce n’est pas un acte manqué, ni une bêtise mais un geste pour attirer l’attention. Il signifie qu’il est présent et qu’il veut quelque chose, souvent à manger dans sa gamelle.
Le chat sait que son maître lui donnera ce qu’il ne peut pas chaparder tout seul.
On oublie que le chat n’ouvre pas les boîtes et ne peut pas se servir, comme il veut. Il est dépendant de nous qui avons la capacité de préparer et de cuisiner des mets pour eux comme pour nous.
Le chat fait ce qu’il peut, sinon, il se manifeste pour alerter son maître.
Il ne réclame pas toujours en douceur. Parfois, il y met toutes ses forces et réagit violemment pour que son humain soit attentif. Surtout quand il a confiance en son maître et qu’il semble considérer qu’il doit le gâter.
— Tu me donnes ce que je réclame ! Alors on est ami. Tu ne me sers pas, nous devenons des ennemis et tu souffriras avec moi…
C’est le comportement du chat. Du moins ce qu’on peut interpréter de ses réactions. Il utilise des attitudes semblables aux nôtres !
Et on dit qu’un chat n’a pas de sentiment et que l’homme lui impute son propre ressenti… de l’anthropomorphisme.
Je pense que le chat, lui aussi, sait ce qu’il fait quand il quémande puisqu’il utilise les mêmes gestes pour répondre à sa faim.
Peut-être qu’instinctivement il n’y a pas de différence, entre lui et nous !
Avant les hommes, il y avait les animaux !
La science n’a pas réussi à résoudre l’énigme sur qui était le premier sur cette planète ou qui a pris la place de qui ! Ce dont on est sûr, c’est que les créatures vivantes, dont les chats, étaient présentes des milliards d’années avant nous.
C’est sans doute pour ça qu’à chaque fois qu’on arrive quelque part, on trouve des chats habitant là avant nous. Ils sont là, toujours là, et personne ne peut les déloger.
Le chat fait partie de la nature, comme les arbres et les plantes. Leurs graines sont semées et il suffit d’un brin de vie pour qu’ils se développent.
On dit que les chats habitent des égouts et des terriers. Ils n’ont même pas besoin d’une maison pour s’abriter mais ils ne refusent pas le confort. Comme les hommes, ils aiment être des rois dans leur environnement.
Dès notre installation, un chat arrive de nulle part !
On dit, au Maroc, que le chat est un djinn. Il apparaît et disparaît à son gré. On le voit partout et, parfois, il ressemble tellement à un autre qu’on dirait que c’est le même n’importe où on va.
On devient fou à voir et à entendre des chats. Très malins, quand ils voient quelqu’un arriver de très loin, ils se faufilent entre les plantes ou dans les ruines et se cachent. Parfois, un chat fuit son maître, quand il ne veut pas être approché.
C’est un enfant gâté ! Il commet des bêtises et se protège pour ne pas être puni.
En faisant mon jogging, je rencontre toujours un chat noir. Même couleur, même tête, même silhouette que le mien.
J’hésite longtemps avant de l’appeler.
« Minouch, minouch »…
C’est le nom que je donne à tous mes chats. C’est ainsi qu’on les nomme au Maroc. Je ne sais pas ce que signifie le mot, mais je peux préciser que c’est commun à tous ces petits félins.
Dans mon pays natal, on ne donne pas de prénom aux animaux, car on croit que ça ne se fait pas. Par tradition, c’est un enfant qu’on prénomme et un animal n’a pas cette valeur dans la société orientale.
L’humain vaut plus que tous les êtres sur terre et au ciel. Même les anges sont moins valorisés que l’homme.
Mais être dévalorisé ne signifie pas qu’on peut maltraiter les animaux.
Ce sont des ordres donnés par Dieu dans ses livres sacrés.
« La victime est questionnée devant Dieu, sur la cause de sa mort, le jour de la résurrection. »
Ce qui signifie qu’il ne faut pas tuer un animal, qui ne parle pas pour se défendre et sans avoir de preuve qu’il a fait du mal.
Un musulman doit bien traiter l’animal. Devant Dieu, l’animal a la même valeur que l’humain et si on le maltraite, c’est un péché.
Le Prophète de l’Islam a dit « Qu’une femme est entrée au paradis, non pas pour ses prières, mais parce qu’elle a donné à manger à une chatte. »
Une autre est entrée en enfer parce qu’elle avait enfermé un chat jusqu’à ce qu’il meure de faim.
Si elle ne voulait plus de lui, elle devait le relâcher dans la nature. Il était capable de chercher, par lui-même, sa nourriture.
Si on est le maître d’un animal, on doit être à la hauteur de la responsabilité, car le jour des comptes, on paiera pour le bien, comme pour le mal fait. Comme c’est le cas pour les humains.
C’est l’homme le colonisateur qui doit tout faire pour laisser une place vitale à l’animal, que ce soit un chat ou autre. Lui donner sa part de nourriture et d’eau car sans elles, il n’y a pas de vie.
C’est pour ça qu’on a habité chez les chats à notre arrivée à la maison. Nous étions de nouveaux voisins pour les félins qui vivaient dans cette belle nature arborisée !
On n’a pas fait comme les autres qui ont abattu les arbres et fermé les passages. On a laissé la nature prendre sa place et on ne se protège que de ceux qui nous font du mal, humains ou animaux.
De nos jours, l’homme est un poison pour l’homme, plus que l’animal, y compris les serpents !
On a vu passer beaucoup de chats dans notre jardin. Ils viennent de loin, très loin car le chat peut faire des de kilomètres pour trouver ses repas. De bons plats qu’il aime, des souris, des viandes laissées de côté et ce que l’homme généreux peut offrir à une pauvre bête.
Les chats ne volent jamais quand on les nourrit. Ils réclameront par la suite après avoir compris que la personne est attentive à eux.
Par contre, l’homme est voleur par nature, quand on lui donne quelque chose, il la cache dans sa main gauche et tente, avec la main droite de prendre ce qui reste. Comme s’il était frustré de ne pas tout recevoir. Et si on est généreux et donne sans compter, il prend tout et nous laisse démunis. L’homme aime dominer, par contre un chat aime partager. Et quand un chat apporte un cadeau, un mulot ou un petit oiseau qu’il a chassé, c’est qu’il fait une offrande.
Il ne se tromperait pas s’il était en Chine où on mange les rats. Par contre au Maghreb ou en France, c’est une nourriture qu’on laisse à l’animal qu’il soit un chat ou un serpent.
Ce sont les deux surnoms donnés aux premiers qui ont squatté nos lits et nos canapés ! Les chats qu’on a adoptés.
Ils étaient différents des autres qui venaient, mangeaient et partaient. Eux, par contre, Le Gars et La Fille s’installaient chez nous.
On voyait ces petites têtes apparaître timidement à la porte d’entrée ou à la fenêtre. C’était l’été et il faisait chaud, tout restait ouvert.
— Voilà, les deux bêtes, dis-je à ma femme.
— Laisse-les entrer ! Venez !
Elle était partante, moi je ne l’étais pas. Un animal est un être vivant et devient une responsabilité. Quand on l’adopte, il faut s’en occuper.
On les a appelés Le Gars, pour le mâle et La Fille pour la petite femelle, bien sûr ! Chaque jour, ils passaient une patte au seuil de la maison. Ils regardaient attentivement et dès qu’on bougeait, ils reculaient et prenaient la fuite. Ils étaient donc proches de chez nous.
Un chat, c’est très intelligent et patient !
Quand il aime quelque chose et qu’il en a envie, il n’hésite pas à prendre le temps qu’il faut pour l’obtenir. Il peut rester des heures, des jours et des nuits près d’un trou, s’il sent qu’il y a une souris à capturer. Il se tapit, sans bruit, et rien n’indique à sa proie qu’il est là ! À part l’odeur…
On dirait qu’il se camoufle !
Le chat est un grand chasseur et prédateur comme tout animal, un lion ou un tigre, un serpent ou un chien ! Des animaux qui ont la chasse et ses techniques dans le sang, comme on dit. Il est instinctif, sans aucun doute.
Un bébé humain ne peut survivre, après sa naissance, si sa mère ou sa nourrice ne le soutient pas en le nourrissant, en le gardant au chaud ou à l’ombre et en l’entourant affectivement.
Un animal est capable de subvenir à ses besoins, une fois sevré, seul, sans sa maman ou de compagnie. L’animal est capable de vivre longtemps sans nourriture et sans qu’on s’occupe de lui, instinctivement, alors que l’humain est le plus faible animal sur terre.
C’est un miracle de la nature pour ceux qui ne croient pas ! Le signe d’une force qui nous prend entre ses mains et nous berce pour qu’on aime la vie.
La petite chatte « Fifille », comme on l’a appelée ensuite, ou la Fille était la plus courageuse. Elle passait en premier avant Le Gars. Ce dernier lui obéissait ou l’imitait au moindre mouvement.
Quand elle avançait, il s’y mettait, lui aussi et quand elle reculait, il en faisait autant.
Elle était aimable, gentille, légère, comme disait Violette et c’est vrai !
Quand on la prenait dans nos mains, on ne la sentait pas. Comme si elle ne pesait rien. Peut-être pour ne pas gêner, elle devenait une plume.
Elle baissait la tête et se laissait faire. Jamais agressive et ne sortant jamais ses griffes !
Je n’ai aucun souvenir de griffures, bizarrement !
Chez les autres, le jeu de griffes domine. Il n’y a pas un endroit ignoré pour éviter le mal.
Le Gars et la Fille étaient encore des chatons quand ils ont débarqué ! On les a emmenés chez le vétérinaire, il a calculé leur âge, 3 mois au moment de leur arrivée chez nous.
On ne sait pas d’où ils sont venus. De chez les voisins, disons, mais lesquels ?
Je disais qu’un chat est capable de faire des kilomètres pour chasser et chercher à manger. Ils rendent aussi visite à leurs copains ! Ils se baladent pour rencontrer d’autres chats et pour avoir suffisamment de nourriture.
Les expériences de savants spécialisés ont démontré qu’un chat est capable de parcourir 40 kilomètres par jour, dans son environnement.
Il fait le tour des dizaines de fois Il passe le temps dont il n’a pas la notion et ne reste pas enfermé si c’est un chat d’extérieur. Il apprécie de changer de lieu et de maison.
Le chat aime avoir de l’espace pour se nourrir et pour bouger sans concurrence mais il adore la compagnie.
Les chats vivent dans un lieu où leur nourriture est garantie et quand ils se sentent menacés, ils sortent les griffes et montrent leurs canines.
Tout le temps, on entend miauler férocement dans notre jardin ou chez les voisins. Il faut séparer les chats pour qu’ils ne se blessent pas !
Si on laisse faire, on paiera des frais importants chez le vétérinaire, sans savoir si les autres chats sont vaccinés…
Il suffit de payer la nourriture, cela me coûte déjà assez cher.
Certaines personnes ont des difficultés pour se nourrir, comment peuvent-ils assumer la nourriture de chats dont ils se sentent obligés de s’occuper ?
Certains demandent à la SPA de l’aide pour leurs chats dont ils ne veulent pas se débarrasser en les confiant aux refuges.
Un chat est comme un être humain. Comme un proche. C’est quelqu’un de la famille ! Un enfant dont on ne peut pas se séparer.
Quand ils perdent un chat, certains maîtres passent des semaines à pleurer ! Ils offrent même de dignes funérailles à leur animal. C’est ça, aussi la vie en France et en Europe.
On ne peut qu’aimer ces petites bêtes pleines de douceur et qui nous rendent ce qu’on fait pour eux avec de l’amour et de la présence. On n’est jamais solitaire, quand on a un chat !
Les deux bêtes allaient et venaient au début puis elles ont montré qu’ils étaient chez eux. Elles sont restées du matin au soir dans le jardin.
On les découvrait dans l’herbe, sur ou sous la table, sur le toit de la véranda ou de la maison.
Quand elles nous entendaient préparer les repas, elles cavalaient pour voir ce qui se passait dans la cuisine.
On entend les bruits d’ouverture de porte. Clac, clac… Doucement et sans dégâts !
Les deux chats veulent être adoptés sans énerver les maîtres de maison. Ils se comportent agréablement.
— On ne peut que les aimer ! dit l’une des voisines, quand on lui parle des petits visiteurs du jour.
— Si seulement Monsieur acceptait qu’ils soient les nôtres ! dit Violette.
Je ne veux pas de chats. De plus, à qui sont-ils ? Et s’ils ne sont pas adoptés ailleurs, ce sont des responsabilités !
Il faut les nourrir chaque jour. Leur préparer une place pour dormir et prévoir une litière. Poser une chatière pour qu’ils sortent à leur gré. Sinon, jour et nuit ils grifferont et miauleront à la porte.
À en perdre le sommeil pour nous !
Les chats sont pires que des enfants rois…
Ils aiment manger quand ils veulent, dans un restaurant cinq étoiles. Les chats n’acceptent pas toujours les mêmes repas, ils choisissent ce qu’ils veulent ainsi que le parfum du plat.
Du poisson, des viandes bovines, de lapin, de poulet…
Au Maghreb, on fait avec ce qu’on a. Quand on n’arrive même pas à soigner les humains, l’animal passe en second et encore !
La seule chose qu’on a pour l’animal, c’est la prière. On prie celui qui l’a créé pour qu’il ait pitié de lui et le guérisse.
Même pour l’homme, il n’y a que la prière. On ne trouve pas de quoi le soigner, même pour un bobo. Ne parlons pas de graves maladies, de cancer ou autre. C’est la fin pour celui qui souffre.
C’est culturel de faire des adieux quand on entend parler de grave maladie. Et avant c’était mieux qu’aujourd’hui.
On avait des dispensaires de quartier et l’hôpital public gratuit. Aujourd’hui, tous les lieux de soins sont payants, même l’hôpital pour les médicaments et les actes médicaux.
En plus du bakchich pour être reçu en premier. Sinon, on attendra des semaines, et donc la situation s’aggrave.
On fait ce qu’on peut avec l’humain et avec l’animal !
Ce n’est pas par méchanceté ou par négligence, car la maltraitance des animaux est mal vue, au Maghreb, comme ailleurs dans le monde.
Par intérêt aussi. Si quelqu’un veut vendre un animal au souk et qu’il y a des traces de sévices, personne ne l’achètera.
Les animaux aiment sans condition et les humains, eux, posent les leurs pour donner de cet amour qui est instinctif chez l’animal. Il ne peut faire autrement qu’aimer les autres, par contre l’humain fait le commerce avec ses sentiments.
— Je t’aime mais il faut donner !
L’amour humain est souvent artificiel et c’est pour ça que les gens disent que l’animal est plus fidèle.
— Ne dis pas ça au Maroc ou dans le monde musulman, car c’est une insulte. Quand on signifie à un homme qu’il est un animal, on le maltraite et ça peut coûter très cher, selon les situations !
Les hommes et les animaux vivent dans un même monde mais chacun selon ses règles. Un chat reste près de son maître, même à l’extérieur, au jardin ou ailleurs !